Tant va le Temps…Tant va le Cul… 33 – Maison de Vacances… par Verdon
N’est-elle pas belle la vie !…
Allongé à poil sur un transat, les bras ballants, les jambes écartées, je suis sur un petit nuage. Décontracté, je sommeille, tout en me faisant sucer par une créature divine, une fée sans doute, qui prend ma pine pour sa baguette magique.
Putain que c’est bon. Elle passe sa langue généreusement sur mes couilles. Ça me fait frissonner. Ensuite elle remonte lentement le long de la tige, titille le frein pour aboutir finalement sur le gland autour duquel elle papillonne allégrement.
– Elle butine, elle butine la gourmande
Je fais semblant de dormir pour profiter le plus longtemps possible du délicieux câlin. Elle s’active un peu plus et bientôt engloutit complétement le gros bourgeon au bout de ma pine, comme si c’était un bonbon.
Je vous laisse imaginer sa mine avec ses lèvres boursouflées qui trousse ma queue sous son petit nez pointu. Elle ouvre de grands yeux tous blancs, la goulue. Elle est une bonne maîtresse qui sait gâter son homme. Elle sait bien que je fais semblant de dormir. Elle sait aussi ce qu’il va se passer. Elle l’espère même.
– Ils sont tous comme ça les mecs. Leur pine il faut toujours qu’ils vous la foutent dans la bouche. Elle n’a rien à dire (comment le ferait-elle ?..), soumise, elle joue son rôle et elle sait qu’elle sera récompensée.
C’est vrai qu’une bonne bite ça ne se refuse pas…
– Elle a bon goût ta pine !
Je ne tiens plus, je ne résiste pas et sentant ma jouissance très proche, mes mains dans ses cheveux, je lui plaque le visage contre mon os à moelle, en folie.
Je la baise en bouche. Ma pine au fond de son palais, je libère mes chiens et j’inonde son gosier. Elle suffoque, elle cherche à s’échapper, mais je maintiens la pression jusqu’à ce qu’elle avale tout le bon jus que je lui déverse gratuitement. (n’a-t-elle pas dit que c’était bon !).
Quand je la relâche, je la tire jusqu’à moi, sur mon ventre.
Quelle est mignonne avec son petit air éberlué de grenouille qui sort de l’eau ! Elle reprend conscience en se léchant les babines…elle ne veut pas en perdre une goutte du bon nectar.
Elle me regarde avec ce sourire charmant d’une femme contente d’avoir satisfait son mec. Certes ce n’est pas évident de se prendre un gros machin entre les dents, mais consentante, elle m’a montré qu’elle est une femme amoureuse et capable d’être aussi salope que les autres pétasses que je rencontre et dont je lui raconte les exploits.
Ensuite on s’embrasse goulûment en partageant équitablement la soupe, (un peu fade à mon goût, mais c’est tellement jouissif !).
Posée sur mon bide, elle s’enconne elle-même pour profiter de mes dernières vigueurs. Les mains sur ses fesses je la complimente fraîchement.
– Humm ! Tu es bonne ! Tu suces bien mon amour… (et clap !…clap…mes mains clapotent sur la peau de son cul,…).
Elle rouspète tout en remuant son cul, pour s’enfoncer plus profondément sur ma pine.
– Humm, c’est bon ! Mon amour…et elle saute sur mon ventre comme une écuyère sur un étalon ! (…voyons !…je n’ai pas dit sous un étalon…).
Bien sûr qu’elle est belle la vie !…
Voilà donc une bonne entrée en matière, n’est-ce pas !
Il me faut vous dire qu’en ce beau week-end d’un certain mois d’Août (il y a bien des années, maintenant…), avec Henriette, une copine, j’ai la chance de partager sa maison de vacances, dans le haut pays varois. Le lieu est idyllique. Jardin ombragé, piscine, pas de bruit et seulement une maison voisine sans vis-à-vis. Une haie très dense nous en sépare.
A l’époque, j’ai la quarantaine, Henriette une sympathique bourgeoise un peu plus jeune que moi s’est libérée depuis peu d’un homme ennuyeux. Elle a des revenus conséquents et souhaite poursuivre sa carrière en profitant confortablement de sa nouvelle vie.
C’est une jolie nana, le visage rond, l’œil aguichant, son sourire vous faite fondre, autant que son buffet débordant de la large échancrure de son décolleté. Et ce qui ne gâte rien, elle a un de ces culs bon sang, à vous damner tous les saints du paradis.
