Trou d’air par Verdon
Trou d’air
Voyage d’affaires. Dans l’avion pas grand monde.
Une hôtesse charmante dont la croupe bien ronde
Révèle sous sa jupe, des cuisses aux aguets.
Il va s’en dire, bien sûr, la chose étant si gaie
Qu’en l’endroit s’aventure ma main très polissonne
Sans qu’en ces temps affables, la Belle s’en étonne.
Aguichée par ce geste éminemment salace
Elle n’est point du genre à me remettre en place
Car à mes galanteries je vois qu’elle ne résiste
Et au fond des toilettes, sans même que j’insiste
La voici qui extrait de mon froc ma gaule
Et la suce hardiment, accroupie sur le sol.
La place est exiguë, aussi pour bien baiser,
Le nez dans la cuvette et la fesse en levrette
Elle s’offre la coquine, de façon très osée
En guidant dans son cul ma solide quéquette.
C’est par là qu’elle me veut et me voici radieux
D’enculer une hôtesse quelque part dans les cieux !
Et j’y vais de bon cœur, la main sur son épaule,
Je la plaque au WC, je me la carambole.
Je lui farcis le cul jusqu’au raz de mes couilles
Tandis que l’autre main recherche sa cramouille.
La surprise est de taille car en guise de moule
La garce est équipée d’un superbe phallus
Qui me booste les sens et qui tant me chamboule
Qu’à très grands coups de reins je lui lime l’anus.
Je branle la chochotte tout en gâtant son cul
Et sous le lavabo lui fait cracher son jus.
Elle geint, elle apprécie et nos couilles voisines
S’ébattent l’une contre l’autre au rythme de nos pines
Tandis qu’en son p’tit cul je libère mes chiens
Qui piaffent d’impatience à rencontrer les siens.
La coiffure en désordre, la jupe déchirée
Mes humeurs en cascades lui dévalant la raie.
La ganache s’extirpe en me criant » salaud ! »
Pourtant elle jouissait quelques instants plus tôt.
Mais pour amadouer son charme vicelard
Tout en flattant ses fesses j’y fous de gros dollars
Histoire de lui donner les arrhes qu’elle mérite
Et la féliciter d’être une femme à bite.
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Arrivé à bon port, je me dis que vraiment
Jamais dans mes voyages tout autour de la terre
Je n’ai eu à connaître, même par mauvais temps,
Un aussi délicieux et si fameux ‘Trou…d’air’.
(21/04/2018)
Toi, Verdon, t’es un poète, un vrai et ton poème m’a fait bander la bite !
Mais ne voilà-t-il pas que je me surprends à bander de concert avec toi, à la lecture d’un si gentil petit mot !
Humm ! Merci Eddy pour la photo très expressive !