Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 7… Mâles jouissances… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 7… Mâles jouissances… par Verdon.
La bite au cul…

Il est bien tard ce jour-là lorsque Bertrand ose ouvrir un œil, encore groggy malgré un long sommeil récupérateur qui a suivi une superbe soirée de débauche où il a pu admirer sa Marquise d’épouse se faire drosser le cul par son plus cher ami Georges qui de droit ou de complaisance, comme vous voudrez, s’est chargé de la réprimer ou de la complimenter, là aussi c’est à vous de choisir, suite à quelques petites incartades sacerdotales qu’elle s’était permises en dehors du couple familial.

Inutile de vous dire que la chose s’est passée dans les règles de l’art, suivant les us et coutumes de ce bon temps où comme le préconisaient les règles canoniques, toute bonne pécheresse devait être punie par là où elle avait péché. Ce qui n’a pas déplu à la Dame en question.

Bon ça c’est l’interprétation de ma copine Ernestine qui a me semble-t-il un avis assez tranché sur la question. Elle a, paraît-il fait quelques études en ce domaine et sans doute retenu le meilleur de la chose, étant toujours prête justement à fauter afin de se faire pardonner de bien bonne manière. Vous comprendrez donc pourquoi moi le premier je me suis toujours dévoué à l’aider à ne jamais être trop sage.

Donc il est déjà presque 15 heures quand notre ami Bertrand se réveille tout étonné contre un postérieur qui ne lui appartient pas. S’il en juge de par sa taille et sa fermeté il ne correspond pas à celui de sa chère épouse, qui du genre plutôt Rabelais aurait tendance à s’affaisser et à envahir tout l’espace dont il dispose pour dormir.

La surprise ne lui est pas désagréable car il reconnaît bien vite la qualité du coucou qui s’est introduit cette nuit dans son lit à la faveur du manque de place, leurs deux gouines de femelles s’étant emboîtées amoureusement sur le canapé à côté.

C’est donc Georges son bon ami, amateur du cul d’Agnès la digne épouse de Bertrand son cocu bienheureux. Aussi, fatigués, après tant de joyeusetés partagées, imbibés d’alcool et les couilles vides, ils se sont endormis comme des loirs serrés l’un contre l’autre.

Ah qu’il se sent bien notre homme collé contre le fessier de son créancier à qui il doit plein de reconnaissance pour s’être si bien occupé de sa chère moitié. C’est vrai qu’il a la fesse accueillante cet animal et tenté par la profondeur de sa raie, Bertrand se hasarde à y glisser la main et à lui procurer quelques caresses sur ses parties génitales.

Dans le creux de sa main il soulève les bourses du bon gars.

– Oh putain qu’elles sont lourdes ses roupettes, se dit-il…

Si lourdes et si moelleuses qu’il prend plaisir à les faire tourner entre ses doigts. Il lui masse les couilles, fait tourner la plus grosse et rouler la petite… c’est amusant de faire cela comme il le fait sur lui-même.

Sensible à la caresse, malgré son sommeil il se détend le couillu en ouvrant légèrement les guibolles. Bertrand en profite pour lui saisir le chichi. Pourquoi le ‘chichi’, eh bien parce qu’il est encore tout petit l’instrument, endormi, peut-être effrayé par la rudesse de cette main mâle, plus habitué qu’il est à des caresses féminines.

Il force un peu sur le prépuce du paresseux afin de faire sortir ce fameux gland qui l’a si bien fait cocu cette nuit. Mais que dalle…la bête ne rugit pas ! Georges pionce comme un koala !
Qu’importe, Bertrand séduit par la douceur du moment et la tendresse du paquet cadeau, se redresse, écarte légèrement les cuisses du patient et embouche délicatement le sujet.

Pas facile justement d’emboucher le fuyard qui s’échappe sous la pression des lèvres qui le sollicite.

– Au secours mesdames, vous qui avez l’habitude dites-moi comment vous faites dans ce cas-là … (c’est une réflexion de Bertrand…).
– Le doigt au cul ! Mais oui le doigt…on en revient toujours au même usage…c’est évidemment ce que préconise ma futée de copine…

Mais il est con le Bertrand, le doigt au cul il sait très bien… ce n’est pas Ernestine qui va lui apprendre la combine… d’autant qu’à l’époque elle n’est pas encore née ma vicieuse greluche ! Mais justement notre sommeilleux appréciant la caresse, a desserré ses cuisses laissant le passage libre au bon doigt de l’artiste qui lui perfore le trou de balle. Aussitôt une bonne réaction et le mollasson se réveille pour s’engloutir entre les babines du spéculateur.
Il le prend en pleine bouche le Bertrand, et bon dieu que c’est bon ! Ça roule sous la langue, ça grossi légèrement, il en est tout moelleux et le gland relève un peu le front.