Je comprends vite qu’elle souhaite rattraper le temps perdu et comme je n’ai rien contre passer du bon temps avec elle… nous avons décidé de passer l’été, ensembles pour en profiter au maximum.
Donc, si vous avez bien lu ce qui précède, je suis en l’instant, en train de tapoter le cul de la Belle, après qu’elle m’ait rendu la monnaie de ma pièce (et en liquide…s’il vous plaît !), suite à une bonne fellation.
Après l’avoir si bien gratifiée, et comme tout homme épuisé par ces bonnes attentions que nous dispensons à nos gourmandes, je la renvoie à ses affaires et je me tape un roupillon réconfortant…..
Je me repose à peine depuis dix minutes seulement, lorsque soudain la voilà qui me bouscule sans ménagement…
– Chéri, chéri vient voir…ils baisent !
– Merde ! qu’est-ce qu’il t’arrive…je dors ! T’es chiante !
– Ils baisent, les voisins, viens voir ! ça va t’intéresser !
– Quoi ? Comment ? Qui est-ce qui baise ?…Où ça ?
– Là, à côté au bord de leur piscine… viens vite !… Putain ! la Queue qu’il a !
Elle est tout excitée ma poulette… elle a vu une grosse queue.
– Allons voir.
Je me lève mi bougon, mi curieux quand même.
– On se glisse à travers la haie, très épaisse en cet endroit et je découvre la cause de son émoi…..de l’autre côté de la clôture, sur un transat, comme le nôtre, un couple nu est en train de se livrer à ce sport très agréable qui consiste à sauter l’un sur l’autre.
Ils sont mignons tous les deux, à moins d’une dizaine de mètres de nous, nous pouvons observer clairement leurs belles évolutions. Il n’y a pas de doute, la dame apprécie les gesticulations de son mari, sur son ventre. Blonde, on peut admirer ses grandes jambes abandonnées qui semblent ne pas s’opposer à l’envahissement de son corps par un homme qui calé entre ses cuisses la bourre allégrement.
De lui, on ne voit pour l’instant qu’un joli fessier, des bras robustes et une chevelure abondante qui nous cache les visages de nos amoureux occupés à se bécoter comme des affamés.
J’avoue que le spectacle est des plus captivants, et pour bien contenter nos mirettes, nous nous faisons tout petit, serrés l’un contre l’autre, tapis sur le sol dans un trou de la haie.
Maintenant l’homme s’est redressé et la femme encore groggy se secoue et s’assoit, tournée vers lui. Elle le caresse et lui prend son sexe en bouche. Du coup on peut l’admirer un peu plus. Elle possède un beau visage et une belle paire de seins ornés de jolis tétons bandés et longs comme de petites bites.
Lui, effectivement il a un bel argument qui montre encore plus de tenue lorsqu’elle le sort de sa bouche et le caresse tendrement du bout de sa langue qu’elle fait papillonner autour de son gland bien décalotté. C’est une artiste. Elle vous le contourne son gros gland, le suçote, lui titille le trou à pisse, bref… elle se régale.
Monsieur ne semble pas tout à fait satisfait. Car il invite un peu vertement, son épouse à lui tourner le dos.
Disciplinée, à quatre pattes, elle lui présente son fessier… (et quel fessier ! Nom de dieu !).
– Il va l’enculer…me dit Henriette !
– Voyons !
– Si, si… tu vas voir il va l’enculer, que je te dis… Hi !, hi !
– Ben non ! Regarde, elle ne veut pas, elle serre les fesses…
– C’est pour l’aguicher un peu plus… décidément tu ne comprends rien aux femmes !…Je suis sûre qu’elle va se le prendre dans le cul !… elle en a envie… Kiss ! Kiss ! vas-y mon gars !
– Humm! Je voudrais bien voir cela !… c’est vrai qu’elle a l’air de l’émoustiller en bougeant son cul la salope !
– Bien sûr, vous les hommes, c’est toujours le cul qui vous intéresse !
Remarque… devant une bite pareille, elle va bien l’ouvrir son trou de balle ! Elle ne va pas faire la dédaigneuse !… sinon elle va se prend une super dégelée…
– ‘Une bite pareille’ ! et pourquoi ma bite… elle n’est pas belle ma bite ?
