Trans-formation
5. L’amour au bureau
par Alamour
Après un week-end de rêve qui aura vu ma vie basculer, j’allais retourner au bureau travesti, accompagné par Sandra, ma trans d’amour.
Dès le réveil, je fonçais à la salle de bain me faire une beauté : après un rasage méticuleux et la pose du fond de teint, je procédais à un maquillage discret mais bien révélateur pour mes beaux yeux bleus. Je choisissais une perruque de la même couleur que mes cheveux. D’ici quelque temps, mes cheveux auraient poussé et je pourrai m’en passer, j’espère. Une jupe ample et un chemisier gris perle décolleté légèrement laissant apparaître un soutien-gorge noir à dentelles : je me sentais prête.
Sandra m’attendait pour le petit déjeuner et un dernier briefing :
– Je te rappelle que tu ne connais pas la boîte. Ecoute, pose des questions, comme une débutante. Fais bien attention aux toilettes, ne va pas dans celles des hommes…
Après ces conseils, Sandra évoqua ma sexualité :
– Je vais te présenter comme ma petite amie, mais tu seras libre d’avoir la sexualité que tu veux au bureau. Sauf certains jours… comme aujourd’hui. Je veux que tu me réserves ton puit d’amour pour moi toute seule ce soir. Trop de personnes en ont profité ce week-end. Tu vas même avoir un cadeau pour ça.
Elle me tendit un paquet. Je défis le ruban, déchirai le papier et découvrait quatre boules dorées reliées par un fil avec un anneau à une extrémité.
– Des boules de geisha ! Super, j’en rêvais.
– Montre-moi ton petit cul, je vais te les mettre, dit Sandra.
Je relevais ma jupe contre ma poitrine et me mettait à quatre pattes. Sandra écarta la culotte et approcha un doigt vers mon intimité.
– Mais tu es toute lubrifiée, ma salope !
Elle m’enfonça une première boule, puis la seconde. Elle demanda :
– Alors, c’est comment ?
– Super ! Continue, Sandra.
– Juste une. Je vais laisser une boule à l’extérieur pour que tu la sentes cogner contre l’entrée de ta grotte toute la journée. Défense d’enlever, ne serait-ce qu’une boule, Marie-France.
Elle me donna une bonne claque sur les fesses, remit en place la culotte en positionnant bien la dernière boule, laissant l’anneau en dehors battre contre mes cuisses.
En marchant, la sensation était exquise. Par rapport à un picket qui maintenait l’anus ouvert, on se sentait moins pris, mais la présence des boules bougeant dans le rectum était vraiment jouissive. Heureusement que j’avais prévu une jupe large pour éviter de trop dévoiler mes érections, la culotte en dentelle noire ne pouvant maintenir trop longtemps mon sexe dressé.
En m’asseyant en voiture près de Sandra, j’eus l’impression que la quatrième boule allait rejoindre ces camarades. Elle ne fit qu’ouvrir légèrement mon ouverture. Je pouvais contrôler celle-ci selon la position que j’avais en m’asseyant. Il me fallut penser à des choses désagréables pour voir enfin mon érection diminuer.
Arrivées au bureau, Sandra me présenta :
– Voici Marie-France. Elle remplace votre collègue qui m’a remis sa démission vendredi soir. Je compte sur vous pour l’aider.
Se tournant vers moi, elle ajouta « Bonne journée, ma chérie » en m’embrassant sur la bouche. Je sentis que mes joues rosissaient devant le regard étonné des autres. Certaines femmes – mais était-ce vraiment toutes des femmes ?- semblaient jalouses. Les hommes me regardèrent de la tête aux pieds et semblaient satisfaits de la plastique de leur nouvelle collègue.
A peine assise à mon « nouveau » bureau, le téléphone sonna. C’était Charles, le patron, qui voulait me voir immédiatement. Je demandais à un collègue de m’indiquer où se trouvait son bureau.
– C’est simple, c’est le bureau au fond, aux vitres opaques.
Je frappais.
– Entre, Marie-France. Alors, tu es bien installée ? Sandra t’a présentée à tes nouveaux collègues ? Tout va bien ?
– Oui monsieur.
