Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 8 – Les Veuves… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 8 – Les Veuves… par Verdon

Non, non…ne craignez rien, je ne vais pas vous faire un cours sur ces horribles araignées capables de vous occire un bonhomme (et pourquoi pas une nana !) en moins de temps qu’il ne me faut pour l’écrire.

J’en sens qui déjà frissonnent de frayeur (ou peut-être de joie, qui sait ?..) en imaginant la vilaine bestiole courir sur le plafond de leur chambre à baiser.

Vous savez évidemment qu’on appelle  » veuve  » ce genre d’araignée dont la femelle bouffe son mâle après l’amour et se retrouve donc seule… Moi, ça ne me déplaît pas de me faire grignoter le chichi ainsi, mais plutôt avant l’amour qu’après, n’est-ce pas… avec un autre genre de Veuves, bien entendu… Qu’en pensez-vous ?… Mais ces Veuves esseulées et affamées sont paraît-il féroces !… . Alors attention à vos abattis !

Bon, trêve de démangeaisons, allons droit au but.

Ernestine, (ma copine que vous connaissez bien maintenant, tant je vous l’ai décrite précédemment dans tous ses états, ses ébats et ses délires, sa beauté et son élégant et divin petit trou de balle objet consentant de mes plus pernicieuses fantaisies), Ernestine donc si vous vous souvenez, avait une tante, Pauline, très émancipée pour son époque. Bien éduquée par Charles, son excellent mari elle a su faire sa place dans ce milieu mondain en tant que chaude épouse et maîtresse à la fois soumise ou bien sévère et capable de bien gérer de bonnes soirées orgiaques.

Avant la seconde guerre cette tante a malheureusement perdu son mari. Veuve elle se rapproche de Jeanne sa Tante qui veuve elle aussi depuis pas mal d’années en avait profité pour se libérer corps et âme, du joug que faisait peser sur elle sa belle-famille et son mari catho, tous ancrés dans la religion comme les piliers dans une église.

– Moi j’aurais dit comme une bite dure plantée dans un trou du cul !
– Shocking !… .Elle a de ces expressions si joliment graveleuses…ma copine !….

Beaucoup plus tard nous verrons qu’avec sa nièce libre à son tour, elles vont mener de concert nos deux veuves, une vie délurée et riche en péripéties amoureuses. Encore bien fraîches malgré les ans, elles vont en croquer des bons hommes et se payer de délicieuses et gaillardes aventures dans les bras de messieurs ou de dames très complaisants.

-C’est que les veuves, me dit Ernestine, ne laissent pas leur part ! Elles n’ont plus de liens avec qui que ce soit et rien ne les empêche de sauter d’une bite à l’autre pour leur plus grand plaisir.

Voilà, vous avez donc compris pourquoi j’ai donné ce titre à cette nouvelle saga familiale que me conte mon adorable copine afin que je la transcrive tout spécialement pour vous chers lecteurs toujours prêts à gober la moindre petite histoire de cul en vous branlant le chinois. Et laissez-moi vous dire que ça lui fait vachement plaisir à Ernestine de savoir que ça vous excite !

Alors installez-vous au chaud devant l’ordi, à poil de préférence, préparez quelques bons outils pour vous titiller la chatte, les seins, la quéquette ou autre chose comme il vous conviendra et laissez-vous aller aux plaisirs délicieux des pérégrinations de votre poignet ou de votre majeur, générateurs de si délicieux fantasmes.

On a vu précédemment que la grande Tante a profité de son veuvage pour se dévergonder. En fait dans les bras d’un beau-frère assez entreprenant elle se payait déjà quelques bonnes infidélités pendant les absences de son rustre d’époux qui ne la satisfaisait pas.

Eh oui un beau-frère c’est comme un tonton, ça vous fait des hommages Madame, puis des amabilités, les embrassements arrivent bientôt et puis finalement ses mains baladeuses ne sont pas désagréables quand il vous coince, le sadique, quelque part dans le vestibule ou au fond du parc…et puis, avouez-le, vous n’allez pas tarder à vous agenouiller aux pieds du vicieux bonhomme pour dénicher au fond de sa braguette ce bon gros bout de chair fait pour vous régaler le palais. Vous aurez tôt fait d’apprivoiser le moineau qui sortant de sa cage va vous ensorceler.

C’est ainsi que la chaude infidèle découvre tous ces menus plaisirs qui vont lui permettre de s’épanouir. Etre nue sur les draps blancs à la vue et à la merci de son amant et à la superbe obscénité de son sexe…voilà qui l’excite énormément. (Il faut dire que son mec lui faisait l’amour (si on peut dire) dans le noir…).

