Christelle au parking par CKL
Vers 17 heures, Christelle nous annonça qu’elle allait se préparer pour aller faire des courses. Elle se dirigea vers la salle de bains et dans le même temps, son mari prit la direction des toilettes. Profitant de ce relatif moment de liberté, je me dirigeais à mon tour très rapidement vers la salle de bains tout en sortant ma bite déjà bien raide par le zip. Arrivé derrière Christelle, sans rien dire je soulevais sa jupe découvrant ainsi ses cuisses mais également son joli petit cul. A mon grand plaisir, je pus voir qu’elle avait « oublié » de mettre une culotte. Je lui appuyais ensuite sur le dos pour qu’elle puisse m’offrir son cul et je dirigeais ma bite vers sa chatte déjà chaude. Sans perdre de temps, j’exerçais une pression assez forte sur son trou et j’entrais. Je commençais alors mon va-et-vient immédiatement sans oublier de lui caresser ses autres zones intimes. Je la limais ainsi quelques minutes mais nous dûmes arrêter dès que son mari sorti des toilettes.
Après nous être réajustés très rapidement, je réintégrais ma place dans le salon comme si de rien n’était. Quelques minutes plus tard, Christelle passa devant nous en nous disant « à plus tard ! ». A peine était-elle partie que son mari se rendit compte qu’elle avait oublié sa carte bleue. Prétextant un achat subit à lui commander, je lui proposais de la rattraper dans le garage pour lui donner cette carte. En courant vers l’ascenseur, je repensais à mon prétexte. Un achat subit, vraiment, c’était plutôt une envie préméditée… la prendre une fois de plus, dans un garage, à la vue possible de la moindre personne allant chercher sa voiture. Cela semblait intéressant.
A l’arrivée de l’ascenseur au sous-sol, je crus entendre des voix dans le parking. Je me rapprochais donc tout doucement et j’aperçus alors Christelle en discussion devant sa voiture avec 4 jeunes d’une vingtaine d’années qui tenaient un berger allemand en laisse. Je me cachais derrière la voiture la plus proche et j’écoutais un peu ce qui se disait.
– Alors, ma chère voisine, on se promène toute seule ? Vous savez, un parking, ce n’est pas fait pour quelqu’un comme vous. On ne sait pas sur qui on va tomber.
– Surtout quand on est bien foutue et fringuée comme une reine. Ça doit être joli à voir ce qu’il y a en dessous.
– Vous savez, je la croise presque tous les jours et à chaque fois elle me fait bander comme un cheval.
– Ce qui est dessous est très joli, mais ce n’est pas pour vous ! Répondit Christelle.
Je me demandais comment cela allait tourner et je me préparais à intervenir mais intérieurement je me disais que je devais encore attendre un petit peu et la suite ne me donna pas tort.
– Si tu veux partir, il va falloir nous montrer ça quand même. C’est pas tous les jours qu’on peut voir de la belle chatte qui semble surtout bien habillée. T’as mis des collants ou des bas ? Je suis sûr que t’es une belle cochonne et que ce sont des bas. Pas vrai ? Rétorqua son voisin.
– Si, c’est vrai mais je ne peux pas. Je suis mariée ! Répondit-elle.
Cela me fit sourire…
– Allez, pour te décider, on va faire un geste. On va te montrer nos bites et tu n’auras plus qu’à nous montrer ta chatte.!
A ces mots, les quatre jeunes sortirent leur bite et commencèrent à se branler.
– Alors tu vois, on ne se moque pas de toi. Quatre belles bites bien raides qui n’attendent plus que de voir une belle chatte en chaleur. On ne te demandera pas plus que de la voir, de te voir te branler et de nous laisser cracher notre foutre pendant ce temps-là. Alors d’accord ?
– Comme vous tenez ce que vous dites, je veux bien mais faites vite car il pourrait arriver quelqu’un ! Répondit Christelle.
Elle s’appuya alors sur le capot de sa voiture et elle commença à relever sa jupe. A l’apparition de ses bas, les jeunes commencèrent à siffler et à accélérer leur branlette. Ils n’étaient pas au bout de leur peine. Christelle continua à remonter sa jupe et découvrit ainsi sa chatte nue et rasée.
– Petite salope, tu ne nous avait pas dit que tu étais toujours prête. Je crois qu’avec une telle vue, on va vite cracher. Allez, branle-toi maintenant et ne te retiens pas.
