Cette fois, grâce à une revue d’annonce, j’avais sélectionné quelques candidats et contacté un gars qui semblait correspondre et j’ai pris rendez-vous avec lui.
Il me reçu chez lui, une toute petite maison à Marseille avec cuisine et coin salon et prolongé d’un grand lit séparé par un meuble bibliothèque.
Un jeune de 28 ans, bien fait, beau, sympa qui m’offrit un café. Je lui expliquais mon but : trouver des hommes virils pour ma femme très porté sur le sexe alors que moi, j’étais devenu impuissant.
J’aime ce scénario qui excite beaucoup Odette : je suis le mari très voyeur qui ne peut plus et qui lui offre des hommes pour satisfaire sa libido. Il n’y a qu’à la fin que j’arrive à bander pour lui éjaculer dessus. L’inconvénient c’est que la capote étant obligatoire avec Odette, mais pas entre « époux », je ne pouvais la prendre dans ce cadre là !
Qu’importe j’avais d’autres plaisirs : La photo, la voir avec une autre, la toucher, la lécher etc…
Donc, avec ce gars, Patrick qui semble être le bon choix, je lui explique tout mais aussi que la condition c’est d’être photographié. Il demande juste que cela ne soit pas publié, n’ayant jamais vécu ça et il est partant. Je lui demande s’il veut voir Odette en photo, non, il préfère la surprise. Je lui précise qu’elle aime la gentillesse dans l’abord, qu’elle se déchaîne après, et que s’il n’est pas trop gros il pourra la sodomiser.
Il n’en revient pas que je permette tout ça, il dit qu’il n’a pas souvent enculé une femme…
– Si tu fais comme il faut, que tu la prépares, elle te laissera faire…
Je lui explique ce qu’elle m’a raconté de son mari (le vrai) qui l’a sodomisé pendant la nuit de noce, qu’elle y a pris goût et prend un vrai plaisir maintenant.
J’ajoute :
– Au fait il faut que je t’avertisse, c’est une femme fontaine, tu en as déjà connu ?
– Non j’ai entendu parler, elle mouille beaucoup ?
– C’est bien plus que ça, bien excitée, elle gicle carrément, il faut prendre des précautions pour ton matelas…
Il semble incrédule, on convient d’un rendez-vous pour le lendemain, on viendra d’abord chez lui, elle a toujours peur de tomber sur quelqu’un qu’elle connaît et lui se montrera après.
Vers 15 heures, le lendemain après avoir flirté à proximité, Odette se sentit prête, elle était vêtue assez sexy : talons hauts, jupe noire courte et plissée, corsage assez transparent boutonnée, petite veste en cuir.
On ouvre la porte du jardinet, puis je frappe à l’entrée qui est ouverte aussi, je la fais asseoir, on sent l’odeur du café, il n’est pas dans la salle de bain, mais je le vois à la porte du jardinet… Elle ne le connaît pas, heureusement et je lui présente « ma femme »
Très correct, il discute un peu, propose le café et je décide de lancer les « opérations » pendant qu’on le boit. Je vais derrière elle, debout et dit :
– Alors est ce que ma femme te plait ? Elle est mignonne, non ?
– Oh oui, je n’ai pas voulu voir votre photo, et je ne suis pas déçu du tout
– Et tu n’as rien vu encore !
Je lui enlève le blouson, lui caresse la poitrine.
– Tu vas voir les beaux seins qu’elle a ma coquine !
Jouant le jeu, elle rétorque :
– Chéri, tu exagères, tu veux déjà me montrer ?
– Bien sûr, on est là tous les trois pour ça, non ?
Je l’embrasse en défaisant quelques boutons, j’écarte son chemisier, montre son soutien gorge.
– Ça te plait, Patrick ?
– Humm, oui j’aime bien les dentelles !
Je la caresse sur le soutif, puis en dessous et j’extrais un sein d’un bonnet puis l’autre.
– Regarde les tétons bandés qu’elle a déjà ! Tu es excitée, hein chérie ?