– Oh oui ! j’ai envie de toi. Comme tu es beau tout nu… Tu es superbement inconvenant !… J’ai honte… je ne suis pas à l’aise et pourtant je ne peux m’empêcher d’apprécier ta pine… que c’est beau un homme nu qui bande !
– Mais bien sûr ma bécasse !… Ouvre les yeux, touche mon sexe….suce-le, tâte mes couilles… Regarde ce que c’est un vrai mâle !… Tu vas jouir pour la première fois !
– Oui !… comme elle est dure ta pine !… fais-moi tout, je t’en prie.

Et c’est vrai qu’elle jouit comme jamais elle n’avait pu le faire jusqu’à ce jour avec son couillon de mari. Elle découvre les qualités d’une bite et à quoi ça sert. Elle jouit comme une folle, comme une habituée, en criant, en bougeant et en en redemandant. Et il la bouscule rudement son amant. Il la baise, il l’embouche, il l’encule même, sans qu’elle cherche à se récrier ou à lui échapper, tout est bon pour la meuf affamée !

Etonnée qu’il ait pu la sodomiser si facilement, il apprendra plus tard par Charles (le mari de Pauline), qu’en fait elle s’est élargie la rondelle en s’enfilant de temps en temps une carotte dans le petit endroit tant le geste marital lui faisait défaut.

– La grande Dame qui s’enfile une carotte !… Oh la déchéance ! Une carotte…te rends-tu compte ? Me dit Ernestine.
– Ben et alors ! Une carotte… puisqu’elle était en manque…son cul il ne disait pas non ! Va, elle n’était pas tombée de la dernière pluie la chipie !

D’ailleurs les carottes…Hi, hi… j’ai connu ça moi aussi…Oups ! (surtout ne le répétez pas…).

Même que notre bonne ménagère a dit à ma mère :

– C’est drôle mais je trouve que des carottes disparaissent bien souvent dans le garde-manger!…

Aussi pour ne pas me faire prendre, j’ai remis les carottes dans le panier après leur bon usage

– Je trouve que les carottes ont un drôle de parfum !… .voilà pas qu’elle en rajoute la pimbêche !…
– C’est un parfum de jeunesse que lui répond ma bonne génitrice tout en me lançant un de ces regards qui me liquéfie, me fait rougir et m’absout en même temps… Je n’ai plus fauché de carottes depuis ce jour-là, d’autant que sur mon oreiller j’ai trouvé un soir, par hasard sûrement, un joli godemichet en bois d’olivier !

Le mari décédé, Jeanne est rentière. Elle se fout de la famille. Met à la porte la belle-mère, la vieille servante et renvoie le curé à ses grenouilles de bénitier. Elle partage alors avec l’Amant sorti du placard, des folies dans des réunions secrètes et particulières, comme cela se faisait dans le temps entre gens bien éduqués. Elle est très courtisée, profite des uns et des autres.

Bientôt ce premier amant délaissé, elle passe à d’autres. C’est auprès de jeunes gens qu’elle trouve son bonheur. Elle s’amourache aussi d’une vicieuse rombière avec laquelle elle passe d’agréables moments à se faire flatter par de jeunes vieux qui dépensent des fortunes pour les baiser dans des palaces.

À sa nièce (Pauline) qui est en âge de se marier elle ne cache pas ses bonnes activités. Elle l’éduque à son tour et l’entraîne même dans certaines soirées où Pauline commence à s’initier à de joyeuses galanteries.

Ça lui plaît à la jeune femme et elle est remarquée entre d’autres par un homme charmant qui lui fait la cour et lui promet le mariage. Il s’appelle Charles. Il est bien plus âgé. C’est un bel homme. Elle hésite un peu, mais sa tante ayant eu l’agréable toupet de l’avoir essayé déjà plusieurs fois, le conseille à sa nièce:

– Un bon gars ma chérie. Il est riche, il baise bien, il a un beau sexe et il t’aime, c’est une bonne affaire…crois-moi !
– Oh oui Tata merci, mais il est ton amant je ne veux pas t’en priver !
– Mais tu ne m’en priveras pas ma chérie…il te sera un bon mari, je le connais et je suis sûre qu’il va te rendre heureuse !
– Oh oui je suis sûre qu’il va bien me gâter…mais tu viendras souvent nous voir, il t’aime toi aussi.

Evidemment Jeanne va souvent répondre à l’invitation de sa nièce pour se glisser parfois entre les deux tourtereaux, histoire de resserrer les liens familiaux de cette belle famille, et putain il se les serre le Charlot, coincé qu’il se retrouve entre ces deux femelles.

C’est qu’elles lui font de jolies démonstrations les coquines. Couchées l’une sur l’autre en 69 elles se gamahuchent comme des gouines.

– Hum ! C’est bon croque moi le minou ma chérie, va s’y lèche moi !

Alors elle lèche, la Pauline. Elle a bon goût la mouille de Tatie. Elle se régale de passer sa langue sur les muqueuses boursouflées de cette chatte âgée qui a appris à user de la chose.

