Wendy & Peter
Version alternative
Chapitre 1
par wild princess
Je suis impatiente. Je me sens comme la nuit de mon dépucelage. Un peu excitée, bon je l’avoue, beaucoup excitée. Je reste tout de même craintive. C’est la première fois que je rencontre un homme qui pourrait me faire faire quasi n’importe quoi. Le genre de mâle qui avec la seule force de son regard me tient sous son emprise. Un mot de lui et je le suivrai. Je l’attends à ma fenêtre. Il a grimpé le mur hier. Il s’est glissé sous mes draps. J’ai eu tellement de plaisir qu’il m’était douloureux de ne pas le crier. C’est le premier à me faire toutes ces choses que j’aurais honte de nommer. J’ai, par le passé, évalué la possibilité que je pourrais aimer les femmes après plusieurs expériences, disons le, décevantes avec des garçons qui sont brièvement entrés dans ma vie pour en ressortir après leur cuisant échec au lit.
J’entends un klaxon et me lève pour sortir dans la nuit noire en laissant mes inhibitions dans ma chambre. Je porte un ensemble qui risque de le rendre fou. De longues bottes noires dont les talons me donnent une prestance et une élégance qui ne fait pas mon âge. Mes jambes sont nues contre l’air froid d’avril. Ma jupe noire couvre de justesse mes fesses fermes. Un bustier, lui aussi noir, compresse ma poitrine pour la faire ressortir en rondeurs. Mes cheveux d’ébène sont bouclés et chatouillent tendrement mon dos et mon cou alors que je cours vers la voiture de Peter. Son regard a suivi mon ascension. Je claque la portière pour me retrouver tremblante contre le cuir de son automobile. Ma mais caresse fermement sa cuisse alors que mes lèvres cherchent les siennes. J’insinue ma langue contre la sienne et apprécie le contact qu’il rompt en me repoussant doucement pour m’observer.
– Tu es magnifique ce soir, mon ange. Je ne serai malheureusement pas le seul à en profiter.
Sa voix rauque me fait vibrer au creux des reins. Sa remarque me laisse imaginer ce qu’il a prévu pour ce soir. Je pourrais même le surprendre. Peter semble satisfait de mon allure, il le sera aussi de mon comportement. Il redémarre la voiture pour la faire filer dans les rues. Son regard est illuminé. Il me veut et j’en éprouve une réelle excitation. Sa main se pose contre mon genou alors que je reste sagement à ma place, le laissant me mener où bon lui semble. Je soupire alors que sa main remonte lentement ma cuisse pour se trouver au niveau de mon sous-vêtement. Un mince string noir que ses doigts écartent agilement. Une main sur le volant, les yeux sur la route et sa main qui caresse adroitement mon intimité. Je m’affale contre mon banc alors qu’il agace mon clitoris. Il sait y apposer la pression juste qui me fait languir de plus ardentes caresses.
Ceux qui, par le passé, m’ont touchée, ne semblaient même pas connaître l’existence de cette partie de mon anatomie qui m’a si souvent procuré du plaisir lors de mes débauches solitaires. La main de Peter se déplace à présent un tantinet plus bas. Les doigts forts jouent un peu dans mes sécrétions lubrifiantes avant de s’enfoncer d’un coup dans mon vagin, m’extirpant un cri étouffé de plaisir. Peter sourit en coin alors que j’ondule des hanches pour sentir ses doigts au plus profond de moi. Chaque va et vient me fait un bien sans précédent. Je deviens chaque fois plus dépendante de cet homme qui jour après jour repousse mes limites et me fait le vouloir plus encore. Je soupire d’aise alors qu’il insère un troisième doigt dans mon orifice, son pouce massant toujours avec dextérité mon clitoris sensible qui appelle le plaisir. Je souffle de plus en plus fort alors que Peter observe du coin de l’œil la venue de ma jouissance. J’arrive au point de non retour alors qu’il insère un quatrième doigt dans mon ouverture suintante de désir.
Je reprends mon souffle et replace avec soin mon string maintenant détrempé de plaisir. Je jette un regard chaviré à Peter qui se mord la lèvre à ma vue. J’étais trop obnubilée par mon propre plaisir pour m’occuper de lui et je remarque sa verge qui se tient droite dans son pantalon. Il me fait tellement envie que ma main glisse toute seule vers sa ceinture que je détache sans effort. Il roule toujours vers une destination inconnue par personne alors que je sors son membre excité de son pantalon, puis de son boxer. Sa verge est longue et épaisse. Celle d’un homme puissant qui me tient dans son emprise. Ma main caresse tendrement son membre avant de l’empoigner entre mes paumes et de le faire soupirer. Peter se gare alors sur le côté de la route et son regard suppliant m’incite à faire ce dont j’ai tant envie.
