Papa, maman, ma bite et moi – chapitre 1 par Elian Lvekman
Bertrand, étudiant en lettres, bonjour messieurs dames !
Cela faisait bien 20 minutes que je les entendais baiser et il y en avait bien pour deux bonnes heures encore.
Irrémédiablement, tous les dimanches après-midi, mes parents baisaient et cela faisait des années que cela durait, j’avais maintenant l’âge adulte et je vivais toujours chez eux car je poursuivais mes études.
Je me branlais au rythme des bruits provenant de la chambre de mes parents autant dire presque tous les soirs et le dimanche après-midi comme je ne sortais guère, j’étudiais dans ma chambre. Souvent mon père reprochait aux maisons modernes d’avoir des murs fins comme du papier à cigarette, ce n’était pas possible qu’il puisse ignorer que j’entende les cris de ma mère et ces grognement à lui.
Quant à leurs commentaires au moment sublime, je les connaissaient par cœur
– Suce salope, oui, encule-moi bien. et tout le reste…
Je n’avais pas de petite amie, mais n’était qu’à demi-puceau. Lors de soirées estudiantines, j’avais roulé quelques galoches à de belles demoiselles et pelotés quelques belle paires de nichons. L’alcool aidant, je m’étais allé à sucer quelques bites bien tendues et bien juteuses et je dois dire que j’avais apprécié la chose.
Le soir je me branlais dans le lit mais le dimanche comme je savais qu’il y en avait pour un certain temps, je me déshabillais et me branlais dans mon fauteuil face au mur mitoyen d’avec leur chambre. Leur lit touchait la cloison que je sentais vibrer et j’avais l’impression d’être avec eux.
J’en rêvais et je me voyais pénétrant ma mère comme sur les photos et les bouquins cochons et revues d’amateurs qu’ils avaient dans leur chambre bien cachés au fond de l’armoire. Je les connaissais par cœur et je me demandais parfois si les visages masqués sur les photos en noir et blanc n’étaient pas ceux de mes parents avec leurs amis prises par des amateurs.
Un dimanche d’été, alors que j’étais en pleine masturbation en les écoutant, la porte de ma chambre s’ouvrit brutalement et mon père nu comme un ver, la queue demi-dressée me fit signe d’approcher. J’étais nu et si honteux que ma bite très raide un instant plus tôt était déjà à l’état de limace.
J’eu très peur que les choses se compliquent, mais avec un regard sympa mon paternel me pris par les épaules et me dit :
– Avec ta mère on a décidé de te proposer quelque chose.
– Ah ?
– Oui ! Plutôt que de te branler, vient donc nous regarder, ce sera beaucoup plus agréable !
Dans un état second, je le suivis. Nous entrâmes dans la chambre parentale et je vis immédiatement ma mère nue étendue sur le lit bras et jambes écartées, le visage radieux et qui me dit :
– Approche mon chéri !
Une boule me bloquait la gorge et je m’exécutais comme un automate en me mettant à genoux sur le bord du lit pendant que mon père prenait la même position de l’autre côté de son corps.
Son corps était magnifiquement bien conservé. Mes yeux allaient de ces beaux seins laiteux légèrement écartés de chaque côté de son corps et cette envoutante touffe de poils dont je rêvais chaque nuit
Ma mère pris mon sexe dans sa main en même temps que celui de mon père…
– Deux belles bites dans les mains, que rêver de mieux ! S’exclama-t-elle
Mon père commençait à lui malaxer le sein gauche et me dit de faire de même car selon ses termes : « elle adore les caresses, cette pute »
– Mets-lui ta main sur la chatte, histoire de la faire mouiller !
Je posais ma main sur la touffe tant désirée et c’est ma mère qui me guida pour que je la caresse ainsi qu’il se doit..
J’étais comme dans un brouillard et je caressais la chatte de ma mère avec la main droite tandis que je lui malaxait un sein avec l’autre main.
Quant à mon père il avait approché sa belle queue de la bouche de ma mère qui commença à lui sucer sous le commentaire cru de mon père :
– Tu aimes, hein ! Une bonne bite dans la bouche, mais regarde bien celle de notre fils, tu vas pouvoir la sucer aussi !
De tels mots avaient un effets sur ma bite qui devenait très dure et même si elle était beaucoup plus fine que celle de mon père je constatais qu’elle était de la même longueur avec de belles couilles lourdes et pendantes, la branlette de ma mère commençait à avoir un effet terrible je senti que ma queue tressautait et par quelques giclées puissantes guidées par ma mère, je lui arrosait les seins et le ventre.
