Soins à domicile par Zazou
Pour lecteurs avertis – Texte contenant des passages scatos explicites
Voilà environ 15 ans que je travaille dans le milieu des soins à domicile en Suisse.
Après l’école obligatoire j’ai passé un diplôme d’employé de bureau, puis par la suite j’ai souhaité sortir du monde froid de l’administration afin de me tourner vers un job plus social qui me permettrait de partager et d’aider les gens qui en ont besoin.
L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée juste avant cette crise sanitaire mondiale qui nous touche tous depuis le début de l’année.
Nous sommes vendredi, début février. Comme chaque vendredi à 18 heures, je consulte ma tablette afin de prendre connaissance de mon planning de la semaine suivante. La tournée qui m’attendait lundi était, au patient près, la même que lundi dernier. Sur les sept personnes il y avait cinq dames toutes entre 80 et 90 ans d’une gentillesse déconcertante et deux messieurs, l’un très âgé proche de la centaine et un autre beaucoup plus jeune de 1950, en chaise roulante, avec de manière générale, mauvais caractère.
En parcourant ma semaine de travail, mon regard fut attiré sur la journée de mardi, en particulier sur le nom du premier client de ma tournée où pour être tout à fait précis de la première cliente. Une certaine Pamela C. Les détails relatifs à nos patients ne se trouvent pas sur notre feuille de route, aussi, afin de vérifier l’information qui me trottait en tête j’ouvris la base de données clientèle. Je tapai donc les lettres de notre première cliente du mardi matin et… C’est bien ce que je redoutais :
» Quartier En Tegressine 11 » je n’y crois pas !! Il s’agit bien de ma voisine. Pamela est à la base une amie de ma mère. Elles avaient fait connaissance dans un cours de poterie ou de peinture, bref un truc dans le genre, il y a une trentaine d’années en arrière. Je n’étais alors qu’un jeune garçon d’à peine 10 ans, elle était alors âgée de 30 ans. Depuis 5 ans environ Pamela habite la maison à côté de la mienne. Nous discutons parfois accoudés à la barrière qui nous sépare, entre deux travaux de jardinage. Il nous est également arrivé d’entretenir nos bons rapports de voisinage en s’invitant à partager quelques grillades. Bien qu’elle compte aujourd’hui presque soixante printemps à son actif, Paméla est une belle femme ! Fine, sportive, pas une once de graisse, taille mannequin et à qui le mini-short en jeans va encore très bien. Avec ces longs cheveux noir ébène frisés et sa peau mate, on pourrait lui donner des origines brésiliennes ou espagnoles. Il n’en est rien ! Il suffit de discuter deux minutes avec elle pour que son accent helvétique bien de chez nous la trahisse.
Je m’interrogeais sur les raisons de nos passages. Toujours dans son dossier je regardai un peu le détail de nos prestations et le résumé de la demande initiale. À la suite d’un accident de moto qui lui a causé des lésions aux deux bras, elle avait maintenant besoin d’aide à l’habillage, au déshabillage et à la toilette. Je mis un moment avant de réaliser que le destin m’envoyait chez elle et qu’en tant que soignant j’allais me retrouver à la déshabiller, à la laver à la voir nue, choses que je n’aurais jamais osé imaginer même dans mes fantasmes les plus profonds. Stop ! je m’emballe, dans beaucoup de situations les femmes demandent à ne pas recevoir d’hommes surtout pour ce genre de prestations. Curieusement l’inverse se vérifie beaucoup moins souvent. Nous avons même eu une fois une demande d’un homme qui ne voulait pas d’homme pour le laver (ben voyons).
La lune était suspendue juste au-dessus de ma maison majestueuse formant un fin croissant. Je fermai ma porte à clé et me dirigeai d’un pas assuré vers le n° 11. Mon cœur battait aussi vite que lorsque que je suis monté pour la première fois sur un grand huit. Plus que quelques mètres. Je pris une grande respiration et… Ding dong. À l’intérieur une personne avait reculé sa chaise sans la soulever, des bruits de pas s’entendaient de plus en plus fort. La personne portait très certainement des pantoufles, la poignée s’abaissa et la porte s’ouvrit. Pascal était devant mois portant un pantalon beige une chemise bleu avec à la main une tasse de café fumante.