– Tu le vois chéri !
– Tu veux qu’il te touche un peu ?
– Oui, je veux bien, tu viens Patrick ?
Il semble rêver de ce qui lui arrive, cette facilité, il s’approche sans rien dire, tend une main vers sa poitrine. Je le laisse faire puis, je prépare mon appareil photo et je commence ma séance.
Ma « chérie » semble très excitée par cette situation, la première fois qu’on vient chez un inconnu, qui plus est, un gars bien et il semble apprécier ses superbes seins qu’il caresse et embrasse. Ils sont sur un banc, une de ses mains va sur une cuisse, puis entre ses cuisses. Elle a mis des bas noirs à coutures qu’il découvre avec plaisir et il le dit. Il relève un peu la jupe, touche les jarretelles
– C’est rare de voir ça maintenant, des bas, des porte-jarretelles !
– Ça te plait ? c’est sûr que c’est pas les minettes qui portent ça, à part les jeans ou les survêts plus les baskets, pas grand chose de sexy ! Moi je veux que ma femme soit toujours sexy et je l’oblige même pour aller au travail !
– Tu m’obliges, chéri, mais il faut dire que ça me plait aussi !
– Ça te plait surtout d’exciter les mâles, tu aimes qu’on te regarde, hein ?
Sur ce, je les rejoins, je l’embrasse à pleine bouche, lui caresse les seins, les cuisses, Patrick a déjà une main sur sa culotte, j’écarte ses cuisses en grand, il la fouille sous sa culotte, elle est très excitée, respirant fort.
– Elle est mouillée, Patrick ?
– Oui, pas mal.
J’y mets aussi ma main.
– C’est rien ça, bientôt elle aura trempé sa culotte, hein chérie ?
Les yeux fermés, elle me laisse la masturber jusqu’à l’entendre dire :
– Oui, chéri, continue, c’est bon, encore !
Je lui fais signe de sucer un téton et je la branle de plus en plus vite
– Oh, oui, ça y est, je vais jouir, oui, oui,
Elle a quelques sursauts, je sens sa jouissance chaude couler sous mes doigts. J’ôte ma main, prend celle de Patrick, la pose sur la culotte.
– Putain, elle est trempée, c’est dingue
– Et elle jouit plusieurs fois si on sait y faire…
Puis je propose qu’on aille sur le lit, c’est plus confortable ; elle s’y assied, s’occupe de la braguette de notre ami, lui sort le sexe, le branle, les yeux fixés dessus, puis elle se penche pour le sucer.
Un exercice qu’elle fait très bien, il apprécie, je fis des photos, puis je vais la déshabiller un peu, chemisier, pas le soutien gorge dont j’extrais les deux seins, ce qui les fait « gicler » vers le haut. Derrière elle, je les lui caresse en l’encourageant.
– Vas-y, suce ce beau sexe, fait le bien dur pour ta petite chatte et ton petit trou du cul !
Par chance, il n’est pas trop gros pour cela, puis pendant qu’il se déshabille, je lui enlève la jupe, la caresse, lui enlève la culotte.
Je la couche sur le dos, lui écarte les cuisses, la chatte et dis à Patrick :
– Voilà, je t’offre ma femme, tu peux la sucer, la baiser, l’enculer, ça lui plait, tout lui plait, c’est devenue une vraie cochonne, hein, chérie ?
– Oui, grâce à toi, mon chéri !
– Tu veux que je te lèche un peu pendant que tu me suces ?
– Oh, oui, tu sais que j’adore ça et après il me prendra, tu veux ?
– Bien sûr, chérie !
Il grimpe sur le lit, elle dévore Patrick pendant que ma langue fouille sa fente trempée. J’adore ce genre de situation et grâce à elle j’en ai connu plein d’autres après
Je mate Patrick qui lui pénètre la bouche et quand je la sens pas loin de jouir, je lui fais signe. Il y a une serviette éponge pas loin, je lui fais comprendre de la prendre et qu’il vienne voir. Je mets la serviette sous elle comme on le fait dans la voiture, ce rituel déjà contribue à sa jouissance, puis je la masturbe en écartant ses lèvres.