– Pas de monsieur entre nous, Marie-France. Depuis notre intimité d’hier, tu peux m’appeler Charles et même peut-être me tutoyer. Tout va dépendre de toi, maintenant. Tu as eu hier quelques difficultés à bander et à jouir. Je voudrais savoir si la petite salope que tu es va pouvoir tenir ses engagements sexuels.
– C’est que… bredouillais-je, Sandra m’a défendu aujourd’hui…
– Je sais. On ne touche pas à ton cul. Montre-le, d’ailleurs.
Je me tournais et soulevais la jupe.
– Enlève jupe et culotte, ordonna Charles.
Je m’exécutais, ne gardant que porte-jarretelles et bas blancs.
– Penche-toi, que je vois ce que je ne dois pas toucher. Oui ! Excitant ! Allez, retourne-toi que je vois ton clitoris.
Il aurait été difficile de cacher mon sexe qui n’en pouvait plus de se dresser à la verticale.
– Très joli, Marie-France. Allez, maintenant, astique-le que je vois ce qu’il propose.
Il s’installa dans son fauteuil et ne perdait pas une miette des lents va-et-vient que j’entreprenais devant lui. Une forte envie de jouir commença à monter, liée à l’excitation de la situation, au stress de ce « nouveau » boulot, et surtout aux boules de geisha. Je fermais les yeux.
Mes doigts aux ongles marron glacés quittèrent mon sexe pour malaxer les testicules, espérant ainsi retarder la jouissance en cours.
Ce fut peine perdue, mon sexe tressauta, je gémis et une forte giclée de sperme s’envola telle une fusée. Mes muscles se resserraient avec un bonheur fou autour des boules, rendant cette jouissance encore plus forte.
– Mmmmmh, c’est bon … Que c’est bon… articulais-je difficilement.
C’est en rouvrant mes yeux que je me rendis compte que deux événements s’étaient produits lors de ma jouissance. Mon sperme avait giclé sur mon chemisier, créant une large auréole que je me dépêchai de lécher au niveau du sein gauche. C’est alors que je vis que Charles avait sorti son gros engin, déjà bien raide.
– Au lieu de lécher tes vêtements, viens me soulager, petite salope.
Je ne me fis pas prier. A genoux sous son bureau, je saisis des deux mains ce vît et commença à lécher, telle une glace, sur toute la longueur. Quand l’ensemble fut bien lubrifié par ma salive, je décidais d’engloutir ce membre impressionnant.
Plusieurs fois, j’ai cru que j’allais vomir ou m’étouffer. Pourtant, j’allais toujours plus profond.
C’est alors que le téléphone sonna. Charles répondit. Sentant que je relâchais ma pipe, il poussa ma tête avec sa main gauche, plusieurs fois, de plus en plus loin, jusqu’à ce que mes lèvres touchent ses poils pubiens. C’est là qu’il jouit, créant un silence au téléphone, mais envahissant ma bouche et ma gorge au point que j’ai cru défaillir. De peur, de manque d’air, mais aussi de bonheur.
Je nettoyais assidûment de la langue le sexe de mon patron, le rangeais difficilement dans le caleçon puis le pantalon et quittais le dessous du bureau quand Charles raccrocha.
– Bien, Marie-France, deux bonnes nouvelles après cette belle prestation : tu es engagée en CDI et tu peux me tutoyer. A bientôt, ma belle.
En sortant du bureau du directeur, je sentis tous les regards s’orienter vers moi, et surtout vers la tache sur mon chemisier. Je préférais rapidement raconter tout à Sandra qui ne disposait pas d’un bureau complètement fermé.
Après avoir expliqué à faible voix ce qui venait de m’arriver, Sandra me fit signe de plonger sous son bureau. Je compris tout de suite pourquoi. Je soulevais sa jupe, écartais l’élastique du string et léchais son membre déjà bien gonflé. Je lui fis subir le même traitement qu’à Charles, et fort heureusement son sexe n’était pas aussi énorme. Comme elle basculait son bassin vers l’avant pressentant la jouissance qui émergeait, je vis une boule dorée reliée à son anus par un fil. Comme moi. Comme je la saisissais, Sandra gémit, doucement puis de plus en plus fort, alors que son sperme frappait à fortes saccades le fond de ma gorge.
