Une vie de soumis 2 – Premières séances de dressage par Ysan01

Une vie de soumis
2 – Premières séances de dressage
par Ysan


Rappel du chapitre précédant : Ysan c’est moi, élève aux beaux-arts, jeune éphèbe androgyne : visage d’ange, longs cheveux blonds ondulés, un corps harmonieux et féminin sans aucune pilosité. Notre professeur que nous appelons « maître » est un colosse barbu. Il me fascine et depuis longtemps j’ai bien remarqué qu’il n’était pas insensible à mon charme équivoque. Hier soir au prétexte de me faire poser nu il m’a retenu dans l’atelier après le départ des autres élèves. En réalité c’était pour me sodomiser : un dépucelage violent et douloureux que j’ai subi dans les délices d’une soumission complète. Maintenant il a décidé de poursuivre mon éducation amoureuse.

CHAPITRE II
PREMIERES SEANCES DE DRESSAGE

Dès le réveil je me suis remémoré la folle fin d’après midi de la veille. Prêt à partir pour les beaux-arts je n’ai pas oublié l’ordre de mon amant. Toute la journée je devais porter le plug qu’il m’avait donné. L’intromission fut douloureuse, l’engin était de gros diamètre pour mon petit trou bien endolori par le dépucelage de la veille. Dans la rue, je me suis surpris marchant en tortillant des fesses, le plug me provoquait une excitation certaine.

A l’atelier, et contrairement à son habitude mon maître ne s’intéressa plus à moi, sauf au milieu de l’après- midi quand il m’a interpellé depuis le fond de la classe :

– Ysan depuis ce matin tu restes debout ! Tu as mal aux fesses ? Assied toi, tu seras mieux pour dessiner.

Je suis devenu écarlate, persuadé que tous mes camarades avaient compris ce que je portais, planté dans mon fondement.

La journée de cours terminée, à cinq heures précises je sonnais chez lui avec l’angoisse exquise d’une jeune pucelle amoureuse se rendant à son premier rendez-vous. La porte d’entrée refermée il m’a longuement serré contre lui dans un baiser profond. Sa langue enfoncée dans ma bouche était les prémices des pénétrations profondes qui m’attendaient. Il m’a conduit vers la salle de bain en caressant mes fesses, sans doute pour vérifier si je portais bien le plug

– Ysan, c’est la première fois que tu viens chez moi, je vais t’expliquer ce qu’à l’avenir tu devras faire seul. Déshabilles toi !

Comme la veille je me suis retrouvé entièrement nu et frémissant devant lui :

– D’abord je vais t’apprendre à cacher ta petite queue incompatible avec la tenue que tu vas porter et ton rôle de petite salope.

Il faut savoir que mon aspect très efféminé, mon absence de tout système pileux avaient une raison. J’étais une anomalie de la nature, sous ma verge il n’y avait ni bourses ni testicules, j’étais fait ainsi. Autant dire que mon maître n’eut aucun mal à replier ma petite queue dans l’entrejambes et à la fixer par un carré de toile adhésive. Mon pubis sans le moindre poil, il devenait bien difficile de savoir si j’étais un garçon ou une fille.

– Maintenant Ysan tu vas te préparer toute seule. Tu as là une poire à lavements, car je veux que tu sois très propre, des vêtements, chaussures, bijoux, rouge à lèvres, parfums. Prends ton temps, quand tu seras prête tu viendras me rejoindre au salon.

Pour la première fois, mon amant, me nommait au féminin et cette mutation m’a plu. Maintenant seul, j’ai commencé par le lavement. La canule était de gros diamètre, mais rien à voir avec le plug que j’avais supporté toute la journée. Les jets chauds et puissants que j’envoyais dans mon ventre me procuraient des sensations très agréables. J’ai recommencé plusieurs fois pour être très propre, mais aussi pour mon plaisir, je l’avoue.

Est venu ensuite le moment de m’habiller : bas résilles, large serre taille porte jarretelles en satin noir, long déshabillé noir transparent, escarpins à talons aiguilles. Les bijoux étaient en or: collier, bracelets, boucles d’oreilles à clip et pinces à seins ornées des mêmes motifs. La pose des pinces a été douloureuse, mais très vite la douleur s’est transformée en jouissance. Un peu de rouge à lèvres, le parfum, un coup de brosse dans les cheveux et je me suis regardé dans la glace.

Hier j’étais Ysan, étudiant aux beaux-arts, un garçon très efféminé, mais un garçon quand même. Aujourd’hui, par la magie de mon maître je suis une petite pute en chaleur impatiente de se faire monter par le colosse barbu qui l’attend au salon. Le moment était venu de me présenter devant lui.