– Hello David
– Salut Pascal, tu vas bien ?
– Oui bien merci entre je t’en prie, tu viens voir ma grande blessée.
– Eh oui.. Mais dis-moi quelle histoire… Et sinon toi au niveau de l’accident ?
– Ben j’ai eu plus de chance que Paméla. Je m’en suis sorti avec la jambe droite légèrement griffée et la cheville gauche brulée par le pot d’échappement. Mais sinon quasi rien… Il faut dire qu’on était équipés mais Pam a fait une mauvaise chute et la veste ne pouvait rien faire. Tiens.. justement viens, elle est sur le canapé.
– Ehhhh. Salut… ohh ma pauvre oui tu ne t’es pas ratée.
Elle était là assise les deux bras tenus par des sangles qui l’empêchaient de les bouger.
– Salut David, tu as vu hein ? Quand je fais les choses je les fais correctement !
– Et comment vas-tu ? je veux dire à part les bras ?
– Bon ben moi je vous laisse, je suis déjà en retard. Belle journée chérie à ce soir. Je passerai faire deux ou trois courses avant de rentrer.
– David à bientôt
– Salut Pascal, belle journée !
La porte d’entrée venait de se refermer et je regardais Paméla, elle portait un pyjama tout mignon dont le bas était rempli de plein de petits ours qui s’embrassent. En haut elle portait une liquette avec une veste de training juste posée sur le dos sans y avoir passé les bras. C’était la première fois que je la voyais non maquillée, les cheveux en bataille mais elle restait néanmoins très agréable à regarder.
– Tu peux poser ton manteau sur le dossier de la chaise David. Ben à part les bras ça va, si ce n’est que je ne peux plus rien faire par moi-même et quand je ne dis plus rien, ce n’est plus rien ! C’est à ce moment qu’on se rends compte à quel point nos bras et nos mains nous sont utiles.
– Oui je peux imaginer. A ce propos j’ai vu que…
– Tu veux un café ?
– Hein ? euhh… Oui avec plaisir je n’ai pas encore eu le temps d’en prendre un
– Tu prends quoi dedans ?
– Juste un sucre s’il te plait
– Excuse-moi tu disais ?
– Oui euhh j’ai vu que tu avais besoin d’aide pour la toilette et l’habillage. Ils m’ont donné ta situation du fait que je suis ton voisin. La boite économise sur les frais de déplacement mais au vu de la situation je peux regarder pour que tu puisses avoir quelqu’un d’autre.
– Pourquoi ?
– Ben ça fait un peu bizarre on se connait depuis longtemps et on n’avait peut-être pas imaginé se retrouver dans ce contexte que tu pourrais trouver gênant.
– Tu es inconfortable ?
– Ça fait bizarre mais je reste professionnel avant tout et avec tout le respect que j’ai pour toi tu n’es pas ma voisine mais une personne que je viens aider et soigner.
Même moi je n’arrivais pas à me convaincre. Je ne pouvais bien évidemment pas faire abstraction que je la connaissais depuis des années, que c’était une belle femme et que j’allais la voir dans le plus simple appareil. Elle s’approcha de moi me tendit la tasse de café.
– C’est pareil pour moi, ça peut être Pierre, Paul, Jacques, Bertrand ou même le pape j’ai juste besoin qu’on me lave et qu’on m’habille donc personnellement si c’est toi qui me fais ma douche ben c’est toi si c’est quelqu’un d’autre ben c’est quelqu’un d’autre je m’en fous.
– Ça marche. Mais tu vois je préfère demander d’un point de vue professionnel je me dois de te demander (ohh comme elle et bien trouvée cette phrase).
– Non mais je comprends. Bois ton café tranquillement et on attaque après.
Dès que j’aurais bu ma dernière gorgée j’allais monter avec elle et l’aider à se déshabiller je n’arrivais pas à y croire. Etais-je dans un de ces fantastiques rêves ? J’ai bu la dernière goute et posai ma tasse dans l’évier.
