Histoires de bons plaisirs – 18 – La Quille… par Verdon
S’essuyer le front avec la petite culotte d’une gentille Dame que vous avez baisée quelques jours auparavant, dans la bonne ville de Marseille ! Voilà une aventure peu banale qui a de quoi ravir le plus fruste des hommes, surtout s’il est en train, à des milliers de kilomètres de là, de crapahuter dans les djebels.
Je ne vous en dirai pas plus, si vous avez lu le chapitre précédent. D’autant que vous devez être en train impatients de connaître la suite des événements.
Eh bien, ce joli dessous, je l’ai gardé avec moi, comme un talisman, un porte-bonheur. Je me suis juré de le rapporter à sa propriétaire, dès que je serai de retour, c’est-à-dire dans neuf longs mois quand j’aurai enfin la Quille, le jour de ma libération, à la fin du régiment.
J’avoue que tous les soirs dans la chambrée, je me collais l’odorant tissu, sur le nez et je me branlais en pensant au joli cul qui s’y nichait il n’y a pas si longtemps.
Je vais vous dire aussi, que certains jours je l’enfilais à la place de mon slip. C’était doux et excitant et ça me remontait non seulement le chibre, mais aussi le moral…
L’inconvénient c’est que tout doucement le parfum aphrodisiaque féminin s’est estompé, mais il a été remplacé par l’odeur un peu boucanée du cul du pauvre bougre (que j’étais), et qui passait son temps dans la cambrouse, sans même pouvoir se décrasser plus d’une fois par semaine.
Bon, mais vous savez bien que pour une femme… un homme ça doit sentir l’homme et la Lulu, ce n’est pas elle que ça va déranger, au contraire… Elle n’est pas du genre à vous décaper les bijoux de famille, avec une savonnette, avant d’aller visiter vos bas-fonds.
Donc, neuf mois à passer, c’est long, mais heureusement, engrosser quelques gentilles Nanas dans le coin, voire même de bons petit gars (pourquoi pas … ), ça aide à se distraire. En fait, quoi de mieux pour entretenir sa bite afin qu’elle soit d’attaque le jour où je retrouverai ma chère tantine.
Un mois avant mon retour, j’écris donc à mon oncle pour l’informer que j’ai la ‘Quille’ très bientôt et que j’irai lui dire bonjour lors de mon prochain passage dans sa bonne ville.
Par retour du courrier je reçois sa réponse édifiante et il me raconte sa joie de me revoir bientôt.
– Sais-tu que ta chère tante t’attend avec impatience. Elle m’a dit que tu es un chouette garçon et qu’on a intérêt tous les deux à bien se connaître, parce que, dit-elle, « vous êtes, tous les deux, de sacrés voyous !!! » Non mais qu’est qu’elle sous-entend, la garce !…Le respect se perd ! On va se la corriger … à tous les deux si tu veux bien. Alors vient avec ta quille et on va lui faire tâter de notre honorabilité !……
Oh ! Là ! Qu’est-ce qu’il me dit le tonton Fernand ! Et en plus il a ajouté dans l’enveloppe une carte postale où on voit une vieille photo montrant un monsieur fessant une jolie paire de fesses !
Ça veut tout dire ! Ben je ne le connaissais pas comme cela mon oncle ! Ça promet !
Aujourd’hui on débarque. On nous parque dans le trop fameux camp de Sainte Marthe (une sacrée pécheresse, celle-là… ) à Marseille. Mais on est en perme libérable. On a notre fameuse quille en bois, pendue autour du cou. Aussi, avec un copain on fait le mur, (ils ne nous reverront plus… ) et on se présente crasseux chez le tonton qui est ravi de m’accueillir.
– Lulu n’est pas là, elle est avec Pauline, sa copine. Elles ne reviendront que ce soir. Mais elle est impatiente de te revoir. Alors en attendant, vous allez vous décrasser et on va dîner en ville, fêter votre retour. (Finies les bonnes exhalaisons masculines de mon bas du dos, dont aurait pu profiter la tantine… Oups !).
– Oui, mais c’est que Gustave (mon copain), prend son train vers midi.
– Non mais ça ne va pas, me dit Fernand ? On le garde ton copain. Ce soir on va fêter la Quille avec lui aussi… Aller… Hop, tout le monde à la baille !
