Je suis une femelle salope 17 – Mon amant de Meaux par Francoislave

 

Je suis une femelle salope
17 – Mon amant de Meaux
par Francoislave

Poursuite de mes rencontres avec mon mec !

Ce matin, après près de quinze jours d’abstinence, je suis allé chez lui.

Pour rajouter à mon excitation et bien lui montrer que j’étais une vraie salope, toujours prête à se faire baiser, je suis allé chez lui vêtu simplement d’un blouson, d’un pantalon et de chaussures, exit donc tout sous-vêtement.

Arrivé dans son appartement, je me suis mis instantanément à poil et nous nous sommes allongés sur le lit.

Je l’ai caressé partout et l’ai pris en bouche. C’est d’ailleurs le premier mec à qui je fais des sucettes sans capotes, celles-ci servant juste à la pénétration et à la jouissance en moi.

Pendant que je le suçais et lui caressais les couilles, il me doigtait, de plus en plus profondément et de plus en plus fort. A tel point que bien vite je lui ai demandé de me lubrifier pour mieux me prendre.

Puis je me suis mis à califourchon au-dessus de lui, plus clairement en soixante-neuf, et il m’a administré une feuille de rose à hurler de plaisir, ce dont je ne me suis pas privé, pendant que je le pompais de plus en plus rapidement, et que sa queue devenait de plus en plus dure.

Une fois son membre à point, il m’a fait mettre en levrette et m’a enculé d’un coup. Il m’a besogné pendant de longues mais divines minutes, me donnant de temps en temps une bonne claque sur les fesses. J’étais au septième ciel tellement c’était bon. Il n’a pas une queue de taille extraordinaire mais sait très bien s’en servir.

Quand il a joui dans mon ventre (et dans sa capote !), j’étais moi-même au bord de la jouissance.

Puis il a commencé à me fister, assez brutalement comme d’habitude, mais j’aime cela de plus en plus.

Une fois sa main rentrée dans mes fesses, il a commencé à me pistonner, doucement au début puis en sortant et rentrant sa main de mes fesses de plus en plus vite, à tel point que je sentais mon anus rester ouvert entre chaque pénétration.

Au début, je me branlais pendant qu’il me fistait, puis j’ai arrêté pour mieux profiter de l’enculade. Jamais je n’avais été autant dilaté et j’étais aux anges.

Au bout d’un temps hélas trop court, car un fist est toujours trop court, du moins à mes yeux, il a ressorti sa main, je devrais dire son bras car ainsi qu’il me l’a montré, il m’avait pénétré jusqu’à plus de la moitié de son avant-bras.

Vivement la prochaine visite, je dois dire que si cela était possible, je le verrais bien tous les jours.

De retour chez moi, je me suis fini avec mon gode géant, en pensant à mon amant.

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