Premiers jours après emménagement
Jeudi, 4ème jour
par Aeris
Une fois ma page d’écriture finie, je parti faire un tour de quartier, quelques courses pour l’appart, m’occuper des annonces d’emploi devant un café en terrasse. Mon regard se faisait parfois insistant sur les passantes, leur poitrine ou leurs fesses mais je fini par venir à bout de mon survol de journal et n’ayant rien trouvé dans les petites annonces (rien de surprenant, je surveillerai plutôt sur internet), je pris un second café et réfléchi à notre début de semaine, et surtout à la suite. Je ne savais pas ou Vive comptait aller comme cela, mais j’admis que cela n’en était que plus piquant. Je pesais le pour et le contre de la continuité de notre jeu, pour essayer de me montrer que j’étais un adulte raisonnable, mais au fond de moi je savais quelle serait ma décision, et j’avais hâte d’attendre ma Maîtresse ce soir.
En rentrant, je vis sur le répondeur un message, message où Vive me souhaitait une bonne journée, et m’informa qu’elle comptait arriver vers 18h le soir. J’organisais donc ma journée en fonction, commençant par prendre mon déjeuner, puis faire mes recherches sur internet ainsi que d’y perdre mon temps, comme d’habitude.
Un peu avant 5 h je me dis qu’il était temps que je me préparasse. Je fis donc couler un bain, rangeais soigneusement mes vêtements. Un dernier coup d’œil rapide pour vérifier que tout était impeccable dans l’appartement. J’avais prévu un truc simple pour le soir, une quiche. La pâte était déjà faite, ne restait plus qu’à faire la chair et faire cuire le tout, rien de bien prenant, on allait pouvoir se concentrer sur notre soirée. Sur le lit, tout était préparé aussi. Boxer en dentelle et collier. Cela m’excitait déjà. Je me mis enfin dans le bain, me lavant bien partout, me caressant un peu au passage tout en me prélassant encore un peu en pensant à la mise en scène qui était prévue. Je repoussais la tentation onaniste pour pouvoir profiter de mon excitation pleine et entière le plus longtemps possible. En sortant du bain, je fermai les volets, puis tamisai la lumière, mis mon nouveau boxer en dentelle. Je ne me sentais pas particulièrement viril dans ce sous vêtements fin, mais le contact était terriblement excitant. Je mis mon ustensile canin avec les bracelets correspondants, la chaîne me reliant les mains passant dans un anneau du collier. Je fermais les petits cadenas prévus pour m’enfermer, je pris le petit coussin du salon que j’avais préparé avec la clef posé dessus, à la manière de ciseaux d’inaugurations et attendis, à genoux devant la porte, il était 18h.
Je pense que ce ne fût pas par hasard que ma Maîtresse me fît attendre 15 bonnes minutes avant de pousser la porte, mais je me doutais qu’il s’agissait là d’un test ou peut être d’une dernière occasion de changer d’avis, le fait est qu’elle sembla ravie de ma présentation, ou de ma décision. Peut être, j’ose espérer, des deux. Elle prit la clef, qu’elle attacha à sa chaîne en or comme un pendentif pendant que, ayant posé le coussin, je la déchaussais et lui embrassait les pieds à travers ses jarretelles. Pas forcément facile avec mon attirail, mais ces mouvements restreints ajoutaient à mon excitation, très visible dans mon sous vêtements léger. Ma Maîtresse s’en rendit bien sûr compte puisqu’elle me précisa d’un air narquois que si ses pieds me mettaient déjà dans un état pareil, il ne fallait pas que je me fasse trop d’illusion pour pouvoir contempler le reste. Sur ces mots elle me dit de rester en place, elle ne ferma pas la porte, je me retrouvais donc à scruter le couloir, mais la peur d’être découvert était moins grande que celle de déplaire à Ma Dame. Quand elle revint, elle feint la surprise:
« – Quelle idiote je suis, j’espère que personne ne t’a vu dans cet accoutrement ?
– Non Ma Dame
– Avoue que tu le regrettes!
– Non Maîtresse. Répondis-je honnêtement pendant qu’elle fermait la porte.
Elle me regarda, je gardai les yeux baissés. Je m’en tirais à bon compte cette fois ci.
