Chanette 32 – Drogue en stock – 1 – Le notaire libidineux
Ceux qui n’ont pas lu mes précédentes aventures (comme c’est dommage !) ignorent donc qui je suis. J’exerce le métier de dominatrice professionnelle… (ben oui, c’est un métier !) Je me prénomme Christine D (Chanette, c’est pour mes clients et quelques très rares intimes), j’ai, disons entre 30 et 40 ans, suis mariée avec un homme de moins en moins présent. Taille moyenne, peau mate, visage ovale, cheveux mi-longs, fausse blonde, pas mal foutue (et modeste avec ça !). Mes récits ne sont pas des récits de domination, mais des récits d’aventures érotiques. Allez, c’est parti !
J’ai dû me déplacer à Bourg-La-Rondelle près de Cahors pour une histoire d’avenant, suite à la vente de la Bergerie (voir Chanette 15, la Bergerie)
Je suis descendue en train ayant horreur des longs trajets en voiture….
Maître Quinballet, le notaire, est plutôt bel homme ce notaire, la quarantaine, très brun, yeux bleu comme la mer un jour de grand calme, costar sur mesure, et cravate triste. (Eh oui chers lecteurs une cravate de notaire peut être triste !)
Et il ne cesse pas de reluquer dans mon décolleté, qui n’est pourtant pas si provoquant que ça !
– Il est indiqué voyante comme profession. Si je peux me permettre cette digression, vous n’en avez pas du tout le look.
– Ou, on me le dit souvent ! Répondis-je.
– Vous savez dans mon étude, je vois un peu de tout. Le fisc a inventé une catégorie professionnelle fourre-tout dans lequel on retrouve beaucoup de professons libérales disons… diverses, comme les diseuses de bonne aventure, les étalagistes, les péripatéticiennes…
– Oui bon ! Si on arrêtais cette digression ! M’agaçais-je.
– Bien sûr ! Mais les lois de la nature étant ce qu’elle sont, je ne peux m’empêcher de vous trouver beaucoup de charme… Non, non ne dites rien, je vous propose de nous accorder un petit moment de détente en échange de quoi je reverrais mes frais de notaire à la baisse.
Et au lieu de l’envoyer bouler, je lui ai demandé à combien s’élèverai cette ristourne
– Voyons voir… disons 500.
J’aurais pu répondre comme je fais parfois que je ne fais que de la domination, mais là allez donc savoir pourquoi, j’ai accepté, parfois il ne faut pas trop chercher à comprendre… Peut-être ses beaux yeux bleus, allez savoir ?
– Vous êtes bi ? Me demande-t-il
– Pourquoi cette question ?
– Parce que j’adore les trios, mais je ne les apprécie que quand les deux femmes se tripotent…
– Disons que je n’ai rien contre.
– Alors je vais appeler Laetitia.
– On reste au même tarif ?
– Vous ne perdez pas le nord, vous, je monte la ristourne à 600.
Et il appelle par l’interphone la dénommée Laetitia.
– Bonjour madame !
– Laetitia, nous allons faire un petit trio comme je les aime bien.
– Avec Madame ?
– Oui !
– Ce ne sera pas une corvée, madame a beaucoup de charme. Dit-elle en verrouillant la porte.
Elle aussi, brune, très légèrement dodue, très souriante, lunettes à grosse monture, chemisier blanc, jupe grise.
– Allez les filles, mettez-vous les nichons à l’air et venez me sucer la bite.
Un grand moment de poésie, quoi !
Donc on se dépoitraille tandis que le notaire s’est affalé dans un fauteuil devant nous après avoir baissé pantalon et caleçon.
On s’approche, je lui caresse sa bite qui commence à bien bander, Laeticia me rejoint et je pensais qu’on allait le sucer à deux, mais elle me fait un signe que je ne saisis pas de suite. Elle approche alors son visage du mien, nos lèvres se touchent et c’est parti pour un roulage de galoche en règle tandis que nos mains deviennent baladeuses.
J’ai toujours eu une réelle fascination pour les jolies poitrines et je ne peux m’empêcher d’embrasser celle de cette délurée secrétaire. Evidemment ma langue s’enroule autour des tétons turgescents. J’adore. Et j’adore encore plus quand la coquine me rend la pareille.
Le notaire bande à présent comme un cerf en rut. De nouveau on s’approche et nos langues viennent lui titiller le gland.
– Mollo, mollo, ne me faites pas jouir ! On n’est pas à cinq minutes ! Implore le notaire.
Ben oui, j’ai bien compris qu’il avait l’intention de me baiser bel et bien !
On calme donc le jeu en faisant de petites interruptions pendant lesquelles nous nous donnons des petits coups de langues mutuels et coquins.
Puis Laetitia abandonne un moment la verge pour s’intéresser aux couilles du notaire qu’elle lèche avec application.
Et moi je fais quoi ?
– Fous lui un doigt ! Me souffle Laetitia
Ce n’est pas un problème, mon doigt se faufile jusqu’au trou du cul notarial et s’y enfonce avant de se livrer à quelques va-et-vient intempestifs.
