Tant va le Temps…Tant va le Cul… 015 – Ah !… Ces Jeunes… par Verdon
Nous avons donc constaté à la fin du dernier épisode, que notre chère Anita a été copieusement félicitée pour les bons et loyaux services qu’elle a rendus si gentiment, au cours d’une sacrée partouze familiale organisée chez ce brave Monsieur Bytthedur et son épouse. Adrien libéré de ses obligations militaires, vient rendre visite à son père, il est accompagné d’Hervé, un solide compagnon de régiment qui avec beaucoup de tact et de vigueur, participe aux licencieuses amours de ses hôtes.
Anita ce soir-là, n’a pas trop le vent en poupe (le cul devrais-je écrire). Elle a la fesse paresseuse et se voit donc privée de profondes attentions. Toutefois après quelques vives attentions sur son séant, elle se démène avec beaucoup de conscience pour accomplir à coups de langue, son service en flattant de ci, de là une chatte, un cul, des nichons et bien sûr elle se régale de ces bonnes saveurs recueillies un peu partout dans les sublimes orifices de ces vicieuses personnes qui l’entourent. (C’est là qu’on s’aperçoit qu’avec ce genre de bonnes ouvrières, la fesse est plus facile à solliciter que la cervelle).
Le ménage ainsi bien fait, et après la collation d’usage, Mademoiselle peut rentrer chez elle un peu pompette il est vrai mais avec quelques gros dollars que ses hôtes lui ont glissé entre les fesses, c’est la moindre des récompenses.
Adrien aurait bien aimé la suivre, mais un peu nase lui aussi, il se contente de se retrouver sur un lit dans les bras de son pote Hervé, serrés l’un contre l’autre comme des amoureux et complétement pommés, ils ont des étoiles plein la tête et la bite en pamoison.
Ce matin, Berthe et son mari émergent dans la cuisine avec la gueule de bois, (je ne vous dis pas leur mine…). Ils s’apprêtent à rejoindre une fête familiale pour souhaiter les 80 ans de la Grand’mère. Connaissant son bonhomme de petit-fils, je me demande quelle tournure va prendre cette réunion, d’autant qu’à ce qu’on dit, la grand-mère elle est encore loin d’avoir grippé sa moniche. (Mais rassurez-vous, en famille, elle sait se tenir)
C’est vers quatre heures de l’après-midi qu’Adrien se réveille, allongé nu sur le côté et dans une chambre noyée de soleil. Il ne sait pas trop où il est, mais rêvasse encore, détendu, heureux et sans penser à rien, avec un petit goût mi- sucré, mi- salé sur ses lèvres. Il sent une chaude présence collée contre son dos. Il ne bouge pas. Il se délecte. Il ne se pose pas de questions, cette protubérance qui semble se prélasser sur ses fesses, lui est bonne. Il la ressent de plus en plus dure, envahissante. Il aime. Il remonte un peu ses genoux en avant pour laisser l’encombrement l’envahir davantage.
C’est une force indiscrète, irrésistible, pénétrante, qui s’invite entre ses fesses pour peser bientôt doucement contre sa fine boutonnière mise à vif et encore humide, suite aux bonnes lapées que lui a distribuées cette nuit, la coquine Anita.
Il apprécie Adrien.
(On sait que côté pine il a mis beaucoup de temps avant de se faire dépuceler par une bonne patiente de son père, mais ce dernier l’ayant dégourdi en même temps de l’autre bord, il a pris goût à la chose. D’ailleurs il a en plus un joli petit cul qui plaît beaucoup aux femmes et qui ne laisse jamais indifférent un vrai mâle. Il le sait, en profite et à l’armée s’est fait confirmer ses appétences par quelques francs-tireurs qui, certes, non pas lésiné sur les moyens pour lui débrider le petit orifice… aujourd’hui il n’en est pas malheureux pour autant).
