Premiers jours après emménagement
6 – Samedi
par Aeris
Bon je ne peux résister à la tentation, mais il faut que je fasse vite, ma Maîtresse est partie chez le coiffeur. Hier soir ma Maîtresse a appelé de sa voiture, je l’ai donc accueilli comme elle me l’ordonna avec pour seul habillement ma ceinture, me bracelets et mon collier. Sans un mot elle m’amena dans la salle de bain, m’attacha les mains à la taille et me fit m’allonger par terre:
» Ferme les yeux, si tu les ouvres avant que je te l’ordonne tu seras privé de repas et de sortie ! »
Elle se déshabilla rapidement puis se mis à pisser, oui, à me pisser dessus. J’étais souillé, humilié excité, elle avançait petit à petit, son jet tombant sur mon torse, puis remontant, j’essayai d’en boire.
« Hé bien ma petit pute en redemande, heureusement que j’ai bu beaucoup et que je me suis retenu tout l’après-midi! » dit-elle en se positionnant au-dessus de ma bouche pour que je n’en perde pas une miette.
« Allez salope, lèche bien comme tu sais faire…tu aimes bien me lécher, hein salope? »
« Oui Maîtresse, j’aime vous lécher! »
« Alors lèche là aussi, me dit elle! » en me présentant son anus
Le goût était âcre, ce coup-ci ma dame ne sortait pas de la douche, mais pas désagréable pour autant, je prenais goût à ces gâteries.
« Bon, tu restes là dans ma pisse, tu ne vaux pas mieux, moi je vais me laver »
Je pris soin de garder les yeux fermés. Une fois la douche finie, elle vint se faire sécher sa chatte adorée sous ma langue, assise sur moi j’étouffais un peu mais c’était tellement excitant, j’ai cru que j’allai jouir aussi, mais elle jouit avant moi, me détacha, me dit d’attendre 5 secondes pour ouvrir les yeux et tout nettoyer, moi compris.
Pendant ce temps elle s’affairait dans la cuisine pour préparer les carbonaras prévues pour ce soir.
Quand je sorti de la douche, nous passâmes à table, enfin face à face, mais j’avais l’interdiction de lever les yeux sur elle. Elle me raconta sa journée, m’informa qu’elle avait quelques cadeaux pour moi qu’il fallait se dépêcher d’essayer, me demanda de me confesser aussi tout en mangeant. Je n’eus pas grand-chose à avouer, si ce n’est quelques excitations temporaires dans la journée. Elle me pardonna l’ensemble et me montra trois paquets:
« Vas-y, essaye ça, je veux voir un défilé pour chaque, donc tu enfiles dans la chambre et tu reviens me montrée comme une bonne petite modèle.
Je mis le premier boxer et je rentrai dans la pièce en me dandinant.
« Viens plus près! Tourne-toi! » Et là grosse claque sur les fesses:
« Je veux que tu marches mieux que ça, plus lentement, et que tu pivotes sur toi même pour que je puisse tout admirer, je veux aussi que tu dises de quoi il s’agit quand tu rentres! Recommence !
« Boxer en dentelle »
« C’est un shorty ! Pas un boxer ! Et travaille ton déhanché, recommence mais viens chercher ta punition d’abord, mets-toi à genoux devant moi! »
Elle me baffa fortement puis me donna l’ordre de reprendre:
« Shorty en dentelle noire et rose »
« Très bien! Tu marches mieux, c’est bien, oui tourne toi, et au suivant! »
« Shorty en dentelle blanche »
« Viens chercher ta punition ! C’est pas de la dentelle c’est de l’italien ! Tu connais vraiment rien ma pauvre »
Je m’agenouillai et me pris une baffe de l’autre côté, excité par cette domination et ce pronom féminin avant de m’en retourner.
« Tanga en dentelle marron »
« C’est bien, bon tu vas t’habiller, tu mets le shorty noir et rose, ton pantalon taille basse, un polo et on va au cinéma.
Mon cœur s’accéléra, ce pantalon laissait voir le haut de mon sous-vêtement lors que je me penche ou me baisse, je risquai d’être la risée de tout le monde, mais je ne protestai pas, si c’était le souhait de Madame…
Arrivé au Multiplex, dans la file d’attente, ma Maîtresse fît tomber son portemonnaie, je me baissai pour le ramasser, serviable. Le couple derrière risquait d’avoir vu ce que je portai. Cela m’excitait, terriblement comme situation. Enfin arrivés dans la salle je me calmai un peu et pu profiter du film. Le film était bon et prenant et j’en oubliai la situation actuelle jusqu’au moment de se lever. Dans la queue pour sortir, Madame laissa choir son programme et me demanda sèchement de le ramasser, ce que je fis tout en remarquant les coups de coudes amusés du couple derrière nous, je rougi et me relevait prestement…
Au retour, Ma Maîtresse s’arrêta sur une aire avec toilettes entre deux voitures occupées par des jeunes en train de se bécoter fenêtres ouvertes, elle se dirigea vers les toilettes, puis revint quelques secondes plus tard et dis de loin en s’adressant à moi:
« Pas possible de pisser, c’est trop dégueulasse, viens avec moi dans le bosquet »
Je sorti de la voiture et la suivi dans le bosquet qui était à quelques dizaines de mètres:
« Accroupi toi! Ferme les yeux! »
Et elle me fit passer sous sa robe et boire son nectar qui coulait de manière maîtrisée, j’avalai tout fièrement et goulument.
En revenant à la voiture elle me demanda de lui ouvrir la portière, elle fit tomber sa clef et je dû me baisser, en me relevant je la vis faire un clin d’œil à la fille de la voiture voisine qui regardait mes fesses, ma tête et ma Maîtresse, éberluée.
PENDANT QUE J’ÉCRIVAIS, MA DAME ADORÉE, TOUTE PUISSANTE, MAÎTRESSE DE MA VIE, LUMIÈRE DE MES NUITS, EST RENTRÉE DISCRÈTEMENT. ELLE M’A PRIS SUR LE FAIT, APRÈS UNE COURTE EXPLICATION JE DOIS TAPER CE TEXTE, FINIR LE JOURNAL DU JOUR, ET ME PRÈPARER À ÊTRE SÉVÈREMENT PUNIE, COMME UNE SALOPE QUI TIENT SON JOURNAL AVEC DES TEXTES SALACES.
La suite fût une nuit sans histoire, le matin Madame commanda un « petit déjeuner amélioré de luxe », qui consiste tout d’abord à ne pas se lever pour son pipi matinale, je dû la boire dans le lit.
« J’aime de plus en plus faire pipi moi » fit-elle remarquer pendant que je buvais.
Par la suite, le plateau fût rempli de café, pain frais et croissants que j’allais chercher rapidement, jus d’oranges pressées, fromage blanc avec quelques morceaux de fruits fraîchement découpés. Pendant ce temps j’eu l’ordre de m’installer confortablement entre ses cuisses et de lécher délicatement et longuement son sexe, tout en ayant bien sûr les yeux bandés.
Une fois relu et corrigé de ses innombrables fautes, ce pourrait éventuellement être intéressant