Un peu dépité d’avoir si vite vidé mes couilles, je regardais mon père qui souriait en me disant que c’était bon et que j’allais voir…
Il se pencha alors sur le corps de ma mère et lécha tout mon sperme en dirigeant sa bouche vers sa chatte touffue.
C’est alors que ma mère lâchant nos queues respectives, tout en restant sur le dos relevant ses jambes se mis en position d’écart maximum offrant sa chatte et son cul bien en évidence. Mon père se mis à genoux sur le sol et me fit signe de faire pareil.
Dans cette position, il me fit faire le « tour du propriétaire » m’exhibant tous les trésors de ma mère, écartant les lèvres très longues et caressant son clitoris très proéminant, puis achevant en caressant l’anus et en y entrant la première phalange de son index.
– Tu vois cette pute elle adore qu’on lui enfonce le doigt dans le cul, vas-y essaye.
Ma mère excitée par ces attouchements criait :
– Allez-y, caressez-moi la chatte et le cul, faites-moi jouir à mon tour !
Je doigtais ainsi ma mère et quand je retirais mon doigt, je fus surpris de le trouver pollué de traces marrons.
– Lèche ton doigt, me dit mon père, tu vas voir, il est délicieux le jus de cul de ta mère.
Excité comme j’étais, j’obéissais et trouvais la chose agréable.
Mon père ne restait pas inactif et pendant que je suçait le clito de ma mère, il était allé prendre un gode dans la table de nuit et me dit :
– Tu le connais celui-là ?
Inutile de mentir, aussi je fis signe que oui, en effet je l’avais découvert il y a bien longtemps.. Mon père l’enduisit de gel et commença à le présenter à l’entrée de l’anus de ma mère qui commença à se tortiller de plaisir.
Elle se releva et me fit étendre sur le dos et se mis en position 69 (elle sur le dessus) j’avais une vue imprenable sur sa belle chatte humide et je voyais mon père lui enfoncer le gode dans le cul.
– Continue de me bouffer la chatte, mon fils me dit-elle !
– Ta mère est une salope qui adore ça, vas-y !
Et moi je continuais de la dévorer pendant qu’elle me suçait avec avidité. Mon père avait une trique terrible et un moment il dit :
– Maintenant du sérieux !
Et il présenta sa queue à l’entrée de l’anus de ma mère. Je n’imaginais pas que sa bite puisse la pénétrer ainsi.
– Vas-y, écarte mes fesses, que ton père puisse me défoncer mon cul !
Et mon père d’un cri rauque entra entièrement son engin dans le fondement de ma mère qui poussa un cri de fauve, rauque et long à la fois je sentis mon visage s’inonder de sa mouille qui dégoulinait de sa chatte en feu
Les coups de boutoir de mon père créaient un mouvement de va-et-vient naturel sur le sexe de ma mère qui se frottait à ma langue tandis que ma queue entrait et sortait de sa bouche goulue
Je ne pus retenir longuement mon plaisir et pour la première fois de ma vie j’éjaculais dans la bouche d’une femme et quelle femme ! Sa langue m’entourait la queue et créait un effet de succion qui attirait mon gland vers le fond de sa gorge comme si elle allait l’avaler.
Mon père cria à son tour quand sa bite cracha son sperme et qu’il arrosa l’anus de ma mère, puis il se mis à genoux et lécha tout ce qui dégoulinait. J’en reçu sur le visage et léchais à mon tour le sperme de mon père inondant l’anus et la chatte de ma mère, puis comme si c’était la chose la plus naturelle du monde, je nettoyais la bite de mon père avec ma bouche. Et appréciait ce mélange subtil de sperme et de merde.
Nous tombâmes tous les trois dans les bras les uns et autres et je crois bien avoir dormi trois heures durant.
J’aurais aimé sucer la bite de mon fils, je l’ai vu plusieurs fois en érection et mon trouble fut immense, je n’ai jamais osé faire une petite allusion qui aurait pu déclencher quelque chose, c’est donc resté un fantasme.
Effectivement l’introduction est farfelue est serait à réécrire complètement. Domage parce que la suite est vraiment pas mal, même si on sent que l’auteur s’est bien excité en l’écrivant
Dommage que l’amorce de l’histoire soit invraisemblable, sinon ça le fait