Martinov 26 – Les sculptures incas – 11 – L’avocate en partouze par Maud-Anne Amaro

Martinov 26 – Les sculptures incas – 11 – L’avocate en partouze par Maud-Anne Amaro

A Louveciennes au domicile et laboratoire du professeur Martinov c’est Sophia qui arriva la première.

– C’est donc ici que vous réalisez vos exploits ! Demande-t-elle
– Exploits est un bien grand mot mais si les murs du labo pouvaient parler, ils en raconteraient des choses ! Répond le professeur
– Des choses inavouables ?
– Un peu coquines, dirons-nous !
– Et c’est racontable ?

Le professeur se demande s’il n’est pas allé trop loin

– Continue, Sophia ne se choquera pas !

Et c’est ainsi que le professeur Martinov stimulé par un petit verre de whisky se mit à raconter comment en collaboration très étroite avec Béatrice, il inventa le « lapin dur » un élixir de bandaison qui fit sa fortune. (Voir Martinov 1- le lapin dur)

– Mais pour l’expérimentation ? Demande Sophia.
– J’y viens ! Nous pensions rétribuer des volontaires mais cela aurait pu être une source de problèmes en cas d’échec ou de complications inattendues. Alors on l’a expérimenté sur nous-même. On a avalé le produit, et au bout de quelques minutes nous étions devenus de bêtes en rut…
– Et vous en gardez un bon souvenir ?
– Ma foi, oui ! Répond Martinov. Ça a été le début de notre complicité.
– Ah, vous êtes donc amant et maitresse, j’ignorais…
– Mais pas du tout ! On aime bien de temps en temps faire du sexe ensemble, mais ça s’arrête là.
– C’est purement physique alors ?
– Oui, mais ça ne nous empêche pas de nous estimer beaucoup ! Ajoute Béatrice.
– Ça m’intéresserait d’essayer votre produit.
– Pas de problème, je vais vous offrir un échantillon, mais n’en prenez pas maintenant, on a du travail, Notre ami Gérard Petit-Couture devrait arriver d’un moment à l’autre…

Et justement quand on parle du loup… Gérard et sa compagne Florentine sonne au carillon d’entrée

On fait les présentations, le courant passe entre Sophia et le couple Petit-Couture.

– Maître Sophia Canaval, avocate…
– Avocate ! Mais vous êtes là à quel titre ?
– Je suis l’avocate de ces messieurs dames.
– Et pourquoi avoir besoin d’un avocat, vous avez fait des bêtises ?
– Non, répond Béatrice mais on s’est fait agressés par une fratrie de connards plus ou moins soutenue par les édiles locaux, on a donc porté plainte.
– Et je suppose que vous avez besoin d’un petit coup de main ?
– Ça serait pas mal en effet !
– Hum. Vous allez nous raconter tout ça en détail et dans l’ordre chronologique. Je vais prendre des notes.

C’est Beatrice qui raconte, car il est vrai que le rôle du professeur Martinov dans cette affaire n’a pas été majeur même si ça s’est terminé dans les fourrés.

Gérard prend des notes… et quand Béatrice a terminé son récit, Sophia prend la parole à son tour narrant sa visite à moitié raté chez les Laurensot

– Eh bien quelle histoire ! Et vous attendez quoi de moi, exactement ?
– En fait, explique Béatrice, on n’est pas trop à l’aise dans cette affaire. Pas de témoins extérieurs à l’affaire, les Chamoulet sont quasiment rejetés par les gens du coin, gendarmerie et maire compris. Quant aux Laurensot, ils sont bien considérés… mais je reste persuadée que sont des voyous qui cachent bien leurs jeux, alors si on pouvait renverser la vapeur…
– Faudrait donc que je puisse fouiller chez eux… déjà il faut y rentrer, or ça ne va pas le faire, ils ont déjà eu deux visites…
– Et en te servant de ta carte de la DGSE ? Intervient Martinov.
– Oui, ça reste une possibilité, mais si je pouvais gagner leur confiance se serait mieux… Faut que je réfléchisse. Mais dis-donc Martinov tu manques à tout tes devoirs, je boirais bien un petit coup.
– Je vais chercher des verres ! Whisky ?
– Oui !
– Un Martini pour moi ! Précise Florentine.

Martinov revient et en profite pour apporter à Sophia un flacon de « Lapin dur », geste qui ne manque pas d’intriguer Gérard.