Après avoir humecté mes lèvres, je penche ma nuque vers sa virilité pour passer ma langue contre le gland qui tremble à mon toucher. Ma paume fait de rapides va et vient le long de sa verge alors que je suce sans pudeur le haut de son pénis. Il est puissant, mais d’une infinie douceur au toucher. Je vois les yeux de Peter se fermer sous l’effet de mes soins et je continue avec plaisir. J’engloutis cette fois tout son membre qui cogne au fond de ma gorge, faisant soupirer Peter. Il halète de plus en plus vite au rythme de ma bouche. Je sens finalement son membre frétiller sous la pression du sperme qui monte dans sa verge. Le jet est long et fort. Je l’avale sur le champ, laissant une odeur amère sur ma langue. Je me retire, laissant à Peter le temps de se reprendre.
D’une main ferme, il agrippe ma nuque et me colle à lui. Ses lèvres autoritaires ouvrent les miennes, plus que comblées de son enthousiasme. Il m’embrasse furieusement pour se reculer et me remercier en me regardant droit dans les yeux. Je suis étrangement fière de moi. J’aime sentir que je suis douée sexuellement. Je n’avais jamais sucé de sexe d’homme avant celui de Peter. Un homme qui n’arrive pas à me faire jouir ne mérite pas que je lui fasse cette faveur. Peter reprends le volant pour nous conduire une dizaine de rues plus loin et se garer devant un immeuble comme les autres. Il sort de la voiture et je le suis.
– Où sommes-nous ?
– Chez des amis à moi. Me répond-t-il avec un sourire qui relève le coin de ses lèvres.
Je ne pose pas d’autres questions, je lui fais confiance. Il appuie sur la sonnette et nous attendons que quelqu’un nous débarre la porte. Nous montons finalement un escalier pour nous retrouver devant une porte que Peter pousse sans avoir cogné. Je le suis comme son ombre. Je me retrouve dans une pièce à l’éclairage tamisé. Peter me fait signe d’avancer la première. J’entre dans une grande pièce dont le sol est recouvert de tapis. Une table rectangulaire trône au milieu de la salle.
Contre les murs, une peu moins de dix hommes se caressent. Certains portent encore leurs vêtements. D’autres sont nus. Alors que certains sont à mi-chemin. Quelques verges bien tendues son visibles. Je ne sais pas quoi dire, ni quoi faire. Je reste tétanisée d’envie devant le spectacle qui s’étend sous mes yeux. Rien ne semble unir ces hommes si ce n’est ce goût pour le sexe qui illumine l’œil. Certains sont blonds, d’autres bruns, j’aperçois même un homme d’origine africaine. Sa peau d’ébène se fond dans la semi obscurité alors que celle de son compagnon à la peau laiteuse semble luire. Peter cogne un seul coup contre le cadre de porte et les regards se tournent vers nous. Deux hommes se lèvent et sans un mot me tendent les mains.
Devant le regard encourageant de Peter, je me laisse emmener. Ils me conduisent à la table où ils m’allongent sur le dos. Je n’ai pas peur. Je suis excitée plus que jamais. Je ne bouge pas. Jamais dans mes rêves les plus fous je n’avais imaginé une telle situation. Je le veux. Je les veux. Les deux hommes retirent chacun une de mes bottes à talons. Leurs gestes sont doux. Agréables. Des doigts qui caressent tendrement mes jambes. Les autres se rapprochent. D’un commun mouvement, les deux hommes retirent mon string détrempé. Le premier approche de son nez mon sous-vêtement. Le deuxième le porte à sa bouche où il y lèche mes effluves. Le morceau de tissu imbibé fait le tour des spectateurs qui, à leur manière, font connaissance avec moi. Mon attention détournée, je suis surprise de sentir une langue contre mon sexe. Une chevelure brune est penchée contre mon bas ventre et me fait soupirer à en perdre tout gêne, si j’en ai déjà eu.
Autour de moi, les hommes terminent de se dévêtir les uns les autres. À ma hauteur, huit verges de toutes les tailles se tiennent, certaines bien droites et d’autres à peine bandées. À ma droite, je tends la main pour toucher un pénis en érection. Il est large. Plus que celui de Peter, mais visiblement moins long. Je le masturbe devant tous ces spectateurs. L’homme qui léchait mon sexe s’est éloigné et mon sexe réclame des caresses. De mon autre main, je branle une verge à ma gauche qui se dresse sous ma poigne. Le premier à avoir profité de mes mains s’éloigne alors. Il fait le tour de la table pour se diriger entre mes jambes. Il remonte mes genoux et positionne mes pieds contre le bord de la table. Il écarte mes cuisses et me fait lentement glisser plus près de lui. Son gland est tout proche de ma fente et me languis de ce membre. Avec le bout de la verge, il masse l’ouverture de mon vagin qui suinte de mon lubrifiant naturel. Je voudrais le tirer contre moi pour sentir sa verge cogner contre mes parois. Il prend son temps et s’insère en moi avec dextérité. Il s’enfonce au plus profonds pour ressortir au complet et il recommence. La lenteur des mouvements a de quoi me rendre folle. Je le veux. Je veux qu’il me prenne comme une chienne. Je veux autre chose que cette douceur de merde. Je désire qu’il me fasse jouir à en oublier mon propre nom.
J’ai toujours une verge en main et subtilement, une autre vient remplacer celle de celui qui s’affaire en moi. Je les branle comme j’aimerais qu’on me prenne. Je les amène au seuil du plaisir. Ils se détournent alors pour être remplacés. Celui qui me baise finit par jouir sans m’avoir mené au seuil de l’extase. Un autre le replace. Il s’amène et remonte mes jambes vers le haut. Le derrière de mes cuisses est contre son torse. Il approche son sexe tout près du mien et s’y enfonce en un coup. Je halète de plaisir. Je me désintéresse des membres à ma portée et je profite de cet homme qui, contrairement à son prédécesseur, me laboure à une folle vitesse et ne me ménage pas. Il s’enfonce en moi et me défonce comme j’en rêvais. Il me tire par les hanches pour amplifier ses mouvements. Je cris sous les coups de butoir qui font monter le plaisir en moi. Mes yeux sont fermés pour mieux apprécier son sexe qui entre et sort de moi pour retourner se cogner contre le fond de mon vagin. Je cris de plus belle alors qu’il est sur le point de faire jouir. À ma grande déception, il lâche son sperme en moi avant de m’avoir procuré tout mon plaisir. Il se retire sans plus de cérémonies. Je n’ouvre même pas les yeux pour sentir un autre sexe s’approcher du mien.
Mes cuisses sont retombées après le départ du deuxième homme. Le troisième écarte mes cuisses pour me rejoindre sur la table et couché contre moi, il s’enfonce dans la semence de ses prédécesseurs avec enthousiasme. Il se frotte à moi dans son mouvement et son corps excite mon clitoris. Il s’y colle pour le malmener alors que je sens sa verge s’enfoncer bien en moi. Mes cris reprennent de plus belle. J’écarte les jambes au maximum. Je sens cette chaleur m’envahir et je perds tout contrôle sur moi-même alors que la jouissance me fait dire des obscénités dont je n’ai pas conscience. Je laisse mon bienfaiteur, prendre lui aussi son plaisir alors que je me repose. Il ressort son sexe dégoulinant de mon antre. J’attends le prochain. Il monte lui aussi sur la table. Contrairement aux trois autres, il se tourne dans l’autre sens et présente son sexe à ma bouche. Il se penche contre le mien pour le nettoyer des assauts de ses amis. J’embouche alors sa verge qui est fine et délicate. Je le pompe au rythme de ses coups de langue contre mon sexe. Il vient vite. Il s’est retiré et a joui contre mes seins. Encore étouffés dans leur étau de tissu. Ma jupe est relevée au niveau de ma taille. Des mains agréables entreprennent alors de me déshabiller. Je suis maintenant nue. Nue et baisée. J’aime cette sensation. Ils m’ont tous vu jouir. Je suis une chienne et ils le savent. Un autre s’approche. Je suis à nouveau prête à servir.
Je suis une pute et j’aime ça. L’homme à la peau foncée me fait mettre à genoux. Je suis penchée. À quatre pattes comme la chienne que je suis, il me prend par derrière. Pas dans l’anus, mais dans le vagin. Je suis toujours vierge de ce trou là. Peter m’y insère quelques fois un doigt mais c’est la seule chose qui y soit entré. Je sens la queue de cet homme me remplir. Il a un membre bien plus gros que celui des autres. Je me sens si bien que alors qu’il s’enfonce toujours plus profonds en moi, je déplace lentement mes doigts vers mon clitoris que je frotte frénétiquement. Je ne cris pas cette fois, mais mes soupirs résonnent dans la pièce. Cette queue m’a fait jouir comme une folle. Je suis exténuée, mais le plaisir à venir me force à ne pas m’effondrer. L’homme qui m’a si bien baisée se retire pour éjaculer contre la figure d’un de ses amis qui avale son sperme goulument. Je me retourne en attendant le prochain. À ma déception, les trois derniers sont enfilés en brochette et semblent avoir beaucoup de plaisir dans cette sodomie publique.
L’homme au bout de cette ribambelle est à mon grand étonnement en train de sucer le sexe dressé de Peter. Ce dernier, sous mon regard implorant se détourne de cette bouche invitante pour me retrouver sur la table. Peter s’avance vers moi avec la fierté de son membre et s’allonge à ma place. Sa verge en érection m’obsède. Je me positionne au dessus de cet engin à plaisir et m’y enfile doucement. Je m’y enfonce jusqu’au fond et laisse mon sexe engloutir le sien. Je le baise. Oui, je le baise pour le remercier de cette soirée. Je le baise parce que sa verge m’excite. Je le baise parce que j’aime jouir. Je me frotte les seins alors que je monte et descend à toute vitesse sur la virilité de Peter qui s’accroche à la table et me laisse maître de son plaisir. Je sens son gland cogner au fond de mon vagin brûlant et je jouis alors qu’il se déverse en moi.
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Veuillez les adresser à cette adresse : wild.princess@live.ca
Je ne sais pas qui sont Wendy et Peter (si c’est une allusion à Peter Pan, je comprends encore moins) et de toute façon ce texte sans dialogue m’a profondemment ennuyé