Souvenir d’été par Philippe_69

Voici une histoire qui m’est arrivée l’été dernier.

Je m’appelle Philippe et j’ai 40 ans. Je suis marié depuis une quinzaine d’années avec Emmanuelle. Sexuellement, notre vie est bien remplie avec – comme tous les couples mariés – des hauts et des bas.

Cet été, nous sommes partis en vacances avec des amis dans une villa au bord de la mer, près de Saint-Raphaël.

Nos amis forment un couple très sympathique. Lui – Paul – est commercial dans la téléphonie, assez beau gosse d’après ma femme. Elle, Joséphine, est mignonne, blonde, les cheveux courts. Mais ce que je préfère chez elle, ce sont ses seins ! Je dois dire que, dès que j’en ai l’occasion, je les admire. Elle doit faire du 85D et elle porte rarement de soutien-gorge.
Ce qui me fascine, c’est que ses seins semblent très fermes car ils pointent toujours très droits sous ses chemisiers, sans qu’ils soient maintenus. Et çà, cela m’épate, surtout quand je les compare à ceux de ma femme qui ont plutôt tendance à tomber sous l’effet de la pesanteur dès qu’elle ôte ses sous-vêtements (mais ils sont beaucoup plus gros).

Enfin, j’aime ses seins et je ne perds jamais l’occasion de les admirer dès que j’en ai la possibilité.

Une nuit, je me suis levé pour me rafraîchir et assouvir un besoin naturel.
Non seulement, il faisait très chaud, presque étouffant, mais en plus, nous avions copieusement arrosé le repas avec du vin de pays. Ma vessie était sur le point d’exploser, surtout quand je repense à tout ce que j’avais bu.

Il devait être 3 heures du matin et le calme régnait sur la maison. Je suis d’abord allé dans la salle de bains pour prendre un verre d’eau. La salle de bains est assez grande, carrelée en noir et blanc. Le lavabo est tout près de l’entrée alors que la douche à l’italienne se trouve au fond.

Sans éclairer, la pleine lune illuminant suffisamment la pièce, j’ai rempli un verre d’eau que j’ai avalé d’un seul coup. Je ne sais pas pourquoi mais tout en reposant le verre, je me suis retourné vers la douche. Peut-être avais-je décelé un parfum ou entendu un frottement.

Et là, mon coeur a failli s’arrêter !

Joséphine était accroupi dans la douche ! Les cuisses écartées, simplement vêtue d’un chemisier en soie très court. Je ne pouvais que regarder ce spectacle. Avec cette position, je pouvais voir son sexe. Il était épilé, sauf un petit triangle de poils blonds au-dessus de ses lèvres. Ses lèvres, légèrement entre ouvertes, montraient un clitoris tout rose. Penchée légèrement en avant, son chemisier laissait apparaître la quasi-totalité de ses seins, excepté les mamelons.

Je suis resté interdit pendant un temps qui m’a semblé une éternité.

Et puis … elle a commencé à pisser. Commençant par quelques gouttes, un jet puissant a commencé à couler dans la douche, éclaboussant quelques fois
ses cuisses et ses pieds.

Elle m’a alors regardé et a simplement tendu la main pour que je m’approche. Fasciné par le spectacle, à la fois de son sexe épilé, de son jet d’urine et surtout de ses seins presque entièrement dévoilés, je me suis approché à quelques centimètres de son visage. Mon sexe commençait à grossir à travers mon caleçon mais je n’y prêtais pas encore attention.

Sans un mot, elle a tendu sa main et a sorti mon sexe du caleçon. Elle l’a alors dirigé vers le haut de sa poitrine et m’a dit de me laisser aller.
Je ne sais pas encore comment j’ai pu faire une chose pareille mais c’est ce que j’ai fait.


Je me suis à pisser sur sa poitrine. Elle tenait toujours ma bite et la dirigeait alternativement sur ses seins ou son sexe. De temps en temps, elle fermait les yeux comme pour mieux apprécier cette sensation de douche chaude.

