Chanette 34 – Le cas Jérôme -.5 – Affaires de famille suivi d’Hypnose à l’hôtel

Chanette 34 – Le cas Jérôme -.5 – Affaires de famille suivi d’Hypnose à l’hôtel

Complétement chamboulé et se rendant compte qu’il est incapable de travailler dans un état pareil, Jérôme sollicite un nouvel arrêt de travail de 10 jours auprès de son médecin traitant sans en informer sa famille.

Sa famille… parlons en un petit peu.

Jérôme est marié depuis presque vingt ans avec Karine, une grande brune assez jolie. Il y a bien longtemps que la passion qui les habitait au moment de leur rencontre a disparu. Ils font désormais chambre à part.

Alors évidemment chacun s’en va voir ailleurs (comme on dit). Karine n’est pas dupe mais fait l’autruche. Un divorce lui ferait renoncer à ce bel appartement, à la résidence d’été à Juan les pins, au chalet à Megève et à tout le reste de sa vie de femme de pacha (bijoux, voiture, vêtements de luxe, fourrures, sacs, chaussures et tutti quanti). Alors elle s’envoie des gigolos… et même des gigolettes. Quant à Jérôme, il s’en tape.

Le couple possède un fils unique, Damien qui a 17 ans conduit déjà sa voiture et se comporte comme le fils à papa qu’il est. Il fait son droit (parce qu’il faut bien faire quelque chose) mais rêve en secret de devenir acteur de cinéma.

Il méprise profondément son père, lequel le lui rend bien, par contre il adore sa maman. Il l’adore même passionnément… lisez plutôt.

C’était un mercredi, et ce jour-là Karine est dans sa cuisine, revêtue uniquement d’un grand tee-shirt blanc qui ne lui couvre pas l’intégralité de ses fesses. Damien vient de prendre sa douche et il est en peignoir.

– Tu fais quoi, maman ? On voit ton cul ! Lui demande ce dernier en pénétrant dans la cuisine.
– Et alors, il n’est pas beau mon cul ?
– Si, si, mais sinon ?
– Je voulais me faire du café, mais j’ai l’impression que la cafetière est en panne.

Le fiston jette un coup d’œil

– Evidemment que ça ne fonctionne pas, c’est mal branché.
– A ben oui, que je suis bête, tu me sauves la vie ! Tu en veux un ?
– Pourquoi pas ?
– A moins que tu préfères un câlin ! Lui propose-t-elle en lui dénouant la ceinture de son peignoir.
– Mais dis donc !
– Tu ne bandes pas beaucoup ! T’aimerais que je te suce ?
– Je ne voudrais pas te priver de ce plaisir.

Et hop ! Une flexion des genoux et Karine se retrouve visage contre bite. Elle la caresse un petit peu avec beaucoup de tendresse avant de la fourrer dans sa bouche.

– Tu pourrais enlever ce tee-shirt, il est infâme !
– Tout ça pour regarder mes nichons ! Tu n’as pas honte ?
– Pas vraiment, non !

Karine s’arrête de parler pour se concentrer sur sa fellation. Elle y met tout son savoir-faire, usant des lèvres et de la langue, taquinant le gland, léchant la verge, s’égarant un moment sur les testicules, tandis que sa main gauche s’en va explorer le sillon fessier jusqu’à ce qu’un doigt pénètre le trou du cul.

– Oh ! S’exclame Damien.
– Ben quoi : Tu n’aimes plus ça !
– Si, si, mais je ne m’y attendais pas !
– Evidemment, c’est juste un doigt. Tu aurais préféré une bite !
– Maman !
– Ben quoi ? C’est bien toi qui m’as raconté des choses ?
– J’ai juste déliré deux ou trois fois avec des copains de la fac.
– Deux ou trois ? Tu ne te rappelles plus si c’est deux ou si c’est trois ?
– C’est juste une expression ! Pourquoi tu n’achètes pas un gode, ça pourrait être amusant ? C’est mieux qu’un doigt, non ?
– Pour que ton père tombe dessus ! Ça ne va pas non ?
– Et alors ? Tu crois qu’il est irréprochable ?
– La question n’est pas là, C’est juste que je trouve inutile de faire de la provoc. Regarde plutôt la jolie bite que je t’ai fait, tu vas pouvoir me la foutre dans le cul.
– Oui Maman !
– Lèche moi bien le trou de balle avant !

Karine se retourne offrant son joufflu à la concupiscence du jeune homme.

Il plote tout ça, écarte les globes et vient butiner le petit trou mignon.

– Hum, il sent bon ?
– Eh bien profites-en !

Puis au bout d’un petit moment…

– Vas-y maintenant ! ça doit être bon !