Il sent maintenant quelque chose de lourd, de plus en plus pénétrant. Il ouvre un peu plus son postérieur… ça va de soi… il décontracte son anus… c’est bon… il n’a aucune crainte… il a envie il bande !
Sortant de sa semi-inconscience, il réalise alors que c’est son copain qui est en train de lui bourrer le mou et qui cherche à l’enculer tout bonnement, comme à l’armée, mais en douceur…
Putain, en douceur…que c’est bon !…
– Humm ! C’est toi Hervé ?
Il ne répond pas Hervé. C’est si bon pour lui aussi, qu’il est tout à son affaire. Il pousse, il force… Il est serré ce putain de cul… Il s’excite et bande encore plus fort.
– Oh tu es bonne ma Belle !
– ‘Ma Belle ‘ !… Il m’appelle ‘ma belle’ et il m’encule le salaud…Nom de dieu qu’il est gros !… Ouille mon cul !
– Ouvre-le ton cul de pédé, ouvre ta chatte… salope !… Oui comme ça…
– Tu me fais mal !… oui !… non…continue… pousse encore ! (le voilà qui devient raisonnable le bon diable !… ben oui ça fait mal mais c’est bon !). Dis-moi que c’est bon ! n’est-ce pas ? … Tu aimes ça, cochonne !
– Oui c’est bon, continue… bourre-moi… je suis ta salope…
Il est ravi Adrien… Hervé le redresse pour le mettre en levrette. C’est mieux comme ça. Il lui écarte la raie du cul et pointe sa pine de nouveau sur l’anus pour l’enfiler d’un coup. Il se régale du spectacle et des tressautements de l’impétrant.
Adrien se sent pénétré à fond, ras son trou… c’est dur… putain c’est dur mais ça entre ! Enfilé comme un poulet sur un barbecue, il ne peut rien faire d’autre l’enculé que de serrer ses fesses tout en cherchant à s’échapper, mais Hervé est là qui s’enfonce encore plus. Il le cloue sur le lit et le maintien fermement jusqu’à l’étouffer, le nez dans l’oreiller.
– Oh, arrête, tu es trop gros, ça fait mal !
(C’est vrai, un anus ça rétrécit toujours un peu après l’usage… aussi c’est bon pour le fouteur même si ça émeut toujours un peu l’enculé… c’est dans l’ordre des choses, n’est-ce pas ?).
– Ta gueule, pédé… ouvre ton cul bordel ! et prend-toi ça ! Ne fait pas la femmelette… Tu vas l’ouvrir ta chatte ! Et vlan sur le cul… (il sait convaincre un trou du cul, Hervé !…).
–
D’ailleurs il fait cela comme un artiste. La fesse bien sollicitée s’ouvre pour laisser le passage à la bonne pine d’Hervé, qui pénètre et ressort pour s’investir de nouveau dans le trou du cul ébahi de son copain… Il se régale le fouteur, il admire le travail de son bel outil.
– Oh que c’est beau !… Quel trou !… et il replonge dans le gouffre.
La verge est raide, le gland est dur, il ne faiblit pas, il pénètre royalement sans s’occuper des cris et des gémissements de son copain… Pas de pitié pour l’anus qui s’ouvre à chaque fois sous la pression du gland et avale l’ensemble comme un poisson qui gobe un ver.
– « Gloop ! »…ça c’est le bruit quand il ressort !
A cette cadence il ne tient pas longtemps notre ami Hervé. Il jouit comme une brute, écrasant son copain et jurant comme un charretier.
Le cul maintenant bien graissé permet à la grosse pine d’aller et venir sans problème et il ne se gêne pas l’enculeur. Et je te vais et je te viens… ça fait des ‘flocs’ des ‘clacs’ sur le cul et l’Adrien on ne sait s’il trépigne de bonheur ou de douleur… pas de soucis pour Hervé… il bourre le salaud, il ne va pas s’arrêter pour quelques petits cris de mauviette… quand on aime le cul, on assume.