Et d’un coup on voit une, deux, trois giclées sortir de sa chatte, c’est incroyable et Patrick n’en revient pas.
Elle disait ça « je m’ouvre ». Elle m’expliqua qu’elle avait ‘impression qu’au plus fort de l’orgasme, sa chatte à l’intérieur devenait énorme, je n’avais jamais connu ça et en plus après j’y mettais quatre doigts facilement. Drôle de phénomène ! Je lui dis de le faire et il lui glissa deux, trois, quatre doigts aussi… toujours pâmée, se tenant les seins, je lui fis signe de la branler, en dix secondes elle éjacula à nouveau en lui trempant la main.
Je refis des photos, puis après l’avoir léché, elle lui mit elle-même une capote montrant son impatience à être prise, au point qu’elle le poussa sur le dos pour s’empaler sur lui.
Ma « femme » était aux anges, la bouche ouverte, gémissante, elle s’enfilait, ressortait avec un énorme plaisir. Je continuais les photos, la caressais, lui suçais les seins, l’embrassais, puis me déshabillais à mon tour.
J’étais sensé ne pas bander, je me fis sucer quand même pendant qu’elle s’empalait accroupie, le dos vers lui. Elle me regardait dans les yeux, montrant son plaisir, se caressant le clito et les seins, un régal !
Puis je m’occupais de ses seins, de son cul, de son clito par exemple en levrette, je lui écartais les fesses et la poussait sur lui pour qu’elle le prenne à fond.
J’éprouvais un plaisir inouï de la voir se donner ainsi, Patrick était ravi car en plus très active, elle bougeait toujours, gémissant, changeait de position pour toujours plus de plaisir, et par chance il était résistant, maîtrisait son sexe très bien.
Puis, je sortis de mon sac le petit vibro, elle le prit et s’en servit tout de suite sur son clito.
A un moment où il ne la prenait pas, car on fit une pause, je lui dis de se masturber avec.
Ecartelée sur le lit, elle le promena sur sa fente secouée de spasmes elle adorait ça, puis se l’enfonça dans la chatte en faisant un clapotis !
Je lui relevais alors les jambes en les écartant et glissais un doigt dans son petit trou :
– Oh oui, oui, je veux être enculée, Patrick, viens entre mes fesses maintenant !
Je la branlais encore puis écartais son cul lorsqu’elle fut en levrette, regardant le sexe de Patrick l’enculer avec facilité.
Elle avait un anus très souple et la sodomie lui prodiguait un plaisir très intense qui la faisait gicler aussi ; celles qui pratiquent le savent !
Je me plaçais après quelques photos de la scène, face à elle qui me suça divinement, mais je me retenais.
D’un coup elle me lâcha et dit :
– Oh, le salaud, il m’encule comme un dieu !
– Tu te régales, hein, chérie de prendre ça dans ton petit cul ?
– Oh que c’est bon !
Elle se poussait sur lui sans arrêt et d’un coup elle lâcha :
– Je vais jouir encore, vas-y encore !
Et Patrick aussi :
– Putain, que c’est bon, je peux plus, je pars !
Ils ont joui ensemble très très fort. Je leur tendit après du sopalin, puis je dis :
– Ma chérie, tu m’as beaucoup excité, je vais te remercier, viens !
Elle savait, elle s’était assise au bord du lit.
– Regarde Patrick, il n’y a qu’après ça que je peux jouir.
Je me suis fait sucer, puis je me masturbais devant son visage et je partis, lui envoyant sept ou huit giclés de sperme sur le visage et j’en ai fait des photos.
– Merci mon chéri !
On quitte le jeune qui veut nous revoir… nous aussi… .On le rencontrera une deuxième fois…
Bernard, photographe
Novembre 2005