Du coup on est tous les deux à poil dans la salle de bain. On se savonne, on se frictionne mutuellement… On aime bien çà. C’était courant, à l’armée de se frotter, tous ensemble pour se ravigoter après une dure expédition dans le bled. On se tripotait un peu le cul, histoire de déconner en pensant aux femmes !
Oh, mais pas plus… On est des bons gars… pas des pédés… (pensez-vous … à l’armée !…quoique… certaine fois… un bleu bite… avec le cul si tendre… et puis du savon… bon ! mais qu’est-ce que je dis !).
Tiens, voilà le tonton qui entre, sans gêne, avec des serviettes, mais avec des yeux gloutons comme ceux d’un chien ayant trouvé une paire d’os et ne sachant pas lequel choisir !
– Putain les gars… vous êtes bien foutus, nom de dieu ! Vive la France !
– Eh Tonton je ne te savais pas si patriote !
– C’est que je vois que vous avez levé les couleurs, sacrebleu !…Vous avez dû en baiser des Mariannes, avec des engins pareils !
Hi !hi !…Il n’en croit pas ses yeux, le citoyen. Il faut dire que suite à notre petit débarbouillage mutuel, nos mâts de misaine se paient une sacrée dégaine qui semble procurer pas mal d’émotions à notre hôte !
– Eh ! Tonton, on a des souvenirs ? Hi, hi…
– Des souvenirs ! Tu vas voir si tu en veux des souvenirs !
– Oh sauve qui peut !!! Pardon Tonton !
Bon on se calme. « C’est quand même mon neveu, qu’il se dit le brave homme quoique le copain… Humm ! ».
Ben oui, il se le paierait bien le jeunot. (Ça lui rappelle le cul de sa femme, il y a trente ans… Humm ! Mais maintenant, la vieille, elle a pris du lard, la goulue ! Je dis cela mais c’est vrai le ‘lard’… c’est de la bonne cochonnerie… N’est-ce pas les gars !)
On a revêtu notre tenue civile. Après un bon repas payé par l’oncle, nous voilà tous trois qui déambulons dans la rue Thubaneau (quel troufion ne connaissait pas cette rue, à l’époque ?), pour découvrir ces Demoiselles plus ou moins dévêtues qui font le pied de grue devant des hôtels dans lesquelles elles s’engouffrent accompagnées d’un bidasse plus ou moins intimidé ou complétement cané. Il va ressortir un peu plus tard avec le portefeuille complétement siphonné le pauvre gars ! (Mais l’enjeu, en vaut bien la ‘chandelle’… n’est-ce pas Mesdemoiselles !!).
Le tonton en baratine une. Il a l’air de la connaître (faudra pas le dire à Tatie), notre trio l’intéresse et elle nous fait du rentre dedans, mais nous ne sommes pas là pour ça, (dommage..), on reviendra… pour l’instant il faut rentrer et rejoindre la tante qui doit nous attendre…
– Ah ! Eh bien le voilà mon baroudeur. Viens-donc, mon chéri, mais je vois que tu es accompagné… Qui es-tu, beau jeune homme ?
Fernand lui explique que Gustave est mon copain et qu’il lui a offert l’hospitalité pour fêter tous ensemble la Quille.
– Bravo ! La bonne idée, s’écrie Lulu qui saute au cou du jeune homme en l’embrassant voluptueusement, après en avoir fait autant à son neveu.
Mais que vous sentez bon tous le deux… .et d’où venez-vous ? Je parie qu’avec le tonton vous êtes allés voir ces dames des quartiers chauds… petits voyous !
– Mais non !…Rien qu’avec les yeux, hélas ! Que dit le tonton en se tournant sournoisement vers les deux garçons…
– On dit ça… On dit ça… ajoute une jeune femme qui sort à l’instant de la cuisine, avec sur les lèvres, un petit air narquois.
– Mais qui c’est celle-là, j’ose demander bêtement en découvrant cette charmante personne.
– Eh bien c’est Pauline, répond Lula qui la prend dans ses bras et l’embrasse tout aussi voluptueusement qu’elle a accueilli ses invités. C’est mon amie la plus chère et elle est venue pour nous préparer un bon repas de fête en ton honneur mon cher neveu.
