Carnaval 10 – Aux origines… par Caroline49
Flavie récupère le change bien plein et bien jaune de son urine journalière pour le mettre à la poubelle. Sarah et moi continuons encore de nous embrasser le plus goulument possible. J’ai très envie d’elle mais ce n’est pas le lieu, ni le moment. Sarah finit par me libérer la bouche et me dit qu’il serait quand même temps de rentrer car ma tante doit être sur le départ et évidemment Sarah repart avec elle sur Le Mans.
Nous embrassons toutes les deux Flavie sur la joue et la remercions de ce petit moment chaleureux et lui confirmons que nous garderons son secret. Nous quittons sa maison pour nous diriger vers la mienne. Sophie, ma tante est prête à partir et nous attendait dans le salon. Sarah salue toute la famille présente et vient me prendre dans ses bras tout en me disant au creux de l’oreille qu’elle penserait très fort à moi cette semaine à chaque pipi qu’elle ferait ou à chaque épisode masturbatoire qu’elle se procurerait. Elle me dit également qu’elle espère pouvoir venir au carnaval de nuit samedi soir prochain et qu’elle sera mon objet, que j’ai une semaine pour m’entraîner à devenir la plus chienne des salopes. Rien que de t’entendre ces mots, mon anus et mon vagin se sont contractés très violemment, mes joues ont chauffés très rapidement et ma culotte en prend encore pour son grade car je mouille abondamment.
Sarah finit donc par nous quitter et me voilà dans ma chambre, là-haut au deuxième. Il est presque deux heures du matin. Chloé, ma grande sœur vient de rentrer accompagnée de ma jumelle, Claire. Chloé passe vite fait sous la douche après sa journée épuisante et bien remplie. Son carnaval s’est bien déroulé, il n’y a eu aucun problème majeur sur la journée. Des interventions légères des services de secours pour des foulures ou des glissades… Chloé finit par aller se coucher et va rejoindre Antoine. Il doit dormir comme un bébé avec tout ce qui s’est passé aujourd’hui. Je me sens coupable d’avoir baisé avec lui plusieurs fois ce week-end mais nous avons pris notre pied tous les deux, c’est le principal. Claire finit par arriver dans la chambre. Elle a pris sa douche dans la salle de bain des parents à l’étage inférieur. Elle se retrouve juste en serviette devant moi. Elle va l’accrocher dans la salle de bain et vient se mettre à côté de moi. Nue.
Je me tourne vers elle et lui sourit :
– Ca va Caroline ?
– Caroline…Tu ne m’appelles jamais comme ça…
– Oui c’est vrai…alors ta journée ?
– Humide, chaude…sexuelle…
– Tant que ça ? Tu sais j’ai très apprécié l’épisode de la piscine hier après-midi. J’ai vraiment aimé.
– Quoi ? Le fait de faire pipi en public, de t’être exhibée ?
– Oui et la sensation de se retenir le plus longtemps possible, de sentir la délivrance qui arrive, de ressentir la chaleur qui coule le long de ses cuisses, se sentir coupable et honteuse et en même temps se sentir bien et profiter de l’instant, juste de l’instant…
– La honte…Oui je sais ce que c’est. Je suis allée très loin avec Sarah !
– Loin comment ?
– Nous avons pris une douche ensemble tout à l’heure, et puis il y a encore une heure nous étions chez Flavie, tu te souviens ?
– Oui, la voisine !
– Elle porte des couches pour adultes depuis son accident, elle a des épisodes d’incontinence et elle se sent rassurée d’être protégée de la sorte. Mais elle aime faire sur elle, elle aussi. Disons que nous nous sommes amusées un peu toutes les trois.
– Tu parlais de honte, je ne vois pas le rapport.
– Sous la douche avec Sarah…
– Oui, et bien ?
– Elle…
– Elle quoi ?
– Elle m’a doigté…
– Et alors ?
– Elle m’a doigté l’anus. J’ai adoré, elle m’a guidé, elle m’a dit de pousser. Et j’ai fait caca devant elle…
– …..
– Oui tu restes silencieuses, tu me trouves folle hein ?
– Je suis surprise. Mais bon vous étiez consentante toutes les deux ? Non ? Elle ne t’a pas forcé ?
– Un peu quand même !
– Mais tu n’as pas résisté ?