– C’est bon on peut y aller !
– J’ose te demander de prendre mon training sur la planche à repasser ?
Je m’exécutai portant son bas de survêtement dans une main et mon sac de soin de l’autre. Je la suivi dans la cage d’escalier et nous montâmes les marches elle et moi pour arriver droit devant la salle de bain. Elle appuya sur l’interrupteur et revint dans la cage d’escalier pour éteindre l’autre lumière. Je posai mon sac sur le couvercle baissé de ses toilettes. Je me relevai et après m’être tourné vers elle, je commençai à lui enlever sa veste et sa liquette. Tout en m’exécutant je lui dis :
– Si je te fais mal ou si ça tire tu me dis.
– Ne t’en fait pas dit-elle. Comme pour me rassurer
Je commençais à enlever sa veste de training que je posai sur le cintre qui pendait à la porte, puis je me retournai et retira sa chemisette blanche je fis passer la manche droite puis la gauche avec laquelle j’ai eu plus de difficulté je pris la base de sa liquette et la fit glisser le long de sa poitrine et fini par la lui ôter par le haut. Je m’en doutais, elle n’avait pas de soutien-gorge, j’étais face à sa superbe poitrine. Malgré mon professionnalisme je ne pouvais contrôler une monstrueuse érection qui était en train de se produire. » Allez David reprends toi » me dis-je. J’ai fait ça tellement de fois jours après jours semaines après semaines, mois après mois, mais là le contexte était un peu particulier.
Je pris la lavette qu’elle m’avait désignée la passa sous un filet d’eau tiède, mis une tombée de savon liquide et commença à lui frotter le ventre, je restais un bon moment sur cette zone puis tournai pour m’occuper de son dos où je trainai encore plus longtemps. Il n’y avait pas besoin d’avoir bac +10 pour comprendre que j’étais terriblement gêné à l’idée de lui frotter ses organes féminins. Pas question de me démonter et qu’elle me fasse un commentaire à ce propos, aussi je pris mon courage à deux mains (si je puis m’exprimer ainsi) je lui fis face et passa le gant de lavette sous ses seins je les contournai puis les frotta avant de redescendre sur les hanches. Afin d’évacuer la tension qui m’habitait je sortis un timide :
– Ça va l’eau n’est pas trop chaude ? »
– Non, non ça va dit-elle les yeux rivés sur ma main et sur le gant de lavette
– On attaque le bas ?
– Oui volontiers
Je reposai la lavette dans le lavabo rempli d’eau légèrement fumante, me retournai vers elle et cette fois si sans dire un mot (de toute façon j’étais à cours de phrases débiles qu’on sort quand on est mal à l’aise), des deux mains je fis glisser le bas de son pyjama jusqu’à ces chevilles. D’elle-même elle leva le pied gauche puis le pied droit pour s’extirper de sa tenue de nuit. Elle portait une culotte noire en coton tout ce qui a de plus banal. Du même geste je descendis son sous-vêtement et arrivé en bas elle le retira en l’enjambant. N’osant regarder son entre-jambe je me suis vite retourné pour prendre ma lavette, je la passai un petit coup dans l’eau et la rinça. Je repositionnai le gant à ma main et commençai par lui frotter les jambes de haut en bas puis d’un geste naturel je lui nettoyai les fesses qu’elle avait assez ferme pour son âge. Je passai ma lavette dans le pli inter fessier comme on passe une carte bancaire dans un centre commercial, sans pour autant manquer de les écarter légèrement afin rendre propre l’ensemble de son joli cul. Puis sans que je le lui demande elle se tourna m’offrant une magnifique vue sur son intimité. Une très légère zone de poils d’environ 1 cm sur 4 était située juste au-dessus de sa fente, cette zone était impeccablement taillée. Sur son pubis un petit tatouage trop mignon de Panpan (pour celles et ceux qui ne sont pas fans de Walt Disney, il s’agit du petit lapin dans Bambi), assis en train de se marrer. J’avais très envie de faire un commentaire sur ce joli dessin mais me suis dit que ce serait déplacé.