Oh ! Mais c’est qu’elle n’a pas l’air timide du tout la nouvelle venue. Un petit air espiègle, elle est gaie et radieuse, enveloppée dans une blouse blanche qui ne laisse aucun doute sur la légèreté de ses dessous, (ou plutôt leur absence, devrais-je dire), si ce n’est la présence d’une petite culotte noire qui transparaît à travers le tissu blanc et qui dynamise son joli fessier.
On fait vite et agréablement connaissance. De bonnes embrassades très chaudes. Et je vois même le tonton en profiter pour lui peloter les fesses, ce qui semble ne pas déplaire à la coquine qui remue son popotin de satisfaction.
Tous les ingrédients sont là, pour entamer une bonne soirée.
De jolies femmes, deux jeunes et beaux mecs et un monsieur très distingué qui me semble posséder de bonnes qualités pour nous accorder une agréable soirée entre gens bien élevés…
Un apéritif bien soigné accompagné de blagues croustillantes, permet déjà de chauffer l’atmosphère. Ces Dames qui se sont un petit moment échappées dans leur chambre, reviennent dans des toilettes on ne peut plus aguichantes. Voilages presque transparents, décolletés foudroyants, bas noirs et jarretière, pour l’une, tandis que l’autre s’est grimée en soubrette, jupette ras de cul, et les seins au balcon… Lulu s’est assise sur la banquette, entre Gustave et moi et ses bras sur nos épaules…
– Ah que voilà bien longtemps que je ne me suis pas trouvée en si bonne compagnie !
– Eh bien merci pour moi ! S’écrie mon oncle…
– Oh, ne parle pas des absents… Allez ! Les jeunes, on compte sur vous pour mettre de l’ambiance, ce soir.
En fait d’ambiance, ce sont plutôt elles qui en mettent dans la soirée.
Ça commence par un repas bien relevé, accompagné de nombreuses libations qui font rosir les joues de ces dames, et briller les yeux des hommes. Bientôt elles ne peuvent plus retenir l’abondance de leurs mamelles bondissantes sous la légèreté des tissus qui les enveloppent.
Evidemment il y a de bonnes mains qui vont droit au secours de ces bouées en perdition et je ne suis pas le dernier à m’emparer de deux fugitifs qui s’écroulement voluptueusement dans mes mains.
Je tripote, je malaxe, je pelote et je pince les tétins boudinés de la belle Pauline.
A côté de moi, Gustave en fait autant à ma tante. Mais sans doute, ramené à des bons souvenirs d’enfance, c’est goulûment qu’il s’attaque à ses nichons. Il suce les bonnes tétines, tandis qu’elle lui plaque son visage sur sa poitrine.
Il n’a eu jusqu’à présent, que des midinettes entre ses jambes le Gustave ! Alors se tartiner une bonne mature, voilà de quoi l’enthousiasmer le jeunot !
Il tête à grand coups de museau comme un veau sur les pies de la vache. Elle aime ça ma salope de tatie Elle lui fait changer de sein. Du coup, le tonton se précipite sur la mamelle restée libre pour l’avaler à son tour. C’est bon ce téton durci par la jouissance et encore gluant de la bave de Gustave. Emporté par son élan, il mord le petit lardon de chair, ce qui fait crier notre laitière. Elle tape sur le crâne chauve du gourmand qui ne lâche pas prise pour autant et ça excite davantage Gustave qui cherche à en faire autant.
Elle hurle un peu plus, mais on ne sait si c’est de douleur ou de plaisir tant elle serre quand même les deux gars sur ses seins.
Ils finissent par lâcher les gros mamelons. Ils se regardent et s’embrassent comme des pédés, satisfaits de leur insolente prestation.
Elle refait surface, les insulte de mots doux tout en se frictionnant ses tétons encore bandés, tandis que les deux hommes se redressent.
Pendant ce temps, n’ayant pas perdu mon temps à bouffer les lolos de Pauline, je m’attaque directement à découvrir ce qu’elle cache sous sa jupette qui ne résiste pas longtemps à mes tiraillements.
Je sens bien qu’elle part en lambeaux, mais que voulez-vous, l’impatience ne s’arrête pas à quelques fioritures et d’ailleurs la propriétaire n’a pas l’air de s’en soucier, qui se retourne pour me présenter son cul afin que je le débarrasse au plus vite du chiffon qui l’encombre encore.