Alors d’un énergique coup de rein, Damien pénètre l’anus de sa génitrice.

– Oh !
– Ça va ?
– Oui, continue, c’est bon ! Encule ta mère !

Et c’est avec la fougue de la jeunesse qu’il pilonne allégrement cet orifice délicat faisant gémir Karine de plaisir.

Ce n’est que dix minutes plus tard, épuisé et en sueur qu’il éjacula dans le fondement maternel. Il décula satisfait.

– J’espère que tu ne parles pas de ce qu’on fait à tes camarades de fac !
– Mais non, Maman, c’est notre petit secret à tous les deux !
– Embrasse-moi, idiot !

Un petit bruit provenant de derrière la porte… Karine à compris…

– Conchita !
– Oui madame ! Répond la petite soubrette brune
– Tu regardais n’est-ce pas ?
– C’était sans le vouloir, Madame !
– Quelle menteuse ! Et ça t’a excité, au moins ?
– C’est toujours excitant de regarder Monsieur Damien vous enculer !
– Oh, quel langage !
– Pardon madame !
– Et tu sais que ça mérite une punition ?
– Oui… sans doute.
– Approche toi et soulève ta jupe.

Karine lui glisse ses doigts dans la chatte.

– Mais c’est tout mouillé là-dedans !
– Hi ! Hi !
– Et ta culotte, qu’est-ce que tu en a fais !
– Je l’ai retiré, je voulais la mettre au sale.
– Damien, prend la spatule en bois et fouette moi cette trainée.
– Oui, maman.

Et Damien fouetta tant et si bien la soubrette qu’il rebanda. Et ne pouvant rester ainsi il l’encula (elle ne demandait que ça !)

Ah, la virilité de la jeunesse !

Mais ce petit spectacle a réveillé l’excitation de Karine.

– Assis-toi par terre, Conchita et ouvre bien ta petite bouche de pute.

La soubrette sait pertinemment ce qui va lui arriver et avale sans rechigner l’urine de sa maitresse.

– La pisse de Madame est délicieuse !
– Evidemment qu’elle est délicieuse ! Maintenant viens me rincer la chatte avec ta petite langue

Et c’est ainsi que Karine connut son deuxième orgasme de la matinée sous les yeux amusés de son fiston.

– C’était très bien, Conchita, tu peux aller reprendre tes activités maintenant.
– Madame n’oubliera pas mon petit pourboire !
– Mais non ! Tu ne serais pas un peu pute sur les bords ?
– Juste un peu, madame !

Et un peu plus tard…

– J’ai besoin d’une clé USB, je sais que Papa en a dans ses tiroirs de bureau mais c’est fermé à clé. Tu sais où il range ses clefs ? Demande Damien à sa mère.
– J’en sais fichtre rien, téléphone-lui donc !

Les deux portables (le privé et le professionnel) de Jérôme ne répondent pas, il téléphone donc à la boite et tombe sur la secrétaire du paternel.

– Bonjour, c’est Damien Passant, je cherche à joindre mon père.
– Ah ! Mais il n’est pas là ! Monsieur Passant est toujours en arrêt maladie.
– Non, vous devez confondre…
– Je suis sa secrétaire, je sais très bien ce que je dis.

Il raccroche et informe sa mère…

– Ah ! Il est peut-être vraiment malade mais il ne veut pas le dire ! Suggère Karine. J’espère qu’il n’a rien de grave !
– J’y crois pas une seconde.
– Je verrais bien quand il rentrera. Et en attendant je vais téléphoner au toubib.
– Ne te laisse pas manipuler.
– Ne t’inquiètes pas mon bichon !
– Arrête de m’appeler bichon !

Et le soir…

– Tu m’as l’air fatigué ! Lance Karine à son mari dès son retour
– Bof, une réunion chiante…
– C’était où ta réunion ?
– A la Défense ! Pourquoi cette question ?
– Pourquoi tu mens ? T’es en arrêt de travail, tu n’étais pas en réunion.
– Qu’est-ce que tu nous racontes ?
– Parfois le hasard fait bien les choses, j’avais besoin de téléphoner au toubib pour une bricole, il a cru que je venais prendre de tes nouvelles, il m’a rassuré, m’a parlé de surmenage…
– Oui, bon … je ne voulais pas t’inquiéter.
– Je vais te dire un truc, je sais que je suis cocue à ce point que j’ai du mal à passer les portes, mais je m’en fous, par contre ce que je n’admets pas c’est que tu te foutes de ma gueule !
– Eh bien, demande le divorce !
– Surement pas ! Ça te ferait trop plaisir.

Et cet intéressant échange fut soudain interrompu par le carillon de la porte d’entrée.