Je poursuivis donc sa petite toilette et après avoir bien rincé l’excèdent de savon avec de l’eau, je pris une serviette afin de la sécher avant de l’habiller.
– Ça s’est bien passé ?
– Mais oui tu as fait ça comme un chef dit-elle avec un petit sourire en coin.
– Les habits que tu as posés là c’est ceux que tu veux mettre ?
– Oui mais avant j’ai juste besoin d’aller aux toilettes
– Ok je suis juste dehors tu m’appelles quand tu as terminé
– Tu peux rester, ça ne me gêne pas
Tout en disant ça elle allait s’assoir sur la cuvette
– J’ose te demander de me lever le couvercle s’il te plait ?
Je répondis à sa demande, puis rapidement elle s’assit et il fallut mois de deux secondes pour que j’entende le jet fin de son urine mourir dans l’eau stagnante de la cuvette. Sa fontaine mis près de quinze secondes avant de s’éteindre. J’avais à ce moment-là, toutes les peines du monde à me contenir. On a beau être professionnel et faire de notre mieux pour que les émotions ne prennent le dessus on n’en reste pas moins humain. Tout en vidant sa vessie elle me dit :
– Tu sais on est tous fait pareil
– Oui après je t’avoue que je ne vis pas ce genre de situation tous les jours
– Que veux-tu j’ai dû oublier d’être pudique, me dit-elle en affichant un large sourire
Elle regarda le rouleau de papier WC accroché à sa gauche, me regarda et me fit comprendre que sans moi ce serait un peu compliqué. Je pris donc deux coupons et vins essuyer son mont de vénus.
Comment voulez-vous ne pas avoir d’horribles pensées coquines dans une telle situation ? Une fois l’essuyage terminé elle se leva et je jetai le morceau de papier dans la cuvette avant de tirer la chasse d’eau et baisser le couvercle.
– Je te laisse t’assoir sur les toilettes.
Je lui passai le joli tanga Bordeau qu’elle avait mis de côté avec le reste des vêtements. Elle se leva rapidement pour que je puisse le lui mettre correctement J’en profitai pour l’habiller également de son bas de training. Je finis de l’habiller complètement en reposant sa veste de sport sur les épaules, puis nous sommes ensuite redescendus au salon.
– Merci beaucoup David ! Tu as le temps de reboire un café ?
– Tu es gentille mais je dois poursuivre, je suis déjà un peu en retard.
– C’est toi qui viens demain ?
– Je ne sais pas mais je peux regarder si tu veux ? Tout en disant cela je pris ma tablette et scruta mon planning afin de trouver l’information
– Non, non t’énerve pas… je verrai bien qui vient demain.
– Ben se sera moi
– Ok cool à demain alors ?
– A demain
6 h 50 le lendemain matin. Paméla m’avait prévenue que son mari serait déjà au travail et que je n’avais qu’à sonner et entrer, elle saurait que ce serait moi. C’est ce que je fis. La pluie tombait intensément et malgré les quelques mètres qui me séparaient de sa maison j’étais déjà trempé comme une soupe. J’appuyai sur le bouton de la sonnette, poussai la porte et entrais dans le couloir de l’entrée.
– Hello Paméla c’est David, c’est les soins à domicile
Pas de réponse
– Paméla ?
– Je suis à la cuisine
Le ton de sa voix était complètement différent de la veille, on aurait dit qu’elle était énervée. D’un autre côté il y avait également un côté fatiguée épuisée au bord des nerfs. Je me dirigeai vers le son que je venais d’entendre après avoir refermé la porte d’entrée. Je passai le seuil de la cuisine et je vis Pam de dos la tête dans les mains, les coudes posés sur le plan de travail.
– Ça ne va pas ?
– Putain d’accident, putain de bras de merde
– Que se passe-t-il ? Elle fit un 180° degré, me faisait face et me regarda d’un air à la fois énervé et désolé. Une immense auréole foncée s’était formée à la hauteur de son entre-jambe et descendais presque jusqu’aux genoux. A ses pieds une petite marre d’urine.
