Je suis une femelle salope 3 – Rencontre en forêt par Francoislave

Je suis une femelle salope
3 – Rencontre en forêt
par Francoislave

Poursuivant mes recherches sur Internet, j’ai passé des annonces « salope mâle cherche actif pour se donner à lui…. ». J’ai reçu rapidement plusieurs réponses et notamment celle d’un mec de la Marne qui entame un dialogue plus qu’intéressant par SMS interposé. Mes goûts et désirs lui plaisant beaucoup (sucer, être sodomisé, caresser, être fisté), il me fixe un rendez-vous un après-midi (merci les RTT !) et je prends la route pour le rejoindre, une bonne centaine de kilomètres quand même, mais mon petit trou le vaut bien.

Au bout du trajet, je me retrouve en pleine forêt champenoise et grâce au GPS et à au guidage téléphonique, j’arrive enfin à un grand pavillon de chasse, entouré d’une troupe de chasseurs. Il faut dire qu’au téléphone, il m’avait indiqué leur probable présence, ma réaction première ayant été de demander s’ils allaient participer à nos ébats car c’est mon fantasme, me donner à un groupe d’hommes, les sucer et recevoir leurs membres dans ma chatte humide et dilatée. Mais ils n’étaient là que pour le gibier à pattes et mon hôte habite un des bâtiments du pavillon de chasse.

Je me gare au milieu de la troupe et me dirige vers la maison lorsque je suis interpellé par un grand escogriffe tout en hauteur, l’air d’Errol Flynn, qui se présente comme « Rudi », mon futur amant. Nous échangeons une poignée de main, dans la rue restons discrets, et entrons dans la maison. Arrivés dans la chambre, nous faisons connaissance et parlons un peu puis je me déshabille et m’allonge sur le lit. Mon partenaire fait de même, il est tout en muscle, mince, la peau chaude et douce et son slip de dentelle noire laisse plus que deviner une queue de belle taille, déjà dressée.

Nous nous enlaçons et commençons à nous caresser, je dois dire qu’il m’excite terriblement par ses baisers, ses bras caressants, et je me laisse aller totalement dans ses bras, il me doigte, je l’embrase, je le caresse partout, je gémis, je grogne de plaisir….

Il me lubrifie le petit trou et nous nous plaçons en 69, il m’introduit ses doigts dans ma chatte, je lui suce et lèche les couilles d’abord, puis la queue que j’ai dégagé de sa culotte ; elle est dure et sent bon, je lui mets un préservatif et la prend en bouche. Il faut dire que j’adore sucer une queue, il m’est déjà arrivé de faire jouir un mec rien qu’en le suçant, sans même attendre qu’il me pénètre. D’ailleurs, quand je contacte quelqu’un, je précise bien que mon but premier est sa jouissance et que la mienne est très secondaire, une vraie femelle amoureuse de son mâle en somme. Très vite, il me fait mettre à quatre pattes et d’un coup de reins, m’encule à fond, faisant claquer ses couilles contre mes fesses. Je suis aux anges et me met à hurler, à l’encourager, à me trémousser tellement c’est bon. Il me tient fermement par les hanches et me besogne assez brutalement puis au bout de quelques minutes seulement, jouis dans mes fesses. Il se retire, déçu de n’avoir pas duré plus longtemps, apparemment d’après ses dires, l’abstinence durait depuis plusieurs semaines, tant pis pour moi. Devant ma mine déconfite, il prend un gode vibrant et me pénètre avec, j’apprécie et lui fait savoir.

Mais ce n’est pas le tout, ma chatte est en manque et puisque queue il n’y a plus, je lui demande si je peux me goder devant lui ; il acquiesce, prend mon gode géant (7 centimètres de diamètre) et m’encule doucement. Je me mets à hurler, l’encourage à faire des va-et-vient et même lui demande de me fister, mais il me répond que la première fois, jamais…. Tant pis.

Comme il n’a pas l’air très enthousiaste à me goder, je prend les choses en main et me branle en m’empalant moi-même sur ma belle queue black artificielle. Mais, en vain malheureusement, il faut dire que se branler à côté d’un mec qui fume sa cigarette en s’excusant d’avoir déchargé trop vite n’a rien de particulièrement excitant, aussi j’arrête rapidement mes caresses et vais me laver.

De retour de la salle de bains, nous parlons autour d’un verre, de lui, de moi, de nos goûts respectifs, et nous quittons en nous promettant de nous revoir.

J’attends à présent un autre rendez-vous lors duquel j’ai bien l’intention de me faire fouiller le ventre par sa main musclée. D’ailleurs il est prêt à tout et a une boite de gants latex.

Bizz, François.

francoisalbertbi@yahoo.fr

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