– Non… J’ai apprécié. J’ai apprécié la sensation de mon petit trou qui s’ouvrait délicatement et j’ai adoré ressentir le contact de ce qui sortait de mon cul. Je le devinais qui sortait doucement… c’était très bon.
– Arrête tu vas m’exciter !
– Je le suis en permanence depuis ce matin, alors tu peux dire ! « .
Claire se redresse et vient s’asseoir sur mes jambes. Comme elle était nue, je voyais son sexe superbement rasé et ses petites lèvres bien gonflées. Elle posa ses mains sur le ceinturon de ma boucle de ceinture. Elle le défait et enlève cette dernière. Je la regarde avec stupeur :
– » Tu fais quoi là ? « .
Elle défait le bouton de mon pantalon et tente de le faire glisser le long de mes cuisses.
– » Non mais HO ! Tu fais quoi là ?
– C’est l’heure de se coucher sœurette, je te déshabille tu vois bien. Tu as l’air si fatiguée. Lève tes fesses que j’ôte ton pantalon. Oh la vilaine fifille, elle a une grosse tâche sur sa culotte…
– C’est bon, tu ne vas pas faire un drame…
– Non mais ça me plaît. C’est quoi ? De la mouille, du pipi, du sperme ?
– Un peu de tout.
– Je peux y mettre le doigt ?
– T’es folle.
– Suis un peu saoule…
– Je vois ça. Et tu as l’intention de faire quoi avec ton doigt ?
– Je vais en faire l’instrument de nos plaisirs…
– Pardon !
– Laisse toi faire, je suis ta sœur jumelle et ce soir tu vas faire l’amour avec toi-même, tu vas t’abandonner à ton plaisir, à celui que je vais te donner, nous allons fusionner cette nuit, je vais être toi, je suis ton double et je vais me plonger dans tes pensées les plus salaces, tu vas faire ce que je veux, je vais faire ce que je veux, je vais faire ce que tu veux. Tu, on, nous allons faire l’amour ! Je veux que tu me montres, je veux te montrer, je veux te monter, je veux te bouffer, je veux te doigter, je veux te lécher, je veux te goûter, je veux te boire, j’ai envie de connaître ce sentiment de honte, cette sensation de plaisir interdit, je veux profiter de chaque centimètre de ton corps, je te veux avec moi, en moi, je veux que nous soyons qu’une et connaître un plaisir double, je te veux rien que pour moi, toi, ma sœur jumelle, rien qu’une fois, une seule fois… »
– Claire ! Mais tu es folle ! Complètement frappée ! Tu as bu combien de bière pour être comme ça ?
– Beaucoup ! Beaucoup trop ! »
Et là, alors qu’elle est toujours assise sur moi, nue je la vois se soulever légèrement. Elle pose ses doigts de chaque côté de son sexe et en tirant très légèrement sur sa peau glabre elle commence à faire pipi sur le lit. Elle tire de plus en plus sur ses grandes lèvres et se relève afin de diriger sa miction sur ma culotte puis sur mon T-shirt. Je suis subjuguée. Son flot est puissant, dru. Elle finit par se mettre à genoux. Elle se rapproche de plus en plus vers moi. Sa pluie d’or arrive sur mes seins, elle est très diluée, très légèrement odorante, j’aime la chaleur qui envahit mon corps tout en alourdissant le tissu de mon maillot. La pluie arrive sur mon cou, sur mon menton et enfin sur ma bouche, je n’en peux plus je suis au bord de l’inconcevable et je lâche prise….
J’ouvre la bouche, l’or s’y engouffre, ma tête se relève et va à la rencontre de la source. Je bois cette pluie divine, de la source de ma sœur. De ma sœur jumelle. C’est chaud, c’est salé, c’est succulent. Je ne perds aucune goutte. Claire me prend la tête violemment et fait en sorte de m’écraser le nez contre son sexe chaud. Je ne peux qu’y mettre la langue, je lui insère au plus profond de son con qui devient gluant de substances amères. Ma langue fait des mouvements de va-et-vient très vivaces. Claire gémit le plus silencieusement possible. Sa source de pluie dorée s’est tarie. Mais elle ne lâche pas sa prise sur ma tête. Je suis en train d’étouffer dans ses chairs sexuelles. Ma langue détecte un nouveau goût. Maintenant ce n’est plus que de la cyprine. Douce et finement sucrée. Mes mains viennent se poser sur ses fesses afin de les soulever car je commence vraiment à ne plus pouvoir respirer. Claire se soulève enfin et lâche son emprise charnelle. Nous nous regardons en silence. A part la coiffure qui diffère, je me vois comme dans un miroir. Je vois son envie, je vois mon envie. Elle est moi. Elle et moi.