Et pendant qu’elle lèche elle sent les gros roustons de son Charles qui roulent sur son front. Mais avec son énorme gland violacé c’est la rondelle étoilée du beau cul parental qu’il convoite le coquin. C’est qu’elle a l’œillet charmant la vieille ! Mis en relief au milieu de sa raie culière entouré d’une fine rondelle ambrée, ce petit trou rose est une véritable boutonnière qui attend ce que de droit, c’est-à-dire un bon gros bouton comme en possède notre ami.

– Que c’est beau !…Oh oui dans le cul ! Comme tu fais ça bien mon chéri…Met-le lui, elle aime. ..Va s’y pousse…fais-moi un petit cousin dans son cul ! Elle se trouve joliment culottée ma Tante ! Oh putain le monstre !…Oui comme ça, entre à fond…Tu te régales, mon salaud !

Alors il l’encule la vieille Tatie et il y va le bougre…C’est qu’elle a le cul fait pour ça…elle a appris le métier et a dû s’en foutre de bien grosses carottes, la gourmande !

Pauline voit la rosette effrontée se défriser sous la pression du vireton qui entre et qui ressort laqué de quelques vilenies, mais qu’importe ça glisse, c’est chaud.

Que c’est beau de voir le gros membre ciselé de veines bleues, s’engouffrer dans la mince ouverture. Les muqueuses anales forment un petit bourrelet de chairs roses comme des lèvres, qui avale le gaillard boute-joie jusqu’au raz de ses couilles…Et ça va et ça vient…c’est fantastique de voir le gros nœud à l’œuvre dans le trou du cul de Jeanne complaisante qui écarte elle-même ses fesses.

– Oh ma grosse cochonne ! Tu aimes ça…dis-moi, c’est bon ?
– Oui c’est bon, montre à ma nièce comme tu fais ça si bien…

Elle encaisse, oui elle serre son anus et cela donne encore plus de vigueur au gros piston qui ressort encore plus fier pour replonger de nouveau au charbon !…

Entre deux enculades elle n’hésite pas Pauline à lécher le croupion grand ouvert qui met un peu de temps à se refermer.

– Putain ! que je suis dégueulasse à lécher l’anus malpropre de ma salope de tante qui se fait troncher par la bite de mon homme !… c’est crado mais c’est terriblement excitant. Oh va s’y mon chéri !…

Il ne la laisse pas s’éterniser à laper la rosette ébahie. Il plonge son matos vernissé dans le gosier de sa bavarde, pour l’enfiler de nouveau magistralement dans l’étroit pertuis anal. Il se la bouscule la bonne Dame. Elle crie. Il pousse, il entre, elle pète, il sort et ça fait ‘flop’ et il y retourne. Pauline se gave du spectacle et avec ses gros nibars elle amortit les chocs. Écrasée par le poids de sa tante et par les élans du fouteur, elle n’en peut plus Pauline, elle crie, elle se débat, de rage elle fout des claques sur le cul de son homme mais celui-ci n’arrête pas son travail pour autant, il va jusqu’au bout, il la défonce la vieille…sans soucis pour son épouse qui étouffe au-dessous!

La bite au cul de l’une et l’autre qui vous bouffe les couilles !… vous hésiteriez vous ?… ce n’est sûrement pas le moment de regarder les mouches se niquer au plafond…aussi il y va de plus belle le Charles… Ah ! Chères lectrices … je parie que ça mouille entre les jambes de quelques-unes.

Alors c’est l’explosion, l’enculée jouit en braillant et Charles vide un gros bouillon dans l’accueillant conduit de la tante en pamoison.

Il pousse à fond une dernière fois… et c’est fini. Il se détend un petit instant puis s’écarte, décharge encore quelques giclées de liqueur blanche sur le front de son épouse, s’essuie la bite pralinée dans les cheveux de sa Belle.

– Ouf ! Mon salaud… Tu es dégueu… tu m’as tuée ! Mais qu’est-ce que tu lui as mis !…

Il s’en fout le Charlot. Il est content. Il se redresse, les couilles vides, la bite en drapeau. Il admire son travail : les deux dames avachies, jambes en bataille et chevelure en désordre. Elles ont eu leur compte les salopes…oh putain quelle razzia ! …Puis il va se laver le rossignol et pisser dans le lavabo.

– Le salaud ! Rajoute ma copine…la tante et la nièce…Ce n’est pas donné à tout le monde…ça va les exciter tes lecteurs qu’elle me dit la vicieuse !
– Sûr ! J’en vois déjà qui se vident les burnes sur le clavier de l’ordi…les couillons !

Pauline exténuée, affalée les bras en croix sous les cuisses écartées de sa tante, observe l’insolent petit trou devant elle, qui libère en saccades argentées le trop-plein d’amour qu’il a reçu à profusion…Oh quelle obscénité, quelle belle indécence… ah oui vraiment Jeanne a un beau cul ! Cette dernière, quand elle se redresse ne peut pas s’empêcher de déposer sur le nez de sa nièce son entre cuisse afin de la faire profiter des bontés de son mec. Pauline lape le petit endroit avec quelques coups de langue. Elle est heureuse de récolter un peu les généreuses saveurs maritales.

Elles se relèvent les femmes, épuisées mais heureuses d’avoir partagé le même homme. Debout elles se serrent seins contre seins en se bécotant à pleines bouches et prises toutes deux d’une envie subite et pressante elles se lâchent en se pissant au con, les cochonnes. Elles rigolent. Oh quel agréable soulagement ce bon jet qui trempe leur toisons et dégouline sur leur jambes, en longs filets chauds et dorés !…

– Eh bien Ernestine tu en as encore beaucoup du même genre à me raconter ? Ce sont de sacrées salopes tes aïeules ! Je vois que tu as de bons antécédents familiaux, tu as de qui tenir !
– Ben oui et ça n’a pas l’air de te gêner à ce que je sache mon salaud ! Tu l’aimes bien mon petit cul et je suis sûr que tu aurais bien pris la place de Charles…N’est-ce pas ?
– C’est sûr…Elle avait un sacrée cul ta vieille tante !
– Et le Charles…Tu l’aurais pas pris dans ton cul celui-là ?
– Salope !


Et oui elle en a d’autres à me raconter ma bavarde, aussi après une bonne petite fellation qu’elle me fait afin de se rafraîchir les muqueuses, elle repart dans de nouvelles anecdotes qui vont vous enchanter.

Elles ne faiblissent pas nos deux garces. Avec l’aide de Charles elles s’en payent des parties de jambes en l’air, en trio, en partouzes, des parties carrées avec des bonnes femmes et des bons hommes de tous âges et de toutes qualités. Avec des jeunes gens aussi qui ont plaisir à se divertir en s’envoyant ces petites vieilles excitées souvent plus rigolotes que de jeunes pimbêches au cul quelques fois réfractaire.

Il faut vous dire que si elles tiennent le coup nos deux poupées, elles entassent quand même les années.

Mais en réalité elles ne vieillissent pas, au contraire elles sont de plus en plus amantes et délurées. Cependant le temps passe et hélas Charles, on le sait, décède un beau jour, du bonheur d’avoir joui coincé entre chatte et pénis de deux jeunes adorateurs et la pauvre Pauline se retrouve veuve à son tour.

Elle en a beaucoup pleuré, mais réconfortée par sa tante elle retrouve assez vite le moral en participant à de nouvelles entreprises édifiantes qui lui permettent de garder les idées fraîches en même temps que le cul qui se réjouit de retrouver quelques bons encombrements après quelque temps d’abstinence.

Bien des années plus tard, nos femelles ont pris de l’assurance mais aussi du gras. Elles ont la couenne un peu dure et le cul tanné mais toujours aussi délurées, on les retrouve dans les années 60 beaucoup moins vierges qu’elles n’étaient au départ … (vous vous en doutez…si tentaient qu’elles eu été vierges un seul instant).

Nous voilà, justement au moment où après ses études, Ernestine se rapproche de Pauline, sa tante qui prend bien soin de sa nièce et l’aide à s’installer dans la vie. Elle se charge de l’éduquer et de lui faire découvrir ces choses qu’on n’apprend pas à l’école et qui aident les nanas à ouvrir les cuisses mais aussi à botter le cul des hommes quand c’est nécessaire. Elle n’est pas du genre à se marier la jeune femme. Très vite elle prend la vie du bon côté et sait remuer ses fesses.

Ben oui quand on a un beau cul et deux bonnes tantes il ne faut pas faire la chochotte me dit aujourd’hui l’intéressée.

Je ne vais pas vous décrire tout ce qu’elles ont fait ensemble ces trois meufs. Il y a tant à dire et vous savez bien comment ça se passe vous, bandes de petits voyous toujours prêts à mater des femelles en délire en vous branlant le nœud.

– Ah !… Deux veuves en goguette qui se pâment sur un lit…retenez-moi, les gars !
– Tiens pince-moi les tétons qu’elle me dit Ernestine alors que je m’apprête à me remettre sur mon ordi…
– Les tétons ? Mais pourquoi les tétons…Tu ne préfères pas le doigt au cul ?

Eh bien non …c’est les tétons, et c’est comme ça…Vous les comprenez, vous les femmes !… Bon allons-y pour les tétons, ça va lui bousculer la libido à ma bavarde.

Bon, ça ne m’a pas empêché ensuite de lui tapoter un peu le cul à cette feignasse ! Vous savez elle aime ça et moi aussi…alors pourquoi se gêner d’autant que ça me dégourdit les doigts pour tabuler ensuite sur le clavier de mon ordi.


Alors allons-y. Je la coince sur mes genoux et v’lan sur ses petites fesses…Putain de cul !

Eh bien la voilà prête à me raconter une nouvelle anecdote. On est dans un nouvel épisode. Les années 60 c’est l’époque où les mœurs commencent à se relâcher.

Ces Dames ont écopé le meilleur pendant leur jeunesse. Ce n’est pas la nouvelle vague qui va les dessaler nos deux veuves, c’est fait depuis longtemps.

L’heure est à quelques petites partouzes gentillettes entre béotiens, que découvre la nouvelle génération. Mais nos veuves bien sûr préfèrent les envolées orgiaques comme ça se faisait anciennement.

Ce jour-là…. Pauline et Jeanne ont réuni dans une maison bourgeoise en campagne, une petite troupe de joyeux loubards. Il y a d’abord les propriétaires de la villa, Julien et Odette. Lui âgé, vieille France, moustachu, apparemment bon vivant, à voile et à vapeur il est aimé de tous. Elle est un peu plus jeune (moins vieille diront les méchants), grassouillette et mouchetée avec une petite poitrine mais un gros cul en forme de poire, large et bien fendu, un vrai refuge à bites (quand elle marche on dirait qu’elle a une pine dans le cul … ajoute ma copine). Ses petits yeux verts et indiscrets lui donnent un air vicieux et gourmand mais aussi sévère. Il y a là aussi, Robert, un homme d’un peu plus de trente ans, beau gars estimé par Pauline et sa tante qui apprécient en particulier son endurance et ses belles bandaisons. Une jeune personne encore universitaire, la vingtaine, fait aussi partie de la troupe. (Ce n’est autre qu’Ernestine la petite nièce de ces dames et qui deviendra plus tard ma fameuse copine. Elle en est pour l’instant, qu’à son éducation).

L’ambiance est agréable, décontractée. Ça débute par un apéritif festif avec toasts, amuse-gueule, friandises et beaucoup d’alcool, pour mettre en route ce petit monde. À travers des discussions émaillées d’histoires de cul et d’allusions de plus en plus salaces, les mains baladeuses et ludiques commencent à faire du touche-touche. De-ci, de-là apparaît un sein, une bite ou le cul très fripon d’une dame ou d’un mec. Julien a déjà la bite impatiente qui sort de la braguette et les autres ont tôt fait de se foutre à poil et de se chatouiller.

Robert est en train de courtiser Pauline qui prend déjà un acompte en se faisant baiser en levrette tout en gamahuchant Jeanne le nez dedans sa chatte. Pendant ce temps la jeune universitaire se fait tripoter les nichons par le vieux qui s’embrouille les couilles et son zizi pantelant dans sa toison flamboyante. Elle se rebiffe pour aller se jeter dans les bras d’Odette qui l’accueille en lui faisant un patin à lui décrocher les amygdales.

– Il veut te niquer ma jolie ! Mais regarde, tu ne risques rien… il ne bande même pas… ce couillon !…
– Salope je te pisse au cul qu’il lui répond…
– Oui j’adore !… Eh ! Roro !… .vient enculer cette tantouze (Roro c’est le petit nom du jeune homme).

Il n’attend que ça le papy, il se place en 69 au-dessus de Jeanne et lui présente sa bite pour qu’elle l’embouche pendant que Robert lui défonce le trou du cul…

Oh là quel assemblage ! S’écrie notre universitaire…inquiète mais très curieuse…


C’est la première fois qu’elle voit un mec se faire sodomiser. Elle s’approche de bien près et est subjuguée par la vue de ce gros manchon qui s’enfile sans forcer dans le cul bien fendu du vieil homme.

Une fois satisfait, Roro décule et le vieux qui s’est tant fait bousculer la prostate, se soulage en pissant sur les seins et le ventre de Jeanne qui grogne de plaisir. (On a compris…elle aime ça !).

– Oh ! Mais Jeanne il est dégueulasse ce mec ! Il t’arrose, le porc !…Regarde tu es pleine de pisse !
– Ne t’en fait pas mignonne qu’elle rétorque la tante qui s’est assise et dirige le chaud liquide dans sa bouche… c’est du bon, c’est du chaud…Et tirant la bite cochonne vers elle, elle en prend plein le visage sous les yeux exorbités d’Ernestine.
– Boff ! Elle a bon goût la pisse du vieux ?
– Eh bien goûte ma chérie, vois comme elle est bonne ! C’est du vieux tonneau… du bon jus de tapette, ça pisse mieux que ça ne baise…

Alors elle se baisse la chérie, elle goûte en faisant une légère grimace… Jeanne en profite pour lui glisser un doigt dans le trou du cul, la salope. Elle fait ça avec ce petit air vicieux et jubilatoire qu’on ces petites vieilles heureuses de surprendre l’amour propre d’une personne au cul serré et qui ne s’y attend pas. En général l’impétrant fait un bon en hauteur et sur la pointe des pieds pour échapper à l’intrus insolent. Forcément il retombe sur ses pieds et il se prend bien à fond le doigt inquisiteur.

La vicieuse mémé en profite pour le remuer son index et selon si la rosette se serre ou bien s’ouvre, la voilà renseignée sur les qualités de la patiente…

– Aller ! Ouvre-le ton petit trou ma jolie, je sens que tu aimes ça !
– Oh mais Tatie… c’est mon cul !
– Et oui un bon petit cul, ma chérie ! Tiens je crois que Roro en ferait des folies ! tu vas voir avec deux doigts je vais te l’élargir.
– Ah non ! Il va me défoncer l’animal !

Et elle retourne dans les bras de Pauline qui la cajole.

– Tu as vu ce qu’elle m’a fait Tatie-Jeanne?
– Ben oui, j’ai vu…et ça ne t’as pas plu ?
– Mais… c’est qu’elle m’a surprise !… Un doigt encore… mais deux ? .et la pisse ?…
– Ben oui, un doigt au cul ça ne fait pas mal !
– Peut-être…mais je n’ai jamais fait ça… Et l’autre qui voudrait m’enculer !
– Ne t’en fait pas ma chérie, il en verra bien d’autres ton petit cul ! Il va s’y faire…
– Oh ! J’en serre les fesses…ça me fait des frissons…quand même ce gros truc dans mon cul !… quoique !
– Ben voyons !

C’est sûr qu’elle allait en voir bien d’autres tout le long de sa vie la chérie, mais en attendant elle se détend et accepte de se glisser dans les bras de Roro. Il la baise debout en la soulevant par les cuisses.

Humm, ça elle connaît…C’est bon cette grosse bite qui lui farfouille la foufoune !

– Tu aimes bien cela ma chérie…c’est bon n’est-ce pas ?

Ce faisant, Odette bien calée dans son dos la conforte tout en lui pinçant les tétons, ça la fait réagir et elle jouit comme une folle et ce doigt au cul que lui glisse la vieille … finalement ce n’est pas si désagréable… Elles savent y faire ces vieilles dames !

– Humm ! C’est bon… Oh tu me fais de ces choses, Odette ! Oui remet-le moi,… ça fait du bien…

(C’est ainsi que j’ai commencé mon apprentissage, m’avoue Ernestine…)

Très respectueux Robert ne l’encule pas. (On n’est pas des sauvages, s’excuse-t-il !).

– Hé faux-cul !… Tu ne bande même pas, lui rétorque Julien…
– Dommage, en effet, peut-être qu’elle se serait laisser faire finalement la garce !… Bon elle ne perd rien à attendre, rajoute-t-il.

C’est la pause. Tout le monde s’assoie sur la banquette et sur des poufs. Des cafés, de l’alcool, on se raconte des cochonneries ou des exploits insolites. L’ancien raconte avec force détails comment il a fait caca un jour sur les nichons opulents d’une distinguée marquise qui s’est pris l’insolent colombin en guise de médaillon au milieu de ses seins. Ernestine en est horrifiée.

– Tu aurais mérité une bonne raclée s’écrie la jeune femme écœurée…
– Aussitôt Odette paraissant l’approuver se saisit d’un martinet pour corriger l’insolent d’être encore fier de ses exploits. Voilà qui ne semble pas lui déplaire au vicelard, d’autant que pour finir son épouse lui fout le manche dans le trou de balle…
– Aller, va s’y voir ta marquise avec ça….et tu verras Montmartre !
– Ben le cochon ! Qu’elle dit Ernestine.
– Ne t’en fait pas la puce…le vieux en matière de dévergondage il n’est pas le dernier ! Tu verras il va-t’en apprendre et je ne te dis pas ce qu’il m’a fait subir ce salaud… (Oui elle a beau dire Odette, mais les cochonneries elle assure elle aussi…).

Ernestine mi-figue, mi-raisin ne sait pas s’il faut en rire ou en pleurer mais toujours est-il qu’elle mouille la nunuche…Elle a la foufoune qui s’émeut et les cuisses qui brillent…

Elle commence à prendre goût à ce partage de bonnes choses et ce vieux qui se fait fouetter ça lui provoque des frissons. Elle serre les dents à chaque coup tout en encourageant Odette à poursuivre la bonne correction. Elle en mouille que plus, surtout en voyant le Julien se soumettre en se faisant flageller les roubignolles. Il crie mais il n’en présente pas moins son cul.

– Hi, hi…le manche dans le cul !… Je n’aurais jamais cru….ça lui plaît…c’est bien fait pour lui ! il ne ressemble pas pour autant à un étalon ! Mais il n’a pas l’air malheureux le vicieux !

(C’est de là sans doute qu’elle a pris plaisir à recevoir les bonnes fessées que je lui donne aujourd’hui quand il me faut la corriger pour ses grosses bêtises qu’elle fait si volontiers !).

La soirée continue. Pauline va trouver Roro

– Va enculer Odette, elle n’attend que cela !

Au putain mais qu’est-ce que tu me dis ? Tu veux que j’aille enfiler Odette !… Ce n’est pas possible, je t’ai niquée, j’ai déjà enculé le Julien et baisé ta nièce…

– Mais oui va s’y, elle aime ça et elle trouve que tu as une belle quille et puis tu as si bien enculé son mec. Tu es toujours en forme, alors va s’y !… Regarde comme elle lorgne tes jolis roustons !… Elle t’attend.

Quand on lui fait des flatteries…il ne résiste pas le Roro.

Bof ce n’est pas un canon la mémère. Certes si elle a les seins comme des œufs au plat, elle a quand même le cul bien gras et de grosses guibolles. C’est tentant tout ça, c’est de la bonne chair. Elle a du courage la cavale ! Vouloir grimper aux rideaux dans les bras d’un jeune énergumène comme moi se dit-il!… Elle va décrocher !…Elle va se déglinguer ce n’est pas possible ! On va la ramasser à la petite cuillère !

Eh bien détrompez-vous.

Pauline suce le nœud de Robert pour l’encourager tandis qu’Odette est déjà prête. Sur le dos, en missionnaire car trop lourde pour se tenir en levrette, elle ouvre en grand ses cuisses. Elle pétarade un bon coup, histoire d’aérer le vestibule et attend son pourfendeur. Pauline derrière elle, les cuisses callées autour de sa chevelure, lui relève les pilons jusqu’au-dessus de ses nichons… Dessous sa chatte poilue, Robert voit miroiter un putain de trou d’aisance qui a dû faire  » toutes les guerres et l’amour aussi… Comme dit le poète « . Ah oui, la faille est profonde, le gouffre de Padirac ! Robert qui bande dur lui fout toute sa cavalerie…le barda y compris.

Ho mais c’est qu’elle est bonne ! C’est qu’il s’y trouve à l’aise le salaud ! C’est doux, c’est spacieux, c’est chaud, certes un peu fourré…ça prouve qu’il est bien au bon endroit, un cul c’est un cul et après tout la tapisserie ça aide… ce n’est pas le moment de mégoter !

Alors il y va…Ils y vont…Il pousse, elle aussi…Il la fend, elle se liquéfie…à son âge ! Il la bouscule, la soulève, la cogne, elle crie, lui aussi, elle s’étouffe, branle sa tête de part et d’autre…

Mais elle jouit, ma parole, elle jouit la vieille, elle braille…bon sang qu’elle aime ça !

Il rentre à fond, saisit ses deux jambes pour les écarter davantage tandis que Pauline ouverte au-dessus du visage de la jouisseuse se fait lécher la chatte et le trou d’évent…tout est gratuit, service compris….et ce n’est pas peu dire…c’est l’euphorie !

Robert et Pauline accroupis sur la ronde Dame, se font face et sont donc en bonne position pour s’offrir des patins délicieux.

Ensuite, Odette soulagée de ses deux encombrants fouteurs se fait décaper la foufoune et le trou du cul par Julien. Elle lui pisse au bout du nez tandis qu’Ernestine se défoule en lui foutant des claques sur le cul :

– Hi, hi petit vicieux elle a bon goût la pisse de ton épouse, n’est-ce pas…et son caca tu le veux salopard, tu le veux son caca…Et tiens mon salaud, elles sont bonnes mes claques…et tiens encore !… elles vont reprendre un air de jeunesse tes fesses…

Voilà donc un sacré bon moment pour une tantouze comme Julien : les humeurs nacrées du fouteur, agrémentées des épanchements de sa vieille et les bonnes attentions d’Ernestine qui se défoule en lui foutant des claques sur le cul !

Ainsi la soirée n’en finit pas. Ça baise, ça suce, ça s’encule et ça pisse de partout. L’alcool coule tout autant et lorsqu’il y en a un ou une qui s’endort, on peut être sûr qu’aussitôt il va se faire boucher un trou par un survivant.

Mais à l’aube tout de même la fatigue les fait s’écrouler les uns après les autres, allongés sur un fauteuil, endormis sur le canapé ou imbriqués l’un dans l’autre sur le tapis.

Le calme est revenu. Tout le monde dort…C’est le silence…

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Pouah ! Quelle odeur !

Mais que s’est-il passé dans cette maison ? C’est le foutoir !


Ça pue le bouc ! Nom de dieu ! Et ce relent de petites femmes malpropres ! C’est le bordel ici !…

Qui est-ce qui vocifère ainsi et qui pousse ces cris en ce début d’après-midi dominicale en réveillant toute cette maisonnée où règne un désordre indescriptible ?

Pardi ! C’est Rosette, la boniche des propriétaires qui lui avaient demandé de venir faire juste un peu de ménage à la fin du week-end.

Eh bien, pour ce qui est du ‘peu’vous repasserez mes salauds !… mais ils sont dégueulasses ces gens-là !

Aussi quand elle entre dans le salon, je ne vous dit pas le saccage !…

Stupéfaite, épouvantée, ébahie, elle n’en croit pas ses yeux ! Elle va se sauver…

– Putain! Mais ils ont mis le paquet ces cons-là !

Vous vous doutez de ce qu’elle découvre. Elle enjambe le gros cul d’Odette, sa patronne qui pionce nue en travers du tapis le cul encore ouvert. Puis s’accroche les pieds dans la couverture qui recouvre la tante Jeanne, une sacrée salope celle-là qu’elle connaît bien, toujours prête à se fourvoyer dans une partie de cul. Puis elle ouvre en grand les fenêtres laissant entrer une violente lumière que déverse un soleil insolent.

– Merde tu fais chier ! Qu’il s’écrie le Julien en se retournant sur le ventre pour échapper à la lumière qui du coup fait miroiter son gros cul encore tout zébré des bontés procurées par les amabilités de Roro.
– Ohé ! Debout là-dedans ! Remuez-vous le cul, j’ai le ménage à faire…vous en avez fait des cochonneries…

Eh oui c’est la fidèle servante d’Odette et de Julien, Rosette. Elle est sérieuse, elle vénère ses patrons qui l’aiment bien aussi. Active, sereine, ils peuvent compter sur sa discrétion, d’autant qu’elle fait bien son service….

– Mais là…Putain !… Heureusement qu’ils ne m’ont pas invitée, j’aurais eu chaud au cul…

C’est que parfois elle fait la soubrette quand ils ont du beau monde chez eux et que sa jeune personne peut alors agrémenter le menu. Elle aime bien ça la charmante et elle en profite pour bien se faire rémunérer, ça va de soi… un peu d’ingénuité et de candeur et ça marche toujours avec ces vieux fortunés qui payent bien quand elle accepte quelques fantaisies très spéciales.

Avec son mari ça ne pose pas de problème. Il sait que quand elle s’attarde un peu au boulot c’est que les affaires marchent bien et il ne se fait pas de soucis…Aussi est-il gentil avec elle à son retour. Il profite des bonnes obligeances que lui ont créditées ses amants de la nuit. La pastille bien ouverte et le conduit graissé, ça aide au plaisir de l’enculer bien à fond au petit matin.

– Dis-moi tu en as pris combien ma petite pute, cette nuit?
– J’en sais rien mon chéri…je n’ai pas de compteur au cul !… mais regarde j’ai la bonde qui déborde alors met s’y ton bouchon et laisse-moi dormir je suis crevée…
– Salope !…

Il ne va pas se gêner le brave homme car s’enfoncer confortablement dans le petit cul bien graissé de sa mie, n’est-ce pas là une des meilleures satisfactions d’un cocu !

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Hé Stop ! Ernestine. Arrête-toi là, arrête tes histoires. Il est temps de dormir nous aussi…il est trop long ton roman et Eddy va me crier, ça fait trop de pages…
– Attends je ne t’ai pas encore raconté la suite avec la bonne qui se p….
– Non, non, fous-toi au pieu, j’ai sommeil garde tout cela pour un autre jour……

Une tape sur les fesses et elle courre se coucher ma jacasseuse en remuant son cul tandis que je vais pisser, mais en venant la rejoindre, vous ne savez pas ?… … … … … … … … … … ..

Eh bien… elle est sur le lit, en levrette et le cul en l’air … elle va me tuer la cavale !

Je ne suis pas Roro…pourtant elle m’a tellement excité avec ses histoires de famille que je bande comme un âne (un ânon on va dire…oups !).

Alors je l’encule bien à fond ma gourmande… Ce n’est pas ce que vous auriez fait ?

Elle a le trou un peu large et ça ne glisse pas beaucoup… elle n’est pas Rosette non plus… mais qu’est-ce qu’elle crie …

Ne me demandez pas si on a aimé… Engoncé dans son cul raz mes roupettes, je dors déjà…

Elle aussi sans doute…écrasée sous mon poids elle déguste le bel encombrement.

C’est bien ce qu’elle voulait !… Non ?

…Chutttt….

15/10/2022

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4 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 8 – Les Veuves… par Verdon

  1. james dit :

    c’est un trés bon récit charnel avec un vocabulaire cru des femmes que j’aime.

  2. Voisin dit :

    Je n’avais jamais lu cet auteur ! Quel style ! Et puis j’aime bien les Veuves Joyeuses !

  3. Harivel dit :

    Il s’est fait attendre ce chapitre 8 ! Mais ça valait le coup ! Merci Monsieur Verdon de nous offrir de si belles pages !

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