J’aime les petites Dames qui ne se formalisent pas de faire prendre le frais à leur derrière, devant les empressements d’un monsieur pressé de la satisfaire.
Pendant que les deux autres s’occupent de verbaliser le cul de la tantine qui a eu le culot de leurs foutre deux baffes après un si bon pelotage, moi j’ai la joie d’entrouvrir les fesses consentantes de la Pauline et d’y dénicher un superbe petit trou flamboyant et humide comme une pêche bien mûre coupée en deux.
Inutile de vous dire que j’en profite pour aller goûter de près et du bout de ma langue les délicieuses gâteries que m’offre le bel endroit.
J’y vais de bon cœur. Madame est très réceptive. Elle miaule, elle remue son postérieur et pousse de petits cris. Je lape, je mordille, je pénètre l’odorante muqueuse…
Mais ne la voilà-t-elle pas qui pisse… la cochonne !
Elle se retourne et continue à pisser par petits jets qui éclaboussent mon nez que j’ai planté entre ses cuisses.
Par fanfaronnade je lape le chaud liquide. C’est bizarre, plutôt amer et acide. Mais ça a un goût de vieille pomme ou de bière éventée… Finalement ce n’est pas si mauvais et ça m’excite beaucoup.
Lula qui a remarqué notre manège humide, semble très intéressée par le bon jus que crache la chatte de sa copine et se précipite pour me voler la place.
Nichées en 69, entre leurs cuisses, elles avalent et lutinent leur pachole et n’en jouissent que davantage. Tandis que nos deux autres artistes, pris au jeu, se saisissent de leur biroute pour les arroser à leur tour.
J’en fais autant et tous les trois, c’est à qui leur arrosera le cul, les épaules ou la tête…
Mais elles s’en foutent, tant elles se gamahuchent comme des folles. Ça dégouline sur leur tête, sur leur, visage et sur leur dos et dans la raie du cul. On rigole bien… On est des cochons !
Il est temps maintenant d’abandonner nos cochonneries humides, pour passer à des choses plus sérieuses.
Les femmes se sont assises sur le canapé et les jeunes hommes debout leur font face. J’ai choisi ma Tante et Pauline est déjà à l’œuvre, en train de bouffer la queue de Gustave. A voir sa fougue il ne fait aucun doute qu’elle la trouve bien bonne cette gaillardise. Elle la bichonne, la suce, la branle en tirant sur le prépuce pour bien dégager le gland qu’elle léchouille à petits coups de langue.
Lulu m’en fait tout autant. Putain que c’est bon ! Mais si elle continue, je vais lui lâcher la purée entre les dents !
Je me retire, la soulève et prend s sa place sur la banquette. Elle a compris et vient d’elle-même s’enconner sur mon vié en me tournant le dos.
C’est une position que j’aime bien. Ça permet une introduction très profonde et elle est à la manœuvre facilement…
– Bouge le ton cul, ma belle… elle est à toi ma queue, profites en !
Oh la vilaine ! Mais ça ne se fait pas, ma petite Dame, de montrer son petit trou vicieux à un gentil monsieur qui ne tient plus en place assis derrière vous !
– Si je comprends bien vous avez envie que je vous le bouche, ce voyou…
– Vous m’avez bien graissé la pine dans votre foufoune…
Alors allons-y… Je déconne et je l’encule la grassouillette tantine…
Ça entre tout seul… Elle a le cul fait pour… et glouton en plus ! Je vois bien que je ne suis pas le premier à lui ramoner l’échappement…
– Tu aimes ça ! Cochonne… Elle est bonne ma pine ?
– Oui c’est bon… être enculée par son neveu… Bon dieu que c’est bon ! et devant son tonton ! (ce n’est pas donné à tout le monde !).
Oui ! D’ailleurs il est ravi le patriarche. Ça fait longtemps qu’il ne peut plus en faire autant, alors il accourt pour voir le beau spectacle et il en profite pour se faire sucer la zigounette par sa Lulu flattée d’être bouchonnée par les deux bouts de son tube digestif !
– Ah c’est bon ça !…Putain que vous êtes bons, mes cons ! (c’est très vilain de parler quand on a une bite au cul et l’autre dans la bouche)…
Ainsi tous deux, à chaque extrémité de Lulu, on est heureux, au moins autant qu’elle, de la partager face à face. On se congratule.