– Mais oui mon Doudou… Je l’aime ta grosse bite, mais ici ce n’est pas le problème. La question c’est va-t-elle se la prendre… non de nom ! Et ce n’est pas toi qui va lui colmater l’arrière-train !
– Et pourquoi pas, j’ai ce qu’il faut, non ! Tu le sais bien, toi !… Mais ne t’en fait pas… deux tapes au cul et la voilà qui l’ouvre la pimbêche… hop ! ça entre ! Zou, comme dans du beurre ! Tu as vu ça ! Hi !, hi !… Dans le cul la balayette ! Que c’est bien fait !…
– Putain ce n’est pas la première fois qu’elle se le prend dans le trou du cul… la cochonne !
– Voilà ! ras les couilles… écoute comme elle gémit.
– Moi je trouve plutôt qu’elle crie.
– Parce qu’elle gémit fort… c’est tout. Comme toi. D’ailleurs quand toi, tu ne gémis pas j’ai l’impression de baiser une marmotte …
– Tu en as baisé beaucoup des marmottes ?
– Non, mais pas mal de chochottes !
– Bourreau d’amour !
Et notre brave voisin s’adonne alors à un bourrage de cul dans les règles de l’art… un coup je rentre, un coup je sors… et elle crie à chaque fois, quand il replonge dans le trou béant… Elle n’a pas l’air mécontente la pouliche !
– Oui !…Salaud…Encore !…Plus fort !
– Moi ça m’excite dur, une si jolie séquence. Cependant, Henriette toute chaude, accroupie sur le sol pour bien observer le spectacle, me présente un cul qui n’a rien d’innocent et qui fait se dresser ma quéquette.
– Oh mais tu bandes toi aussi, mon lapin !
– Ben on banderait à moins que ça !…lève un peu ton cul, ma chérie.
– Oh non, pas maintenant, laisse-moi regarder, ça m’excite.
– Eh bien raison de plus pour le lever ton charnu, ma cochonne ! Va s’y ! lève le cul et broute l’herbe !
Aussi sans lui faire de politesses, je me l’encule ma récalcitrante, d’un coup, d’un seul (ça lui plaît les bonnes introductions à ma salope…). Elle se laisse faire, mais ce n’est pas sans pousser des petits cris de fauvette effrayée. (il faut toujours qu’elles poussent des cris nos gonzesses…mais on s’y trompe pas…écoutez-la…).
– Ouah !….Ah !…Humm !…Encore !…Pousse !…
Du coup, en face, en entendant ces cris, l’épouse se soulève, inquiète.
– C’est quoi ? On nous observe !
– Mais non, allons baisse la tête et relève ton cul…il n’y a personne ici…On n’est pas sur la Canebière!
Il lui refourre la tête entre les épaules, lui relève le cul et se remet à la tâche le bon ouvrier. ( Vous avez remarqué… ils ont tous la même méthode les mecs pour faire du bien à leur dame !).
Il te la bourre tellement, qu’elle hurle de bonheur, ce qui me permet d’en faire autant que lui, à Henriette qui se pâme et ses jérémiades sont couvertes par les hurlements de la chaude voisine (c’est qu’il lui met le paquet, le bon gars !).
Leurs affaires terminées, l’épouse se redresse et suce la bite du monsieur qui a l’air très satisfait maintenant (ben voyons !).
– Dis-donc la dégueulasse, elle suce cette bite qui sort de son cul…
– Ben c’est son cul, et alors ! Et puis c’est normal il ne va pas plonger dans la piscine avec la bite laquée chocolat-vanille ! voilà une Dame bien éduquée, me semble-t-il !
– Cochon !
Toujours des mots doux ! Bon elle n’a pas voulu me faire pareil, ma garce ! Mais j’avoue qu’elle m’a donné tant de plaisir que je n’allais pas l’obliger pour une petite gâterie chocolatée… surtout qu’elle n’avait pas lésiné sur la crème… la souillon !
