Première aventure érotique d’un puceau.
3 – Le bain, un apprentissage amoureux et soumis
par Paulino
La pièce où elle me fait entrer est de petite dimension mais entièrement occupée par une baignoire de forme semi-circulaire où l’on accède depuis le niveau du sol, par deux marches, et dont une paroi est agrémentée d’une sorte de siège banquette ; des robinets en métal doré en permettent le remplissage. Je n’ai jamais vu chose aussi excentrique, qu’est donc cette femme ? Ma surprise est si visible qu’elle éclate de rire et dit.
« – Ne prends donc pas cet air de môme qui vient de voir un extra-terrestre, je vais satisfaire ta curiosité. Bien qu’il me semble le lire dans tes yeux, sache que je ne suis ni putain, ni call-girl, je suis d’origine russe j’étais mariée, mais après la chute du mur, mon mari a profité de la fin du régime soviétique, pour gagner beaucoup de fric par des méthodes malhonnêtes mais lucratives.
– Mais surtout ma vie avec cet homme macho, et sans respect de ma condition féminine ne m’a plus convenu, j’ai obtenu qu’il m’autorise à divorcer en m’accordant une grosse pension alimentaire, car que je savais sur lui assez de choses pour le faire mettre en prison.
– J’ai émigré et je suis donc maintenant une femme libre et riche, grâce aux règles juridiques de mon divorce, je bénéficie d’une vie facile.
– Cependant elle ajoute avec un grand sourire ; pour ce qui te concerne, je t’aime bien, et si tu accepte mes conditions dominatrices, je te promets des plaisirs érotiques savoureux. »
Savoureux, me dis-je qu’est ce que cela signifie ?
Mais que de choses je pourrai raconter à mon copain Lucien.
Pendant ce bavardage elle a fait couler un bain, y ajoutant des sels de bain et des produits moussants, qu’elle m’invite à partager avec elle.
M’ordonnant de me mettre à genoux au fond de la baignoire elle entre aussi dans le bain, et s’assoit jambes écartées sur l’espèce de banquette qui orne une des parois.
« – Alors tu m’as baisée jeune cochon, et je suis sale de toi maintenant, tu vas me nettoyer, approche toi, viens entre mes jambes. »
Je m’approche et posant sa main dans mon dos elle appuie mon visage contre sa poitrine. Je continue à la trouver très belle, quoiqu’il en soit de son âge mûr, ses seins sont bien plantés sur son buste et leurs tétons turgescents sont arrogants au centre de larges aréoles de couleur brun rose.
« – Ne te comporte pas comme un bébé, des seins ce n’est pas fait que pour téter, soit un homme s’il te plait, caresse mes seins mords-les, pince-les, fais moi mal, l’amour s’exalte dans la douleur et si tu n’as pas encore compris cela tu le découvriras si tu désires vouloir encore m’aimer quand je t’aurai appris. »
A l’écoute de son conseil je prends un de ses mamelons dans ma bouche et j’appuie mes dents dessus refermant ma mâchoire sans appuyer, mais je sens son téton gonfler entre mes dents sous cette forme de caresse, et pris dans ce jeu très érotique je le mordille un peu, je fais riper mes dents contre cette forme d’olive dure et molle à la fois.
Je l’entends gémir un peu, est ce donc que l’amour est sublimé dans la douleur ?
Puis subitement et avec tant de force que je sous la surprise je ne puis opposer de forte résistance, à deux mains elle enfonce ma tête entre ses cuisses sous l’eau du bain, et m’emprisonne en les refermant, je suffoque j’essaie d’avaler l’air qui me manque, et c’est un puissant jet d’urine chaude, qui s’engouffre dans ma bouche jusqu’à ma gorge, me faisant suffoquer et cracher une nouvelle fois, alors que désespérément je réussis à émerger ma bouche à l’air libre pour prendre la respiration qui me manquait.
« – Ha mon pauvre garçon est ce que tu te noyais ? me dit-elle.
– Mais te noyer dans un bain parfumé aux sels de jasmin, et à la pisse de ta bien-aimée, serait pourtant une belle mort, voyons bébé Simon comme je t’ai déjà dit je vais te faire aimer beaucoup de choses.
– Dit moi : « maîtresse, je me régale il est trop bon ton pipi », allez dit le !
– Oui maîtresse je me régale il est trop bon ton pipi.
– Dit le encore, dit que c’est un délice mon pipi chaud mélangé au sperme dont tu m’avais souillée.
– Oui maîtresse ton pipi est un délice.
– Et tu en veux encore ? »
Cela étant elle appuie de nouveau ma bouche contre sa chatte.
« – Ouvre bien la bouche me dit-elle tu dois tout boire sans recracher et sans tousser, tu dois tour avaler. »
Alors c’est plusieurs grandes gorgées puissantes mais contrôlées qu’elle me force à avaler.
« – Bien, c’est un peu mieux, maintenant faisons cette toilette pour laquelle nous sommes entrés dans la baignoire, tu dois me laver avec cette éponge douce et le bain douche qui est à portée de ta main sur le bord de la baignoire.
– Lave-moi bien partout, les seins, les aisselles, le dos, mon sexe, puis je me tourne et lave moi le cul enfonce ton doigt dans mon anus pour bien me nettoyer. »
Après tout ceci, elle me commande de sortir avec elle du bain, et attrapant une grande serviette éponge, de l’essuyer et la sécher, puis avec la même serviette elle me sèche en me frictionnant fortement, au point que mon épiderme devient tout rouge.
Le bain étant terminé elle me tire derrière elle dans la chambre où nous étions auparavant, elle ouvre une penderie et en sort un slip d’homme, une chemise blanche, et un pantalon de couleur beige, elle me commande de m’habiller ainsi.
« – Voilà comment je veux que tu sois habillé dorénavant, si tu veux devenir mon amant, et pas avec ces fringues minables dont se vêtissent des jeunes minables comme toi, si tu veux apprendre l’amour je vais aussi t’apprendre à être un mec séduisant.
– Allez c’est terminé pour aujourd’hui, file maintenant, et si tu veux m’aimer tu peux revenir demain en fin de journée tu connais l’adresse, mais sache bien que je t’attendrai et si tu ne viens demain, tu ne devras pas revenir une autre fois et jamais, c’est à prendre ou à laisser, je veux faire de toi un amant soumis. »
Puis elle ouvre la porte et me pousse sur le palier.
Prochain épisode : Un amant soumis et dingue d’une bizarre maîtresse