Droit de se laisser aller…
par Aengus Dana
Bonjour, voilà l’histoire commence il y’a quelque temps ; c’était l’époque de la fac, de cette légèreté qui vous laisse le temps de rêvasser, de flâner et de ne faire que ce qui vous fait plaisir ; du moins pour moi c’était ça grâce à ces pauvres vieux réacs qui me servait de parents. Ils avaient, dans une de leurs réflexions prononcées, décidé d’inscrire leur fille dans une de ces facultés de droit ou les fils à papa côtoient les saintes-nitouches. J’en étais d’ailleurs plus ou moins une quand je suis arrivée du haut de mes dix huit ans dans le pédiluve de la justice. Un an plus tard et une première année passée coincée entre loft story et le code civil ma vie allait changer quelque peu.
C’était un de ces après midi ou le soleil filtrait entre les vitres de mon appart. L’affolement de ne rien trouver à faire et l’excitation du soleil chatouillant ma peau dégarnie par cette petite robe d’été m’avaient poussé à retrouver quelques connaissances sur le chat de » voilà » où tous les ados attardés se retrouve dans la section 18-25. Pour autant ce jour pas moyen de retrouver mes habituels camarades de discussion. C’est alors que je commence à discuter avec deux trois personnes. Mais vous savez comment c’est : les plus intéressants sont toujours ceux qui partent les premiers, pourtant…
Je me retrouve donc seul à chatter en pv avec un mec de mon coin. Il est plutôt sympa dans ses propos : pas de phrase trop déplacée et des sujets aussi variés qu’intéressants. Apres une heure de chat, on en arrive à parler de nos amours, pour moi c’est le désert depuis la sortie du lycée et pour lui c’est apparemment une longue histoire qu’il vient de terminer. C’est alors qu’il propose un truc, que je n’avais pas pratiqué depuis le collège ! : Il me propose de nous lancer mutuellement des paris. Cependant, il est honnête et me prévient de suite que cela risque de vite dégénérer et que ces tests n’ont qu’un seul objectif : jauger notre aptitude à nous » dévoiler » l’un à l’autre. Il propose un premier test : une rencontre pour laquelle chacun doit envoyer la tenue demandé par mail à l’autre une heure avant le rendez vous : deux contraintes on doit pouvoir se déplacer en ville sans être » regarder de travers « , et l’autre doit pouvoir contrôler l’ensemble de la tenue. J’hésite un peu, mais accepte finalement.
Le rendez vous est fixé dans trois heures dans un café du centre ville à deux pas de chez moi. J’attends les deux heures, impatiente, mais tout en composant mon mail des dizaines de fois. Je dois à la fois être originale sans non plus demandé la lune de peur de vexer mon demandeur – m’enfin c’est lui qui à lancé le pari ! C’est décidé pour lui ce sera un jean gris anthracite, un tee-shirt blanc moulant et des basket et c’est tout. Apres mures réflexions je tente le sans sous-vêtements. Dans ma tête de l’époque c’est déjà une chose énorme mais tellement peu par rapport à ce qui m’est arrivé depuis. A 16h j’envoie mon message et au même moment reçoit le sien. J’hallucine une robe noire, un soutif blanc des chaussures à talon noires – j’ai – mais un string blanc (je n’ai que des noirs) et des bas blanc – ça j’ai pas et il faut que je les ais trouvé dans une heure, que les enfile et que j’aille au café. Sur le coup je ne me pose pas de question. Je prépare la robe, les chaussures, le soutif puis attrape une longue veste noire pour filler jusqu’au monop du coin ou je suis sur de trouver mon bonheur ; rayon lingerie je trouve ce que je veux : l’excitation du moment m’émoustille quelque peu ; c’est en effet la première fois que j’achète des bas, et commencer par des blancs me fait franchir (dans ma petite tête) un grand pas. Tout est prêt je suis dans ma chambre en face de la glace et je me regarde, je suis pas mécontente de la tenue de mon corps dans cette tenue. Au fait, je ne me suis pas décrite : je suis brune cheveux longs, yeux verts et visage arrondi, je mesure 1 m 65 et fais un poids raisonnable. Je regarde mes jambes galbées par les bas et ceux-ci ressortent sur l’ensemble de ma robe qui ne laisse apercevoir qu’un tant soit peu de la bretelle de mon soutif. J’opte pour un décolleté léger et j’y plonge un de ces pendentifs fantaisie dont mes tiroirs sont remplis. 16 h 45. Je pars. 16 h 55 je suis dans le café et c’est là que je commence à me poser des question : ne suis pas tombé sur un malade ? Où je m’embarque… Tant pis c’est fait il est 17 h et un quelqu’un qui ressemble fort à la description de la personne du web et qui à la tenue demandée s’approche de moi.