– Tu l’as voulu…eh bien prend-la ! Tapette !
Il n’a même pas fini d’éjaculer que bousculant son collègue, il le retourne sur le dos et saute sur lui en l’aspergeant de sperme, pour aller le baiser en bouche.
Presque assis sur son visage il lui fourre son sexe au fond du gosier où il déverse le restant de ses amabilités dont le patient s’étouffe en se gargarisant…
Il est fier Hervé. Il a sodomisé son copain Il y a longtemps qu’il attendait cela. Il l’a enculé sa tapette… il l’a eu son petit cul…
– Vas-y, suce-moi bien, Salope !
Il va et vient maintenant dans sa bouche. Adrien s’applique à bien lécher la tige et le gland empanaché des bonnes humeurs de son pote et de quelques vilenies de son propre cul (si je puis dire…). Il en bave aux encoignures de ses lèvres et même par les trous du nez comme un morveux…
Il a encore le trou du cul ouvert, Adrien. Son anus encore étonné de ce qu’il vient de lui arriver se referme lentement en pleurant de longues larmes d’amour bariolées qui s’écoulent dans la raie de ses fesses.
Hervé se retire et balade son sexe sur le nez et le front de son collègue qui amoureusement lui butine les couilles et lui lèche le trou de balle.
La récréation est finie. Les garçons se lèvent et sous la douche se font encore quelques aménités et manifestations de bonheur.
– Bravo Adrien, tu es un pote !… Un bon cul de tapette.
– Oui, merci. Tu as fait fort !… Dis ! On recommencera…
Ils se caressent encore pendant un bon moment nos deux fripons. C’est tellement bon après l’amour de se calmer bras dans les bras l’un de l’autre… Adrien joue bien son rôle de femelle apprivoisée… il se laisse faire, tout en tripotant amoureusement la bite de son copain… il aimerait que ça recommence.
Hervé, plutôt macho, finit par se redresser, bouscule son pote et une bonne tape sur le cul :
– Debout tantouze, on va dîner !
Là-dessus, nos deux amis descendent à poil se ravitailler dans la cuisine.
Et là… Surprise….
La surprise, c’est que nos deux gars découvrent devant les fourneaux… notre fameuse Anita qui est revenue pour son service, sachant qu’il fallait nourrir nos deux lascars et, ce soir les deux vieux qui vont revenir de leur journée familiale. (vous y croyez-vous à cette excuse ?….). Elle les accueille avec un sourire en coin et l’œil aguichant. Apparemment elle est plus chaude qu’hier soir.
Quelle beauté !
Quelle jolie fille… Gaie comme un pinson, légère comme un papillon, elle s’agite dans la cuisine pour préparer un bon plat, afin de combler sans doute l’appétit de nos deux gars qui doivent en avoir grand besoin après toutes les péripéties de la nuit passée.
Il fait très chaud, on est en juillet. Légèrement vêtue, Anita a enfilé une robe en toile qui lui descend qu’à mi-cuisses… Elle ne porte pas de soutien-gorge car sous le fin tissu, on peut voir ses tétons proéminents pointer insolemment. Elle est en forme cette après-midi, malgré l’intense chaleur ambiante. Ses cheveux roux et flamboyants, en désordre sur ses épaules, descendent jusqu’en bas de son dos. Les jambes nues et sans chaussures elle donne une impression de fraîcheur, de relaxation, de laisser-aller. Par cette attitude un peu désinvolte et sa tenue vestimentaire elle est très sensuelle et recherche à n’en pas douter, à exciter ses compagnons.
Devant ces deux gars elle se sent convoitée, ça lui plaît et elle n’hésite pas à se montrer aguichante en remuant son popotin comme une chatte en chaleur. En se baissant pour prendre un plat dans un placard, ou en se levant sur ses deux pieds pour attraper quelques couverts juchés bien haut, elle laisse apercevoir à la lisière de son vêtement, la commissure de ses fesses, prouvant, évidemment qu’elle n’a pas mis de muselière sur ces dernières.
