Serj et Coco
17 – Carantec à deux pas de l’île Callot
par smoty
Quand C. me fit cette proposition, j’avoue que j’hésitais un peu. Ho, pas que je sois prude, mais tout de même, l’idée était bien coquine…
En voici donc les détails…
Ma belle officie dans un magasin de presse et (dois-je le rappeler), ce genre de commerce est en permanence investi de clients. C’est donc dans ce milieu particulier que C. me demanda de venir la rejoindre un jeudi matin… Pourquoi un jeudi me direz-vous ? Parce qu’il est bien plus marrant de vouloir jouer à un peu d’exhibition dans un magasin de presse un jour de marché… Hé oui, la clientèle double, triple même parfois…
Ainsi m’accueillit-elle dans une jupe plutôt ample, sous un pull moulant dans son commerce ce matin là… Je feignis de chercher un livre, une revue, et nous attendîmes que trois autres client(es) soient dans les rayons pour que C. m’invite à la suivre dans la réserve derrière. Une porte seulement nous séparait des étalages… Vivement elle souleva sa jupe, me dévoilant ses superbes jambes gainées de bas stay up. Hum, pas de culotte…
Une jambe relevée sur une étagère elle m’offrit en préliminaire la douceur de son minou à ma langue coquine… Premiers gémissements.
Vicieuse à souhait, C. écarta doucement la porte afin que les clients les plus proches, à défaut de voir, puisse l’entendre gémir… Sut elle à ce moment-là qu’une femme pouvait non seulement l’entendre, mais croisa mon regard et nous vit tous les deux, embrasant d’un joli rose son visage???…
Pour autant elle ne détourna pas la tête et baissa seulement les yeux… Je l’avais déjà vu et certainement prendrait-elle un malin plaisir à tout raconter à ses copines. La petite cité balnéaire n’échappe pas à la règle du commérage… Peut-être savait elle aussi que la douce vendeuse de presse couchait également avec le coiffeur qui lui-même… Enfin bref, cela ferait l’objet d’un article particulier.
Pour l’instant, C. gémissait et rapidement elle fit voler sa jupe sur son dos et me pria de la prendre en levrette… Seconds gémissements…
Croyez-vous que notre gentille cliente s’en offusqua? Au contraire elle changea de place pour mieux me voir pilonner C.
N’en pouvant plus, je lâchai une giclée longue et délicieuse dans le ventre accueillant de ma douce vendeuse de presse… D’une main elle essuya le sperme coulant de sa chatte avec un petit mouchoir, et de l’autre me mit un livre dans les mains.
– Voici celui que vous cherchiez.
En sortant de la réserve, la cliente reposa sa revue et partit non sans me lancer un sourire timide et rosé… Je la soupçonne de refaire son marché d’ici peu… et pousser la porte de C…
Tout cela est bien trop court, et puis c’est quoi cette privauté d’appeler un protagoniste C… ? C’est si difficile que ça d’inventer un pseudo ?