Une visite TRANS-cendante
3 – Une journée de shopping à Paris
par Alb Shemale
Après son émouvante confession, Corinne s’est endormie comme une pierre et je n’ai pas tardé à la suivre.
Le jour se leva sur Paris, mais il ne me réveilla pas. En effet, une demi heure auparavant, une douce sensation au niveau du pubis s’était chargée de cette mission. C’était Corinne qui me trouvant attendrissant n’a pas pu résister à me faire une fellation afin de me réveiller. Elle me retira mon pyjama, puis prit ma verge doucement dans sa main. Elle lécha la hampe de bas en haut, avant d’engloutir mes deux testicules. Déjà quelques chatouilles commençaient à me sortir de ma torpeur. Puis, mon amour avala mon gland. C’était extraordinaire. Elle passait sa langue, puis ressortait ma verge avant de l’engloutir de nouveau. Bref, une succession de mouvements très existants. C’est alors que je m’éveillai. Je la vis, le visage enfoui dans mon entrejambe. L’image, seule, pouvait conduire à l’extase. Je vous laisse imaginer : une jolie tête blonde entre vos cuisses, début d’un corps magnifique enveloppé de satin beige. Cette vue me conduisit à l’éjaculation. Corinne avala toute ma semence, puis se redressa et m’embrassa en partageant mon nectar.
Nous commandâmes le petit déjeuner, puis nous avons commencé à nous préparer. Je fis couler un bain dans la grande baignoire deux places. Je m’y installa et je fus vite rejoins par Corinne. Elle se coucha sur moi. Nos deux verges étaient l’une contre l’autre, nous nous embrassions comme deux adolescents. Puis, mon amour me demanda de la prendre. Je ne me fis pas prier. L’eau chaude nous avait bien détendu et mon doigt rentra tout seul dans l’anus de ma dulcinée. Je le vrillai, puis j’introduisis un second doigt et enfin un troisième. Corinne exprimait pleinement son plaisir par des petits cris. Quand je la senti bien dilatée, je remplaças mes doigts par ma verge. Corinne exultant, me demanda de le défoncer. J’accélérais le rythme, nos deux pubis claquaient l’un contre l’autre. La vitesse continuait à augmenter et dans un éclair commun, nous avons joui. C’est à ce moment que le garçon d’étage a frappé à la porte.
Corinne sortit de la baignoire pour aller ouvrir. Elle passa une serviette autour de sa taille, laissant son arrogante poitrine apparente. Le garçon d’étage rentra. Il paru époustouflé par la beauté de ma chérie. Il n’arrêtait pas de regarder ses seins et faillit même renverser son plateau. Corinne le remercia puis il repartit.
C’est à ce moment que je suis sorti de la salle de bain. Corinne m’a raconté sa petite exhibition et nous avons bien rigolé. Nous avons pris notre petit déjeuner. Je me suis alors rappelé que Corinne n’avait pas connu de plaisir au réveil. Je suis alors passé sous la table, j’ai mis la tête entre ses jambes, à travers sa nuisette, j’ai sorti son sexe du string, puis j’ai commencé une fellation. J’ai alors eu l’idée de pimenter le jeu. J’ai attrapé la confiture de fraise qui était sur la table. J’ai badigeonné le sexe de Corinne puis je l’ai englouti de nouveau et je l’ai sucé tel un bâtonnet de glace. L’effet n’a pas été long. Corinne a rapidement joui dans ma bouche et j’ai avalé tout son sperme.
Après une nouvelle douche, nous nous sommes habillés. Elle a passé un string et un joli soutien gorge en dentelle noire. Puis, elle a entouré sa taille d’un porte-jarretelles de la même couleur. Elle y a attaché des bas noirs à la jarretière sophistiquée. Enfin, elle a enfilé un tailleur jupe rouge avec un top noir. L’effet était superbe et excitant à souhait. Nous avons fait nos bagages, puis nous avons quitté l’hôtel. Il était déjà 10 heures et Corinne allait arriver en retard à son bureau. Nous avons décidé de rester à Paris pour la journée. Elle a appelé son patron pour s’excuser puis nous sommes partis vers les Champs-Élysées. Nous nous sommes garés et avons entrepris de descendre l’avenu à pied. Nous avons pris un café dans le nouveau bar du drugstore Publicis, puis nous avons continué notre ballade.
Nous sommes passés devant une boutique de lingerie qui avait une vitrine alléchante. Nous sommes rentrés et avons été très bien reçus par la vendeuse. Elle était habillée classe, avec une jupe et un chemisier. Ses jambes étaient longues, fines et vêtues de noir. Nous avons voulu essayer un corset victorien. Elle prit la taille de Corinne puis alla chercher l’article en réserve. Elle revint quelques instant plus tard et proposa à ma chérie de l’essayer. Elles rentrèrent dans une cabine. Corinne se déshabilla, ne gardant que son string et ses bas, qui baillaient aux genoux, sans le porte-jarretelles. La vendeuse enfila le corset sur Corinne, attacha les agrafes de devant puis entrepris le serrage des lacets. La sensation était telle que Corinne ne put rester indifférente et son sexe commença à s’ériger. La vendeuse fit un clin d’œil discret, puis elle attacha les bas aux jarretelles du corset. Elle retourna Corinne pour voir le résultat. Cependant la bosse devenait disgracieuse et la vendeuse se permit de remédier à ce problème. Elle s’agenouilla, écarta le string et commença à sucer ma chérie. Elle s’y prenait bien et rapidement mon amour éjacula dans un mouchoir que la vendeuse tenait à la main. Elle remit la verge dans le string, puis ouvrit le rideau. Je pus contempler Corinne, si jolie dans cet ensemble. Elle décida de le prendre. La vendeuse acquiesça puis aida Corinne à se débarrasser du corset. Pendant que Corinne se rhabillait, la vendeuse fit un paquet cadeau, puis je réglai l’article. Corinne sortit de la cabine, puis nous sommes sortis du magasin ; la vendeuse nous ayant invité à revenir quand nous le voulions ; ce qui ne devrait pas tarder.
Nous avons continué notre ballade sur la plus belle avenue du monde. Nous avons poursuivi notre shopping après déjeuner le long de l’avenue Montaigne. J’ai offert à ma dulcinée de nombreux vêtements de grandes marques : un tailleur Channel, un sac Vuitton, un ensemble Dior…
Après cette journée fatigante, nous sommes rentrés dans notre petite ville de province, où nous avons passé une soirée très coquine.
Le récit de cette soirée bientôt.