D’habitude il bande comme un turc, le jeune homme, dès le petit matin, mais aujourd’hui on le sait il est vanné. Aussi il faut passer à une autre manœuvre que connaît bien Bertrand. Sans hésiter, il chevauche son collègue, passe ses bras sous ses cuisses pour les relever et plongeant son visage entre les fesses du compromis il te lui farfouille le trou de balle avec sa langue, comme un écouvillon au fond d’une bouteille !

Alors voilà qui réveillerait un mort et la bite de Georges en particulier qui vous prend une de ces postures à effrayer le plus fanfaron des pieds nickelés.

Un peu surpris Bertrand, mais pas du tout décontenancé il te l’avale cette grosse bite jusque ras les roustons tout en sentant son compagnon lui bouffer à son tour son trou d’évent.

– Humm !il fait bien ça le saligaud…

Alors il se remet à la tâche. Il pompe, il pompe, il encourage le guilleret à prendre de l’aisance… et elle gonfle la zigounette, elle gonfle en libérant quelques séquelles savoureuses des orgies de la nuit passée, agrémentées de fines saveurs de pisse ou de sueur sans doute et surtout de ce puissant relents masculin qui plus que les douceurs féminines lui décape le palais !

– C’est vrai me dit Ernestine, les hommes vous avez de sacrés remugles apparentés au musc si prégnant de vos confrères les boucs !…Oups ! Quelle salope je vais lui en foutre du bouc sous son nez à celle-là !

N’empêche que ça ne leur déplaît pas aux deux mecs.

Ils se serrent. Ils ont plaisir à sentir leur sexe se côtoyer, se frotter, se sucer. Georges en bande même un petit peu. Mais hélas il n’est pas encore assez prêt pour satisfaire son ami qui lui tend vainement son postérieur, timide comme un jeunot qui craint de se faire appairer pour la première fois. Ils sont orgueilleux et fiers de leur bite. Ils se tripotent, se comparent, se taquinent le cul, et se sucent de plus belle, les deux cochons !

Ils apprécient leur goût de mâle.

C’est bon ! Georges est maintenant bien éveillé. Ils prennent goût à se peloter ensemble. Ils aiment ça et ils n’en ont pas honte. Ils ne font rien de mal, ils bousculent simplement les lois conformistes c’est ce qui rend la chose merveilleuse.

Ce n’est pas pour autant qu’ils se sentent pédés ou homo. Ils sont hétéros gourmands de la vie, de plaisirs, de partage et de toutes ces bonnes pratiques que l’on dit interdites.

Le sexe détendu, la violence du désir calmée, ils s’abandonnent à la douceur, peut-être à ce côté un peu féminin qui étouffe bizarrement leurs prétentions masculines.

Dans leurs mains d’homme quelque peu hésitantes comme celles d’une femme novice, ils prennent chacun le sexe de l’autre. Ils le caressent, retroussent le prépuce, font jaillir le gland, passent un doigt sous la tige… ils se tripotent la rondelle… Ils cherchent à faire à l’autre ce qu’ils aiment qu’on leur fasse.

Ils se la jouent femelle ! Enfin surtout l’un qui fait des ronds avec son cul. L’autre tout heureux il s’est trouvé une femme à couilles… Humm, c’est bon… un genre de tapette… avec des roupettes accrochées à un clito qui pend comme une banane.

Si leurs sexes ne sont pas encore raides, ils sont tout de même gonflés comme des baguettes de pain que l’on vient de rouler. C’est qu’elles ont travaillé ces deux bites. Sorties la veille du pétrin elles sont moelleuses, prêtes à passer au four.

Et oui, Bertrand a le four bien chaud qui en voudrait de la baguette mais voilà, on l’a déjà dit, ce foutu de Georges il l’a encore trop molle !

Mais ça va venir…

Alors il y met du sien le Bertrand. Il la serre contre lui la belle bite. Il la caresse, oh et il la suce à fond.

C’est bon, c’est goûteux… ça sentirait le cul de sa femme qu’il ne se tromperait pas le filou ! Sucer une bite qui se pavanait cette nuit dans le trou du cul d’Agnès… il est content notre cocu !

– Oh oui pour une mise en cul ce fut une bonne mise en cul qu’il se dit le content… et comme elle a aimé cela ma salope !… et moi je l’aime bien ma nana.