– Bonjour, tu es Annie ?
– Oui toi c’est Stéphane ?
– Oui. On va s’installer à l’intérieur, il y’a un endroit où l’on pourra vérifier la validité du pari.
– D’accord, dis je timidement.
Je le suis ensuite, la salle ne parait pas grande mais, caché derrière un pilonne qui s’impose à un mètre de l’entrée se cache un couloir qui donnent à une multitude de plus petites alcôve ou se nichent d’une à trois tables. Il m’indique l’une d’entre elles ou ne se trouve q’une table ou pourrait s’asseoir cinq à six personne et ou l’on peut s’installer sur une banquette ou sur des chaises hautes. J’opte pour ses dernières ; cela me permets tout d’abord de me trouver face à lui qui à pris place sur la banquette vert émeraude, et cela me permet de rester plus ou moins debout car dans l’excitation du départ je n’avait pas réalisé que la jupe que je portait avait se triste (dés)avantage de se relever lorsque l’on prenait la position assise.
– Tu bois quelque chose me demande-t-il ?
– Volontiers, un thé vert.
Il commande donc une théière de thé à la menthe pour deux. Je n’aurais pas choisi cela vu le lieu, mais je le laisse choisir. La suite me prouvera que j’avais raison vu la qualité du breuvage. Nous commençons à discuter de tout et de rien en sirotant cet affreux thé quand au bout de trois quarts d’heure il me demande sans détours
:
– Venons en à notre pari si tu veux bien.
– Oui dis-je un peu gêné en tentant de me relevé un peu sur ma chaise de peur que la jupe de découvre trop mes jambes et ne laisse entrevoir le haut de mes bas.
– Comme tu le vois j’ai un tee-shirt blanc et le jean gris anthracite et mes simple tennis. Si tu veux approcher un peu tu verra que je n’ai pas de sous vêtements. En disant cela il se met à déboutonner la braguette de son jeans.
–
Je me sens de moins en moins à l’aise et pourtant mon bas ventre commence à se réchauffer.
– Tu ne veux pas vérifier… Ou préfère tu que l’on passe à toi avant de terminer pour moi. Je vois donc la robe et les chaussures à talon noires et les bas blancs. Par contre il va falloir m’aider pour le soutif et le string. D’ailleurs il me faut aussi vérifier que ce sont des bas et non un collant.
Je le fixe et vois bien qu’il attend un geste de ma part. Je ne vais pas me dégonfler maintenant. Même si je perds le pari je ne suis pas obligé de faire le gage dont je ne connais pas le contenu mais je perdrais la face et risquerai de ne jamais revoir Stéphane qui m’a l’air bien sympathique. J’entreprends donc de défaire discrètement un bouton de ma robe afin de faire apparaître le haut de soutien gorge blanc. Un sourire se dessine sur ses lèvres et une lumière s’intensifie dans ses yeux. Pourtant mon soutif est ce qu’il y’a de plus simple et malgré un bon 95b on ne peut que deviner peu de ma poitrine. Apres un instant son regard descends sur mes jambes ; que dois je faire. Je décide de remonter mes pieds sur le barreau du tabouret afin de positionner mes jambes à 90° et de remonter doucement ma robe jusqu’au haut de mes bas. Ensuite j’écarte doucement mes jambes et dans la position où il est, il doit voir mon entrejambe recouvert de ce petit bout de tissu brodé.
– String ou culotte ? D’ici je ne vois pas, dit il en avançant un peu vers moi.
A ce même moment il sortit de l’ombre crée par la table et je pus découvrir qu’une érection relativement bien formée sortait maintenant de son jean qu’il avait sans que j’ai vu déboutonner l’ensemble des boutons. Aucune trace de boxer, slip ou caleçon : il avait rempli la part de son contrat. Mais je ne voyais pas comment remplir la mienne car il y’avait un va et viens continuel et je ne pouvais pas me lever en plein milieu des gens pour lui montrer mes fesses ! Mais l’appel de ce bas ventre qui ne cessait de se réchauffer me donna une idée. Je relevais mes deux jambes envoyai mes pieds contre la banquette une jambe de chaque côté de Stéphane et je remontait mes genoux en m’affaissant sur le tabouret et j’écartais largement les jambes. Son sourire était encore plus grand car dès lors il avait une vue imprenable sur mon fessier.