– Je suis désolée
– Ehhhh ce n’est pas grave
Je m’étais rapproché d’elle et lui avait posé la main sur l’épaule afin d’essayer d’atténuer sa souffrance et sa honte.
– J’avais tellement besoin et avec cette saloperie de bras, impossible d’abaisser mon pantalon alors j’ai attendu que tu arrives mais j’avais trop besoin, je suis désolée.
– Mais ce n’est rien ! Monte déjà je vais donner un coup de serpillère
Elle m’indiquait l’emplacement de la panosse (eh oui en tant que suisse je ne pouvais pas passer à côté de ce mot) et elle prit la direction de l’étage supérieur pendant que je nettoyais son petit accident. Après avoir rincé et rangé le matériel de nettoyage, je montai retrouver Paméla.
– Je te laisse t’assoir sur les WC je vais ôter ton bas de training et le mettre à laver. Tu verras dans 2 heures on en parlera plus ! Ni vu, ni connu !
A ma demande elle s’assit sur le couvercle des toilettes et tendit les jambes afin que je lui retire son bas de training.
– Tu veux que je te fasse une machine pendant que je suis là ?
– Non ne t’en fait pas, Pascal va rentrer manger à la maison ce midi il lancera une lessive
– Comme tu veux
Tout en disant ça je lui retirai son joli tanga bordeaux que je lui avais mis la veille mais qui cette fois était pourvu d’une grosse auréole foncée. En retirant complètement le sous-vêtement que je me rendis compte qu’elle n’avait pas seulement eu une envie de faire pipi. L’arrière du tanga avait également une grosse trace brunâtre. Je ne pouvais faire autrement que de loucher sur cet autre accident. Me voyant zoomer sur sa lingerie elle vit également la grosse trace de selles, ce qui n’améliora pas la situation (en tout cas pas la sienne).
– Putain ce n’est pas vrai… je suis vraiment désolée
– C’est compréhensible Pam, si tu n’avais pas eu les bras tenus tout cela ne serait pas arrivé alors ne sois pas trop dure avec toi-même. Tu n’es pas la première, tu ne seras pas la dernière
– Merci tu es vraiment gentil ! Elle venait de poser sa tête sur mon épaule… si elle avait pu me prendre dans ses bras elle l’aurait certainement bien fait mais on sait tous que la situation ne le lui permettait pas. Je n’osais pas trop bouger. Alors qu’elle commençait à se frotter légèrement à ma joue je devenais de plus en plus gêné. Elle pivota légèrement et me susurra à l’oreille en chuchotant
– Je suis vraiment désolée
De quoi voulait-elle parler ? Était-ce à cause de son accident ? Était-elle aussi gênée que ça ? Elle venait d’approcher ses lèvres de ma joue et soudain elle les posa, elle me fit un baiser, puis un puis deux, puis trois.
– Tu es adorable. Dit-elle lentement et en chuchotant
Elle remonta ensuite à la hauteur de mon oreille pour me la chatouiller avec sa langue. Nous n’étions clairement plus dans des prestations de soins. Surtout pas des prestations qu’accepte de rembourser l’assurance maladie ou comme il se dit en France, la » sécu « .
– Pam je ne suis pas sûr que…
– Chuuuuuuuuuuuuuuuuuut, tu sais ce que ça fait de ne plus se faire sauter par son mari et de même plus pouvoir se mettre un bon gode entre les cuisses ? Alors tu vas me donner un coup de main
Elle chuchotait toujours mais étant à deux centimètres de mon oreille il ne m’était pas très difficile de comprendre très distinctement ce qu’elle me disait.
– Va dans ma chambre et prends ce qui est en dessous des trois livres dans le tiroir de ma table de nuit.
Même si ce n’est pas le genre de demande qu’on me fait habituellement et que j’étais un peu perdu pour ne pas dire sonné par le revirement de la situation, Je me relevai et pris la direction de sa chambre. Une fois arrivé au bord de son lit j’ouvris le tiroir de sa table de nuit. Il y avait en effet bien trois livres empilés et juste dessous, après avoir écarté les bouquins je vis l’objet de ses désirs. Un magnifique gode rose avec des petits picots tout autour et une petite branche supplémentaire sur la base pour la stimulation du clitoris.
