Le facteur
par gg69000
Hier, j’avais pris un jour de congé car 48 heures avant, j’avais fait une commande sur internet et je savais qu’elle devait m’être livrée 2 jours après.
J’attendais mon colis avec impatience : un nouveau plug anal de 6 cm de large ; jusqu’à présent j’en avais un de 4 cm et un de 5 mais je voulais tester plus gros.
Le facteur du village est un jeune homme sympa et au physique craquant !
La matinée m’a paru longue car à 10 h il n’était toujours pas passé ; moi qui m’était fait belle pour le provoquer : bas résille, porte-jarretelles, petit string noir transparent ne cachant rien de ma bite épilée, et une mini robe également noire.
Il faut dire qu’il neigeait sans arrêt depuis 6 heures du matin, et que son retard devait être dû aux intempéries.
Enfin, peu avant midi, la sonnette de la maison retentit ; j’ouvris la fenêtre de la cuisine et vis le facteur ; à ma grande déception, ce n’était pas le petit jeune habituel mais un mec d’environ 50 ans plutôt grand et un peu enrobé ; pas gros mais au physique très imposant.
N’ayant pas envie de me montrer dans la tenue que j’avais, je lui dis que le portillon du jardin n’était pas fermé à clé et qu’il pouvait entrer et me le passer par la fenêtre.
A peine le portillon ouvert, il glissa sur la neige et se retrouva sur le cul, éclatant à moitié mon colis dans sa chute !
Il se mit à hurler de douleur
« Putain, je me suis cassé le bras je crois «
Je ne pouvais pas le laisser comme ça affalé dans la neige et malgré ma tenue je sortis en vitesse pour l’aider à se relever.
J’eu beaucoup de mal, car d’une part il devait au moins peser 15 kilos de plus que moi et avec mes talons aiguilles, c’était pas l’idéal.
Un fois remis debout, je lui dis :
– Rentrons vite avant de prendre froid !
Ne m’ayant pas encore bien vu, il me dit :
– Merci madame et désolé pour votre colis, j’espère que ça ne casse pas.
Je le rassurai et, voyant qu’il était complètement trempé, je lui proposais de retirer son pantalon pour le faire sécher sur un radiateur.
Il était un peu gêné mais ayant fini sa tournée, il accepta ; je dû l’aider car avec son bras, dont il se plaignait toujours mais qu’il arrivait à bouger, il était assez maladroit.
Une fois le pantalon ôté, moi qui suis plutôt attiré par les mecs de 30 ans, peu ou pas poilus, j’ai craqué sur ce quinqua velu en caleçon devant moi ; le caleçon était trempé aussi et sans lui demandé son avis, je me mis à genoux devant lui en disant :
– Il faut faire sécher ça aussi, sinon, c’est le coup de froid garanti.
Baissant son caleçon, je découvris une bite, un peu ratatinée par le froid mais dont l’odeur me rendis dingue.
Sans plus réfléchir, je la pris en bouche ; j’ai toujours aimé sucer des bites et je n’allais pas manquer une occasion !
Au bout de quelques secondes, elle retrouva une belle taille ; pas très longue mais bien épaisse ; je devais ouvrir la bouche en grand pour pouvoir engloutir son gland ; le goût était un peu fort mais j’aime bien quand une bite a le goût de bite et pas de savon.
Au bout de 2 minutes ses couilles commencèrent à rentrer et sa bite à tressauter ; il ne m’avertit pas de sa jouissance imminente mais posa ses deux mains sur ma tête pour m’obliger à continuer ; c’est un truc que j’adore, je me sens soumis et salope dans ces cas-là et ça me fait jouir sans me toucher.
Il m’envoya sept bonnes giclées de sperme chaud et épais dans la bouche que j’avalai avec plaisir car j’adore ça en gueulant :
– Ah, vas-y c’est bon, bouffes tout salope !
Je n’en pouvais plus, car j’adore me faire traiter de salope ou de chienne et je finis de nettoyer sa bite en tournant ma langue tout autour du gland.
Retirant ses mains de ma tête, il fit tomber ma perruque et là, il fit une tête effarée et me dit :
– Putain, mais t’es un mec !
Je lui répondis
– Et alors, c’était pas bon ?
– Si, mais je m’attendais pas à ça ; c’est la première fois qu’un mec me suce, mais c’est la meilleure pipe de ma vie que j’ai jamais eu !
Remis de ses émotions (il n’avait plus mal au bras du tout), je lui proposai un café ou une bière ; il choisit la bière ; j’en pris une aussi et il me demanda de vérifier l’état du colis ; au point où j’en étais, j’ouvris le paquet et sorti le plug devant son air ébahi je lui expliquai ce que c’était.
– Tu vas te mettre ce truc dans le cul ? » me dit il
Et je lui répondis :
– Ben oui, j’avais envie de tester plus gros !
– T’es une sacrée salope toi, je vais te le mettre si tu veux, et ce disant il attrapa le plug en me demandant de me pencher sur la table.
J’ai dû le calmer un peu, le temps d’aller chercher du lubrifiant da ma chambre
Ça a été un peu difficile à rentrer car je n’avais jamais pris si gros mais vu la situation, j’étais excitée comme une chienne en chaleur ;
Une fois bien enfoncé dans le cul, je lui ai resservi une autre bière et, une fois fini, il m’a demandé où étaient les toilettes.
Je l’ai accompagné à la salle de bain et me suis mis dans la douche, à genoux, en lui disant :
– Viens me rincer la bouche !
Il était complètement ahuri mais n’a pas hésité une seconde ; il m’a pissé dans la bouche en me traitant de tous les noms que j’aime et qui m’excitent.
Il doit revenir samedi en fin de tournée ; j’espère qu’il me mettra sa grosse bite dans le cul !
Aucune crédibilité dans ce récit « direct à la soupe »
Très léger et plutôt court, mais j’avoue avoir un faible pour ce genre de délire de travesti aussi improbable que décontracté du gland.