Christelle s’assit au bord du capot et commença à sucer ses doigts avant de se branler. Les jeunes n’en pouvaient plus. Je me demandais comment ils allaient pouvoir tenir sans aller goûter à cette chatte avec leur bite. Lorsqu’elle mit son doigt dans sa chatte, je vis leurs yeux s’écarquiller mais ils tenaient bon. C’est Christelle qui prit la parole :
– Alors messieurs, plutôt que de jouer avec vos quatre engins comme des enfants en manque de trous, pourquoi ne pas profiter des miens? Ça vous tente ? »
Ça y était. Je descendais au parking pour continuer ce que nous avions commencé et je tombais sur quoi ? Sur ma petite Christelle en train de s’offrir aux premiers venus. Je m’installais donc, en position de voyeur ce qui je dois le dire me plaisait beaucoup. Sachant ce qui allait arriver, je sortis ma bite et je commençais à me branler comme ces quatre jeunes.
– Tu veux qu’on te saute ? Mais on avait dit qu’on voulait te regarder simplement sans rien te faire…
Sans vraiment écouter, écartant ses jambes elle commença à ouvrir son tailleur et à sortir ses seins imposants. Puis elle se dirigea vers les quatre jeunes, se baissa devant le premier, prit sa bite en main puis l’enfila dans sa bouche. Elle le suçait divinement comme elle pouvait me le faire habituellement. A voir leur copain se faire tailler une pipe, les trois autres jeunes sentaient leur excitation monter. Ils se rapprochèrent de Christelle qui changea de queue. Elle les suça tour à tour tout en continuant de les branler. Elle s’occupait des quatre queues comme une véritable salope.
Après cette belle séance de pipe, Christelle se releva, se dirigea vers le capot de sa voiture, s’y appuya avec les mains offrant ainsi sa croupe aux quatre jeunes totalement éberlués.
– Alors, qui commence ? J’attends. Baisez-moi la chatte les uns après les autres et si vous savez y faire vous pourrez goûter à mon cul. Allez, venez.!
Le jeune voisin de Christelle s’approcha le premier.
– Ça fait longtemps que je te croise, je te vois si jolie avec tes jupes, avec ce que je juge être des bas et à chaque fois j’ai envie de te plaquer contre le mur pour te baiser. Je rêve de te foutre ma bite bien au fond, te voir bouger sur cette bite alors aujourd’hui je vais bien en profiter. Je vais te sauter comme une vraie salope et avec ce que je vais te mettre, tu vas vouloir que je te baise à chaque fois que l’on se croisera dans l’immeuble. »
Le jeune s’approcha alors de Christelle avec sa bite dans une main, lui écarta la chatte avec son autre main, présenta son gland à l’entrée de ses lèvres et d’un seul coup s’enfonça en elle. Ce coup si soudain et surtout si puissant arracha à Christelle un léger cri qui se répéta ensuite à chacun des coups de boutoir du jeune voisin. Car en effet, le jeune voisin assénait à Christelle des coups de reins phénoménaux qui prouvaient bien qu’il avait envie de lui faire sentir sa bite au plus profond de son vagin.
Pour appuyer encore plus ses coups, il prit Christelle par les hanches et la fit aller et venir encore plus vite et plus fort sur son membre. Christelle était totalement dépassée. Elle était affalée sur le capot et accumulait les orgasmes. Après quelques instants, le jeune voisin éjacula ce qui valut encore à Christelle quelques coups de bite encore plus durs. Une fois la bite bien vidée, il s’enleva, regarda Christelle allongée sur le capot, la chatte dégoulinante de sa crème et cria
– Au suivant, baisez-la, remplissez-la de foutre et après on l’enculera !
Le deuxième jeune s’approcha et sans aucun préliminaire profita du vagin bien lubrifié et « crémeux » pour s’enfoncer lui aussi d’un seul coup. Christelle dut subir les assauts répétés des quatre jeunes à tour de rôle. Quand cette séance de baise à répétition fut terminée, Christelle était affalée sur son capot et du foutre dégoulinait littéralement de sa chatte bien ouverte par tant de pénétrations successives. Le jeune voisin se rapprocha alors d’elle et lui dit :
– Alors, qu’est-ce que t’en dit ? Ça fait du bien, hein ? C’est pas fini, reste comme ça et écarte bien tes jambes, je vais te défoncer ton cul et le préparer pour mes copains. »
Il s’approcha d’elle, lui mit un doigt à la chatte pour récupérer un peu de foutre et lui étala sur l’entrée de son cul avant d’y faire entrer un doigt. Il la branla quelques instants et après l’avoir bien lubrifié, approcha sa bite et poussa sur le petit anneau. Christelle laissait sortir des petits cris de douleur au fur et à mesure que la bite s’enfonçait dans son intimité mais dès qu’elle fut totalement entrée, ces cris se changèrent en bruits d’acquiescement. Elle se faisait enculer une fois de plus et elle aimait ça.