Elle passa derrière moi et sans rien dire elle me banda les yeux, attacha une laisse à mon collier et tira dessus. Contraint et forcé, je me levai et la suivi du mieux possible, malgré le stress de marcher en aveugle. Elle tira la laisse vers le bas, je me mis à genoux, supposant que c’était là son but. Le contact froid du carrelage confirma ce que mon instinct me disait. J’entendis ma Maîtresse se déshabiller et commencer à faire pipi. Quand le silence se fît de nouveau elle me dit:
» Si je t’ai amené là, c’est pour que tu te rendes utiles un peu, espèce de fainéant !
– Oui Maîtresse »
Je me mis donc à chercher le papier toilette avec mon ensemble tête mains quand je me pris une baffe retentissante
« Je n’aime pas beaucoup quand tu te moques de moi! Si je voulais utiliser du papier je pourrais le faire moi-même ! »
Je compris qu’elle voulait que je lèche son sexe encore tout humide et pris la décision de ne pas l’énerver. J’amenai donc la tête vers ce que je pensais être son bas ventre. Je trouvais sa chatte légèrement poilue et la léchait comme un chaton lapant son lait. Elle me repoussa au bout d’une minute bien trop brève, s’habilla et sorti, en me tenant toujours en laisse. Elle me fit m’agenouiller devant le lit, puis me posa la question de confiance. Je me confessai, des regards inquisiteurs de ma terrasse matinale jusqu’à mes attouchements de baignoire. Elle décréta que cela ferait 5 coups de martinets, qu’elle m’appliqua de suite, moi toujours aveugle, je comptais et remerciais.
Puis elle me dit qu’elle avait besoin de se laver, je l’entendis se dévêtir entièrement, je restai toujours en position, je sentis qu’elle me détachait mains et cou, elle se mit sur le lit et me dit de venir faire sa toilette pendant qu’elle se mit sur le ventre. Je m’appliquais à lécher chaque orteil puis remontais. J’entendais parfois une page se tourner. Quand j’arrivai à la hauteur charnue des cuisses, mes appétits se firent voraces. Je m’appliquai, allant même jusqu’à frôler le mordillement tant j’avais envie d’elle, puis vint la jonction avait les fesses, là aussi en élève appliqué, je passais ma langue plusieurs fois, je la sentais frémir et cela me mettait en transe, puis je me mis à m’occuper de ses globes trop rapidement entrevue la veille, ne commettant pas le pêcher de l’ignorance, je me mis à lui faire un anulingus qui ne me dégoûtait plus le moins du monde. De temps en temps je buvais à la bouteille pour me rafraîchir la bouche et renouveler son humidité. L’humidité de ma maîtresse quant à elle se renouvelait toute seule. D’ailleurs elle se retourna et je pus contempler sa chatte. Avec la langue exclusivement. Quand Ma Dame se mit à gémir, elle me complimenta, me demanda de lui laver un peu les seins, ce que je fis bien entendu. Elle mit sa main sur ma culotte, qu’elle trouva légèrement humide:
« Dis donc, c’est comme cela que tu traites les cadeaux que je te fais ?
– Pardon Maîtresse, vous m’excitez trop.
– Tu ne me vois même pas, menteur !
– Votre odeur et la douceur de votre peau suffisent.
– Je vois que je fais bien de te bander les yeux, puisque le reste bande tout seul. »
Pendant ce temps je restai assis sur le lit et je la sentis bouger, elle me libéra les yeux, je pu admirer sa silhouette et sa robe de chambre. Elle m’embrassa brièvement sur la bouche et me dis de lui servir l’apéritif au salon. Elle m’annonça vouloir du champagne pour fêter sa nouvelle soubrette, et elle me demanda de prendre deux coupes. J’amenais tout cela dans la salle après avoir mis le four à chauffer puis nous trinquâmes, elle confortablement assise, moi à ses pieds. Elle me raconta sa journée, me passant parfois la main dans la chevelure. Quand la coupe fut finie, elle m’autorisa à aller préparer le repas, ce que je pris pour un ordre. Néanmoins une fois debout elle me dit:
» Dis donc soubrette, tu ne m’a pas remercié pour cette autorisation. Baise-moi les pieds !
– Pardon Maîtresse.
– Tu ne t’en tireras pas à si bon compte.