Quand elle a vu que mon jet commençait à faiblir, elle a pris mon sexe dans sa bouche, la laissant ouverte. L’urine coulait alors de sa bouche, dégoulinant sur ses seins. Son chemisier était alors totalement transparent, semblant moulé sur ses 2 seins qui se dressaient à travers le tissu. Les mamelons semblaient très durs et prêts à percer le vêtement.

Quand mon jet s’est enfin arrêté, elle a sucé légèrement mon gland. Je l’ai alors prise par les épaules et je l’ai amené au centre de la pièce pour que les rayons de lune l’éclairent. Après un temps de réflexion, j’ai ôté son chemisier pour enfin admirer ses seins.

Ils étaient là, fiers, se dressant devant moi.

J’ai commencé à les caresser, prenant les mamelons entre mes doigts. Je les soupesais chacun leur tour, puis tous les deux en même temps. Joséphine avait fermé les yeux et soupirait de temps à autre. Puis je me suis mis à les sucer. D’abord, je suçais les mamelons et après je léchais le reste des seins en faisant le tour du mamelon.

J’ai fait comme cela de longues minutes debout puis je me suis mis à genou.
J’ai continué de la même façon, mais avec mes mains j’ai commencé à lui caresser les fesses. Tout en continuant à m’occuper de ses seins, j’ai écarté ses fesses et j’ai mis un doigt dans son vagin. Mon doigt était tout humide, non pas d’urine mais de mouille. Avec mon doigt lubrifié, je lui ai caressé les lèvres et le clitoris. J’ai senti les lèvres s’ouvrirent de plus en plus. A chaque fois que je caressais le clitoris, mon doigt pénétrait un peu plus profondément dans son vagin.

Comme je sentais qu’elle devenait de plus en plus chaude, je me suis baissé et je lui ai sucé son clitoris, comme on suce un bonbon. Son clitoris avait doublé de volume et était très tendu. A chacun de mes coups de langue, je sentais ses jambes fléchirent sous l’intensité du plaisir. Tout en maintenant un doigt dans son vagin, je continuais ainsi de longues minutes.

Et puis je l’ai sentie soupirer encore plus fort. Ses jambes semblaient flageolantes. D’un seul coup, mon doigt puis ma main se sont trouvés inondés d’un liquide chaud et abondant ! Joséphine était une femme fontaine, à ma grande surprise et pour mon plus grand plaisir.

Elle semblait sur le point de tomber quand je l’ai prise sous les bras et allongé sur le tapis de bain. Etendue, elle écartait toujours les cuisses comme pour laisser échapper encore plus de liquide de ses lèvres grandes ouvertes.

J’ai alors pris ma bite et j’ai commencé à caresser ses lèvres avec mon gland. J’avais l’impression que ses lèvres semblaient aspirer mon gland, pour le faire pénétrer un peu plus à chaque fois. Sans pousser beaucoup, j’ai enfoncé ma bite dans son vagin humide. Soupirant plus fort, elle a écarté ses cuisses pour que je puisse aller au plus profond.

J’ai commencé à aller et venir lentement, savourant ce moment et le spectacle de ses superbes seins dressés vers le haut. Je l’ai alors senti accélérer sa respiration et jouir une nouvelle fois. Ma bite s’est retrouvé inondée et je n’ai pas tardé à sentir monter le plaisir.

J’ai alors sorti ma bite et je l’ai dirigée sur ses 2 seins. De puissants jets de sperme sont alors sortis pour arroser sa poitrine. Quand j’ai fini d’éjaculer, j’ai caressé un long moment ses seins, les recouvrant de sperme, ne laissant aucun centimètre carré sec.

Puis nous avons repris nos esprits et après une rapide douche nous sommes retournés nous coucher.

Ce fut un moment intense et tendre que je ne suis pas prêt d’oublier. La suite, je vous la raconterai peut-être …

ce récit a été publié également sur revebebe et l’est ici avec l’accord de l’auteur.

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2 réponses à Souvenir d’été par Philippe_69

  1. Darladiladada dit :

    Improbable ? On s’en fiche du moment que ça fait bander !
    Et puis cette illustration, quelle merveille !

  2. Claire dit :

    A priori improbable, mais qu’importe, c’est frais, c’est mignon, c’est émoustillant, en un mot j’ai kiffé !

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