Je suis une femelle salope
9 – Tendre rencontre
par françoislave
Brève attente devant la porte, un grand mec brun un peu dégarni, portant des lunettes épaisses, passe devant moi, s’arrête et revient :
– François ?
– Oui…
– Suis-moi.
Nous rentrons dans l’immeuble, escalier, porte et nous voici dans la chambre. Sur un fauteuil s’alignent serviettes, capotes et tubes de lubrifiant. Je suis tombé sur un mec équipé, tant mieux.
Très vite nous nous retrouvons nus et je commence à le caresser, sur le torse, sur la queue.
Nous nous couchons sur le lit, lui sur le dos, moi à quatre pattes. Il a une belle queue, longue et bien épaisse, son gland est calotté mais le membre est impressionnant, je suis aux anges à l’idée de me le prendre dans le cul.
Je commence à lécher la tige puis descend sur les couilles, il sent bon et j’apprécie de prendre ses boules en bouche. Je les lèche, je les gobe, le les suce, il gémit. Je le capote et le prend en bouche. Sa queue grossit encore et c’est un régal de le sucer. J’adore faire des pipes et là je suis gâté.
J’interromps ma sucette pour l’embrasser dans le cou, sur la poitrine, je lui suce les tétons. Il a le torse velu et ça m’excite de me frotter à ses poils, cette virilité me plaît, je suis une vraie salope et ce contact avec le mâle me rend folle. Les bouts de ses tétons sont bien dressés et je les suce de plus belle. Je le caresse dans le cou, je l’embrasse, je le lèche, je me frotte à lui, sa peau est douce….
En plus je sens sa queue frôler mes fesses et ce contact augmente mon ardeur. Il me glisse :
– T’es vraiment une salope toi… »
Je saisis sa queue d’une main et le branle, puis je reprends mes câlins et mes bisous sur sa poitrine, j’ai vraiment envie de lui faire du bien… Il apprécie de plus en plus et me caresse aussi, me saisissant la queue doucement d’une main et me branlant, puis il passe sa main dans ma raie…
– Dis donc, il est bien doux ton petit trou… il est bien ouvert…
Je réponds par un grognement et il me rentre un doigt dans le cul. Là c’est l’extase, je grogne, je gémis, j’en réclame plus… Il fait cela doucement, c’est presque un geste d’amour et d’ailleurs nous faisons vraiment l’amour comme un homme et une femme, dans la douceur et la tendresse.
Je reprends ma sucette tandis qu’il me sodomise avec son doigt puis, au bout d’un moment, je l’implore de me pénétrer. Comme il est d’accord, je me place face à lui, au dessus de sa queue, et me l’introduit dans les fesses.
Hummmm, c’est trop bon. Je commence un va et vient sur sa queue, elle me remplit bien et je me sens femelle comme jamais. Tantôt j’accélère, tantôt je ralentis, il me ramone le cul, je suis sa femelle, il est mon mâle, je n’ai qu’un but, le faire cracher son jus dans mon ventre.
Il me fait mettre en levrette et me reprend, sa queue va si profondément en moi qu’il me fait mal, bizarre j’ai l’habitude de me mettre des godes bien plus longs…. Je lui demande donc de ne pas me la rentrer à fond et il continue à me pilonner mais moins loin.
Ensuite, il me fait mettre sur le dos et m’encule à nouveau. Je suis heureux et lui fais savoir par mes gémissements et des encouragements. Puis il se retire et me tartine la rondelle avec du lubrifiant, enfile un gant et entreprend de me fister, ma caresse favorite et apparemment quelque chose qu’il apprécie de faire.
Il me met un doigt, fait un mouvement circulaire dans mon trou, pour l’élargir, puis un deuxième doigt, visiblement il a l’habitude de fister et c’est tant mieux.
Quand il arrive aux cinq doigts, il marque un instant d’arrêt et c’est moi qui le supplie de rentrer sa main entière et m’empale dessus. Une petite résistance et je sens la main dans mon ventre. Je commence à me caresser et lui demande de bouger en moi.
Il fait des va et vient, je suis complètement ouvert et me branle furieusement tellement c’est bon. Au bout de quelques minutes, je jouis en hurlant et il retire sa main lentement, un spécialiste je vous disais.
Nous restons quelques minutes immobiles puis je vais me doucher.
Quand je reviens dans la chambre, il se capote à nouveau et je le suce pour le faire jouir car le pauvre est resté sur sa faim ; mais malgré mes caresses, j’en ai d’ailleurs mal à la mâchoire tant je m’applique, il débande peu à peu. Je suis désolé et m’excuse auprès de lui mais il me caresse tendrement la joue et m’assure que ce n’est pas grave.
Puis nous nous quittons avec promesse de nous revoir.
J’ai hâte de sentir à nouveau sa queue et sa main en moi.
francoisalbertbi@yahoo.fr