A mon étonnement il était resté en costume cravate, assis dans un fauteuil et sirotant un whisky. Une longue cravache de cuir fauve était négligemment posée sur la table basse. Il m’a longuement observé, je restais debout immobile devant lui :

– Tu me plais beaucoup Ysan dans ta tenue de pute. Maintenant il te faut apprendre à marcher lentement, les reins bien cambrés et en ondulant de la croupe. Fais des allers et retours dans la pièce.

Quand je passais devant lui la cravache claquait sur mes fesses pour me forcer à améliorer la position. Là j’ai compris que mon éducation amoureuse serait sévère. J’étais une jeune pouliche au dressage avant la première monte et je dois l’avouer cette situation n’était pas pour me déplaire.

Ensuite il m’a donné l’ordre de retirer mon déshabillé, les mains derrière la nuque, je devais simuler une danse du ventre en lui présentant ma croupe. La cravache claquait si mes mouvements n’étaient pas assez lascifs. Il m’a enfin pris sur ses genoux pour m’embrasser longuement et me caresser. J’étais en transe quant il m’a fait agenouiller pour sucer son sexe magnifique :

– Ysan tu suces divinement bien, mais je comprends que tu ais envie d’être prise, viens dans la chambre je vais te sodomiser.
– Oui mon chéri je veux être toute à toi.

(Voilà que moi aussi instinctivement je commençais à me nommer au féminin, c’était ma vraie nature et dans toute la suite de ce récit désormais je parlerai de moi au féminin comme si j’étais une vraie fille).

Mais ne perdons pas le fil de mes aventures. A sa demande je me suis donc dirigée vers la chambre lentement en ondulant de la croupe, comme une professionnelle. Il me suivait et devait apprécier. Il ne lui a pas fallu longtemps pour se déshabiller et me basculer à plat ventre sur le lit. Avant de venir me rejoindre il s’est dirigé vers la chaine HIFI et a mis en route un disque : la quarante et unième de Mozart. Raffinement suprême, j’allais être sodomisée aux sons de la symphonie Jupiter.

Les reins bien cambrés je lui présentais mon charmant petit cul encadré par la dentelle du corset et les jarretelles, mes jambes fines gainées dans les bas résilles, le spectacle devait être excitant. Il s’est agenouillé à cheval sur ma croupe offerte. A deux mains j’écartais mes globes fessiers pour lui présenter mon petit œillet frémissant de désir : une vraie chienne en chaleur. Je savais que j’allais souffrir, mais peu importe je voulais être prise

Dans l’angoisse, j’ai senti son gland charnu s’insérer entre mes fesses. D’un coup de rein puissant il a forcé ma petite rondelle. Certes la pénétration fut douloureuse, mais aucun rapport avec les souffrances de mon dépucelage la veille. Le plug porté toute la journée avait produit son effet, mon petit trou était maintenant bien ouvert. Très vite j’ai eu beaucoup de plaisir.

– Oh, c’est bon mon chéri, tu m’encules bien, donne moi de grands coups, fais moi tout !!
– Ah tu aimes ça te faire défoncer petite salope, tiens prends tout ….ah ! ah !

Sa queue enflait encore, je gémissais de plaisir. Quand il a déchargé dans mon ventre j’étais en transe, tout mon corps secoué par des spasmes violents. Je venais d’avoir un orgasme de fille.

– C’était bien Ysan, tu es déjà une grande amoureuse, tu prends très bien ma grosse bite. Allons maintenant dîner et ce soir tu vas dormir avec moi.

Passer ma première nuit dans les bras de mon amant, cette perspective m’a ravie, maintenant j’étais sa maîtresse, sa femme. Retour du restaurant je me suis entièrement déshabillée sans attendre qu’il me le demande. Il me regardait:

– Ysan, je ne veux plus te voir avec tes slips minables. Je vais prendre tes mensurations et dès demain je t’achèterai des dessous dignes de toi. Pour cette nuit, je pense avoir quelque chose qui te convienne.

Il a pris mes mensurations puis est allé chercher dans un tiroir une charmante nuisette baby doll rose bordée de dentelle. Je me suis empressé d’enfiler ce sous vêtement de fille et de faire la belle devant lui puis je me suis agenouillée, j’ai sorti sa queue et j’ai commencé à le sucer goulûment :

– Tu es en chaleur Ysan, petite vicieuse, tu as encore besoin d’être enculée pour te calmer. Vas à la salle de bain détacher ta petite queue, je veux la voir et prends un bon lavement. Je vais t’apprendre une autre position.

A mon retour il était nu. J’étais un peu angoissée ne sachant ce qui m’attendait. Il m’a fait allonger sur le dos, a glissé un coussin sous mes fesses et m’a demandé de lever les jambes bien écartées. A genoux devant moi, son sexe était ainsi face à mon petit trou. Pour la suite, j’avais maintenant l’habitude: une douleur vive quand le gland charnu force ma rondelle et puis une jouissance intense quand le membre lime fouille tringle mon fondement. Mais là il y avait pour moi des plaisirs nouveaux: je voyais mon amant, je le découvrais prenant son plaisir, il pouvait m’embrasser, pétrir et mordre mes seins, son ventre frottait sur ma queue. Ma jouissance était complète, je ne cessais de pousser de petits gémissements de plaisir. Quant il a déchargé j’ai senti le jet puissant dans mon ventre et en même temps j’ai éjaculé.