Alors allons dormir… je m’essuierai sur les draps du lit. (Hi, hi, elle va en faire une tête, la ménagère, demain matin !…je mets ma bite à couper, qu’elle va se payer une bonne dose d’humidité sous son jupon la coquine !). (C’est qu’elles ont bien droit à quelques réjouissances ces bonnes Dames ! Hi, Hi !)…………………………
Ce lendemain matin quand je me réveille, ma souris a quitté notre plumard…
– Ohé ma pute adorée…j’ai la couille qui me démange ! (Puce, pas Pute…quoique sur les couilles je préfère la langue d’une pute que celle d’une puce…Qu’en pensez-vous !…Hi !, hi !)…
Non mais où est-elle passée cette garce… Aujourd’hui les femmes ce n’est plus comme avant !… a-t-on jamais vu une nana quitter le bord, sans décrasser la bite de son mec, encore emmouscaillée des bontés qu’il lui a généreusement accordées la veille au soir ! Ça colle dans les poils. (aucune reconnaissance… il va me falloir la corriger, l’étourdie !).
Bon, je descends au ré de chaussée, les fenêtres sont grandes ouvertes, personne dans la maison. La voiture n’est pas dans la cour, elle est partie faire quelques courses, sûrement ! Je mets la musique à fond et je vais prendre le café qu’elle a gentiment préparé sur la terrasse. Elle est chouette quand même ma chérie ! Bon oublions la correction… je lui ferai un gros câlin dès son retour. Il ne faut pas croire que je suis méchant avec elle… pas du tout, c’est elle qui me mène par le bout du nez… (bon mais qui c’est qui a des couilles dans le ménage)… Oups !).
Qu’est-ce qu’elle est bonne à la fraîche, au petit matin !… Moi j’aime bien. Elle aussi. On est tout nu bien sûr, alors je me la couche sur la table, le cul en l’air je lui écarte les deux lobes. Elle s’ouvre comme une huître…. Humm ! Ça sent la mer !… (Pfff ! Non pas la mer, elle est trop loin la mer !… Mais vous m’avez compris…bien sûr…), alors on saute dans la piscine.
Donc ce matin, je suis déjà à poil, comme d’habitude et je bande aussi comme d’habitude évidemment. Je vais dans la cuisine chercher du beurre pour mes toasts.
Et quand je me retourne… Oh putain la surprise !… Le drame !!
Face à moi qui suis nu et toujours bandant, une nana inconnue, superbe, stupéfaite, hébétée ! Elle me regarde avec l’air ahuri de ne pas y croire, mais d’un petit œil, je dirais presque émerveillé (ben sûrement…). Rapidement sa stupeur se traduit par un sourire, et même un éclat de rire qui me désarme complétement et fait flancher ma biroute que j’essaie de camoufler derrière le pain de beurre que je serre entre mes deux mains.
Derrière elle, Henriette confuse (mais pas tellement…), s’excuse :
– Pardon mon ‘lapin’ (c’est le petit nom qu’elle me donne ma ‘lapine’…), je te présente Emilie, notre voisine… Pardon !… je ne savais pas que tu étais debout… attend je vais te chercher ton peignoir.
– Inutile, qu’elle dit la gonzesse, la main en travers de sa bouche … les présentations sont faites. On ne peut pas mieux faire ! Pfff … Ça ne me gêne pas, vous savez…
– Mais cher monsieur, le beurre n’est pas à sa place… posez-le sur la table… J’ai bien peur qu’il ne fonde ! Pfff… Mon mari vous le dirait, ça fond vite à cet endroit-là ! Et j’en sais quelque chose !… Oups !… (gros éclats de rire !)
Je range rapidement le beurre en question, j’enfile un vêtement et nous complétons les présentations.
Ces dames ont fait connaissance en faisant leurs courses. Elles ont vite sympathisé allez savoir pourquoi (humm !…) et Henriette invite sa nouvelle copine à boire un café.
Bien sûr elle ne s’attend pas à me trouver dans mon plus simple apparat (humm ! j’en doute un peu…), mais après tout, voilà qui va certainement faciliter nos rapports et faute de faire fondre le beurre, ça va tout de même chauffer l’atmosphère.
Je décroise légèrement les pans de ma robe de chambre et je suis fier qu’elle s’intéresse vachement à ce que je cache, bien intentionnellement en dessous (d’autant que j’ai repris une sympathique vigueur…). Aussi avec l’idée qu’elle n’en a pas assez vu (ou trop peut-être ?), je lui fais un sourire à propos et lui propose de venir prendre l’apéro ce soir avec son mec. Idée qui a l’air de bien ravir mon épouse et qui est acceptée avec joie par notre nouvelle connaissance.
Je laisse mes deux meufs discuter entre elles et boire leur café, tout en examinant de loin la nouvelle venue.