De retour dans la salle de main elle me dit :
– Vas-y je veux que tu me le mettes !!
Elle ne chuchotait plus du tout au contraire elle avait largement augmenté le volume.
Pour répondre à sa demande je pris le joujou et le lui introduis. Très vite elle me demanda de la masturber avec. Panpan son tatoo, me regardait toujours en rigolant. Se moquait-il de moi ?
– Continue, continue, oh putain ce que c’est bon.
Elle avait les yeux fermés et semblait prendre un certain plaisir
Après un taraudage de 2 à 3 minutes, elle me demanda de me déshabiller, ce que je fis rapidement, j’avais compris que ma prestation depuis 5, 6 minutes n’était de toute façon plus très professionnel, donc faisons les choses jusqu’au bout ! Je fis un tas avec mes habits et les poussai contre la porte de la pièce.
Alors que j’étais debout face à elle dans le plus simple appareil, elle m’embrassa longuement et goulument puis elle se mis à genoux non sans mal, et s’abattit sur mon sexe tendu à son maximum. Elle commença par le lécher délicatement puis le prit très rapidement en bouche se mettant ensuite à l’aspirer goulument faisant des allers-retours avec sa tête. Elle me fixait, soutenait mon regard encore et encore l’air de dire » alors ça te plaît hein ? tu n’aurais jamais imaginé ça ? »
Deux minutes après elle lâcha mon chibre pour respirer un peu. Elle se releva tant bien que mal puis toujours en me regardant droit dans les yeux, me dit :
– Je vais avoir besoin de toi, je dois avoir les fesses toutes sales.
Elle venait de faire un 180° et s’était légèrement penchée en avant afin que je puisse constater par moi-même. En effet, il y avait quelques restes de la tache brunâtre de son slip qui était dans le pli inter fessier et ça sentait clairement la merde.
– On va se mettre dans la baignoire on va enlever ça à la douche
Elle me regarda, me sourit et m’invita à entrer le premier dans la baignoire. Je m’agenouillai tandis qu’elle me tournait le dos se pliant cette fois ci presqu’à 90°, ce qui ergonomiquement ne devait pas être l’idéal, mais qui m’offrait malgré tout une vue imprenable.
Avant d’empoigner le pommeau de la douchette, je ne pus m’empêcher d’écarter correctement ses fesses et venir chercher les petits morceaux encore frais, restées collées à son joli petit cul avec le doigt.
– Vas-y met le moi !
J’introduisis mon majeur dans son anus et après avoir enfilé 2 à 3 centimètres de mon doigt, je senti sa merde qui ne demandait qu’à sortir. Sans sa permission j’étalai le caca que j’avais sur les doigts délicatement sur ses belles fesses puis je pris cette fois le tuyau de douche je le positionnai à environ une longueur de bras de son postérieur et commençai à arroser d’eau tiède les zones souillées. Rapidement l’eau coula belle brune et quelques petits morceaux partaient avec. Elle eut rapidement la rondelle et le cul bien propres.
– Il faut me nettoyer l’intérieur maintenant !!
– Tu veux que…
– Vas-y dévisse l’embout !
– Ce n’est pas très conseillé de faire ça avec un tuyau de douche il vaudrait mieux une poire
– Vas-y tu le retireras dès que je te dis et baisse peut-être le débit de l’eau.
J’enlevai la douchette pour ne garder que le tuyau en main, j’avais entre temps coupé l’eau et j’introduisis le tuyau dans l’anus de Paméla.
– Vas-y doucement avec l’eau
J’ouvris légèrement le robinet, de l’eau fuitait à la jointure de son orifice, je poussai donc un peu le tuyau en essayant de ne pas lui faire mal
– Mets un peu plus chaud
Je tournai d’un quart de tour le robinet d’eau chaude. Environ 10 secondes plus tard elle me demanda de le retirer, ce que je fis délicatement en le déposant ensuite dans le fond de la baignoire
– Couche toi vite !