Nos deux lascars, d’un même geste, se sont approchés d’elle et saisissant chacun d’un côté, le bas de sa robe, ils la mettent entièrement nue. Elle lève les bras, sourit et ne dit rien. Figée, ses bras retombent, elle se laisse faire. Ses nichons blancs éclaboussés de taches de rousseur, pointent leurs vigoureux tétons en bandaison, comme pour narguer ses admirateurs.
Chacun la saisissant par une main, ils lui relèvent les bras au-dessus de la tête et la font tourner sur elle-même comme une toupie. Ils l’examinent comme au marché une pouliche. Ils l’admirent, ils la tâtent.
Ses cheveux magnifiques entourent un visage radieux, un œil provoquant, une bouche à croquer et déjà avenante. Adrien soulève un nichon, Hervé pince un téton. Anita la bouche en rond pousse de petits gémissements de chatte amoureuse.
Tenté par la douceur de son ventre, une main s’attarde sur le creux voluptueux du nombril et descend lentement sur son pubis pour en caresser la toison écarlate en fourrageant à travers les poils roux et chatoyants.
Une autre main s’est insérée dans l’encoignure supérieure de ses fesses. Elle se glisse entre les deux globes charnus, descend, les écarte, les pénètre en profondeur jusqu’à en chatouiller les chaudes intimités déjà moites des premières émotions que provoquent cette délicieuse ingérence masculine.
L’un après l’autre ils lui écartent la raie du cul, visite ses profondeurs, tâtent la rosette, se sucent le doigt, l’apprécient, font des réflexions du genre :
– Elle a un cul d’enfer !…Il a bon goût son cul, je vais me le faire…qu’il dit Hervé !
Toute à ces bonnes attentions, Anita s’abandonne. Elle ouvre ses jambes et laisse les garçons s’aventurer dans la moiteur de ses orifices. Qui au cul, l’autre au con…
– Bon dieu que c’est bon !
C’est Adrien qui dit ça, en malaxant le charnu de la jeune femme. (Il aime tripoter un cul le garnement. Il rêve qu’on lui fasse la même chose).
Alors elle miaule. Elle referme ses jambes, mais c’est trop tard. Quelques doigts se sont investis dans sa craquette et lui triturent le clito qui se dresse sous la caresse. Et c’est le médium de l’autre main qui lui troue si vigoureusement le cul, qu’elle fait un bond en avant en poussant un cri plus de surprise que de crainte, car elle ne s’éloigne pas, au contraire elle se rapproche et s’enfile davantage sur le fripon tout en agrippant la tête d’Adrien qui continue à lui taquiner le barbu en enfonçant ses doigts profondément dans le vagin.
– Oui !…Oui…C’est bon…je vous aime, oh oui iii…encore !
Leurs mains de chaque côté du bas ventre, les garçons se la soulèvent la gourmande et la dépose sur le dos en travers de la table recouverte d’une épaisse couverture. Bien sûr ils retirent leurs doigts des orifices de la jeune femme. Outrageusement exposée les cuisses relevées et grandes ouvertes, un chapelet de mouille dégouline à travers sa touffe rouquine. Ah le joli spectacle !
Placé derrière elle, de l’autre côté de la table, Adrien lui saisit les mollets pour l’ouvrir davantage et l’offrir aux attouchements de son camarade.
– Oh ! Putain de trou ! Qu’il s’écrie ce dernier…Oh la jolie rondelle !…
Ce disant il pose ses lèvres sur l’œillet rondelet et sous l’effet de la caresse, la Belle resserre ses fesses et emprisonne le museau de son flatteur qui pointe un peu plus profond le bout de sa langue.