Jolie, visage gai et espiègle… poitrine confortable et sous sa robe légère, un cul appétissant et certainement accueillant (ne l’a-t-on pas vu à l’œuvre hier soir…), me semble mal à l’aise sous son tas de chiffon.
Quand elle nous quitte, Henriette vient me trouver :
– Ok et bravo pour ce soir… c’est sympa ! Elle me plaît cette Nana
– On ne va pas s’en priver… ça m’a l’air d’un sacré numéro… mais qu’a-t-elle sous-entendu en parlant du pain de beurre ?
– Hé mon cul, mon gros couillon… tu ne deviendrais pas un peu benêt par hasard ?
– Bon… ça va j’ai compris… toujours aussi vicieuses les bonnes femmes !… Je te lui en mettrai du beurre à celui-là ! Mais qu’il ne compte pas sur mon trou de balle !
– – Que tu dis…mon couillon !…Que tu dis…
– N’empêche qu’elle me plaît à moi aussi et avec ou sans beurre je l’assaisonnerais bien cette nana. Mais j’ai l’impression qu’avec Henriette la mayo est en train de prendre ! Ça promet !
Nous voilà donc ce soir, tous les quatre réunis pour arroser notre nouvelle rencontre.
Henriette (Riri pour les intimes) a revêtu une robe légère, transparente, sans rien dessous si ce n’est qu’ « un tout petit, très petit bikini’ «♫♫♫» …qui embellit ses formes.
Emilie porte une jupe très courte qui ne cache rien de la touffe foisonnante qu’elle a entre les jambes et son cul nu est tout à son aise car elle a apparemment oublié sa muselière.
Fred est presque nu, dans un string blanc qui recouvre très peu pudiquement ses bijoux de famille, tandis qu’un simple fil dans la raie du cul nous permet d’admirer la beauté de ses fesses charnues et musclées qu’il dandine d’une jolie façon… (il a du chien le mec !).
Quant à moi, et sur les conseils d’Henriette, je me suis affublé d’une culotte de jockey qui met en valeur mes bijoux de famille, mais protège mes arrières, ayant quelques craintes, suite à l’allusion d’Emilie au sujet des amours beurrière de son mec… restons sur nos gardes !…
– Hi ! hi ! le faux jeton !
– Mais non ! mais non !
On a vite fait de faire entièrement connaissance, après nous être complimentés les uns les autres et pour jouer carte sur table, je quitte ma tenue ridicule et on déballe nos outils tandis que nos compagnes retirent leurs fanfreluches.
Ensuite on saute tous à la baille, façon faussement pudique de cacher nos intimités dévoilées, mais surtout façon de permettre de nous rapprocher, de nous toucher, et de nous tripoter sans appréhension… Humm !
Serré contre le dos d’Emilie, je passe mes mains sur son ventre et les remonte jusqu’à ses gros seins qui flottent et que je pelote agréablement. Riri, face à elle, s’est collée contre les siens qui se percutent comme des bouées de sauvetage. Derrière elle, Fred lui tamponne les fesses et de ses deux bras il les enlace toutes deux et les oblige, visage contre visage, à se bécoter comme des grues et elles aiment ça !
C’est doux, ça flotte, ça gémit… et à grands coups de reins, avec nos bites ramollies par la fraîcheur de l’eau, nous quémandons l’ouverture de leur postérieur. Ça les amuse, elles rigolent, s’esquivent et se moquent de nos impuissances, les chipies. Mais on se dit qu’elles ne perdent rien à attendre..
Car nous sortons de l’eau pour nous rouler cette fois sur des matelas posées tout exprès sur la terrasse.
Je suis stupéfait de voir déjà Henriette à cheval, en 69 sur Fred, en train de lui pomper le nœud avec un aplomb qui me sidère. (la salope, elle le lorgnait le bel outil depuis hier soir !), Ma jalousie se consume comme un feu de paille quand je vois qu’Emilie à quatre pattes sur le tapis me présente son cul prêt à être consommé, comme hamburger sur une assiette…
Un vrai bijou son petit trou ! Elle fait partie de ces libertines qui vous dévoilent, avec désinvolture et sans aucune pudeur inutile, leur charmant petit orifice. Une superbe petite rondelle, (genre rondelle grower) avec des stries concentriques qui doivent lui permettre de s’épanouir joliment sous la pression d’un gland affectueux… Humm !