Pendant que son voisin lui limait la rondelle, les trois autres jeunes s’approchèrent d’elle et lui mirent à tour de rôle leur bite dans la bouche. Elle qui avant n’aimait pas le goût d’une bite dans sa bouche était en train de se régaler de trois bites qui plus est recouvertes de foutre et de sa mouille. Je ne la reconnaissais vraiment plus mais je l’adorais de plus en plus. Au lieu de se contenter de sucer, elle se mit carrément à pomper les trois jeunes ce qui eut pour effet de les faire jouir un par un dans sa bouche. Bousculée par cette bite qui l’enculait, son pompage ne pouvait être parfait et elle se retrouva donc avec une partie du foutre sur le visage. Elle était magnifique, salope mais magnifique.
Les trois jeunes bien vidés, le quatrième put accélérer ses mouvements et après l’avoir limée quelques instants, il éjacula dans son si joli cul. Lorsqu’il sortit sa bite, Christelle s’écroula une fois de plus sur le capot et resta là sans bouger, affalée, la chatte et le cul offerts recouverts et suintant de foutre.
Les quatre jeunes se reculèrent sans rien dire pour se rhabiller et je fus alors témoin d’une scène à laquelle je ne m’attendais pas. Le berger allemand qui était resté très calme jusqu’alors, s’approcha de Christelle encore baissée sur son capot, le cul et la chatte offerts. Il approcha son museau de ces deux orifices et commença à relécher le foutre qui s’en échappait. Au premier coup de langue Christelle fut secouée d’un violent soubresaut qui se transforma vite en un puissant orgasme tellement la langue du chien était vigoureuse.
Non seulement Christelle venait de se faire baiser comme une véritable salope dans un parking par quatre inconnus mais en plus elle prenait maintenant son pied avec ce chien. J’étais effaré mais très excité. Les quatre jeunes aussi l’étaient puisqu’ils avaient arrêté de se rhabiller et se branlaient de nouveau en regardant le spectacle.
Le chien continuait le nettoyage du cul et de la chatte de Christelle pendant que celle-ci littéralement allongée sur le ventre appréciait les instants. Ce qui devait arriver arriva, une fois tout le foutre nettoyé, le chien ne trouva plus rien à lécher. Excité par l’odeur émanant du sexe de Christelle, le chien mit ses pattes avant sur ses hanches et se dressa derrière Christelle. Son sexe rouge turgescent s’approcha du sexe humide de Christelle et s’y enfonça tout doucement, aidé qu’il était par tout ce mélange de foutre et de lèche. Le chien commença alors ses mouvements de va-et-vient.
Christelle était en train de se faire baiser par un chien et elle aimait ça. A chacune de ses pénétrations, elle laissait échapper un petit cri et tout se termina par un orgasme lorsque le chien lâcha son foutre dans sa chatte. Excités à l’extrême par ce spectacle les quatre jeunes laissèrent le chien s’écarter et vinrent tous profiter du cul de Christelle pour y lâcher leur foutre. Ils l’enculèrent tous un par un en se servant de son trou uniquement pour satisfaire leur besoin qui était réapparu par l’épisode du chien.
Une fois leur action terminée, ils se rhabillèrent et s’éloignèrent après que le jeune voisin eut lancé à Christelle un « A bientôt ! » très prometteur.
Après cela, Christelle se releva et moi je continuais de l’admirer si sexy, si bandante dans cette tenue même après s’être fait littéralement défoncée. Une seule chose me venait à l’esprit pendant qu’elle se rhabillait, vivement un nouveau moment seul avec elle…
Paru en 2000 sur revebebe sous le titre » Christelle, ses fantasmes et les miens » puis passé à la trappe (l’introduction faisant référence à des épisodes antérieurs n’a pas été reprise)
Ça sent le bricolage !
Je suppose que dans le texte d’origine, la séquence du parking était une scène de contrainte voir de viol
Et comme sur Vassilia ces choses ne passent pas, on a édulcoré. Le problème c’est que ça été fait avec des moufles.
Je n’aime pas ce texte