Je suis une femelle salope.
18 – Toujours mon amant de Meaux
par Francoislave
Reprenant mes habitudes, je suis allé voir mon mec à Meaux.
Je n’avais pas profité de sa queue depuis novembre, inutile de dire que j’étais impatient.
Arrivé chez lui, effeuillage et direction la chambre et le lit, où il m’attend, nu allongé sur le dos.
Je prends sa queue en bouche sans attendre et commence à la déguster. Elle est déjà de belle taille au repos, le gland légèrement apparent sous le prépuce et je me régale. Je la suce, je la lèche, elle durcit, elle sent bon le mâle, avec un petit fumet de pisse, bref un régal.
Je lèche ses couilles, les gobe, les fais rouler entre mes lèvres, il apprécie.
Il apprécie mais ne reste pas inactif. Dès que je me suis couché près de lui, il a commencé à me doigter le cul, à sec d’abord, puis lubrifié par ma mouille. Il fait des va-et-vient et je grogne de plaisir, je le suce de plus en fort, tout excité par ce qu’il me fait.
J’arrête ma sucette et lui demande de me prendre mais pour toute réponse, il me pénètre plus profondément la rosette puis me fait mettre à califourchon au-dessus de lui, dans un parfait 69 et se met à me bouffer le cul.
Sa langue me transperce la rondelle, elle est dure et rentre en moi comme une queue, il n’y a pas à dire, il sait y faire et je ne peux m’empêcher d’arrêter ma pipe tellement ses caresses me font du bien.
J’ai le trou du cul tout mouillé et il continue à me dévorer, tantôt rentrant sa langue, tantôt tirant les bords de ma « chatte » avec les lèvres. C’est insupportable et j’insiste en hurlant presque :
« Prends moi, défonce moi le cul, c’est trop bon, s’il te plaît encule moi ! »
Il arrête de me lécher, se redresse et me fait mettre à quatre pattes.
Il enfile une capote, dépose une noix de lubrifiant sur ma raie, rien que cela m’excite la sensation qu’on me prépare pour la pénétration, comme une bonne salope que je suis.
Puis il me prend par les hanches, pose sa queue contre mon trou et me pénètre d’une poussée énergique. Il est au fond de mon cul d’un seul coup, son ventre claque contre mes fesses, je suis enfilé jusqu’au cœur, comme un poulet sur une broche, et j’avoue adorer faire le poulet !
Il commence à me baiser, lentement, puis il accélère ses mouvements, je suis aux anges. De temps en temps, je remue la croupe pour mieux m’empaler sur sa queue. Il m’agrippe les hanches, je grogne de douleur mai il s’en fout complètement, tout à la possession de ma chatte.
Il me défonce à présent de toute sa force, et il en a le bougre. Je ne suis plus qu’un trou à sa disposition, je gémis, je hurle presque, que c’est bon de se faire enculer, de jouer les femelles salopes.
Il donne soudain un coup de reins plus brutal que les autres et je sens qu’il vient de décharger en moi. Quel dommage que nous soyons obligés de baiser « couverts », je suis sûr que de sentir son sperme envahir mon ventre doit être une sensation que je ne connaîtrais malheureusement jamais.
Il reste quelques secondes fichés dans mes fesses, je lui caresse la hanche d’une main, le remercie de m’avoir bien baisé, puis il se retire pour aller se laver.
J’en fait autant, nous discutons de choses et d’autres puis je le quitte, pensant déjà au prochain rendez-vous avec lui.