– Ben, Martinov, tu pourrais être discret ! Se gausse-t-il.
– Pas grave, j’assume ! Répond Sophia.
– Faites attention, mon mari est capable de vous draguer ! Intervient Florentine sur le ton de la plaisanterie.
– Il a le droit d’essayer, mais j’ai une certaine préférence pour les femmes !
– Alors ce serait plutôt à moi de vous draguer ? Lui dit Florentine.
– Pourquoi pas ? Draguez-moi allez-y !
– Je fais ça comment ? A la romantique ou la rentre-dedans ?
– Nous ne sommes pas dans Roméo et Juliette, allez-y carrément !
– Madame votre bouche m’attire ! Commence Florentine.
– Ah, oui ? Ce doit être mon rouge à lèvres, il paraît qu’il fait pute !
– Dans ce cas, vous êtes une très belle pute !

Sophia éclate de rire !

– Vous croyez que c’est vraiment une façon de draguer ?
– Il y a bien longtemps que je ne drague plus, en revanche si l’on me drague il m’arrive de me laisser faire.
– Alors on recommence, c’est à moi de parler ! Reprend Sophia, J’ai très envie de voir tes gros nichons !
– Ça c’est des paroles à se ramasser trois baffes, mais comme je suis très joueuse je vais te montrer tout ça.

Et sans hésiter une seconde, Florentine se débarrasse de son haut puis de son soutien-gorge.

– Oh, que c’est beau ! S’écrie Sophia qui a déjà les mains sur les seins de sa partenaire, qui les soupèse et les pelote.
– Pince-moi les tétons, j’adore ça !
– Un peu maso ?
– A mes heures !

Sophia fait rouler entre deux doigts les pointes érigés de la belle Florentine qui se pâme d’aise … et qui en redemande

– Ah, j’aime trop ça ! Continue.

Sophia continue mais sa bouche a remplacé ses doigts et c’est maintenant ses lèvres qui se collent sur les tétons et les tètent. Délicatement elle va même jusqu’à les mordiller.

– Vas-y bouffe-moi !

Mais au bout d’un moment, Florentine se dit qu’un peu de réciprocité dans ce duo serait la bienvenue.

– Et si tu te mettais à poil ?
– Devant ces messieurs qui ne m’ont jamais vu nue, je n’oserais jamais ! Plaisante-t-elle.
– Si tu ne le fais pas, je vais leur demander de te déshabiller de force ! Répond Florentine sur le même ton.
– Mais en voilà une bonne idée ! Messieurs je suis à votre disposition, déshabillez-moi, humiliez-moi, violez-moi !

Le professeur Martinov et Gérard se regardent, se demande à quel degré il faut pendre cette étrange invitation.

– Bon alors, vous attendez quoi ? Je suis toute mouillée, moi !

Alors, ils y vont, Gérard fait descendre le pantalon tandis que le professeur s’occupe du haut… Bref en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire, la belle avocate se retrouve à poil.

– Je vous fais bander, j’espère ? Demande-t-elle une main sur chaque braguette… Oh là là c’est que ça bande fort là-dedans. Sortez vos bites, sinon elles vont étouffer !

Le professeur hésite, mais pas Gérard qui déballe son service trois pièces avec décontraction.

La vue de cette belle bite donne des envies très particulières à notre cher Martinov. Cette queue, il l’a déjà fréquentée, de la bouche et du cul, mais on ne se lasse jamais des bonnes choses !

Il la sucerait volontiers, là, tout de suite, mais il craint de choquer la sémillante avocate malgré le fait qu’elle paraisse fort délurée.

Gérard s’est aperçu du trouble du professeur

– Dis donc, vieux coquin tu as fini de lorgner ma bite ?
– Mais je ne lorgne pas !
– Il n’y a pas de honte à ça, j’ai rarement eu l’occasion de voir un homme en sucer un autre. Intervient Sophia

Martinov sent que la situation se dédramatise et pour ne pas avoir l’air emprunté, sort à son tour son oiseau de sa niche.

Sophia s’est accroupie devant Gérard et s’apprête à le sucer.

– On le suce à deux ? Propose-telle à Martinov.

Vous pensez bien que notre vert professeur n’allait pas dire non.

Et le voilà accroupi aux côtés de Sophia en train se refiler la bite de Gérard qui se laisse faire de bonne grâce.

– Et la sodo, vous faites aussi ? Demande Sophia en libérant sa bouche.
– C’est un petit plaisir que j’apprécie bien. Répond le professeur en libérant la sienne.