– Ah, tu m’encules avec ton doigt ! J’adore ça ! Je ne suis qu’un enculé c’est trop bon !
J’adore quand ls mecs se mettent à délirer de la sorte.
Et soudain, changement de scénario.
– Ce n’est pas bien, ça de se faire enculer ! J’ai trop honte, je mérite une punition.
– Tu t’en occupes ? Me propose Laetitia.
– Je lui fais quoi ?
– Tu lui donnes la fessée à ce vilain notaire qui aime trop se faire enculer.
Ça non plus, ce n’est pas un problème, Laetitia invite le notaire à se coucher sur le mes tendres cuisses et je commence à taper du plat de la main.
– Ouin, je suis un vilain garçon, je mérite, une bonne fessée.
Je ne sais pas trop comment il faut taper, je fais donc ni trop fort, ni trop doucement, cela à l’air de convenir au notaire. N’empêche que je commence à avoir mal à mes délicates petites mimines. Laetitia s’en aperçoit et me tend une règle plate en plastique.
OK, mais ça va faire plus mal que les mains nues, mais je suppose que Maître Quinballet est habitué à ce genre de traitement. Je frappe donc, son cul déjà bien rosie par ma fessée, tourne maintenant au cramoisie. J’espère qu’il va tout de même pouvoir s’assoir après cette petite fantaisie !
Il finit par me dire d’arrêter. OK, je ne suis pas là pour le contrarier.
– Oh la la, j’ai le cul en feu ! Si ça passe comme cela en enfer, je prends mon billet de suite ! Mais dites-moi Madame D’Esde, je manque à tous mes devoirs, je ne vous ai pas honoré la moule.
Honoré la moule ! En voilà une expression !
Moi, je veux bien qu’il me broute le minou, le souci, c’est que je ne mouille pas. N’allez pas croire que je suis devenue frigide, vous les savez bien, chers lecteurs, mais il est extrêmement rare que je mouille en situation professionnelle !
Il m’est arrivé en certains cas d’user de subterfuge, comme par exemple enduire ma chatte de gel ou faire quelques gouttes de pipi, mais présentement je ne vois pas trop ce que je pourrais bien faire.
Mais après tout qu’importe, puisqu’il sait que je suis une pute, il n’aura qu’à faire avec !
Et, ça y est, j’ai la langue de Maître Quinballet. Contrairement à ce que j’appréhendais il se débrouille plutôt bien, procédant par de longs balayages avant d’attaquer mon clito. Et là la question est : jouira, jouira pas ? Et comme je connais déjà la réponse je m’apprête à faire la démonstration de mes talents de simulatrice.
Mais putain, il n’est pas manchot de la langue Maître Machin truc, je sens mon plaisir monter. Je me crispe ! Il m’a fait jouir ce con !
– Et maintenant que j’ai honoré votre con, me permettrez-vous d’honorer votre cul !
– Je vous en prie, maître, faite comme chez vous !
Ben oui, il m’a payé, je ne saurais refuser.
Je me retourne donc offrant mon postérieur aux délicatesses de Maître Quinballet, lequel commence par me lécher le trou en me complimentant pour son goût exquis… Tu parles, j’ai transpiré comme une bête dans le train… mais si ça lui convient c’est le principal.
Et après la langue, c’est le doigt ! Faut surtout pas se gêner… mais encore une fois il m’a payé, donc je me laisse faire. Et j’ai bien compris qu’après le doigt ce sera sa bite.
S’il veut le faire san capote, je refuserais, sinon, ben j’ai payé (on va commencer à le savoir !) et sa bite n’ayant rien de monstrueuse, ça devrait bien se passer.
Les tiroirs de Maître Quinballet sont bien remplis, Laetitia sait où se trouvent les capotes et le gel lubrifiant et tend tout ça au notaire.
Respire un bon coup ma fille, il va t’enculer !
– Aie !
Il est entré un peu brusquement mais maintenant ça va. J’espère qu’excité comme il est, ça ne va pas durer des heures…
Effectivement, après quelques sages va-et-vient, il se met à accélérer la cadence à un rythme frénétique et il jouit dans un râle (et dans mon cul)
Il se retire, le visage congestionné, et soufflant comme un bœuf. Et jette négligemment sa capote dans la corbeille à papier révélant une bite gluante de sperme. Que Laetitia n’hésite pas une seconde à nettoyer de sa bouche ! La coquine !
Je me dirige vers mes affaires afin de me rhabiller, mais voilà Laetitia qui me rejoint.
– Ça te dirait qu’on se fasse jouir ? Me demande-t-elle avec un sourire charmeur
– Pourquoi pas ?
Et nous nous sommes retrouvées sur la moquette en position de soixante-neuf en train se de lécher la figue de conserve.
J’ai quand même joui deux fois ! Merci messieurs dames !
A suivre
Béni soient les notaires et leur cravate !😊
Si on ne peut plus signer un acte notarié sans se faire enculer, on vit vraiment dans un monde fou !