– Elle est bonne ta tante, n’est-pas…
– Oui c’est une bonne salope… tu l’as bien dressée…
– Oui, encule-la pour moi, ça va lui rappeler de vigoureux souvenirs !
Finalement on jute tous les deux en même temps et on remplit le derrière et le gosier de notre gourmande … (Remarquez qu’elle en a eu bien plus côté postérieur qu’entre les dents, mais ça ne fait rien elle est bien rassasiée !..).
Quand elle se relève, ça coule par tous les bords…
Mais tu es cochonne ma poulette… Voilà qui mérite une bonne correction !
Il la prend en travers de ses genoux, son époux, et elle a droit à une belle dégelée sur la peau des fesses.
Pris au jeu, je ne suis pas de reste… mais doucement, tendrement, juste pour lui réchauffer un peu la couenne qu’elle a bien épaisse à son âge… .elle apprécie !
Gustave, très intéressé se précipite aussi, non pas pour la fesser, mais pour lui lécher le trou du bonheur… c’est un grand amateur ce gars-là !
Pauline félicite Lulu en lui foutant un de ses patins comme seules les femmes savent se faire entre elles.
On en vient maintenant, faute de munitions, à calmer le jeu.
Assis sur le canapé et sur des coussins on se tord de rire, en écoutant Fernand raconter ses histoires de cul du temps de son régiment et on rajoute les nôtres, pour ne pas être de reste.
Soudain en regardant nos deux quilles de bois posées sur un coin du buffet, Gustave a une idée merveilleuse.
– Il faudrait, dit-il bénir nos Quilles, avant de reprendre la vie civile.
– Il faut trouver un cureton, s’écrie Pauline en pouffant de rire…
– Non, il faut les tremper dans un bénitier, réplique, Lula
– Eh bien, justement ! On en a deux, ici, deux bénitiers !
Et ceci dit, Gustave saisit les deux quilles et les enfourne, l’une dans la foufoune de Lula et l’autre dans celle de Pauline.
– OH là ! … La bonne idée. Et chacune de se ‘gansailler’ le bijou avec nos quilles de bois… .
Et ça vous la remue… et ça vous l’enfonce profond… et ça vous la tournicote tout au fond du vagin ou dessus le clito !
A cette cadence les voilà bientôt qui geignent, qui hurlent, qui mouillent comme des éponges et nous nous régalons de voir nos bonnes quilles tremper dans les saintes humeurs de ces Dames prêtresses.
Elles échangent l’une et l’autre les jolis godes en bois, elles les enfoncent, les retirent, les sucent amoureusement, et les plongent de nouveau dans leur ravin d’amour en hurlant de plaisir.
– Elles ont bon goût vos quilles, s’écrient-elles en chœur, et nous font tant de bien !
Bien sûr, c’est étudier pour ! Mais si elles savaient par où elles sont passées avant d’arriver là… . (Bon, passons… hi, hi… )
.
Alors comme si une quille ne leur suffisait pas, ne les voilà-t-elle pas s’en enfiler deux en même temps. Une dans le con et l’autre au cul… les salopes !
C’est Tantine qui fait cela à Pauline qui ne s’y attend pas… mais putain que c’est bon !…
Bien sûr cette dernière en fait autant à sa copine qui se pâme comme une crapaude !…
Le tonton, lui il se marre comme un dingo, accroupi à quatre pattes devant les deux dévergondées, même qu’il pousse de temps en temps les quilles dans leur trou du cul !
Mais nous, en le voyant ainsi le cul en l’air, ça nous fouette vachement le sang entre les jambes … nom de dieu !
Alors vous savez ce qu’on lui fait au tonton ?…
Eh bien … ce que vous lui auriez fait, vous, bande de petits cons… .
Bon il s’en est bien remis…
D’ailleurs, il nous aurait bien gardé un jour de plus, au lieu de nous mettre au train le lendemain matin… .
En tout cas ce fut un bon retour de jeunesse pour lui…
Quant aux Dames… Ne vous inquiétez pas, pendant ce temps, elles noyaient mutuellement leur chagrin dans leurs fameux bénitiers… les insatiables !
20/05/2024
Quel fabuleux destin pour ces quilles !
Les récits de Verdon sont toujours une source de plaisir, bien que j’ai trouvé ce chapitre moins « fous » que d’autres du même auteur