Après un nettoyage en règle du sexe de Sandra, je sortis du dessous du bureau. Sandra me félicita et m’accorda une après-midi de repos pour le bon travail effectué.
– Tu en profiteras pour vider ton appartement de mec et mettre fin au bail, ajouta doucement Sandra. Nous vivrons ensemble désormais.
J’embrassais voluptueusement ma chérie, lissait ma jupe et mon chemisier encore humide, et sortait, prête à affronter les moqueries des collègues. Pourtant, à part certains, visiblement gênés qui détournaient le regard, hommes et femmes dans l’ensemble me regardèrent plaisamment avec des sourires complices.
Lors du déjeuner, sans Sandra qui avait un travail à terminer, ils furent nombreux à se disputer pour s’asseoir à côté ou en face de moi. Je ne les encourageais pas à me draguer, mais appréciais leur empressement. Que c’est bon d’être une femme ! On me posait tellement de questions que je n’arrivais pas à répondre à une seule. Je souriais, j’écoutais, j’étais bien.
Après le repas, je pris la voiture de Sandra pour rejoindre mon appartement. Après un rapide inventaire, je me résolus à laisser meubles, bibelots et vêtements qui ne faisaient plus partie de ma vie de femme. Je conservais juste une malle en bois, pleine de secrets et d’effets très personnels.
Je me rendis ensuite dans l’agence immobilière qui louait l’appartement. J’étais reçue par un homme d’une trentaine d’années, charmant, qui se présenta sous le prénom de Marc. Après un échange de discussions financières, Marc voulut en savoir plus sur les liens qui existaient entre le précédent locataire et moi-même. Devant ce sujet délicat, je préférais faire parler mon charme. Je me fis aguicheuse, montrant le haut des bas, passant ma langue sur mes lèvres de façon suggestive. C’est alors qu’il m’avoua :
– J’ai fait une promesse à ma femme, qui me sait très volage. Et je veux la tenir.
– Ah, et quelle promesse avez-vous faite ? Celle de ne pas voir ou toucher de femmes ?
– Pire que ça : j’ai promis que mon sexe n’aurait aucun contact avec les mains, la bouche, les seins, le sexe ou le cul d’une autre femme. Même d’un homme, m’a-t-elle fait promettre puisque j’ai fricoté avec des transsexuelles et des travestis. Mis à part la branlette, je n’ai plus que ma femme pour jouir.
– Vous pariez que non ? avançais-je. Si j’arrive à vous faire jouir en respectant votre promesse, vous pourrez me faire un rabais sur la commission ?
– Si vous y arrivez, je ne prendrais aucune commission.
Je déplaçais ma chaise de l’autre côté du bureau et levais mon pied droit, chaussé d’un escarpin à talon, ouvert au bout, laissant apparaître les orteils peints en marron, recouverts du nylon des bas. Je posais mon pied sur le renflement qui apparaissait en bas de son ventre.
– Votre femme ne vous a pas parlé des pieds ? Parfait. Alors, baissez votre pantalon et laissez-moi faire.
Je me déchaussais des deux pieds. Avec le gauche, je plaquais son sexe qui commençait à prendre de la rigueur contre son bas-ventre. Du bout des orteils, je caressais le frein, déclenchant un râle chez Marc. J’en profitais pour ajouter mon pied droit dans l’action, le glissant sous les testicules de Marc, et opérant un massage en douceur, toujours avec les orteils.
Marc semblait heureux de la situation. Seulement, quelques minutes après, son bassin oscillait légèrement d’avant en arrière. Il avait envie de baiser, pas d’être masturbé. J’arrêtais alors toute action et joignais les deux pieds. Il me regarda, étonné.
– On arrête ?
– Non, maintenant, c’est toi qui vas baiser mes pieds. Regarde, entre les deux, tu as juste le passage pour ton sexe. Baise, vas-y !