Ohhh j’ai compris ce qu’elle voulait faire. Pendant que je m’étalai dans le fond de la baignoire elle redressa son dos et s’accroupi à la hauteur de mon ventre.
Je ne sais toujours pas à ce jour si elle a voulu se vider sur ma queue, mon ventre ou mon visage mais ça a été très vite. Elle s’immobilisa, j’avais les yeux fixés sur son trou du cul d’où je savais qu’une fontaine allait sortir. Cela commença par quelques jets très légèrement colorés presque transparents, puis en une fraction de seconde c’est presque tout le reste de l’eau que je venais de lui mettre dans le cul qui se déversait sur mon ventre, avec des gouttelettes atteignant même mon menton. Le solide sorti droit derrière et une immense merde détrempée est venue atterrir sur mon torse plus ou moins à mi-chemin entre mon sexe et ma tête.
Je la voyais se concentrer et pousser fort, son anus d’ailleurs bougeait beaucoup. Quelques secondes plus tard, après avoir lâché un gros pet qui lui a même valu quelques bulles, deux ou trois jets sont encore sortis de son trou du cul. 4 à 5 secondes s’écoulèrent dans le silence le plus total jusqu’à ce qu’il soit rompu lorsque qu’elle se releva.
Sans pouvoir s’aider de ses bras et la voyant en difficulté, je lui donnai un coup de main. Elle se retourna vers moi, les yeux fixés sur son œuvre.
– Vas-y caresse toi !
Je pris mon sexe dans ma main et commençai quelques caresses délicates puis je me suis plus activement masturbé. Elle avait l’air de se régaler.
– Met un peu de ma merde sur ta queue.
Je pris presque l’entier de ce que Pam venait de me vider dessus et le fit couler sur mon chibre tendu à son maximum tout en continuant mes va-et-vient.
– J’ai bien vu hier que tu n’étais pas indifférent à me voir pisser sur mes chiottes. Et tes yeux t’ont trahi quand je t’ai vu regarder mon training puis ma culotte souillée. Je suis sûr que ça t’a plu. D’ailleurs tu l’auras compris, il ne s’agit nullement d’un accident… j’avais juste envie de te faire ce plaisir.
Quelle comédienne, j’y ai vraiment cru à son histoire d’accident.
– Bon maintenant que tu es tout sale je vais te nettoyer un peu. Tu vas avoir droit à un lavage au champagne veinard.
Elle s’avança de quelques centimètres afin de se positionner juste au-dessus de mon ventre. Elle fléchit légèrement les jambes. Il fallut attendre une bonne quinzaine de secondes avant de voir son flux ruisseler. Elle avait les yeux fermés, elle se concentrait pour libérer un maximum de son liquide, soudain elle les rouvrit et avança encore.
– Ouvre ta bouche je vais t’y faire gouter.
Impatient de gouter son nectar je m’exécutai avec plaisir en ouvrant grand ma bouche. Son pipi était chaud et j’étais excité de le sentir sur mon visage et sur ma bouche. Cependant son gout était très fort et pas forcément agréable. Cependant au vu du contexte, je ne pus m’empêcher d’en avaler.
– Maintenant prends ta queue et branle toi.
J’avais à peine commencé et déjà au bord de la jouissance qu’elle me dit :
– Attends aide moi à me mettre à genoux et ensuite mets-toi debout
Elle avait maintenant ma bite à la hauteur de sa bouche malgré sa volonté de me nettoyer avec sa pisse il restait une bonne quantité de merde sur mon bout.
Cela n’a pas eu l’air de la déranger.
– Mets là moi dans la bouche !
En temps normal elle l’aurait bien fait elle-même mais le contexte faisait qu’elle avait besoin d’un petit coup de main. Aussi je pris mon membre et le lui enfila dans a bouche déjà grande ouverte. Elle se contentait d’avancer et reculer la tête parfois je sentais sa langue se promener sur mon sexe. Avant qu’elle ne commence à me sucer, ma bite était maculée sur une grande partie de sa merde, cependant cette situation peu ragoutante n’eut pas l’air de la déranger. Au contraire.