– Veuillez m’excusez Ma Dame
Je pris une position humble, pénitente, et lui baisait longuement les pieds. Elle fini par me congédier et je pus enfin aller préparer ma quiche. Elle ne fut pas longue à mettre au four, je mis l’alarme du four à sonner et revint dans la salle. Les coupes étaient de nouveau pleines, ma Maîtresse était allongée sur le canapé et avait allumé la télévision. Elle me tendit ma coupe d’un air distrait, je la saisi puis bu un peu. Je restai planter là un certain temps puis me mis à genoux au niveau des pieds de ma Maîtresse, qui aussitôt me lança un regard noir:
« En ma présence je t’interdis de prendre des initiatives! Ou alors tu me demandes la permission ! Est-ce clair ? »
De nouveau ce ton glacial, glaçant, mais pour le soumis en manque que j’étais, terriblement excitant! J’acquiesçai silencieusement et me remis debout. Au bout de quelques minutes elle me dit :
» Viens me présenter tes fesses nues en posant tes mains par terre !
– Oui Maîtresse » dis-je en m’exécutant.
– Tu sais ce que je vais faire ?
– Me donner une fessée Maîtresse.
– Et tu sais aussi pourquoi ?
– Parce que je me suis agenouillé sans vous demander la permission Maîtresse.
– Bien, combien de coups laveront cet affront à ton avis ?
– Autant qu’il vous plaira Maîtresse, c’est vous qui avez été offensé et je m’en remets à votre sagesse.
1. Merci Ma Dame
2. Merci Ma Dame
3. Merci Ma Dame
4. Merci Ma Dame
5. Merci Ma Dame
6. Merci Ma Dame
7. Merci Ma Dame
– Bon remet ta culotte mouillée et va mettre tes bracelets et ta ceinture »
Je passai donc dans la chambre pour m’équiper, non sans avoir remis ma fine culotte de dentelle. En revenant Ma Maîtresse me fît venir près d’elle et m’agenouiller, et elle m’attacha les mains à la taille. Puis elle me fit boire à la coupe quand bon lui semblait. A nous deux nous descendions la bouteille bien vite, l’alcool s’additionnant à la situation générale pour m’exciter au plus haut point. Quand le four annonça la fin du temps de cuisson, Ma Dame se leva et alla à la cuisine, elle revint avec la quiche. Je n’osai évidemment pas bouger. Elle posa la quiche sur la table, en coupa deux bonnes parts, en mis une dans chaque assiette, puis coupa une part en petits morceaux. Ensuite elle reparti dans la cuisine ranger un jeu de couverts et un verre. En revenant elle s’assit en face de la table complètement mise et me fit lever et m’approcher. Comme j’attendais son ordre, je fus rapide à me retrouver debout à côté d’elle, elle m’informa:
« Tu as encore quelque chose à te faire pardonner non ?
– Bien sûr Maîtresse » dis-je en baissant la tête
– Et qu’est-ce ?
– Je ne m’en souviens plus ! Avouais-je honnêtement après un petit temps de réflexion.
– Tu ne m’as pas remercié de l’autorisation que je t’ai accordée ?
– Excusez ces impardonnables oublis.
– J’aurais bien aimé mais comment veux tu que je t’éduque si je ferme les yeux sur des manquements pareils. Si au moins tu t’étais souvenu de tes fautes, tu aurais pu manger à ma table, mais dans ces conditions… Dit elle en se levant et contournant la table.
Elle prit ce que je supposai être mon assiette, et la posa aux pieds de sa chaise, puis elle m’autorisa à manger, me précisant qu’elle ne voulait pas m’entendre et que si j’avais soif, je devais lui embrasser les pieds ou les mollets jusqu’à ce qu’elle accède à ma demande. Sans pouvoir prendre appui sur mes mains pour manger, je me retrouvai nécessairement prosterné pour prendre chacun des petits morceaux prédécoupés. Cela amusait vivement Madame qui, lorsque je me relevai me caressai parfois les cheveux en me faisant des clins d’œil, ou lorsque je me prosternai à ses pieds, me claquait les fesses amicalement. Avec une quiche, forcément salée, je fini par avoir soif, d’autant que ce repas n’était pas de tout repos. Je me mis donc à embrasser les orteils de ma Maîtresse nourricière, puis le dessus des pieds. Ceux ci se dérobèrent et se replièrent sous la chaise, je me mis donc à lécher la plante des pieds avant que quelques tics nerveux, sans doute dus à quelques chatouillis taquins, fassent battre ses pieds en retraite vers l’avant et miraculeusement descendre un verre d’eau. Je m’approchai donc et commençai à boire, sans avoir d’autre choix d’ailleurs que de finir le verre. Je me remis à manger, mais la position et la quantité de liquide absorbée distillaient une envie dans tout mon corps. Néanmoins je fini par finir mon assiette et avoir soif, je léchai le mollet de nouveau à ma portée puis descendis lentement avant d’être interrompu par une caresse capillaire, là encore je du boire le verre en entier, au risque de renverser. Je soupçonnais cette accumulation de boisson de ne pas être tout à fait innocente.