Florentine, provisoirement largué s’en est allé proposer la nudité de son corps aux caresses de Béatrice. Cette dernière se retrouve très vite débraillée. Les deux femmes se connaissent et s’apprécient, mais elles apprécient aussi la douceur et le goût de leur peau, le parfum de leurs intimités.

Et c’est sur le canapé qu’elles entamèrent un soixante-neuf de retrouvailles.

– Je peux te baiser ? Demande Gérard à Sophia.
– Je ne saurais refuser, mais avant j’aimerais bien regarder comment tu encules ce gentil monsieur.


– Tu as entendu, Martinov, il faut que l’on fasse plaisir à la dame !
– Alors ne la privons pas de ce plaisir ? On se met où, le canapé est occupé par ces dames…
– On les vire ? S’amuse Gérard.
– Je vais m’installer sur le fauteuil ! Propose le professeur.

C’est donc ce qu’il fait, à genoux face au dossier, allant jusqu’à écarter les fesses pour faciliter l’entrée.

Gérard s’encapote, puis vient lutiner l’anus de Martinov de sa langue afin de lubrifier correctement ce petit endroit. Puis d’un coup de rein fait pénétrer son gland. Second coup de rein, la bite est cette fois bien enfoncé. Il peut donc entamer ses va-et-vient.

– Mais c’est qu’il aime ça, le monsieur ! S’amuse Sophia.
– Ouiii !

Et au bout de quelques minutes, le professeur se mit à jouir du cul en poussant un râle. Gérard décula :

– Alors, mon vieux Martinov, t’es content, je t’ai bien baisé !
– Super !
– Allez-vous reposer monsieur le professeur, je vais prendre votre place ! Lui dit Sophia, Monsieur Gérard, je vous attends et n’oubliez pas de me lécher la rondelle, j’adore ça !

Après ce petit mouvement de chaises musicales sans musique, Gérard put s’offrir une vue imprenable sur le magnifique postérieur de Maître Sophia Canaval. Alors bien sûr qu’il l’a léché, et après s’être équipée d’une nouvelle capote, il lui entra sa bite dans le cul.

– Ça va tu la sens bien ?
– Vous parlez comme dans les fims pornos !
– Ah bon ils parlent comme ça ?
– Oui, et parfois ils profèrent des noms d’oiseaux.
– Corbeau, perroquet, cacatoès ?
– Non de vrais noms d’oiseaux, allez-y ça m’excite ! Ooooh c’est bon tu m’encules bien !
– T’aimes ça hein salope, morue, catin, bouffeuse de bites, pute à soldats.
– Tu vois quand tu veux… Oooh encore, encore… Aaaah !

Gérard qui a déjà le sang à la tête s’efforce d’augmenter la cadence se rendant compte que sa partenaire est maintenant au bord de la jouissance.

Les deux amants sont pris de frénésie, la sueur dégouline du front de Gérard, la respiration de Sophia s’accélère, elle atteint l’orgasme en criant comme un cochon qu’on égorge. Gérard n’est pas tout à fait près, mais quelques mouvements supplémentaires des va-et-vient le fit rejoindre sa complice du moment dans l’extase de la jouissance.

Un bisou, un verre de jus d’orange. Gérard exténué s’assoit dans le fauteuil, Martinov est dans l’autre à moitié endormi.

Sophia s’approche du canapé où Béatrice et Florentine continue à se brouter le gazon allégrement.

C’est Florentine qui est au-dessus, aussi Sophia ne peut résister à la tentation de lui peloter les fesses.

Et d’ailleurs elle ne fait pas que peloter puisqu’après avoir humecte son doigt se salive elle l’introduit dans le troufignon de Florentine et l’agite frénétiquement.

– Quelqu’un aurait un gode ? Demande-t-elle à la cantonade. J’ai laissé le mien à la maison !
– En haut dans ma chambre, dans le tiroir du chevet, à gauche ! Répond alors Martinov sortant de sa torpeur.

Trois minutes plus tard, elle redescendait avec le sex-toy vibrant qu’elle introduisit dans l’anus de Florentine qui se contenta d’émettre un « Oh » qui n’avait rien de protestataire.

Sollicitée par devant et par derrière, cette dernière ne tarda pas à jouir comme une damnée dans un geyser de mouille, et après quelques secondes de répit elle s’appliqua à amener Béatrice au paradis des brouteuses de minettes.

