Verena
par Helix
Cela me trottait dans la tête depuis longtemps. Depuis qu’à l’âge de 12 ans, j’ai emprunté une paire de collants à ma mère pour le soir venu les mettre en lieu et place du classique pyjama. Depuis le début de mes études à 18 ans dans une grande ville, à plus de 200 km du foyer parental, alors que j’ai acheté au supermarché du coin une paire de bas Dim-up, puis un string, puis un plug anal.
Ce moment là, lequel est-ce ? C’est pour la première fois faire l’amour en tant que femme. Cela s’est passé un peu bizarrement puisque après avoir déménagé de ma chambre d’étudiant pour une autre à plus de 600 km de là, j’avais du renoncer à la quasi-totalité de ma lingerie, ne gardant qu’un unique string. La raison est le stage de fin d’étude. Je quitte ma chambre d’étudiant avec l’aide parentale. Ce déménagement aurait irrémédiablement conduit à la découverte de la lingerie que je conservais.
Me voilà arrivé dans cette nouvelle ville, à la frontière franco-suisse, et je commence à surfer par habitude sur les sites de travestis. Puis quelques semaines plus tard, je reçois un mail d’une transsexuelle. Verena – c’est son nom – m’écrit qu’elle serait intéressée pour faire mon apprentissage. Après de cours échanges via la messagerie électronique, elle convient d’un programme assez intéressant. Rendez-vous pris le lendemain avec comme consigne finale :
« Ne prévoit rien, je m’occupe de tout. »
Comme convenu, je me rends à l’adresse indiquée, à l’heure indiquée. Je sonne à l’interphone, je me présente et une voix me répond :
» Deuxième étage, porte de gauche ! »
Puis le son caractéristique de la porte qui se débloque.
Dans un état second, je monte l’escalier et frappe à la porte. Une jeune femme – c’est ce que je me dis à prime abord – m’ouvre. Vêtue d’une courte robe noire avec un décolleté aguichant, des bottes à talons aiguilles et des bas résilles noirs. Elle m’accueille en me disant :
» Tu dois être Nicolas. Moi, c’est Verena ! Entre, je t’en prie. »
Je pénètre un charmant appartement, un fond de musique agréable se fait entendre et Verena me fait pénétrer dans le salon, où attendent deux verres d’Asti. Nous nous asseyons côte à côte dans le canapé et pour briser le silence, elle me demande des informations banales sur mes études.
Alors que je réponds, à une de ses questions, elle pose sa main sur ma cuisse et commence à me caresser. Puis totalement ‘Out of the blue’ me demande :
« Alors ! Comme ça tu aimes te travestir. »
Le tranchant de cette question me laisse sans voix. Ce par quoi elle réagit en se levant, termine son verre d’Asti et me demande de la suivre. Je me lève, vide mon verre et la suis. Elle rentre dans une grande chambre à coucher et ouvre la penderie. Alors qu’elle cherche, elle me lance :
« Tu vas te déshabiller et mettre ceci ! »
Ceci consiste en un porte-jarretelles noir en dentelle, un string-ficelle, une paire de bas noirs, un bustier noir avec une fausse poitrine incorporée et enfin une mini-jupe noire aussi. Et enfin une paire de sandales à talons de 3 cm. Alors que je commence à revêtir l’ensemble, elle sort de la chambre. Cinq minutes plus tard le temps d’avoir tout revêtu, elle revient avec une trousse de maquillage – apparemment bien remplie – et une perruque blonde mi-longue. Elle entreprend alors de me maquiller, rouge à lèvres, fard, mascara, etc.… puis une fois fait, elle me fait revêtir la perruque.
Une fois la perruque mise en place, elle m’embrasse fougueusement et fait passer ses mains sous ma jupe et me pelote les fesses. De mon côté, je réponds au baiser et en profite pour lui caresser la poitrine et la cuisse.
Le baiser passé, elle me dit :
» Alors mademoiselle, prête pour une soirée très chaude ? »
J’acquiesce et elle en profite pour enlever sa robe. Elle est splendide avec des petits seins, un splendide serre-taille avec porte-jarretelles retenant les bas résilles. Le string qui cache son entrejambe est enlevé sensuellement et comme un papillon vers la flamme, mes lèvres viennent enserrer sa bite. Peu expérimenté, j’essaie de m’appliquer comme je peux dans cette fellation mais ses conseils me guident formidablement. Le temps de s’allonger sur le lit, je reprends ma fellation qui devient, après quelques caresses à mon entre-jambe, un splendide 69.
Alors que l’on se suce mutuellement, je sens sa main relever ma jupe et écarter la ficelle du string. Elle entreprend de me masser mon petit trou puis elle y insère un doigt puis deux. Ce petit jeu dure quelques minutes, puis ses lèvres quittent mon gland pour me dire :
« Tu es prête, je pense ! Enlève ton string et mets-toi en position ! ».
Cette phrase ne laisse aucun doute sur ce que j’ai à faire. Je mets ma tête sur le coussin et à quatre pattes, les jambes légèrement écartées, j’attends impatiemment. Quelques secondes passent, Verena relève ma jupe au-dessus des hanches. Flash qui crépite. Puis elle masse mon petit trou avec un gel froid afin de me lubrifier. Alors elle me dit :
« Voilà, j’ai immortalisé tes dernières secondes en tant que vierge. Surtout, détends-toi, si tu te détends tout se passera bien. »
« Obéissante », je pousse un soupir pour me décontracter, et c’est parti. Elle enfile une préservatif puis je sens son gland frapper à la porte de derrière, et doucement pénétrer en moi. La douleur est certes présente mais pas autant que le plaisir qui monte. Je sens alors ses couilles buter contre mes fesses. Verena me demande si tout va bien. Je confirme et lui demande de me baiser. Ce à quoi elle s’exécute avec joie en entamant des va-et-vient qui peu à peu s’intensifient en vitesse et en force. Verena commence à me tirer des petits cris de plaisir qu’elle commente en disant :
« Eh bien ! Tu cries comme une petite salope, ma chérie. Tu aimes te faire défoncer comme une chienne, n’est-ce pas ? « .
La seule réponse que je suis capable de sortir sont des « Oh ! Oui ! » qui viennent en rythme avec les mouvements de ma partenaire.
Après quelques minutes, elle sort et me fait me mettre sur le dos, elle me lève mes jambes, et avec les talons de mes chaussures, m’écarte les cuisses. Et c’est reparti, chaque mouvement effectué dans mon fondement est accompagné par un gémissement très évocateur de ma part. Elle entreprend alors de me branler en même temps. C’est alors que Verena se retire, enlève le préservatif et jouis sur mes fesses et mes cuisses en de longues traînées blanches que mon sperme vient rejoindre presque immédiatement après. Elle entreprend alors de lécher les traînées blanches pour ensuite me les faire partager dans un long baiser.
La douche que nous prenons ensemble est parcourue d’embrassades fougueuses et de caresses. Si bien qu’en sortant de la douche une vigueur nouvelle nous empare. Après un 69 qui nous conduit à la jouissance tour à tour. Je la suis jusqu’à la chambre où elle me tend une nuisette satiné violette avec de la dentelle coordonnée au niveau des seins. J’enfile la nuisette alors que Verena enfile une nuisette similaire de couleur turquoise. Après quelques baisers, nous nous endormons enlacées.
Quand on revendique l’autheticité on ne vient pas nous raconter que l’on vient d’achetr un plug anal au supermarché du coin
L’écriture est un peu maladroite, mais encourageons l’auteur
Tendre et sensuel, j’adore !
L’illustration m’a fait bander, j’adore voir des travelos se sucer la bite
T’achètes un plug anal au supermarché du coin, toi ?