– Alors ca t’a plus ? me demanda gentiment ma Maîtresse
– Oui Madame. Répondis-je honnêtement, me surprenant moi-même.
– Espèce de petit pervers ! me dit-elle en souriant.
Je mis à profit cette ambiance décontractée pour demander la permission d’aller aux toilettes.
– « Permission refusée! D’abord je dois y aller » dit elle en se levant et en allant chercher mon bandeau et ma laisse.
Une fois harnaché, elle me tira aux toilettes et me fit mettre à genoux. Dés que je n’entendis plus la fontaine j’approchai mon visage pour la nettoyer, elle me plaqua la tête contre son sexe, puis me lança une dernière giclée dans la bouche. Je fus surpris et gardait ce liquide un certain temps en bouche avant de me forcer à l’avaler en toussant un peu. Ma Maîtresse me plaquait toujours la bouche sur sa chatte à l’odeur de plus en plus pénétrante et attirante. Elle me murmura:
« Alors mon beau, ça t’a plus hein ? Tu en auras le droit à plus si tu es sage…ou pas d’ailleurs »
D’une manière déconcertante, et bien que cela ne m’est pas plus tant que cela, ces paroles m’excitèrent, et mon envie me rendant nerveux, je cunilingussai frénétiquement. Ma Dame me plaquant toujours la bouche sur son abricot. Au bout de plusieurs longues minutes elle commença à gémir, renouvelant la pression, puis elle dit, cria presque:
« Tu m’excites, tu fais ça bien, presque aussi bien qu’une fille »
J’avoue que ce cri me perturba un peu mais je le pris comme un compliment et redoublait d’ardeur lorsque qu’elle fût pris de spasme et me repoussa la tête. Elle referma son peignoir, tira la chasse et me fit me remettre debout pour m’embrasser sur la bouche, en y mettant la langue et en me prenant par le cou, pour bien montrer que ce baiser, c’était elle qui le décidait et qui le dirigeait sans doute. Pas que j’ai eu beaucoup de choix en la matière remarquez.
Elle me caressa le sexe, bien en érection et me dit:
« Quand il se sera calmé redemande-moi si tu as encore envie de faire pipi »
Puis elle reprit ma laisse et m’entraîna dans la salle de bain, elle changea de nouveau mes liens et je me retrouvai avec les mains au cou et sans ceinture, juste avec ma culotte, elle me fit rentrer dans la baignoire, puis me libéra les yeux. Elle parti ranger un peu la cuisine. Au bout d’un moment, mon excitation était retombée et mon envie pressante. J’appelais timidement plusieurs fois avant qu’elle daigne venir et me demander, cherchant à feindre l’agacement sans cacher son amusement, ce qui n’allait pas.
» Je voudrai faire pipi Maîtresse.
– Ho regardez moi cet enfant qui demande à sa Maîtresse pour faire pipi…C’est bon, tu es dans la baignoire, tu peux faire pipi.
– Bien Maîtresse mais…
– Qu’est ce qu’il y a Si tu crois que je vais te la tenir tu rêves !
– C’est pas ça, je voudrais juste que vous enleviez cette culotte, c’est un cadeau auquel je tiens
– Tu as vu dans quel état elle est, tu ne me feras pas croire que tu y tiens! Et puis tiens je regarderai bien ce qui va se passer, reste debout face à moi »
Puis elle s’assit sur la chaise et me regarda. Je compris que je n’avais rien à espérer et que son coup était bien monté. Je ravalai mon honneur au bout de plusieurs minutes, n’y tenant plus, et je me mis à tremper cette culotte puis le flux dégoulina le long de mes jambes, ma Maîtresse me regardait manifestement amusée et fascinée.