Je peux vous dire qu’il n’est même plus question de beurre, à ce moment-là et que ma pine qui a repris ses bons esprits entre temps, s’enfile gaillardement dans son trou du cul ! (vu sa jolie forme et son exhibition de la veille, je pense qu’elle ne doit pas à en être à sa première pine et puis quand on ouvre son vestibule de la sorte, c’est bien qu’on n’a pas le corridor bouché !…).
Pendant que je lui bourre l’arrière-boutique et qu’elle vitupère comme chatte sous matou, son compagnon s’est pris la bite dans les broussailles de ma chérie et se débat pour lui ouvrir la pacholle en lui remontant les genoux au niveau des épaules. ( ce qu’elle est belle, fendue ainsi comme un fruit mur !).
Je me régale de voir les roubignolles de Fred, qui bringuebalent sur le trou de balle de ma gonzesse… C’est d’un charme époustouflant et ça doit drôlement lui chatouiller la rosette à ma salope… Elle est vraiment gâtée !
Et elles crient nos deux infidèles ! Putain ce qu’elles crient !… c’est qu’on doit faire du bon travail. Elles jouissent, nom de dieu…surtout quand je vois Fred qui déconne pour enculer aussitôt ma belle amoureuse sans même me demander l’autorisation… le salaud !
– Hé ! L’impoli…c’est mon trou à moi !
Il s’en fout le sagouin et il a bien raison car elle jouit mon infidèle… Oh putain qu’elle aime ça !… et elle dit des insanités… la vache !
– Oh comme c’est bon… Hé mon lapin regarde comme je te fais bien cocu … Humm ! tu as vu sa grosse queue !… Prépare tes arrières mon chou ! Il fait cela trop bien !
–
La salope, elle fait la fière avec cette imposture dans son trou de balle… (tu vas voir quand on va rentrer à la maison !)
Je n’ose pas en faire autant à Emilie (il ne faut pas du trou du cul aller musarder en chatoune), mais de bonnes frictions sur le cuir de la Belle lui font entonner, comme sa voisine, des litanies de grossièretés assez salées et des chansons qui aiguayent joyeusement la fin d’après-midi.
On passe à l’apéro proprement dit ( qui a dit : proprement !). Emilie, assise sur mes genoux, bave en sirotant son Kir. Elle a encore la bouche pleine de foutre et il en coule sur ses fameux tétons. Je me goinfre du bon jus, en les suçant goulûment.
Riri fait macérer le gland de son baiseur, dans son verre de Porto, pour en récupérer les larmes de ses derniers soubresauts.
La fête bat son plein. Les femmes se bécotent tandis que nous, les hommes, on compare nos épouses, nos envies et nos pines et on fait des projets. Chacun ayant pour cible la chérie de l’autre, ce qui en la circonstance n’a pas l’air de déranger ces coquines et en tout cas, pas nous.
– Joli popotin ton Henriette !
– Ah ! Les tétons d’Emilie…de vrais graillons !
Mais nous ne sommes pas les seuls à les apprécier, car elles-mêmes elles se câlinent de façon si lubrique, que nous n’avons aucun doute sur leurs envies de se faire beaucoup de bien. En 69, elles s’écartent mutuellement les fesses pour y loger leur museau et se lécher leur ravin d’amour. De leur pacholle au petit trou elles se passent une langue voluptueuse afin de calmer les douces inflammations que leur ont procurées nos bonnes attentions.
Nous n’allons pas les laisser nous narguer en se débridant ainsi sous notre nez. Il nous faut les reprendre en main ces vicieuses ! (je sais que ça ne se fait pas de déranger deux Dames en pamoison, mais allez donc nous retenir !…)… nous ne tenons plus en place… nom d’un chien !
Alors on se les complimente nos chéries. Sur nos genoux elles ont droit à se faire cajoler le gras des fesses et bizarrement selon nos gratifications, elles entonnent une musique comme celle que produit un batteur avec sa batterie.
Tantôt les petits cris aigus et ravissants d’Emilie, tantôt un son plus mat sur le cul d’Henriette qui serre vachement les fesses. Nos mains tambourinent de haut en bas leur cul, soit en frôlant le lobe du plus gras postérieur, soit en glissant lentement sur la fesse fuyante de l’autre pour finir par une tape bien sèche sur la chair pulpeuse et frémissante.
C’est un bruit de tam-tam comme au fond de la jungle auquel correspond des envolées lyriques que débitent nos Belles dans un patois obscène.