Au bord de l’explosion depuis déjà plusieurs minutes il lui fallut moins de 15 secondes pour me permettre d’envoyer la purée. Elle fut d’ailleurs je pense surprise de la rapidité et peut être de la puissance du jet étant donné qu’elle se recula et se mit à tousser. Elle resta en arrière quelques secondes en me lançant un regard à la fois satisfait de ce qu’elle venait de recevoir, à la fois déstabilisée de s’étouffer à moitié.
Malgré son contrôle elle eut un ou deux hauts le cœur un peu comme quand le médecin vous fait un frotti buccal et que vous êtes à la limite de lui renvoyer l’entier de votre petit déj sous les genoux. J’ai bien cru à un moment qu’elle allait vomir. Il n’en fut rien.
Reprenant le contrôle de la situation, elle se lécha toute la lèvre supérieure toujours en me fixant droit dans les yeux me faisant bien comprendre qu’elle avait aimé. Elle s’approcha de moi et m’embrassa à pleine bouche en faisant tourner sa langue autour de la mienne et par la même occasion déposant un peu de sa merde et de mon sperme.
Si de son côté ça n’avait pas eu l’air de la dégouter, du mien ce fut un peu différent. J’ai bien cru gerber au moment d’avoir ce mélange en bouche.
– Vas-y dégueule, dégueule, me dit-elle comme si elle n’attendait que ça
Je devais me concentrer pour éviter de tout rendre et même si apparemment ça ne l’aurait pas dérangé, j’ai réussi à éviter le jet.
– Tu n’aurais pas pensé que j’étais aussi sale n’est-ce pas ?
– J’avoue que non, tout comme je n’avais pas imaginé que ma tournée de soins se déroulerait ainsi. Elle se mit à rire.
– Ça fait un moment que je pense à toi, que c’était du gâchis de t’avoir comme voisin et de ne pas en profiter de temps en temps, du coup quand j’ai su que tu revenais ce matin j’ai eu toute la journée d’hier pour réfléchir à ce que j’allais te préparer. J’ai pensé à t’attendre à poil dans la chambre mais ça manquait un peu de piquant alors j’ai décidé du scénario pipi et caca culotte. C’est une pratique assez régulière chez moi j’aime me laisser aller dans mes vêtements ça m’excite. J’ai donc décidé de t’accueillir ainsi.
– Initiation très agréable je dois le reconnaitre. Mais bon ce n’est pas tout, l’heure tourne et je devrais déjà être chez la suivante. je te propose de te laver un peu après toutes ces cochonneries, je t’habille et je file.
– Ok pour moi
Je finis minutieusement la toilette de Pam cette fois-ci beaucoup plus à l’aise de passer à la hauteur de ses parties intimes. Une fois lavée je l’habillai délicatement en faisant toujours bien attention à ses bras accidentés qu’elle ne pouvait bouger que très légèrement mais qui ne se le cachons pas, la faisait tout de même souffrir. Elle m’accompagna jusqu’à l’entrée vêtue toujours du même training que je venais de lui remettre.
– C’est toi qui reviens demain matin ?
J’ouvrai mon sac de soin et pris ma tablette afin de visualiser mon planning.
– Non ! demain ce sera… Ahh attends, si, si, demain c’est encore moi
– Chouette !! Du coup je te laisse la journée pour languir et imaginer ce qui t’attendra à ton arrivée demain.
D’un air satisfait elle me sourit et me souhaita une belle journée avant de refermer la porte derrière moi.
La preuve s’il en fallait encore que l’on peut écrire des choses scatos de façon intelligente.
Ça aurait pu être scabreux en fait c’est du grand art
Fabuleux, ça m’a fait bien bandé.
Une illustration originale et intéressante de ce fantasme. Bravo !
j’apprécie merci beaucoup, une nouvelle histoire est en cours 🙂
Je me suis régalé ! Le fantasme scato est très bien amené sans sombrer dans le crad ! J’ai bandé beaucoup
Oh ! Que c’est cochon 😉