– Pari tenu dit il en me caressant les genoux à travers mes bas. Cette caresse provoqua chez moi une vague de chaleur qui s’accompagnait d’un lent mais copieux détrempage de mon string. » C’est à toi maintenant, tu connais la règles après un pari de rencontre qui se fais à deux les paris suivant se font l’un contre l’autre, le premier à trois gage offre un phantasme à l’autre ».
– Ok répondis-je Je n’avais jamais eu d’imagination et malgré les deux heures de réflexion que m’avait offert cette après midi je n’avais aucune idée de ce que je pouvais lui demandé.
En plus le thé commençait à faire son effet et une envie d’aller relativement pressente commençait à se faire sentir. Je m’éclipsais donc un instant pour rejoindre les toilettes. En rentrant dans le coin des femmes, je me retrouvait né à né avec une femme de quelque années mon aînée en train de remonter ses bas et de les attacher à son porte-jarretelles. Elle me sourit. Un peu gêné je me glissait dans une cabine de toilette tout en réalisant pourquoi Stéphane se sentait à l’aise. Ce doit être coutume dans ce café que de se déshabiller ! Pourtant ce n’est pas la température des toilettes qui conviait au strip-tease ; il y régnait en effet un froid de canard. Canard, j’allais d’ailleurs devoir le faire car les toilettes de ce café devant daté de Mathusalem, ils étaient turcs. Je fis donc doucement glisser mon string qui avait maintenant presque perdu la moiteur précédemment observée. Et je m’accroupi pour uriner. Le froid était insoutenable il faisait beau dehors et on avait l’impression d’être dans une chambre froide. Tout en urinant je me mis à trembler et ce qui dû arrivé arriva je me pissais copieusement sur le haut des bas et sur le string. C’est alors que me vint mon idée de pari. Toute heureuse, en oubliant le débordement urinaire, je remontait mon string. Le contact de la tiédeur de l’urine et du froid de mon sexe m’électrisa et je découvris pour la première foi les joies que pouvais procurer ce liquide. Je repris vite mes esprits et filait à la table.
– Tu t’es perdu, me demanda Stéphane
– Non juste un contretemps !
– Je vois.
Dans le départ rapide j’avais oublié de replacer mes bas et l’un d’entre eux dépassait maintenant de ma jupe.
– Tant pis dis-je du tac au tac. La réponse m’étonna moi même. J’ai trouvé ton pari ! dis-je à vois basse en m’asseyant sur la banquette. Il me fixait dans les yeux. Tu vas prendre la théière et la remplir du thé que tu viens de digérer.
– Rien que ça. !
– Ça pose un problème ?
– Pas du tout. Et sur ces mots il jeta un coup d’œil aux alentours et se saisit de la théière. Les patrons étaient peut être cool mais il n’apprécieraient peut être pas que l’on pisse dans leurs théières.
Il glissa le réceptacle sous la table et l’ouvrit. Il redéfit doucement les boutons de son pantalon qu’ils avaient du replacer pensant mon absence. J’étais maintenant assis à côté de lui et je le vis sortir son sexe pour le placer dans là théière tout en me regardant comme pour observer mes réactions. Comme pour l’encourager j’écartais un peu plus les jambes ce qui fit remonter ma robe quasiment jusqu’a la taille et par la légère fente il devait apercevoir le coté de mon string. Il se mit à pisser et malgré la forte musique j’entendis le bruit dans la théière. Pour la première ce bruit que j’associais habituellement à une pratique quotidienne et pénible s’associait un moment de plaisir. Au fur et à mesure qu’il pissait sa verge gonflait et cela devenait de plus en plus difficile pour lui. Un moment il s’arrêta :
– Y’ plus de place me dit il d’un ton rigolard.
– Tant pis continue dis- je sans penser qu’il allait le faire
C’est alors qu’il repris son action en penchant légèrement la théière. L’urine rentrait maintenant par le haut en ressortant par le verseur. Elle se déversait silencieusement sur la moquette verte en marquant d’une grande tache son passage. Cela ne dura qu’un instant mais suffisamment pour que Stéphane déborde en conséquence sur son pantalon.
– Pari tenu dis-je
– Oui mais maintenant on devrait peut être payer et filer avant d’être repérés
– D’accord
– Je t’envoie le prochain pari par le web demain
– Ok
Et je rentrais toute joyeuse de cette journée un peu folle. Si vous voulez savoir j’ai gardé ce string trempé jusqu’au petit matin avant de retourner dans une vie un peu moins drôle : ma fac de droit…
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De l’uro et que de l’uro, c’est bien fait, c’est jouissif !