Bonjour je m’appelle Armand. J’ai 43 ans
Je suis bi.
Cette histoire est une histoire vraie. Je l’ai vécue il y a de cela une vingtaine d’années.
Jusqu’à récemmen, je vivais en couple mais je me suis toujours emmerdé ferme au lit.
De temps à autre j’ai eu des escapades homosexuelles. Celles- ci se passaient un samedi sur une grande ville du sud de la France.
J’avais plusieurs fois tenté de rentrer dans ce sauna qui m’attirait mais j’avais toujours eu peur de faire des rencontres bouleversantes.
Ce jour-là je pénétrai dans l’antre et fut accueilli très chaleureusement. On m’indiqua un vestiaire et me dit que cela se passait « en bas ». Une fois revêtu uniquement de ma serviette je descendis et décidai de me faire un sauna justement.
Là rien ne se passe. Comme je transpirai, je sortis prendre une douche. Je découvris une porte que je n’avais pas vue. Je pénétrai dans un local (peut-être de 3 mètres sur 2) complètement dans le noir. C’était le Hammam. Là je me fraie une place et quelques instants plus tard une main commence à me toucher. J’ai une très forte érection mais je ne désire pas jouir de suite.
Je prends mon courage à deux mains (si je puis dire) et commence à caresser deux bites tout près de moi. Ce que je veux c’est du foutre. Je veux qu’elles jouissent sur moi.
Sentant le manège autour d’eux, d’autres mecs viennent de coller à moi. Un puis deux puis trois se caressent ou sont caressés dans le noir par moi. Ils éjaculent tous sur mon torse, mes cuisses ou mon joli cul (qui est vierge). Je suis comblé. Je n’ai pas joui.
Je ressors prendre une douche, pour me rincer de tout ce foutre qui dégouline sur moi.
N’y tenant plus, je rentre de nouveau dans cette back-room et je saisis un type au hasard par les couilles.
Je le fais sortir de ce lieu et me dirige vers une cabine proche. Je fais tout le trajet en le tirant par les couilles et il a l’air d’apprécier, le coquin. Moi je ne reviens pas de ma hardiesse ! Je le fais monter dans la cabine, il s’allonge sur le dos, je me retourne pour fermer la porte et prendre un peu d’intimité, il en profite pour se jeter sur mon cul et commence à me lécher l’anus. C’est la première fois que quelqu’un me fait cette caresse et j’ai adoré. Tellement que je reste suspendu à la portière pourtant fermée pour qu’il puisse continuer.
Ce délice dure environ 5 minutes puis je reprends les rênes et je l’allonge à nouveau sur le dos. J’ai envie de le prendre en bouche et de goûter (à nouveau) une bonne bite dans ma bouche. Cela fait 5 ans au moins que ça m’est plus arrivé -je vous conterai une autre fois si cela vous dit mon initiation- Le gars (la cinquantaine bien passée) préfère me sucer.
Je m’allonge donc et le laisse s’exécuter car il me suce divinement. Aucune femme ne fait mieux à vrai dire. Mais voulant rester maître de la situation je lui dis :
– « Arrête je ne veux pas jouir la maintenant, je veux te prendre ».
Il me répond : « tu veux ? »
Sans plus attendre, il se met à quatre pattes en position de levrette, je saisis une capote et je m’introduis sans forcer dans son cul.
Le gaillard a dû en voir passer !
Terriblement excité de cet après-midi, je le prends mais ne tarde pas à jouir au fond de lui.
Je veille à le masturber pendant que je le prends et lui jouis sur le matelas pendant que moi j’explose à l’intérieur de son cul.
Je m’écroule sur lui.
Le temps de retrouver mes esprits.
Je prends une douche et file de cet endroit de perdition.
J’y suis retourné quelques fois, toujours avec autant de plaisir.
Puis un jour, j’ai décidé de ne plus avoir de relation homo.
J’ai été bien triste toutes ces années aux côtés d’une femme qui ne me comprenait pas.
Aujourd’hui séparé je me décide enfin à raconter cette histoire.
Peut-être retournerai-je dans ce sauna ? Je suis repassé devant il y a quelques jours encore.
Ou peut-être rencontrerai-je un homme (pourquoi pas un travesti, un de mes fantasmes non assouvis) pour parfaire mon éducation …?
À bientôt.
Armand.
Faut assumer, pépère ! Moi je suis bitophile et je n’éprouve aucune honte à sucer des bites et à me faire mettre !
Faut arrêter de culpabiliser, mon gars ! Sinon illustration est à tomber, c’est tellement bon de se faire enculer de cette façon, essayez et vous m’en direz des nouvelles
Dommage que dans ce récit la honte et la cul-pabilité l’emportent…