Oui il reconnaît bien cette odeur particulière qui imprègne cette grosse bite. Ce petit goût aigre doux des humeurs de sa femme, avec cette petite pointe de saveurs salées de son bon copain. Ça le change de ces odeurs sacerdotales et plutôt fades, de ces derniers temps…Merci Georges !

Alors il y va de plus belle il te le suce le pote, il te le branle… il lui tripote les roustons, fait rouler chaque boule… et son index au cul !

Ah le doigt dans le cul !…S’écrie ma consciencieuse copine…qui nous l’a déjà dit !


Mais quel homme en effet, résisterait… sûrement aucun de vous chers amis… un joli doigt d’honneur, ah ! Je vous sens, galopins, qui serrez la rondelle… chiche, ne vous gênez surtout pas… .

Bon revenons au trou qui nous occupe…Eh bien évidemment, je vous l’avais prédit…

Il rebande le Georgeot !!!

Ah quel homme ! Quel bonheur ! Quelle chance pour Bertrand qui fait durcir dans son palais la cambrure qu’il a tant désirée et déjà l’impatient se courbe face à Georges pour se faire engrosser sous les yeux de sa femme et ceux de sa boniche qui s’éveillent, surprises et ravies par le spectacle.

Avachies toutes deux sur le canapé elles s’amusent, serrées l’une contre l’autre à regarder Bertrand se faire draguer par son ami.

Appuyé sur le bord de la table Bertrand présente maladroitement son bas du dos, jambes tendues et cuisses ouvertes.

Bandant derrière lui, Georges essaie de l’enfiler, mais ce n’est pas facile. Il l’attrape par les hanches, il lui bouscule son gros fessier…

– Putain mais c’est qu’il est lourd l’animal ! Tu vas le relever ton cul !…Bordel !

Il fait plusieurs essais, ça glisse et ça dérape…

Les deux femmes à côté rigolent comme des pies…

– Hé va apprendre à baiser !… connard !…et toi, lève-le ton cul salope ! … Ouvre-la ta pachole de tapette !… Hi, hi !…

Dans les bras l’une de l’autre elles se tordent de rire en se tapant sur les cuisses. Leurs gros seins rebondissent comme des ballons de baudruche.

La brave petite Finette toujours très dévouée dans ces moments critiques, se lève et va porter secours à nos handicapés… elle tripote les burnes du bon fouteur et elle lui met un doigt au cul ce qui renforce la raideur du bel engin.

Ah ! les mecs, le doigt au cul !.. bon oui on le sait Ernestine… inutile de le répéter !…

Agenouillée aux pieds de ces fanfarons Finette saisit à pleine main l’instrument du bonheur et après l’avoir sucé un bon coup (histoire de ne rien perdre…) elle le présente sur les rivages de la rosette patronale.

Ça c’est du vrai bonheur pour une soubrette ! Glisser une bite dans le cul de son patron !

Elle guide la jolie bite…
Il pousse le copain…
Elle s’écarquille la petite fenêtre…

– Mais pousse donc qu’elle s’écrie Agnès, pousse comme quand tu m’as enculée cette nuit, mon salaud !

Alors il pousse Georges, le doigt de Finette lui a raidi un peu plus la queue…
Elle s’ouvre la rétive muqueuse…
Oui ça entre mes amis !… Oh putain que ça entre bien…
Accroché aux flans de Bertrand, Georges s’accapare de son fessier et le tire à lui…
Ça va mieux la raie du s’élargit et sa bite fait son trou…
Il glisse le gros mandrin ciselé de veines bleues…
Elle le voit qui s’enfonce vigoureusement jusqu’aux couilles… ça c’est du rentre dedans !
Et puis elle ne le voit plus le gros vireton…
Ben non…elle ne voit plus qu’une grosse paire de roustons…
Les roustons de Georges, bien sûr !…
Les beaux roustons de Georges accrochés justement sous ce fameux trou noir où elle plantait tout à l’heure son index pointu !

Un vrai bonheur de soubrette… on le sait bordel !

Et les exclamations très crues de l’épouse ravie…

– Oui vas-y encule le ce salaud ! Bourre-le ! Pine-le ce pédé, défonce-lui le cul, il aime ça…Engrosse-le jusqu’aux oreilles nom de dieu !