On partage les croupes. Le tranchant de nos mains, comme l’archet d’un violon, glisse de haut en bas, dans la raie de leur cul en faisant frissonner leur pulpeuse nature.
Ça fait crisser la rondelle… ça fait suer la moniche…
Elles mouillent les chipies. Elles battent des jambes et entre deux caresses elles lèvent le derrière dans l’attente et la crainte (et le souhait, sûrement…), d’une salve nouvelle.
Bon sang qu’elles sont mignonnes !… Qu’elles ont le cul charmant !… Le rose à fleur de peau et plus que larmes à l’œil et que la mouille au con, les voilà qui nous pissent sur les genoux les garces, une pisse bien chaude, odorante et copieuse.
Fières, elles se redressent et debout nous collent leur touffe sur le visage pour nous offrir en perte et profit, leurs derniers jets de pisse…. leur sublime vengeance.
– Un délice !…Je vous dis…
Ah ! Pour les remercier, je m’en vais les masser pour bien réconforter leurs chairs sublimées par nos vives tendresses.
Ma chérie n’attend que ça. Elle sait combien mes massages lui donnent de la détente et du bonheur après une bonne action. Aussi je commence par elle pour faire une démonstration qui va emballer Emilie.
Sur un mince matelas posé sur un banc, elle s’allonge de tout son long, un coussin sous le ventre. Et je commence avec mes mains dans ses cheveux. Je lui masse le crâne et du bout de mes ongles le cuir chevelu. Elle adore cela.
Mes doigts s’écoulent le long de son cou, sur sa nuque. Je masse, je remonte je tournicote autour de ses épaules et sur ses avant-bras qui se désarticulent, se délassent, se libèrent… elle a l’impression que les bras lui en tombent !
Je continue sur son dos, avec mes pouces opposés je lui masse en éventail les vertèbres et les côtes jusque sur les lombaires au point creux de sa taille, avant que fesses n’enflent.
C’est le râble. C’est ce centre bien ferme et cylindrique par lequel on saisit à deux mains une femme afin de la disposer à notre instinct barbare. C’est la réminiscence de ces temps où les hommes de Cro-Magnon ne mettaient pas de gants pour enfiler leurs ‘femelles’ comme des sauvages. Heureusement aujourd’hui, on n’en est plus là (quoique la nature de l’homme …), on les ménage nos gourmandes.
Je lui pétris les fesses, pour me gaver du plaisir de ses chairs que je malaxe comme une bonne pâte. J’ouvre la raie du cul. Je frôle lentement cette fente qui s’ouvre du haut de ses cuisses jusqu’au bas-fond de son cul. Avec un doigt je masse les contours de l’anus mais sans y pénétrer. C’est une caresse qui la rend folle, ma chérie. Elle le resserre son bijou…
– Ben non…tu n’auras rien petite vicieuse et impatiente… que des caresses !
Alors elle lâche un gros flot de mouille la cochonne… ce n’était pas prévu, alors je me sers de ses humeurs pour m’en enduire les mains et continuer mes massages.
Je passe ensuite aux pieds, aux orteils, aux tibias et grimpe jusqu’aux genoux.
J’enserre entre mes mains, chaque cuisse à son tour. Epaisses et vigoureuses elles sont les piliers de son cul, qui soutiennent la voûte fessière comme la nef d’une cathédrale.
Elle est superbe. Elle ne résiste plus, elle s’abandonne à mes douceurs, se détend et finalement croulant sous ma tenace persévérance…elle s’endort…
Emilie et Fred se sont retirés dans le séjour pour continuer leurs frasques amoureuses et la fatigue les ayant rattrapés, Emilie est partie se coucher tandis que Fred s’est assis sur le canapé.
Nos bonzesses ont sombré dans le sommeil.
Je vais rejoindre Fred sur le canapé, on se sert un bon Scotch.
Assis l’un à côté de l’autre, on baille un peu, tout en se tripotant machinalement le chichi, car bien sûr on est toujours à poil.
Je sens qu’il jette sur ma quéquette, des coups d’œil un tant soit peu curieux. Serait-il attiré par mes bijoux de famille… ça ne me déplairait pas qu’on échange quelques gestes coquins, mais je me demande s’il est porté vers les hommes… Rien que d’y penser, ça m’excite et je sens que bien involontairement j’ai la biroute qui s’émeut.
Doucement je me masturbe lentement, je commence à bander et je trousse gentiment mon gland qui se dresse insolent, comme d’habitude.