Adrien qui ne veut pas être de reste, grimpe sur la table et en chevauchant la demoiselle, s’active sur la pine de son compagnon pour diriger les opérations.
Et qu’est-ce qu’elle fait la demoiselle ?
Eh bien justement, elle ne peut pas faire grand-chose, si non ouvrir son cul comme une alouette prise au piège et lever les yeux au ciel.
Il est bien bas le ciel ! Bien bas, c’est sûr, juste au-dessus de son visage et chargé d’une grosse paire de roustons qu’Adrien lui balade au-dessus du nez. Oui, une jolie paire de couilles derrière laquelle clignote un petit trou ovale (eh oui, ‘ovale’, on sait bien pourquoi…), un bourgeon rose, mignon et bien propre et joliment aguichant…
Inutile de vous dire qu’il est aux anges Adrien…Elle a la langue bien pendue la coquine…
– Oh que c’est bon ! qu’il s’écrie en remuant son popotin contre ses lèvres.
Oh ! Elle en a vu bien d’autres de petits trous ! Oui ce n’est pas la première fois qu’elle se retrouve couchée sur cette table coincée entre son bon maître, le sieur Bytthedur et le trou du cul d’un de ces amants. Certes, des amants pas toujours très reluisants les salauds : les bas-fonds croustillants et quels relents dans les douves !
Bien éduquée par son Maître qui exige souvent de la bousculer dans cette position, elle se plie à sa volonté, d’autant qu’il la gratifie toujours de bonnes caresses ou d’une bonne fessée (c’est selon…) et qu’en plus, ces riches invités ont la main très généreuse. Aussi ne fait-elle pas la bégueule notre servante, elle est disciplinée.
Quelques fois, quand il y a du beau monde à la table, elle fait le service en tenue de soubrette avec bien entendu le cul nu. Et elle ne manque jamais de faire quelques bêtises ou un oubli et se reçoit de bonnes fessées bien méritées et distribuées par les bons invités de Monsieur qui pour la consoler va se la prendre sur la table, devant tout le monde. Bien sûr, elle aura ensuite le plaisir d’être proposée en loterie à l’assemblée… ce qui va lui apporter beaucoup de générosités.
D’autres fois c’est Berthe, la mère Bytthedur qui fait office d’amant.
C’est qu’elle n’est pas jalouse la Bourgeoise, non pas jalouse… mais tout de même un peu frustrée quand elle voit son mec baiser la soubrette. Alors, à son tour le cul au-dessus de la tête de sa rivale elle lui fait des amabilités. Elle se déchaîne, la tapote, la griffe, s’acharne sur sa touffe ou bien sur ses seins. Parfois même tant son excitation est grande, elle se lâche la furie, (oh bien involontairement, bien sûr ce sont de petits ennuis qui arrivent parfois aux Dames…), oui, elle lâche des petites crottes la sale bique,…qui tombent en rebondissant sur les nibars de l’offensée qui elle n’a rien demandé… elle en a rien à foutre la chieuse, même qu’elle s’assoit sur ses méfaits, la cochonne !… heureusement elle va clôturer ses extravagances en arrosant d’un chaud pipi les nichons de la soubrette dont elle va faire de succulentes bouchées afin de leur rendre leur insolente dignité. Ça ne lui déplaît pas à la soubrette. C’est chaud et le geste est tellement vicieux que ça l’excite encore plus.
Bon, mais moi je bavarde, je bavarde et nos trois amoureux où en sont-ils maintenant…
On a laissé Anita le nez entre les fesses d’Adrien tandis qu’elle se fait enculer à pine que veux-tu par son vigoureux collègue. Ça c’est de la bonne pine. Elle adore Anita. Ça lui remplit bien le boyau, oh oui ça lui bouche bien le petit chose !
– Humm ! mm…oui, comme ça ! continue…
Il faut dire qu’Hervé, il l’a bien grosse sa biroute, plus grosse que celle de son maître qui commence à prendre de l’âge… aussi ce jeune homme commence sérieusement à lui plaire à la demoiselle.
