Histoire osée par Irenée Vardin…
Ce matin, tu te lèves, tu vas comme à ton habitude, du côté de la douche. Et là…
Oh grande surprise… un bruit d’eau atteint tes oreilles. Il s’arrête. Je sors nu et mouillé de la douche je sens bon, je me sèche lentement… tu regardes…tu épies mes gestes… Je passe le linge sur mon poitrail, je passe lentement sur mon torse, effleurant mes tétons, puis je passe la serviette sur mes cuisses et remonte entre mes jambes…tu es rouge de désir, mais tu restes immobile, tu aimes me regarder… Je suis encore humide sur le corps, mais mes mains approchent la serviette de mes cheveux, je les sèche vigoureusement, la serviette cache mes yeux… Tu en profites pour t’approcher doucement, tes mains effleurent mes bras pour me faire comprendre de laisser la serviette me cacher ta présence… je suis dans le noir
Je sens tes mains parcourir mon corps, mes épaules puis ma poitrine… les pointes durcissent, mes mains sont soudain lourdes. Tu passes tes lèvres sur mes tétons… ça me rend fou… je ne vois pas ce que tu fais mais les sensations sont extrêmes.
Tu continues ta progression, je me laisse faire avec délectation… Tu passes maintenant tes lèvres sur mon ventre, tu t’arrêtes à quelques centimètres de ma virilité… ça m’angoisse de désir… je sais que tu es toute proche, mais ne sens pas ta bouche… juste un souffle chaud… c’est enivrant et frustrant à la fois.
Je te laisse décider du moment… mais mes mains ont lâché la serviette et mes yeux contemplent ton corps magnifique. Je vois tes seins lourds et ronds sous ton visage concentré et doux. Je plonge une main sur tes épaules, je te relève lentement le visage, j’aime ta façon de me regarder… Je te contemple un instant et puis t’embrasse lentement, tendrement, langoureusement. Mon corps humide se soude contre le tien, encore chaud de la nuit.
Je sens tes seins contre les miens, je sens ton pubis contre mon sexe, je suis fou de désir et tu le sens bien contre toi. Je prends ton visage à deux mains, serré doucement et je t’embrasse à nouveau. J’aime le contact de tes lèvres brûlantes de désir… Je te laisse repartir vers ta destination première, je sens maintenant ta bouche me prendre pleinement, tes yeux me lancent un regard de possession… je t’appartiens… tu me fais subir ce que tu veux… j’en suis ravi d’ailleurs…
J’aime soutenir ton regard quand tu me suces… j’aime cette impression de défi doux et tendre… Tu vas et tu viens sur ma verge tendue par le plaisir, je vois tes joues se creuser, je vois ta salive humidifier mon sexe, je sens tes mains affairées autour de ma virilité…
Je sens surtout le plaisir monter en flèche comme une explosion majeure… mais je résiste et te met debout contre le lavabo, les jambes légèrement fléchies, je sens ton intimité toute ruisselante de désir, prête à me recevoir, et je ne la fait pas attendre plus longuement.
D’un coup, je te pénètre jusqu’à la garde. Je suis au fond de toi et déjà les premiers frémissement de ton intérieur me font ressentir ton plaisir d’être pénétrée aussi fort.
Sans brutalité, mais avec une grande vigueur, je vais et je viens en toi. Comme un buttoir, je pourfend, je cogne, je pousse et retire mon engin de plaisir… tu commences à respirer plus fort, plus vite… se sont bientôt des gémissements… je glisse ma main entre nos deux corps, trouve le petit bouton de plaisir… un grognement de plaisir sort alors de ta bouche, tes yeux sont remplis de reconnaissance… tu as ton premier orgasme…violent… je continue à aller et venir en toi, mais je caresse plus légèrement ton clitoris… mais tu aimes alors je continue… lentement…
Je sens mon plaisir venir, alors je ralentis un peu, mais tu te serres plus fort contre moi, tu accélères le rythme, tu sais… tu sens… je ne peux plus me retenir… le plaisir me foudroie littéralement… Tu ris de m’avoir surpris ainsi… mais tu jouis également… en même temps… et tu es heureuse… Nous rions, nous pissons, nous nous enlaçons…
Merci Maman tu es une amante merveilleuse.
Observations en vrac
– C’est assez joliment rédigé malgré le style tutu, passablement agaçant
– C’est trop court pour de la prose, j’aurais bien vu ça en poème
– Je suppose que le twist final est volontaire mais j’ai comme un doute.
– Quant à l’ajout du critère uro, ça fait vraiment rajouti