– Putain tu bandes encore ?…elles ne t’ont pas calmé nos gonzesse ?
– Oh que non, tu vois ! Mais ta présence à côté de moi ça m’excite aussi…
– Ah ! Pourquoi ? Tu es pédé !
– Non, pas spécialement, mais tous les hommes on est quand même un peu attirer par une autre bite. Non ? Pas toi ?
– Boff ! Moi le cul ce sont les femmes !
– Tu fais une différence entre une femme et un homme ?
– Ben oui, une femme c’est plus doux, plus malléable…plus soumise.
– Tu as jamais enculé un mec ?
– Oui un gentil cocu pour faire plaisir à sa nana …
– Et toi tu ne t’es jamais fait sauté ?
– Ah non je ne suis pas pédé.
– Pourquoi le cul serait-il réservé aux Dames et aux Pédés ?
– Ben je ne sais pas… Parce qu’ils aiment….
– Et toi tu n’aimes pas quand Emilie te mets un doigt au cul quand tu baises.
– Putain ! Oui, c’est bon !
– Eh bien voilà… si tu remplaces le doigt par une bite ça ne fait pas de toi un Pédé !
– Pfff… t’as raison… T’es pas con !… Pfff !… Mais un mec sur mon dos !…
Du coup je lui prends sa pine dans ma main et lentement je le masturbe. Il ne dit rien… Il écarte même ses cuisses… ça lui plaît au cochon…
Alors je me redresse et je lui présente ma pine juste devant son visage. Il la saisit à son tour et me regarde, retrousse mon prépuce et avec un air inquiet mais coquin, il enfile le gland entre ses lèvres le salaud !
Putain c’est bon, il suce comme une pute. Les mains sur sa tête, je fais comme avec Riri, mais je ne lui enfonce pas ma pine aussi profondément dans son palais.
Je vais, je viens, je prends une certaine cadence car il apprécie de plus en plus… Il la retire, il la regarde… il la reprend… ça l’amuse.
– Tu as raison…C’est marrant…C’est bon !…
Et il y retourne l’ingrat, sans s’en faire et de bon cœur (ou plutôt de bonne bouche…).
Soudain…
– Oh les gars !… Mais qu’est-ce que vous foutez… On ne s’ennuie pas ici, à ce que je voie ! On a viré sa cuti… Ah ben ! Bravo mes salauds !… on joue aux pédés, maintenant ! Pfff….. !
– Emilie !.. .Emilie, viens voir… On a deux pédés dans la maison !….Hi, hi, viens vite …Oh les cons !
– Merde ! La conne ! Elle a tout foutu en l’air ! C’est qu’il suçait bien le Fred ! Juste au moment où il y prenait goût !
Maintenant il ne sait plus où se mettre le novice…..
Il lâche ma biroute… et prend ce petit air de gamin qui a fait une grosse bêtise… oh ! l’hypocrite !
Et moi terriblement excité par ses bons soins et flatté par ma prestation devant ma chérie… je jute les amis… Oh que je jute bien, de longues giclées de foutre qui atterrissent aux pieds de notre ami sidéré par l’arrivée de ma compagne, par ses rires et par ma décharge effrontée.
Bon, là je ne vous en dit pas plus…j’entends Emilie qui descend…
Sauve qui peut… Fred est parti se cacher dans la salle de bain…
Les deux femmes sont prises d’un fou rire démentiel en se tapant sur les cuisses, assises sur le canapé….
Il est temps de rentrer à la maison.
Ça promet pour la suite…
Bisous à tous.
15/02/2024
Verdon,
C’est un trés beau récit charnel de cet homme et de cette femme, j’ai constaté en lisant ce récit qu’ils aimaient l’amour et le sexe dans toutes les positions et j’ai constaté qu’Henriette aime le vocabulaire cru, j’aime pendant l’amour qu’une femme parle cru.
Dans ce texte les positions de l’amour sont bien décrite lorsqu’henriette décrit à son amoureux que les voisins d’en face, le compagnon va enculer sa belle compagne, j’aime ce vocabulaire chez une femme pendant l’amour.
Merci pour ton appréciation . L’Amour c’est bon à faire, à regarder et à décrire. C’est ce que j’essaie de faire de mon mieux de façon réaliste, avec sagacité et humour, pour le plaisir de chacun.
C’est toujours avec grand plaisir que je me délecte de cette prose