Nous nous sommes vite endormis, mais au milieu de la nuit j’ai voulu le provoquer. Il était allongé, nu à coté de moi. J’ai commencé par caresser sa large poitrine musclée et velue. Il s’est réveillé et se laissait faire, bouche ouverte attendant un baiser. Nos langues se sont enlacées chacun buvant la salive de l’autre dans un baiser fougueux. J’ai alors abandonné ses lèvres pour mordiller ses tétons et ensuite descendre vers son sexe au repos que j’ai pris en bouche.

Sous mes caresses mon amant a vite retrouvé toute sa virilité. A chaque mouvement son gland charnu venait frapper au fond de ma gorge. J’essayais de contenir dans ma petite bouche cette bite énorme. D’une main je tenais sa hampe, de l’autre je caressais ses bourses et puis je me suis hasardée à pousser mon index entre ses fesses. Il a violemment repoussé ma main, j’ai compris que j’avais franchi un interdit :

– Ysan ne joue pas à ce petit jeu, si non tu seras sévèrement punie. Je suis un homme et tu devrais savoir qu’un male ne jouit qu’avec sa bite. C’est bon pour une petite femelle comme toi de trouver du plaisir en se faisant chatouiller la rondelle !

Ainsi je venais d’apprendre que j’étais « sa femelle ». J’aurais préférée un vocabulaire plus romantique, mais j’étais alors trop amoureuse de lui, prête à tout accepter.

Consciencieusement j’ai poursuivi mon travail « de femelle » : je suçais. Sa verge enflait sous la montée du foutre, j’attendais avec anxiété le moment où il allait gicler ce qui n’a pas tardé. Le jet a été puissant, j’avais la bouche pleine mais cette fois j’ai tout avalé sans le moindre haut le cœur. C’est même avec délectation que j’ai bu le sperme acre et visqueux de mon amant.

Après ce dernier assaut fougueux il avait pris son plaisir, retrouvé l’apaisement. Moi je restais sur ma faim, le corps brulant de désir.

– Mon chéri tu viens de prendre beaucoup de plaisir, mais moi j’ai très envie de jouir, je t’en supplie calme moi.
– Ysan, maintenant je suis fatigué, mais vicieuse comme tu es, tu dois pouvoir te satisfaire toute seule, branle toi devant moi, ce spectacle vas me plaire.
– Je n’oserai jamais mon chéri, c’est trop intime.
– Ysan, cesse de jouer à la vierge effarouchée, je vais te donner quelques accessoires pour corser le spectacle et tu vas faire ce que j’ai dit. C’est un ordre !

Il s’est dirigé vers la commode où il avait trouvé la nuisette rose que je portais. Ce meuble devait contenir des trésors d’érotisme, j’étais impatiente de savoir ce qu’il allait me rapporter. Mon attente n’a pas été longue, il a déposé sur le lit, près de moi, un vibromasseur aux dimensions impressionnantes et une paire de grosses pinces à seins et puis, indifférent, est allé s’asseoir dans un fauteuil.

J’ai compris que maintenant je devais me débrouiller toute seule. L’intromission du vibromasseur fut assez facile, j’étais bien ouverte par les sodomies récentes. Par contre la pose des pinces équipées elles aussi de moteurs vibrants fut plus douloureuse. Quand j’ai mis tous ces mécanismes en route, mon corps est entré en transe. Allongée sur le dos, nuisette relevée, je caressais lentement mon petit sexe, tout mon corps frémissait au rythme des vibrations, mon plaisir était intense. Je n’ai pas tardé à jouir dans ma main et mon amant a applaudi. Le spectacle lui avait plu. Noue étions maintenant apaisés et repus tous les deux. Il est venu s’allonger près de moi et s’est endormi.

Je suis restée éveillée un moment me remémorant le chemin parcouru. Hier j’étais un jeune puceau efféminé, aujourd’hui je suis devenu la « petite femelle » de mon professeur. En aussi peu de temps je l’ai déjà fait jouir cinq fois, trois fois dans mes fesses, deux fois dans ma bouche. A ce rythme, s’il veut continuer à me satisfaire il va devoir se surpasser mon bel amant viril et dominateur. Car au-delà des apparences, en réalité c’est bien moi qui reste le maître du jeu. Sur ces perspectives réjouissantes je me suis vite endormie.

(à suivre)

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Une réponse à Une vie de soumis 2 – Premières séances de dressage par Ysan01

  1. Erik MATZ dit :

    Quelle délice !
    (ses aventure d’Isa !!!)
    Erika

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