Elle s’assoie à nouveau sur mes jambes. Mes mains prennent ses seins. Je lui pince les tétons et elle se mord les lèvres. Elle ne peut pousser un seul cri. Mon maillot est trempé de son urine. Je me soulève comme je peux. Je retire mon maillot laissant apparaître à mon tour ma poitrine aux tétons tendus. Claire se penche à nouveau sur moi et vient me les lécher. Sa langue passe sur tout le tour de l’aréole. Elle nettoie chaque centimètre carré de ma peau. Cette peau qui sent l’urine. Le lit est trempé, nous sommes en train de ruiner le matelas. Les mains de Claire me caressent sur tout le corps. Sa langue et sa bouche vont partout. Ses doigts finissent par arriver au niveau de ma culotte qui est complètement détrempée de toutes sortes de fluides. Claire essaie de me la retirer mais elle est tellement trempée qu’elle colle sur ma peau. Après une gymnastique de jambes, me voilà complètement nue. Je sens que ma chatte est chaude, gluante, et je devine odorante. Claire y plonge sa langue avec force elle aussi. Je ne peux m’empêcher de crier un :
– » Oh putaiiiiin ! »
Je relève mes jambes contre mon torse afin de lui permettre d’avoir accès à la totalité de mon sexe. Sa langue me nettoie au fin fond de mes muqueuses.
– » Il y a du sperme hein ? Dans ta chatte de petite salope ? Celui de qui ? »
Et elle se remet à me lécher le clitoris. Deux de ses doigts prennent l’assaut de ma grotte visqueuse. Elle va loin avec ses doigts. J’écarte les jambes afin de libérer mon périnée pour sentir ses doigts en moi. Contrairement à elle, je ne peux m’empêcher de gémir. Je me fous sur le moment si toute la maison peu entendre. Ses doigts coulissent dans mon vagin. Un autre me titille le clitoris. Sa langue finit par me lécher la rondelle. J’aime me faire lécher le cul. J’ai toujours aimé. J’adore me faire enculer, par une langue, un doigt, un gode, une bite bien nerveuse. Je m’abandonne à son plaisir, à notre plaisir. Je sens que quelque chose va se produire. Mon cœur s’accélère d’un coup. Mon cerveau ne sait plus d’où arrivent les informations. Mon corps est excité de tous les côtés. J’ai des picotements dans les orteils. Mes jambes sont toujours écartées et en l’air alors que ma sœur est collée à la raie de mon cul, ses doigts en moi. La chaleur au bas de mon vagin monte d’un coup, je sens la première contraction, signe de mon orgasme. La deuxième est plus violente et je jouis violemment. Je suis fontaine. Je jute. Un long jet vient frapper le visage de Claire. Mes jambes perdent pédales. Elles flagellent toutes seules. Mon cœur a dû faire un nœud avec les artères aux alentours.
Ma sœur s’allonge sur moi. Nos corps chauds, trempés et humides sont collés l’un contre l’autre. Je sens son cœur, elle sent le mien. Nos bouches viennent se rencontrer. Nos langues aussi. Le baiser qui suivi était le plus tendre et le plus passionné que j’ai connu. Nos odeurs et nos goûts respectifs se mélangeait.
Peu importe les conventions, peu importe du qu’en dira-t-on. L’instant ! Juste l’instant ! Ce moment où deux corps fous de sensations, de désirs et d’envies de sexe ne voulaient être plus qu’un seul. Comme si la chimie de notre gémellité voulait revenir au jour de notre conception. Ce jour où la nature a fait son œuvre en divisant l’œuf en deux pour nous cloner. Là, cette nuit, nous avons franchi l’inconcevable… nous sommes redevenues cette cellule originelle…
A suivre…
Caroline, je t’aime ♥ ♥ ♥
J’aimerais bien rencontrer une fille aussi délurée et décomplexé que cette Caroline. J’ai unn peu passé l’âge, dommage 😉
Fluide, décontracté et très pervers, tout ce que j’aime !
J’adore cette auteur qui allie le talent, le naturel et une saine perversité exempte de tout tabou. Bisous
J’adore les récits de Caroline, cette fille n’a aucun tabou et vit le sexe comme une fête !