Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)
Avec Voltaire, Diderot et Montesquieu, Jean-Jacques Rousseau est l’un des philosophes clé de ce qu’on a appelé le « siècle des lumières. »
Outre une multitude d’ouvrages et de publications, il est aussi l’auteur d’un opéra, tout à fait écoutable intitulé « Le Devin du village », rarement joué de nos jours en 1752, mais dont la première eut lieu devant la cour en présence de Louis XV et de Madame de Pompadour
En 1750 son « Discours sur les sciences et les arts » il écrit que « l’homme naît naturellement bon et heureux », ce en quoi le père Rousseau s’est bien fout le doigt dans l’œil
Mais la question n’est pas là, Wikipédia consacre au philosophe une page interminable (qui va lire ce pavé jusqu’au bout ?) typique de la cuistrerie de ce site, l’article est d’ailleurs qualifié de bon article (faut pas se gêner, d’autant qu’avec ce qualificatif, toute modification devient une vraie galère !
Or fidèle à sa pudibonderie qui le fait rejeter toute anecdote à connotation sexuelle, le site oublie de nous parler de la passion de Jean-Jacques Rousseau pour la panpan cucul
Dans son autobiographie « Confessions », Rousseau fait d’étonnantes révélations sur ses petits plaisirs. Il se confie notamment sur la fessée de Mademoiselle Lambercier, qu’elle lui donna pour le punir lorsqu’il avait huit ans… : « Qui croirait que ce châtiment d’enfant, reçu à huit ans, par la main d’une fille de trente, a décidé de mes goûts, de mes désirs, de mes passions, de moi pour le reste de ma vie (…) ? ». Il n’emploie jamais le mot « fessée » mais assume que c’est par là qu’il découvre ses penchants sexuels.
Sacré Jean-Jacques
De nos jours, il serait vilipendé par les hordes de fanatiques féministes
Qui n’a pas son petit jardin secret ?
Le verso de la philosophie