Trio imprévu par Lazenby
Nous étions mariés depuis à peu près un an et nous commencions à bien nous connaître. Ma femme assumait de mieux en mieux ses fantasmes et elle acceptait les miens sans problèmes.
Un jour, alors que je me baladais dans une rue chaude de la ville, je rentrais dans un sex-shop lui acheter deux beaux vibrateurs. En rentrant à la maison je les lui avais glissés sous la couverture. Ce soir-là, je la laissais monter à la chambre avant moi en lui disant simplement qu’une surprise l’attendait.
Le résultat ne se fit pas attendre bien longtemps, en effet une dizaine de minutes après qu’elle se soit couchée, je commençais à entendre des petits soupirs en provenance de notre chambre, jugeant le moment opportun je décidais donc de monter la rejoindre.
Devinant qu’elle serait en pleine action j’avais préparé ma caméra vidéo et j’arrivais donc dans la chambre en filmant, j’étais déjà bien excité rien qu’à l’entendre gémir comme une chienne et ma culotte marqué d’une belle bosse commençait à me gêner
Lorsque je pénétrais dans la chambre, la caméra au poing, je la découvris allongée sur le lit avec ses sous-vêtements, les cuisses remontées très hautes sur sa poitrine mettant en valeur son beau cul, elle se branlait sa chatte grande ouverte avec un des deux vibrateurs, pendant qu’elle suçait l’autre goulûment.
Me voyant avec la caméra elle fut d’abord un peu gênée puis elle esquissa un sourire, se prêtant au jeu elle se retourna pour me présenter son cul, elle avait toujours un des machins dans la chatte, rouge de plaisir, clito gonflé comme une petite bite.
Une fois en levrette son cul bien haut, le trou bien écarté, elle entreprit de se dilater l’anus avec ses doigts mouillés.
J’avais la bite en feu, comme elle commençait à me faire mal je l’avais sortie pour la soulager en me branlant d’une main tout en continuant de filmer ma grosse salope en train de se ramoner la chatte et le cul.
Elle avait effectivement abandonné les doigts pour se fourrer le deuxième vibrateur dans le cul et elle y allait de plus en plus vite avec les deux trous occupés, chacun son jouet, pas de jaloux, si ce n’est la bouche qui a part gémir comme une chienne ne faisait pas grand-chose.
Je décidais donc de l’occuper, pensant que ce serait mieux que la branlette avec ma main je lui enfournais mon gros dard dans sa bouche avec tellement d’entrain que j’arrivais quasiment jusqu’aux couilles, ayant les deux mains occupées, elle ne put que subir et se mettre à sucer.
Ma femme visiblement satisfaite de la situation, à quatre pattes chaque trou occupé de belle façon, l’un par ma queue prête à exploser, les deux autres par des engins de bonnes tailles, ne se préoccupais plus de la caméra elle se répandait en insanités qu’elle réussissait à grommeler la bouche pleine du genre :
– Humm, qu’elle est bonne ta queue ! Mon salaud, t’aime ça me regarder ! Oh, j’ai le cul défoncé…
Dans l’excitation, toujours en filmant et s’en m’en rendre compte je lui caressais la figure avec ma bite et j’étais prêt à jouir quand elle se remit sur le dos en me présentant entre ses cuisses charnues bien écartées, les vibrateurs enfoncés bien au chaud chacun dans leur trou.
Elle retira celui de son cul tout en me suppliant :
– Viens, encule-moi, bourre-moi le cul, met-la moi bien profond jusqu’aux couilles !
Ce que je fis sans tarder et avec plaisir.
Je n’eus pas besoin de forcer pour l’enculer, un vrai boulevard, elle s’était tellement dilaté le cul avec son jouet que j’allais et venais dedans sans aucun problème.
Ayant goûtée à la queue et n’ayant plus goût au plastique, elle commençait à se masturber le clito avec le deuxième vibrateur alors qu’elle faisait aller et venir le premier dans sa chatte.
Je lui défonçais le cul sur toute la longueur de ma queue et je n’allais pas tarder à lui lâcher mon sperme, quant au comble de son extase elle fourra le deuxième vibrateur dans sa chatte complètement dilatée, je voyais les deux vibrateurs s’activer ensemble dans sa chatte distendue et n’en pouvant plus je lâchai la sauce.
Le lendemain, ma femme évoquait notre soirée précédente et me confiais tout le plaisir qu’elle avait ressentie.
– Ça doit être géant de sentir deux bites, je veux dire deux braies bites…
– Tu le veux vraiment ?
– Disons que j’aimerais tenter l’expérience.
Voilà qui n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Je tombais sur William, l’homme de ménage, un grand black jovial. Et après quelques paroles sans importance je lui demandais.
– Ma femme est en chaleur, elle aimerait bien deux bites ça t’intéresserait ?
– C’est pas une blague ?
Je le rassurais et le conduisais chez nous, après qu’il ait bu une bière, nous nous sommes déshabillés tous les trois. William avait une bite superbe, bien charnue et assez longue.
– Oh, quelle belle bite ! S’exclama ma femme en la mettant dans sa bouche et en la suçant goulument.
Elle s’arrête un moment histoire de se reposer la mâchoire.
– Quel régal ! Tu ne veux pas y gouter, me propose-telle.
– Mais ça va pas, non, je ne suis pas pédé !
– Juste pour essayer, ça me ferait plaisir de voir ça !
– Allez-y, monsieur, ça ne me dérange pas ! Intervient William a qui je n’avais rien demandé.
J’ai donc sucé cette belle bite qui, ma foi avait fort bon goût.
– Si vous voulez, je vous encule tous les deux ! Dit soudain William.
– Oh, oui, ça va être génial ! Approuve ma salope de femme.
– Je suis très doux, vous allez aimer, ajoute William.
– Non, non je ne fais pas ça !
– Alors tu sors de la chambre, je la ferme à clé et moi je vais me faire baiser par William !
– Laissez-vous faire, monsieur, je m’en voudrais de provoquer une crise conjugale !
– Bon, bon, mais c’est juste pour essayer, hein !
Je me suis arbouté contre la commode, William m’a léché la rondelle, a commencé par m’introduire un doigt avant de tenter de pénétrer sa bite, il fallu plusieurs tentatives, mais il y parvint. Drôle de sensation, je n’aime pas ça !
– Bon ça va, on arrête !
– La douleur va disparaitre laisser vous faire… Répondit-il en me pilonnant en cadence.
Effectivement je pris grand plaisir à me faire enculer ! Je recommencerais !
Ensuite ce fut le tour de ma femme… Quel beau spectacle de voir cette belle bite noir entrer et sortir dans son joli petit cul de salope !
– Je vous laisse, j’ai du travail, si vous avez encore besoin de mes services, n’hésitez pas !
Un soir, de retour de vacances au Mexique, nous avions invité un couple d’amis à dîner, un digestif à la main nous étions en train d’évoquer ce séjour et ma femme leur propose d’en voir les images. Moi, sûrement sous l’effet du digestif, comme par le plus grand du hasard me trompe de cassette et au lieu de voir les totems Incas nos amis ont eu le droit à la charmante vision de mon totem dans le cul de ma femme. Inutile de vous préciser que tout cela s’est terminé en partouze.
Un peu simplet, mais bon…
Le concept est intéressant, dommage que ce soit un peu bâclé