Le printemps
3 – Vendredi au bureau
par Lovelace
LE PRINTEMPS
Vendredi au bureau
J’arrive le premier au bureau, ce vendredi matin. Ma première action est de mettre les poupées russes en évidence sur ma table de travail. Lorsqu’elle les aperçoit, un large sourire éclaire le visage d’Anne.
– Je me demandais si et quand çà allait arriver? Me dit-elle.
– Hé, bien, tu vois, nous sommes sortis de notre hibernation! Avec le beau temps et les températures qui montent, la sève fait de même! Et pour ma part, j’ai du stock!
– Miam, miam! J’en prendrai bien un peu, histoire de patienter jusqu’à demain!
– On verra çà tout à l’heure; en attendant, on a du boulot!
En toute fin de matinée, Alice m’appelle pour savoir ce qu’il en est de l’invitation faite à Anne.
– Je te confirme qu’elle sera là demain, elle en est ravie.
– Tu vois, je savais qu’il n’y aurait pas de problème.
– Et toi, ta matinée sportive avec Marie, c’était comment?
– Elle souffre beaucoup moins sur les appareils, elle retrouvera bientôt la forme et ses formes de jeunesse!
– Et pour le reste?
– Ho, juste une petite gâterie réciproque dans le SPA!
– Une petite gâterie, hein?
– Oui, rien que pour se détendre après l’effort! Par contre, elle m’a raconté qu’elle commençait à prendre goût à Sucre! Je suis sûre qu’elle va devenir une vraie chienne!
Anne apparaît dans l’encadrement de la porte, elle a des courriers à me faire signer. Je lui fais signe d’entrer et de s’asseoir tout en continuant ma conversation.
– Tiens, Anne est assise en face de moi, elle aussi, voulait me faire une gâterie tout à l’heure.
– Et tu n’as pas accepté?
– Tu sais bien que je ne fais rien sans ton consentement!
– Comment est-elle habillée?
– Petite robe noire, moulante, en stretch, pourquoi?
– Et dessous?
– D’ici je ne vois pas. Puis m’adressant à Anne: montres-moi ce que tu portes sous ta robe, Alice veut savoir.
Anne ouvre les jambes pour me montrer que sa chatte est à nu.
– Rien, réponds-je à Alice.
– Passes-la moi! Je veux lui dire un truc.
– Tiens, Anne, Alice veut te parler.
– Allo, bonjour, Alice, comment vas-tu?
– (…)
– Oui, Ok!
Anne ne dit plus rien, elle se lève, va fermer la porte du bureau, revient vers moi en soulevant sa robe. Elle s’assied sur le bureau, écarte largement les jambes et, de sa main libre, me prend la tête et l’approche de son sexe. Je ne me fais pas prier et lèche les lèvres gonflées que j’écarte avec la langue, remonte sur le clitoris et m’active, suçant, gobant, léchant, jusqu’à obtenir sa jouissance.
– (…)
– Humm! Oui, très bon Alice!
– (…)
– Bien sûr!
Anne descend du bureau, et, toujours de sa main libre, défait mon pantalon et prend mon sexe en main.
– Ouahou! En effet, sacré changement!
– (…)
– Avec plaisir!
Elle s’agenouille et avale l’engin, suçant et aspirant tout en branlant, jusqu’à obtenir une érection. Elle se retourne, s’assied sur ma queue raidie et commence des va-et-vient de haut en bas, tout en donnant des petits coups de reins et en me malaxant les couilles de sa main libre. Ces mouvements m’excitent au plus haut point et je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme!
La cochonne le sent bien et se relève pour me prendre en bouche et m’astiquer le manche jusqu’à ce que j’éjacule. Une fois avalé mon sperme, elle répond à Alice:
– Très bon, j’en avais oublié le goût! Merci Alice.
– (…)
Et elle raccroche! Elle réajuste sa robe, repasse de l’autre côté du bureau.
– Il faudrait signer les deux lettres dans le parapheur, s’il te plait.
Je ne pose pas de questions sur leur conversation, je me contente de boucler mon pantalon et signer les courriers.
Anne reprend le parapheur et se dirige vers la porte. Juste avant de l’ouvrir elle se retourne, sourire aux lèvres.
– Très réussie ta chirurgie! Et elle est encore meilleure, maintenant!
Cinq minutes après mon téléphone sonne, c’est Alice qui me rappelle.
– Alors, c’était comment ta petite gâterie?
– Très bien! Çà met en forme pour la journée! Mais que lui as-tu raconté?
– Rien de spécial. Je lui ai dit qu’elle était aux ordres dès maintenant et qu’elle allait faire ce que je lui demandais.
– Tu as vraiment l’esprit pervers, mais bon, c’était sympa! Mais quand tu dis qu’elle est aux ordres dès maintenant, çà veut dire qu’elle vient ce soir chez nous?
– Bien sûr! Un week-end, c’est un week-end, pas une journée! Bon je te quitte, çà sonne. Allez, bisous, à ce soir!
Le reste de la journée se passe, une journée de travail avec son lot de bonnes et mauvaises nouvelles.
À 17h00, trente cinq heures semaine oblige, tout le monde s’en va. Anne vient me demander si je n’ai plus besoin d’elle et si elle peut partir.
– Vas-y Anne, encore deux bricoles à faire et je ferme la boutique!
– Bon alors, à toute à l’heure! J’ai hâte de tester un peu mieux ton nouveau gourdin!
A suivre
Très peu vassilien, mais c’est un épisode de transition qui ne reflate pas la bonne ambiance de la série