Il attrapa mes deux pieds, se leva et pénétra vigoureusement l’espace présenté. Il partit dans une grande et longue chevauchée. La friction du nylon des bas et le fait de pouvoir serrer ou desserrer l’étreinte autour de son sexe eut rapidement raison de lui… Gémissant de bonheur, il recouvrit presque totalement le dessous de mes pieds d’un sperme laiteux que j’aurais volontiers léché si j’avais été plus souple.
– Ne vous inquiétez pas pour l’appartement, je m’occupe de tout, dit-il pendant que je me rechaussais, glissant mes pieds pleins de sperme dans mes chaussures neuves.
Le soir, je racontais ma journée à Sandra. Tendrement, elle ôta les boules de geisha. Je fis de même pour elle. Après un petit lavement et une bonne douche, nous nous glissâmes toutes deux dans les draps frais de notre grand lit. Après une étreinte et de longs baisers qui se propagèrent sur toutes les parties du corps, nous nous retrouvâmes en 69, chacune suçant l’autre.
Sandra me positionna ensuite, le ventre sur deux oreillers. Elle m’enduisit le petit trou de lubrifiant et posa son sexe à l’orée de ma grotte. Elle appuya doucement. Recula. Appuya un peu plus fort. Ressortit. Petit à petit, mes sphincters se relâchèrent, ouvrant le passage au sexe de Sandra qui s’avança doucement, lentement, toujours progressivement, jusqu’à ce que son pubis touche mes fesses. Alors, elle partit dans un grand galop, martelant mes fesses à un rythme élevé. Je crus que ça ne s’arrêterait pas. J’étais bien. Mon sexe, coincé dans l’oreiller, gardait toute sa vigueur. Soudain, je sentis le sexe de Sandra se gonfler, elle cria et jouit au plus profond de moi en m’embrassant le cou. Nous échangions des mots d’amour.
Lorsque son sexe dégonfla, elle se retira et je me retournais pour nettoyer ce bel appareil. Elle me proposa alors de la pénétrer, pour la première fois. Cela faisait trois jours que nous vivions une belle histoire d’amour avec des situations sexuelles très variées, mais je n’avais pas encore fait l’amour à Sandra.
Je l’installais au bord du lit, sur le dos. Je voulais la voir, la contempler pendant ce moment tant attendu. Je déposais du gel lubrifiant sur un doigt et l’approchais du petit anneau bien refermé. Je tapotai, massais autour, tapotais. L’espace s’entrouvrit au fur et à mesure. J’en profitais pour entrer profondément le doigt, faisant gémir Sandra. Avec un peu plus de lubrifiant, j’ajoutais un deuxième doigt et tournais les deux dans le puits d’amour de ma bien aimée.
N’y tenant plus, levant les jambes de Sandra et les posant sur mes épaules, je saisissais mon sexe qui gardait une magnifique érection et pénétrait jusqu’à la garde le petit trou de Sandra, lui arrachant un petit cri. Fougueusement, je me déhanchais à un rythme élevé. Sentant la jouissance venir trop vite, je me calmais et opérais plus lentement. J’en profitais pour regarder notre image sur un des nombreux miroirs qui tapissaient la chambre. Nous étions belles. Je regardais Sandra. Elle avança une main pour me masser la poitrine. De l’autre, elle se saisit de son sexe qui reprenait de la vigueur et, le tenant entre deux doigts vernis, se masturbait au même rythme que ma pénétration.
Les yeux dans les yeux, l’une attendait que l’autre jouisse pour la suivre. Nous profitions de ce moment de bonheur partagé. Je fus le premier à jouir. Je criais « Je t’aime ! » en retirant mon sexe, envoyant les giclées de sperme sur le sexe et les bourses de Sandra qui jouit à son tour sur son ventre.
Pendant que je nettoyais son ventre et son sexe en les léchant, Sandra me dit qu’elle me voulait pour elle toute seule le lendemain. Pour cela, elle m’interdisait de sortir, de téléphoner ou de recevoir quiconque pendant qu’elle irait au travail.
Une occasion pour me plonger dans ma malle secrète….
A suivre…
C’est effectivement assez maladroit mais l’auteur me semble perfectible et on sent poindre un certain style
Dommage que le style soit si approximatif. Quand je lis « Fougueusement, je me déhanchais à un rythme élevé », j’ai plus envie de rire qu’autre chose.