C’est Carole, habillée très chic, tailleur pantalon pied de poule et foulard Hermès.

Karine se dirige vers l’entrée, et après avoir jeté un coup d’œil dans l’œilleton, elle ouvre la porte.

– Bonjour Madame, je pourrais m’entretenir avec monsieur Passant, juste un instant.
– Je suis son épouse. Vous pouvez donc me parler.
– En fait, j’ai juste besoin de sa signature, il a oublié de signer le constat.
– Le constat ?
– Oui le constat à l’amiable, on a eu un petit accrochage.
– Ah ! Jérôme c’est pour toi ! Entrez cinq minutes.
– Pas la peine, ça va prendre juste quelques secondes.

Karine se retire, Jérôme arrive.

Carole exhibe alors devant le nouveau venu un petit carton sur lequel est indiqué :

« Je viens de la part de Chanette et c’est important. On peut se voir où et quand ? »

Passant cache sa surprise et réfléchit quelques instants avant de répondre.

– A la sortie du métro Liège demain à 9 heures.
– Quelle sortie ?
– Il n’y en a qu’une !
– Alors c’est parfait, au revoir monsieur.

Carole s’en va.

– T’as eu un accident ? Demande Karine
– Bof, trois fois rien, mais elle voulait un constat, je n’ai pas voulu la contrarier.

Et le lendemain Jérôme retrouvait Carole à l’endroit prévu.

– Bonjour ! On va aller discuter au café… Lui dit-elle. Vous n’êtes pas trop pressé ?
– Non, je ne travaille pas aujourd’hui.

Carole attendit qu’on leur serve leurs consommations avant de commencer Elle arborait alors son plus joli sourire, quant à son chemisier, il était déboutonné plus que de raison puisque l’on pouvait apercevoir la dentelle supérieure de son soutien-gorge.

Mais manifestement son charme n’opérait pas sur ce Jérôme.

– Bon, la situation est très simple, mon amie Chanette ressent vos différentes interventions comme du harcèlement…
– Mais…
– Laissez-moi terminer… Il vous faut savoir que vous poursuivez une chimère, Vous avez des sentiments pour Chanette, mais ce n’est pas réciproque, pas réciproque du tout même !
– Et c’est pour me dire ça que vous avez voulu me rencontrer ?
– Oui ! Il vous faut admettre la réalité, il vous faut être raisonnable.
– Il y a des sentiments qui échappent à la raison.
– Jolie formule, mais elle ne mène nulle part.
– On va peut-être en rester là ! Rétorque Jérôme

La tentative de Carole tournait à l’échec… Elle eut à ce moment-là l’idée d’abattre une carte insolite.

– Et si on essayait l’hypnose ?
– Pardon ?
– Ben oui, avec l’hypnose je peux vous débarrasser de cette obsession pour Chanette.
– N’importe quoi ! Merci !
– Ne soyez pas négatif, l’hypnose peut nous aider. J’ai moi-même fait quelques expériences érotiques très intéressantes. Sous hypnose j’ai baisé avec Henri IV, avec Casanova et avec George Clooney.
– Qu’est-ce que vous me racontez ?
– Et c’est sans risque, pas de produits toxiques, pas d’accoutumance, juste le délire à l’état brut. Je suppose que vous avez dans vos fantasmes, celui de coucher avec des femmes du showbiz ou des personnages historiques. Dites-moi un peu pour voir ?
– On s’écarte du sujet.
– Imaginez que je vous hypnotise et que vous vous retrouviez en train de faire l’amour avec Pénélope Cruz !
– Je préfère les blondes.
– Ben, Marylin Monroe par exemple ! Ou Nicole Kidman ou Naomie Watts.
– Ah, oui !
– Donc je vous propose une séance d’hypnose, l’objectif sera de vous débarrasser de votre obsession pour Chanette et en prime je vous offre une heure de baise avec Marylin Monroe.
– Et pourquoi pas avec vous ?
– Non, ce n’est pas dans le deal !

Jérôme est dubitatif, sans vouloir se l’avouer, pouvoir se débarrasser de son obsession pour ma modeste personne lui ferait le plus grand bien, quant à la « prime » ce peut être effectivement plutôt amusant.

– Je réfléchis et on se retrouve ici demain à la même heure.

Carole a compris, l’homme pour des raisons qu’elle ignore ne souhaite pas s’engager de suite, mais sa décision est sans doute déjà prise, il acceptera.

C’est que Jérôme n’est pas complétement idiot et en fait il craint le piège, d’où cet atermoiement

« Elle m’hypnotise et me fait lui donner ma carte gold… avec le code. Je ne lui laisserai pas ce plaisir… »

Et le lendemain en partant de son domicile, Passant prend soin de laisser sa carte gold à la maison ainsi que tous ses papiers, il ne prend sur lui que 300 euros en liquide.

Le couple loue une chambre d’hôtel, la séance peut commencer.

Carole agite un pendule devant les yeux de l’homme qui finit par sombrer dans un état hypnotique.

– Quand je taperais dans mes mains la séance sera terminée, et maintenant tu vas détester Chanette, cette femme n’est pas intéressante. D’accord ?
– Quand je pense que je voulais lui offrir un beau bijou. Je l’ai payé assez cher ! Qu’est-ce que je vais en faire ?
– Je sais pas, moi, tu n’as qu’à me le donner !
– Il est dans mon coffre à la maison, avec les lingots.
– Les lingots ?
– Ben oui, les lingots ce sont des valeurs sûres, ça ne se déprécie pas. C’est bien mieux que l’argent liquide, tout est en sécurité, je suis le seul à connaitre la combinaison pour l’ouvrir, même ma femme ne le connait pas. Le code c’est 1830, c’est la date de la chute de Charles X. Une mauvaise date !
– Mais les lingots, c’était pour Chanette ?
– Non, il ne faut pas exagérer, c’est le produit de quelques innocentes magouilles que j’ai réalisé ces dernières années.

Carole a alors à ce moment-là le réflexe de brancher l’enregistreur de son téléphone portable.

– Des magouilles ? Expliquez-moi !
– Oh, j’ai commencé comme tout le monde par des petits trucs, genre majorer des factures de fournisseurs et mettre la différence dans ma poche, ensuite j’ai carêment créé des fausses factures. Et puis un jour j’ai découvert que la boite possédait une filiale dormante au Luxembourg, elle avait été créée pour des raisons fiscales, mais n’était plus active. Et là j’ai eu une idée géniale, j’ai fait racheter par l’intermédiaire de la filiale une usine en difficulté. Ensuite j’ai licencié tous leurs salariés, j’ai délocalisé ses activités au Sri Lanka et je l’ai revendu, je ne vous dis pas le bénéfice ! J’ai fait ça un certain nombre de fois. J’ai évidemment veillé à ce que la comptabilité de la filiale soit inaccessible.
– Et vous aviez des complices ?
– Non, non ! Les complices ça finit toujours par parler… mais quand on maîtrise bien les logiciels de comptabilité et qu’on bidouille un peu l’informatique, ce n’est pas si difficile.

Carole est abasourdie par ces révélations complétement inattendues. Elle estime cependant en avoir enregistré assez et se recentre sur sa mission première.

– Quand vous vous réveillerez vous vous souviendrez du corps de Marylin Monroe contre le vôtre, de votre bite dans sa bouche. Et maintenant … Clap clap… on se réveille

Jérôme est un peu largué.

– Où est-ce que je suis ? Il est quelle heure ? Qu’est-ce qu’il m’est arrivé ?
– Rien de méchant, on vient de faire une séance d’hypnose.
– Ah oui ! C’est vrai !
– Alors Chanette ?
– Chanette, ne me parlez plus jamais de cette salope !

Opération réussie donc ? Attendez donc un peu !

– Et Marylin ?
– Ah ? Je vous en ai parlé pendant l’hypnose. En fait ce n’était pas elle, elle est morte en 1962. Mais c’était une fille qui lui ressemblait beaucoup, même look, même sourire. On a passé un moment torride.
– Super ! Je vous laisse, j’ai un rendez-vous, je ne voudrais pas être en retard…

Carole m’a rendu compte de sa « mission » et m’a fait écouter les propos enregistrés sur son téléphone.

– C’est édifiant ! Admettais-je. Un vrai salaud ce type !
– Mais qu’est-ce que tu vas faire de ces informations ?
– Rien pour le moment, je ne vais pas jouer les redresseuses de tort, mais on va garder ça en réserve, s’il revenait m’emmerder on s’en servira.

Certes, Carole avait réussi sa mission en ce sens que Jérôme ne manifestait plus de désir incontrôlé vis à mis de ma modeste personne, Mais elle aurait dû aller plus loin et lui faire carrément gommer ma présence de sa mémoire. On ne peut pas penser à tout !

Et c’est bien dommage car cela m’aurait évité la suite…

A suivre

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2 réponses à Chanette 34 – Le cas Jérôme -.5 – Affaires de famille suivi d’Hypnose à l’hôtel

  1. Marcadet dit :

    Sous l’emprise douce d’une hypnose étrange,
    Jérôme sombre tout droit vers l’inconnu,
    Ses secrets se dévoilent, le temps les mélange,
    Un regard, un murmure, et tout est suspendu.

  2. Baruchel dit :

    Beaucoup de bonnes choses dans ce chapitre

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