Elle aime sentir la grosse pine faire des va-et-vient dans son trou serré…
– Oui ! c’est bon…
Quand elle ressort, la pine est propre. Voilà une nana qui sait se tenir, se dit Adrien qui à chaque sortie embouche le bel instrument.
– Il a bon goût son trou du cul !
Ce disant les deux gars se foutent un patin pathétique, histoire de partager les bonnes saveurs féminines.
Hervé retourne au charbon chez Anita qui elle, croque la rosette d’Adrien….
La boucle est bouclée… il est infernal ce trio sympathique !… je me demande bien comment ça va finir… ils sont déchaînés nos artistes… ce n’est pas possible !
Bon il faudrait que je vous raconte la suite…ça ne devrait pas vous déplaire…non !…
Oh mais finalement, moi ça me suffit. Je suis fatigué à remuer tout ce joli petit monde. À branler les uns, faire pisser l’une ou chier l’autre, quand ce n’est pas enculer le pédé et baiser la soubrette…Alors je vais vous dire : c’est à vous de continuer, à vous de vous débrouiller maintenant…allez, vous pouvez écrire, je vous laisse la plume et même l’encrier si vous voulez, mais laissez-moi dormir… j’en…peux … plus… j’ai les balloches ratatinées et donc le cerveau vide !…
Tenez, pour vous éclairer je vais quand même vous donner quelques pistes à suivre pour booster votre imagination… mais je crois que c’est inutile, vous avez tous et toutes une chatte, un trou de balle, des couilles. Alors vous allez bien vous tripoter tout cela, et je suis sûr que ça va vite vous procurer plein de bonnes idées salopes qui vont vous court-circuiter la cervelle et vous mouiller les doigts. (Pour vous les nanas je sais que c’est un peu moins facile car vous avez la cervelle loin du calisson si agréable à titiller pour faire grimper la libido, mais c’est si bon ! Tandis que nous les mecs, comme chacun le sait nous avons le cerveau dans les roustons… le trajet est plus court, n’est-ce pas ?… et avec un doigt au cul ça va encore plus vite…’ Oups !… Je sens que je vais me faire engueuler’ !.. .pardonnez-moi, sûrement que je le mérite.).
Bon passons… pour poursuivre l’histoire, vous pouvez bien imaginer, par exemple qu’Anita va sûrement passer à la casserole…par qui, comment, par où ?….à vous de décider.
Et les parents d’Adrien… ils vont bien revenir… non ?… alors quand ils vont découvrir le carnage… vous pensez bien que c’est encore Anita qui va s’en prendre plein les fesses… elle n’a même pas préparé le dîner !… c’est qu’il a la main lourde et efficace le vieux… Allez défoulez-vous, je vous en donne l’autorisation.
Et le cul d’Adrien !…ben oui, allez-y il ne demande que ça…le père, le copain et pourquoi pas le rouleau à pâtisserie, un poireau ou une carotte qui traînent dans le panier à légume…nom de dieu !
Et la Berthe, vicieuse telle que vous la connaissez, elle ne va pas se gêner avec sa rivale de soubrette.
Ensuite je suis sûr que le petit cul de la vielle gourmande va faire de bonnes affaires avec le braquemart d’Hervé ! Elle en rêve… Mais chieuse comme elle est, méfiez-vous de ne pas salir votre page…remarquez qu’elle pourra toujours se torcher avec !
Bon voyez-vous, je vous ai déjà mâché le travail…
Alors à vous de continuer à écrire.
Bon courage et bonne soirée…
Je me branle pour vous…Bye.
22.03.2023
Que ma distraction soit cent mille fois maudite, j’avais raté la lecture de cet épisode croustillant en diable et que je recommande à tous les amateurs de saine gaudriole.
Merci d’apprécier et de le dire