C’est ce qu’il fait Georges, il l’encule à fond malgré les cris du capricieux…Il dit :

– Ouille !, arrête !…oh putain ! oh salaud…
– Non ! Mais il ne va pas nous faire la mauviette…ce connard !
– Mais c’est qu’il l’a grosse…nom d’un chien !
– Et pour nous, elle n’était pas grosse la cheville, mon con lui dit Agnès.
– Mais vous ce n’est pas pareil vous avez le cul pour ! Vous l’avez élastique pour prendre de bonnes pines !
– Oh le con, le salaud, le pourri ! Accourez vite mesdames…on va lui en foutre de l’élasticité à ce con de macho…
– Oh oui venez voir…qu’elle rajoute la Finette…il fait la femmelette…Hi, hi…

Elles se déchaînent nos deux dames…

– Oh… ohhhh !

Vas-y Georges débouche-lui le pot…il va la fermer sa gueule.

Vous pensez bien qu’il ne va pas se laisser distraire l’artilleur, alors il pousse encore et bien fort …ras ses roustons.

– Alors dit-nous que c’est bon…

Georges l’encule à fond en le retenant par les épaules… il se calme.

Et c’est vrai écrasé sur la table il l’engrange la bonne pine, il ne se plaint plus, il geint de bonheur… la pine bien carrée dans le cul, il ne souffre plus, c’est même bon…

– Oui c’est bon !
– Hi, hi…la tapette!…s’extasie la Finette…il en prend plein son gros cul…Na ! c’est bien fait pour lui…

Humilié devant les deux femmes il n’ose pas les regarder mais il n’en jouit pas moins.

– Putain la tapette… je fais la tapette devant des gonzesses… Oh la honte ! … mais c’est bon !

Il gémit il fait des grimaces on ne sait si c’est de plaisir ou de douleur ou de honte… mais il s’accroche à la table … et il prend, c’est gratis et c’est bon, il se colle contre son bienfaiteur.

Et puis ça y est c’est tellement bon qu’il en jouit Bertrand. Oh que c’est bon il serre son anus sur le gros sexe qui l’enfile et il jute sous la table le précieux liquide blanc que Finette récupère en partie dans sa main pour s’en frotter les seins…

– Tu es un bon gars lui dit Georges tout en jutant à son tour dans son cul et en poussant de grands cris puis il s’écroule sur son dos.

Il est ravi. Après s’être payé le cul de la patronne, voilà qu’il a enculé le mari… elle n’est pas belle la vie !

– Ah les salopes… elles jouissent de mon trou du cul… ça les excite… ça leur plaît !

Bien sûr que ça leur plaît aux femelles… elles rient, elles en jouissent presque.

– Ah ! Qu’ils sont beaux nos deux mecs, l’un sur l’autre, l’un dans l’autre… il y a de la fesse, du beau muscle, un p’tit trou insolent et l’autre bien rempli…

Voilà de quoi flatter l’amour propre des deux femmes qui sont passées par là avant lui.

– Enculez-vous messieurs…c’est bon pour la santé…dites-le que c’est bon ! Nous on le sait que c’est bon !

Ils ne disent plus rien ils sont paf…ils sont mous, livrés au dédain et à la suffisance de ces Dames…ils ne sont plus rien, ils s’enfoncent dans un univers de volupté, de bien-être et d’insouciance.

Eh bien voilà les prolongations sont terminées
Les femmes passent à la troisième mi-temps… le ménage.
L’une au cul, l’autre à la pine…elles se régalent des restes de l’amour…

Au cul de son Marquis un petit peu de ‘crème d’homme’ (ça plairait à Ernestine) procure à la Marquise des saveurs parfumées qui flattent la cochonne tandis que la Finette avale goulûment le superbe mandrin aux brunes avanies, qui sort du trou du cul de ce diable de Bertrand.

Bon ! Vous allez me dire qu’elle en finit plus cette histoire … Mais c’est qu’elle est bavarde ma coquine d’Ernestine… et plus elle en raconte et plus j’en écris… et plus j’en écris, plus c’est long, et plus vous vous branlez et plus vous bandez… ça fatigue à la fin et vous ne lisez pas la suite…

– Alors à quoi ça sert que tu te décarcasses le cul (pardon le cerveau..) qu’elle me dit Ernestine…………………
– Bon tu as raison ma Chérie, laisse tomber. Je vois que tu as ce soir le petit trou chatoyant, ça plaît à ma pine. Alors présente-le-moi, je vais mettre un point final à tout cela.

A la prochaine les Zozos !… (…et n’oubliez pas : le doigt au cul….).

08/08/2022

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2 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 7… Mâles jouissances… par Verdon

  1. fantasmeur100 dit :

    Les mecs qui découvrent le plaisir du sexe gay.. J’adore!!

  2. Harivel dit :

    Encore ! Encore !

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