Les deux filles se redressent, elles s’embrassent goulument et se caressent et à ce petit jeu sensuel, Sophia ne saurait être en reste.

– On fait un de ces trio de salopes ! Commente-t-elle avec toute la poésie dont elle se sait capable.

Après toutes ces galipettes, tout le monde souffle un peu, on va se rafraîchir dans la salle de bain, et évidemment ces dames ont envie de pipi.

Béatrice est la plus rapide et s’installe sur la cuvette.

– Et moi je pisse où ? Demande Florentine, une réflexion qui n’est pas exempte d’arrière-pensée coquine, vous l’aurez compris.
– Ça t’amuserait de me pisser dessus ? Répond Sophia, saisissant la « balle au bond »
– Oui, mais il faudra me rendre la politesse !
– Pas de problème, pisse-moi dans la bouche !

Sophia s’accroupit et ouvre la bouche, Florentine n’a plus qu’à ouvrir les vannes… et c’est qu’elle en avait une de ces grosses envies, Sophia ne peut évidemment tout avaler mais aime la sensation de l’urine qui lui coule sur son corps harmonieux.

On échange les rôles, cette fois c’est Florentine qui est préposé à la dégustation, mais elle n’est pas seule, Béatrice vient à ses côtés et les deux coquines peuvent ainsi se partager le délicieux nectar doré de la belle Sophia.

– Je vous laisse une seconde faut que je fasse caca ! Avertit cette dernière.
– Je peux regarder ? Demande Flo.
-Tu veux me regarder chier ?
– C’est juste une suggestion.
– Moi je veux bien, mais Béa t’en pense quoi ?
– Vas-y fais nous un gros caca !
– Mais attendez, je fais comment ?
– Je me couche, tu te mets à cheval sur moi et tu me chies sur la poitrine.
– J’ai jamais fait ça !
– Fais-moi plaisir.

Sophia et Flo se mettent dans les positions demandées. Sophia pousse, un étron apparaît, grossit et dégringole sur les nénés de Florentine qui rigole comme une bossue.

Les filles se font un rapide rincette avant de rejoindre les hommes. On se boit un petit coup, on se rhabille mollement…

– J’ai une idée ! Dit soudain Gérard en grignotant une cacahuète.
– C’est la baise qui stimule tes neurones ? S’amuse Béatrice !
– Parfaitement !
– Et c’est quoi l’idée ?
– Les bouquins que ce Laurensot a écrit il faudrait que je les voie…
– Ils sont restés dans ma bagnole, je vais aller les chercher ! Propose Sophia

Elle termine de se rhabiller en vitesse, puis après avoir récupéré les ouvrages en question les tend à Gérard.

– Le plus récent…
– C’est le gros, là…

Il ouvre le bouquin regarde les dernières pages…

– C’est bien ce que je pensais ! S’exclame-t-il.
– Si tu nous expliquais…
– Pour faire sérieux n’importe quel bouquin qui compile des âneries, doit comporter à la fin une liste bibliographique d’ouvrages de types ayant déjà touché au sujet. Reste à savoir si Laurensot a été en contact avec ces gens-là. !

– Il continue à feuilleter le livre et soudain !

– Putain, c’est inespéré !
– Mais tu vas nous dire ce que tu fabriques ?
– Regardez, là !

« Là », c’est la page précédent l’introduction de l’ouvrage, c’est une dédicace dont tout le monde doit se foutre ainsi rédigée. « Mes remerciements à José Gourmet sans lequel cet ouvrage n’aurait jamais vu le jour »

– Et alors ?
– Ben alors, demain je vais aller voir ce mec et il me servira de caution pour entrer en contact avec Laurensot.
– Ah bon !
– Parce que comme l’a dit le prophète : « Quand une porte s’ouvre à toi, il te faut la franchir »
– Y’a un prophète qui a dit ça ? Se gausse Sophia.
– Oui, moi ! Répondit Gérard le plus sérieusement du monde, faisant éclater de rire la petite assistance.

A suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Martinov 26 – Les sculptures incas – 11 – L’avocate en partouze par Maud-Anne Amaro

  1. Benoit de Macadamia dit :

    J’aime quand les mecs s’enculent devant ces dames !

  2. Jean-Seb dit :

    Encore une partouze bisexuelle, décidemment c’est la journée ! Mais je ne vais m’en plaindre et puis c’est tellement bien écrit tellement vivant

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *