Astrid et Thimothée 3 – Retour de Nîmes par Tyler

Astrid et Thimothée
3 – Retour de Nîmes
par Tyler


Je sursaute lorsque le réveil de mon portable sonne. 7 heures trente. Je prends le téléphone et l’éteint rapidement. Je ne veux pas que les élèves dans les autres chambres ne se réveillent. Constance me tourne le dos. Délicatement, je pose ma main sur son épaule et me penche sur elle. Je l’embrasse dans le cou. Elle bougonne.

– Réveilles-toi ! Il faut que retourne à ta chambre avant que les autres ne te voient.

Elle ouvre un œil, puis l’autre. En me regardant elle sourit. Je l’embrasse sur la joue.

– Tu es là, me dit-elle comme avec soulagement. J’ai cru que j’avais rêvé.
– Tu as bien dormi ?
– Oui, j’ai parfaitement bien dormi.
– Je ne veux pas te chasser, mais il faut que tu retournes à ta chambre avant que les autres ne se lèvent.
– Je sais mais je veux rester encore un peu dans tes bras !

Elle se tourne et se serre contre moi. Le contact de sa peau me redonne des forces. Je sens mon sexe durcir sur son ventre. Elle me regarde et sourit.

– J’ai l’impression que tu as encore envie de faire l’amour.
– J’aimerais bien t’embrasser sur tout le corps, lui dis-je en lui tapotant les fesses, mais on n’a pas le temps.
– Je sais, j’y vais.

On s’embrasse longuement avant qu’elle ne sorte du lit. Je regarde ses longues jambes marcher vers la salle de bain. Ses petites fesses musclées et blanches sont superbes. Elle se retourne en arrivant à a porte.

– Est-ce que j’ai le temps de prendre une douche ?
– Rapidement alors. Tu trouveras du gel douche et une serviette sur mon sac !

Je l’entends fouiller dans mes affaires. Quelques instant après, l’eau crépite et je ferme les yeux de sommeil. Un baiser sur la bouche me sort de ma léthargie.

– J’y vais. J’ai adoré la nuit passée avec toi !
– Soit discrète ! Lui dis-je en la regardant quitter la chambre en silence.

Après une bonne douche et le petit déjeuner, toute la classe a repris le car pour visiter le bord de mer. La journée est longue. De tant à autre, j’échange avec Constance de petits regards complices. Pendant le retour sur la région parisienne, nous restons assis côte à côte, échangeant des banalités.

Le lendemain matin, je récupère mon sac dans la soute du car et dit au revoir à tous mes élèves. Je promets à Constance que nous allons nous revoir, et je pars vers ma voiture. Alors que je m’éloigne, j’entends Simon qui m’appelle. Il court vers moi sa petite valise à la main.

– Tu peux me ramener chez moi, il n’y aura pas de bus avant une heure.

Simon est un élève avec qui je parle beaucoup pendant les intercours. Il avait quelques problèmes de confiance pour s’insérer dans la classe. Nous avons eu de longues conversations, c’est pourquoi il me tutoie.

– Ok, il n’y a pas de problèmes.

Sur le trajet, nous nous racontons le voyage d’intégration que nous venons de faire. Il me propose de prendre le petit déjeuné chez ses parents qui sont partis pour le week-end. Après une longue conversation devant un café, il tient à me montrer sa chambre. Il aime jouer de la guitare et veux me jouer un morceau. Les murs sont couverts de posters de groupes de hard rock. Je l’écoute pendant que je fais le tour de la pièce. Simon est garçon de 20 ans, grand et mince. Je l’ai toujours connu avec le crâne presque rasé.

Lorsqu’il termine son morceau de musique, je lui annonce que je vais rentrer chez moi. Il semble contrarié.

– Tu ne veux pas rester encore un peu. Je suis tous seul pendant 2 jours. On pourrait se faire une bouffe et inviter des copains de la classe. Je réfléchis un petit instant.
– D’accord, je n’ai rien prévu ce week-end. Mais il faut au moins que je rentre prendre une douche. Je me sens un peu crade après cette nuit passée dans le car.
– T’as qu’à la prendre ici.

En me parlant il se dirige vers un placard dans le couloir et en ressort une serviette de bain. Il me la tend sans que je n’aie le temps de dire quoique ce soit.

– Bon et bien, je vais chercher mon sac dans la voiture. Je joins le geste à la parole, descend l’escalier qui mène à l’entrée et revient avec mes affaires.

Simon m’attend devant la salle de bain et me dit que si j’ai besoin de quelque chose, je n’hésite pas à le lui demander.

L’eau chaude réveille mon corps et détend mes courbatures. Après de longues minutes, je sors de la douche pour m’essuyer. Je commence à m’habiller. J’enfile mon pantalon et je m’aperçois que je n’ai plus de T-shirt propre. Je suis un peu embêté. Si on doit passer la journée avec du monde il vaut mieux que je ne sentes pas la sueur. Il ne me reste plus qu’à demander à Simon s’il peut m’en prêter un.

Je sors de la salle de bain et trouve Simon assis sur son lit en train d’écouter de la musique. Il me regarde et sourit. J’ai l’impression qu’il me détaille.

– Tu n’aurais pas un T-shirt propre à ma passer ?
– Si, mais il faut que j’en trouve un grand. Tu as les épaules bien plus larges que moi.

Il fouille dans son armoire et sort plusieurs T-shirt. Il en prend un et me le pose sur le torse. Je suis un peu surpris par son geste. Ses doigts effleurent ma peau. Un frisson parcoure ma nuque. Il me regarde et a dû se rendre compte de mon air gêné.

– Tu as la peau douce !
– Heu, … Je n’arrive pas à sortir un mot. Je ne pensais pas que Simon pouvait être intéressé par les garçons.
– Je te choque ?
– Non, mais …
– Timothée m’a raconté votre soirée, après le pub, avec Hortense. En fait, je n’ai jamais su si j’étais plus attiré par les filles que par les garçons. Je me dis que je dois essayer avec un mec pour savoir. Je me sens en confiance avec toi. On a beaucoup parlé et …

Je ne lui laisse pas le temps de poursuivre sa phrase et je l’embrasse. Il est un peu surpris et recule sa tête au contact de mes lèvres. Mais il se reprend immédiatement et m’embrasse doucement. Sa bouche est soyeuse. Je passe ma main derrière son cou, et enfonce ma langue entre ses lèvres fines. Il me rend mon baiser et nos langues s’agitent lentement. Je sens une main se poser sur mon dos et l’autre sur mes fesses. Il prend des initiatives alors que je l’imaginais peu confiant.

Je glisse une main sous son T-shirt et caresse sa chute de reins. Simon est le genre d’élève qui porte des pantalons trop grands qui tombent sur ses fesses. Je sens son caleçon et passe mes doigts sous l’élastique. J’empoigne une fesse. Elle est petite et musclée. Je la serre dans ma main. Il me tire contre lui tandis que sa langue se fait plus inquisitrice. Elle fouille ma bouche, caresse l’intérieure de mes joues.

J’ai envie de le sentir nu contre mon corps. Je soulève son T-shirt. Il se détache de moi et l’enlève. Je m’approche de lui et à peine son pantalon est déboutonné qu’il tombe sur ses chevilles. J’aperçois une légère bosse sous son caleçon.

– Je te laisse faire, me dit-il.

Son torse finement musclé et ses jambes sont imberbes. Je me mets à genoux devant lui et l’observe. J’attends un signe approbateur. Il me regarde et me sourit. Je pose mes mains sur ses hanches et descend son caleçon. Son sexe à moitié bandé se déplie sous mon nez. Il est long et fin. Son gland rose est encore prisonnier de son étui de peau. Ses bourses sont lisses. Les seuls poils se trouvent à la base de sa verge.

Je sens son regard pesé sur moi. Il observe chacun de mes gestes. Lentement je passe ma main entre ses jambes et effleure d’un doigt ses couilles. Il pousse un soupir. Je les empoigne et elles se contractent. Elles sont lourdes et je les imagine pleines. Je masse ses bourses et approche mon visage de son ventre. J’embrasse délicatement les abdominaux finement dessinés, passe ma langue sur son nombril avant de descendre vers son pubis. Sa peau est douce et chaude. Ma langue glisse et lèche doucement la base de sa verge. Sa queue frémit et Simon pousse plusieurs soupirs. Je pose mes lèvres sur son membre si doux, et l’embrasse sur toute la longueur. Son sexe sursaute à nouveau.

Je suis tout excité et je sens ma bite durcir dans mon pantalon. Je continue à masser ses couilles. Je le regarde et sans le quitter des yeux, je passe ma langue sur le petit bout de gland encore visible. Simon renverse sa tête en arrière et soupire fortement. J’enduis ce petit bout de chair de ma salive, tourne et retourne autour du méat. Je prends doucement son gland entre mes lèvres et le suçote. Je sens son cœur battre dans sa verge. Elle gonfle lentement.

Simon soupire de plus en plus. Je commence à enfoncer sa bite dans ma bouche. Au passage, mes lèvres décalottent son gland qui glisse sur ma langue. Sa verge gonfle et se durcit. Elle est maintenant droite et fine. Je l’avale de plus en plus jusqu’à ce qu’elle cogne au fonds de ma gorge. Je ne pourrai pas tout prendre, elle est trop longue. Je la ressors de ma bouche, dégoulinante de salive.

– Ouh, c’est bon ! J’adore ta bouche.
– Assied-toi sur le lit.

Simon s’exécute. Il reste en appui sur ses bras et contemple le spectacle. J’enfonce sa bite dans ma bouche et commence un lent va et vient. J’aspire son gland en remontant et souffle en descendant. Sa verge, dure comme du béton, heurte mon palais et cogne au fonds de ma gorge. Ma main serre toujours ses couilles et lentement je glisse un doigt entre ses fesses. Je sens son petit bouton plissé se contracter lorsque je l’effleure. Je titille son anus sans cesser de le pomper. Je lève les yeux vers lui et il me regarde.

– Je veux tout essayer, souffle-t-il entre deux soupirs, pour éliminer toute interrogation sur mon geste.

Je retire son sexe de ma bouche et enduit mon doigt de salive. Il écarte légèrement les jambes pour accompagner ma main qui s’avance vers ses fesses. Du bout du doigt j’étale la salive sur son anus avant de lentement le glisser dans son trou plissé. Simon souffle fort lorsque l’intrus le pénètre. L’endroit est chaud et serré. Mon doigt glisse difficilement tant Simon contracte ses fesses d’appréhension.

– Détend-toi et laisse-moi faire ! Plus tu te contractes et plus ce sera douloureux.

Je retire délicatement mon doigt et l’enduit à nouveau de salive. En le posant à l’entrée de son cul je sens le petit passage plus souple. Je le pousse dans son cul et il y glisse plus facilement. Je me mets à pomper sa bite au rythme de va et vient de mon doigt. Simon soupire de plus en plus. Il gémit alors que son trou se détend et avale tout mon index. J’aspire de plus en plus fort sa bite et soudain je sens un goût salé et amer. Je me recule et regarde sur son gland une petite goutte de liquide blanc. Il ne faut pas qu’il jouisse maintenant. Je décide de pomper lentement sa verge.

Après de longues minutes, sa verge est toujours aussi dure et son petit trou déjà bien détendu. J’essaie d’y rentrer un deuxième doigt et je suis surpris qu’il y glisse sans effort. Même Simon n’a presque pas réagit. Il a juste émit un long soupir. Je le pompe encore, en faisant bien attention de ne pas aller trop vite.

Simon m’interrompt.

– C’est à mon tour de m’occuper de toi. J’ai envie de goûter ta bite.

J’abandonne son sexe et son trou du cul, et me relève. Je déboutonne et retire mon pantalon. Ma bite est déjà droite comme un « i ». Je m’allonge sur le lit à côté de Simon qui se penche sur moi. D’un geste hésitant, il pose sa main sur mon sexe et le caresse. Ses doigts parcourent ma verge sur toute sa longueur avant de se refermer sur mon gland. Il le pince doucement, le décalotte, et regarde ma bite comme hypnotisé.

– C’est la première fois que je touche le sexe d’un homme. Il est gros !
– Oui mais un peu moins long que le tien. Fais comme pour toi, lui dis-je.

Il commence à doucement me branler, jouant avec mon gland et son étui de peau. Sa main est douce, mais je vraiment envie qu’il me prenne dans sa bouche. Il me caresse et semble toujours hésitant. Il avance la tête mais se ravise.

– J’n’ose pas. J’en aie très envie mais j’ai peur d’être maladroit.
– Ne t’en fais pas. Vas-y à ton rythme.

Il continue à me caresser pendant plusieurs minutes. Ma bite est toujours aussi dure. Enfin il se penche vers elle et d’un coup ouvre la bouche. Je regarde mon sexe lentement y disparaître. Il ferme ses lèvres sur la hampe et la glisse hors de sa bouche en l’aspirant.

– C’est bizarre ! C’est la fois dur et doux. Mais j’aime ça.

Il me le prouve en m’avalant de nouveau. Il garde mon gland au bord de ses lèvres et le suçote. Les petites aspirations le font gonfler au point que j’ai l’impression qu’il va exploser. Et puis doucement il l’enfonce dans sa bouche jusqu’au fonds de sa gorge. Il le ressort brutalement avec un haut le cœur. On se regarde et il explose de rire avant de l’emboucher à nouveau. Il entame un va et vient maladroit. Je sens par moment ses dents sur ma peau, mais il y met tellement d’enthousiasme que je ne veux pas l’interrompre.

Je serre la base de mon sexe sentant le plaisir monter. Un filet de salive coule jusqu’à mes doigts. Pendant de longues minutes Simon suce, aspire, branle, changeant de rythme. J’ai dans l’idée que ma bite lui sert à s’exercer. Ces gestes se font plus précis, je sens le plaisir venir et mon sexe monter en pression.

Je prends la tête de Simon entre mes mains pour l’arrêter, et l’attire vers moi. Nous nous embrassons profondément mêlant le goût de nos sexes respectifs. Sa salive coule dans ma bouche et sur nos lèvres.

– J’ai envie de m’occuper de tes fesses, lui dis-je sur un ton de défi.

Il me regarde et emporter par l’excitation accepte. Je l’allonge sur le côté, lui replis une jambe et me glisse derrière lui. J’écarte délicatement ses fesses qui m’offrent alors son petit trou du cul tout lisse. Je ne peux m’empêcher de le lécher. Je passe ma langue sur ses lobes fermes, titille son petit trou et le presse avec ma langue. Il s’est un peu resserré mais elle arrive quand même à s’y enfoncer. Son cul est chaud et doux. J’enduis mes doigts de salive et commence à caresser son anus. Mon index s’enfonce facilement. Simon soupire et se cambre pour mieux m’offrir son cul. Ses petites fesses musclées écartées, je glisse un deuxième doigt et entame un lent va et vient. Je lèche la raie de ses fesses pour étaler plus de salive. Après quelques instants, mes doigts glissant facilement je me redresse et me mets à genoux sur sa jambe restée tendue.

– Ne t’inquiètes pas, je vais y aller doucement. Détends-toi bien surtout.

Simon, la tête dans sa couette attend mon assaut. J’enduis mon gland de salive et le pose sur son petit trou. Délicatement je pousse, et il s’écrase sur l’entrée avant d’écarter les parois et de disparaître entre ses fesses. Simon gémit mais ne bouge pas. Seul mon gland est entré. J’enduis encore ma verge de salive, en en étalant aussi sur son anus écartelé. J’avance mes hanches et le pénètre petit à petit. Il souffle de plus en plus fort. Le passage est encore étroit malgré l’attention que je lui aie portée. Je commence un petit mouvement de va et vient, et petit à petit mon sexe glisse plus facilement. Les parois se font moins pressantes et Simon commence à gémir au rythme de mes coups de reins. J’adore le spectacle de ma grosse bite qui défonce ce petit cul. Je pousse et m’enfonce de plus en plus loin jusqu’à ce que mon ventre butte contre son cul. J’accélère mes mouvements et leur donne plus d’amplitude. Je peux voir ma verge entrée et sortir entièrement. Mon gland, gonflé d’excitation, est devenu trop sensible. Je ne peux plus me retenir et soudain la pression emmagasinée dans mon sexe se libère. Je sens les jets de sperme inonder ses fesses pendant que je gémis. Je continue à le pénétrer, et je m’enfonce un grand coup, le corps tendu, lorsque l’orgasme explose dans ma tête. Epuisé par l’effort, je ralentis mes aller et venu dans son cul, avant de me retirer lentement. Son petit trou, devenu tout rouge, est béant. Un filet de liquide blanc coule de son anus défoncé et se répand entre ses fesses jusqu’ à ses couilles.

Après quelques secondes, Simon n’a pas encore osé bouger. Je le caresse délicatement, et passe un doigt sur les rebords de son anus qui se referme lentement. J’étale le sperme sur ses fesses en reprenant mon souffle. Voilà un dépucelage en règle. Simon commence à émerger à son tour. Il se retourne et me regarde.

– Je ne sens plus mes fesses. Ou plutôt je ne sens que mes fesses, dit-il en les caressant.
– Je suis désolé, je n’ai pas pu me retenir. J’étais trop excité.
– C’était vraiment bizarre ce mélange de douleur et de plaisir.
– Avec un peu de pratique, la douleur va disparaître. A toi de jouir maintenant. Comment veux-tu …
– Je veux jouir dans ta bouche.

Il se retourne sur le dos, les jambes écartées. Son sexe est devenu tout mou. Je m’agenouille entre ses cuisses et commence à le branler. Sa verge reprend vite de la vigueur et quelques secondes après c’est une bite toute dure que je prends dans ma bouche. J’entame un rapide va et vient. Une main vient se joindre à mes lèvres tandis que de l’autre je serre la base de son sexe. Dans un léger bruit de succions, je le pompe vigoureusement. Je commence à sentir une pression sous mes doigts. Je resserre mon étreinte sur la base et aspire plus fort le gland. Simon souffle et gémit. Il sert les fesses et tout son corps se tend.

– Je vais jouir, marmonne-t-il.

J’attends encore un peu, continuant à le sucer et le branler. Il ne peut ni éjaculer ni jouir tant que je n’ai pas desserré ma main. Et je sais que la pression monte de plus en plus. Soudain, sans arrêter de le pomper, je lâche mon étreinte et un violent jet de sperme cogne le fonds de ma gorge. Le liquide se repend par saccade et inonde ma bouche. J’avale une première gorgée, mais il n’arrête pas de jouir. Je dois m’y reprendre à plusieurs reprises pour avaler tout le liquide qu’il me donne. Je ralentis mon va et vient et ne me contente plus que de sucer son gland gonflé par le plaisir. Je suis soulagé lorsqu’enfin j’aspire la dernière petite goutte de foutre qui perle sur son méat.

Cette fois je suis épuisé et je m’écroule à côté de lui. Nous restons un long moment à reprendre notre souffle, dans les bras l’un de l’autre. Il me semble même que nous nous sommes endormis.

(à suivre)

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