« Hé bien, c’était une grosse envie, mais c’est quand même pas une raison pour faire pipi culotte!
– Pardon Maîtresse » dis-je sincèrement penaud.
– Bon, voyons voir ce que l’on peut faire, on va commencer par enlever cette culotte.
Ce qu’elle fit, non sans mal entre mes jambes flageolantes, une excitation de nouveau naissante devant sa douceur.
« Beurk, c’est trempé, tiens, la voilà, prend la bien dans tes mains, ne va pas la faire tomber dans la baignoire pleine de pisse en plus! »
Ce que je fis, m’enivrant ainsi du parfum de ma honte pendant que Ma Dame prenait bien le temps de se laver les mains. Elle me fit sortir et mettre à genou devant la baignoire, toujours le nez dans mon parfum et revint avec le martinet:
« Bon là c’est 5 coups, tu n’y couperas pas
– Merci de votre bonté Maîtresse.
– Cherche pas à m’amadouer, ce sera 7 !
– Comme il vous plaira Maîtresse
– 9
– Pardon Maîtresse
– 11
-… »
Ce furent douze coups qui cinglèrent mes fesses déjà échaudées ce soir. Tous furent dûment comptés et ma Maîtresse à chaque fois remerciée comme il se doit, le nez et la bouche toujours dans ma culotte.
« Bon, maintenant il faut laver tout ca, va dans la baignoire ! »
Je m’exécutai de bonne grâce, puis vie avec bonheur Ma Dame me rejoindre, toujours en peignoir.
« Je vais en profiter pour me doucher aussi, donc tu te prosternes, tu ne regardes que mes pieds, si tu essayes de voir autre chose tu le regretteras très amèrement. Est-ce clair
– Oui Maîtresse » dis-je en me prosternant et en posant mes mains entre ses pieds, tenant toujours la culotte comme masque respiratoire de part mon peu de liberté de mouvement.
Elle se lava de manière exhaustive, m’aspergeant parfois d’eau, puis elle sorti, se sécha et me laissa prosterné dans la baignoire encore un certain temps. Elle revint avec une tisane:
« Bon, je vais te détacher, tu vas remettre ta culotte et tu viendras me faire la lecture »
Quelques minutes après, je me retrouvais agenouillé à côté du lit, Ma Dame s’était mise en pyjama sur le lit. Posé à la tête du lit, un petit paquet de feuilles intitulés « Chanette » que je me mis à lire à haute voix. Je commençais à comprendre des choses sur mon début de semaine…et je l’avoue à reprendre un peu de vigueur également, pendant ce temps je devinais Madame en train de se caresser les seins et le con sous son pyjama. Je n’osai trop relever la tête mais cela perturbait ma lecture. Après quelques pages, j’entendis des gémissements puis ma Maîtresse m’adressa la parole:
« C’est bon, tu peux arrêter, mais je suis déçue de la façon dont tu lis, pour la peine je vais encore t’attacher cette nuit ».
Le matin au réveil, Ma Dame me réveilla en caressant mon entre jambes. Elle me mit un bandeau sur les yeux avant de me donner à goûter son sexe que je me mis à sucer, lécher, voire mordiller du bout des lèvres avec de plus en plus de vigueur au fur et à mesure que je me réveillai. Ma Maîtresse me précisa qu’il fallait bien que je nettoie les sécrétions nocturnes puisque c’était de la faute de mes lectures. Une fois cela fait elle se leva, parti à la cuisine, je l’entendais déjeuner, j’étais toujours attaché et dans le noir, dans ma culotte en dentelle pas très propre. Puis je l’entendis dans la chambre, s’habiller sans doute, et enfin quitter l’appartement.
Quitter l’appartement Ce jeu n’était pas très drôle, je ne me voyais pas rester comme cela pendant toute la journée. Après un temps pas très long, j’entendis une clef dans la serrure, je ne connaissais pas de femme de ménage à ma Maîtresse mais comment être sûr. Puis une personne rentra dans la chambre, j’osai un timide:
« Madame »
J’eus le droit à un rire étouffé en réponse.
Puis une main douce me détacha du lit, m’effleura la poitrine et sorti de la chambre puis de l’appartement. Je pu me lever, déjeuner et faire mon blog privé (ça fait mieux que journal intime non ?) Je m’attaque à la liste de choses à faire après manger, il faut changer les draps, soit disant à cause de moi…