L’odyssée de Zarouny (Vargala 3) – 36 – Amours sur Vargala par Nicolas Solovionni
– Mais c’est très bien tout ça ! S’exclama Vorion
Et notre homme qui avait portant vu et revu des seins de toutes formes et de toutes couleurs joua à l’adolescent découvrant sa première poitrine féminine, caressant, tripotant, malaxant, léchant, suçant…
Gertrud devant tant de passion et d’enthousiasme finit par s’exciter, elle qui ne l’était pas vraiment.
– Quelle ardeur ! Vous allez me faire croire que vous étiez en manque !
– En manque ? Non pas du tout, j’ai baisé avec Fédora hier soir et c’était très bien !
– Alors, je ne comprends pas !
– Moi non plus, mais pourquoi chercher à comprendre, vous me rendez fou !
– J’aimerais bien tout de même… Oh lala qu’est-ce que vous me faites ?
– Que des bonnes choses ! On se met à poil ?
– Ça semble s’imposer, non ? On va dans ma chambre ?
Ils y sont très vite, et instinctivement, Gertrud s’allonge sur le lit. Vorion se jette de nouveau sur ses seins.
– Décidément, ils vous plaisent !
– Je crois que je ne pas près de m’en lasser.
La main de Vorion explore à présent la chatte de la jolie mature, déjà pas mal trempée. Un doigt, deux doigts, trois doigts, il titille la caverne gluante provoquant d’insolites floc-floc. Ça coule de plus en plus. Gertrud hurle, son corps se tétanise quelques instants avant de retomber comme une chiffe molle.
– Hé bin, vous alors ? S’exclame-t-elle.
– Vous êtes très belle quand vous jouissez !
– Vous êtes gentil !
– Vous en doutiez ?
Elle préféra ne rien répondre tant ce qu’elle vivait lui paraissait irréel.
– On va peut-être se tutoyer maintenant ? Proposa l’homme
– Bien sûr !
– Tourne-toi, je veux profiter de ton cul !
– C’est pas ce que j’ai de mieux !
– Tourne-toi, s’il te plaît, non pas comme ça, cambre un peu tes fesses, voilà c’est joli comme ça.
Il les tapote légèrement.
– T’aime les fessées ?
– Si c’est pas trop fort, ça ne me dérange pas !
– Comme ça ?
– Oui mais t’arrêtes quand je dirais.
– O.K.
Vorion s’amusait, si sa sexualité était polymorphe, se sont néanmoins par ses penchants masochistes qu’il aimait d’ordinaire exprimer sa sexualité. Du coup ce qu’il faisait en ce moment l’excitait de par son coté inhabituel.
La peau des fesses de Gertrud rougissait de façon spectaculaire.
– Je vais arrêter.
– Tu peux continuer, ce n’est pas désagréable !
– Nous aurons l’occasion de recommencer, je m’en voudrais d’abîmer un si gentil petit cul !
« Il me dit que mon cul est « gentil’, au moins, il n’est pas hypocrite, et puis quelle prévenance, quel tact ! Je ne le voyais pas du tout comme ça ce mec ! »
Vorion lui écarta les globes fessiers et entreprit de lui lécher le trou du cul.
– Tu fais quoi ?
– Je lèche !
– Ce n’est pas forcément très propre…
– Ça ne me dérange pas, mais si voulez… si tu veux, j’arrête.
– Non, vas-y j’adore cette caresse, je voulais juste te prévenir.
En fait Vorion ne détestait pas cette odeur un peu acre qui est celle de tous les culs qui ne sortent pas de la douche. Et d’ailleurs ce cul n’était pas sale, du moins dans le sens où on l’entend généralement. Il y avait bien quelques traces douteuses, mais ça ne gênait nullement notre homme, bien au contraire.
– Votre cul est délicieux !
– Je croyais qu’on se tutoyait
– Oui, ton cul est délicieux
– T’es un cochon Vorion, au fait c’est quoi ton petit nom ?
– Personne ne l’utilise, tout le monde m’appelle Vorion. Tu me suces un peu ?
– Bien sûr que je vais te sucer !
Gertrud adorait sucer, encore fallait-il que l’homme lui plaise, que la bite lui plaise et qu’elle soit excitée. En ce moment cela tombait bien, les trois conditions étaient réunies ! La queue était standard mais de bonne tenue, l’excitation était au rendez-vous. Quant à l’homme, eh bien elle se surprenant à l’apprécier de plus en plus, pas pour son physique, relativement quelconque mais pour son comportement et son charisme.
Elle fit donc danser sa langue autour du gland provoquant chez Vorion des frissons de plaisir.
– Hum, tu suces bien !
– Humpf !
– Continue, continue !
Gertrud se mit à faire coulisser le membre viril en une longue série de va-et-vient. Elle perçut soudain une saveur salée, qu’elle trouva fort agréable : sa liqueur séminale. Presque à regret elle retira sa bouche.
– Tu veux que je te suce à fond ?
– Varions les plaisirs ! Tu aimes te faire enculer ?
– Hum, j’adore, du moins quand c’est bien fait, mais avec toi je crois que je peux avoir confiance.
Gertrud se positionna en levrette, cambrant bien les fesses en en écartant les globes, prête pour l’assaut. Vorion s’approcha avant que la mature se ravise brusquement :
– Pouce ! J’ai une grosse envie de pipi, je préfère faire avant.
– Je peux regarder ?
– T’es vraiment un petit cochon, toi ! Bien sûr que tu peux regarder. Euh, tu es sûr que tu veux juste regarder ?
– Ma foi, si ça ne te pose pas de problème de me pisser dessus…
Les deux amants se dirigèrent vers la salle de bain. Gertrud suggéra à son partenaire de s’allonger dans la baignoire et le chevaucha, légèrement accroupie.
Quelques instants de concentration, puis le jet se libère et dégringole sur la bite bandée de Vorion :
– Ma bouche ! Vise ma bouche !
– Cochon !
– Je sais !
L’homme ouvrit une large bouche et avala tout ce qu’il put en émettant un étrange rictus de satisfaction qui fit rire Gertrud aux éclats.
– T’es trop marrant, toi !
Voilà une chose qu’on ne lui disait pas souvent, mais il appréciait la franche spontanéité de cette décidément surprenante Gertrud.
– Il est délicieux ton pipi !
– Merci. Je suppose que tu aimerais bien me nettoyer la chatte, ma petite chatte qui sent bon ma pisse.
– Bien sûr !
– Essuie-toi, on va retourner à côté.
La langue de Vorion ne tarda pas à aller fouiller dans les chairs intimes de la belle mature, il se régalait des gouttes de pipi dont était imprégnées l’endroit, mais bientôt la chatte se mit à dégouliner de mouille. Un autre gout ! Vorion vint placer l’extrémité de sa langue sur le clitoris érigée et la fit frétiller. Cela ne dura pas longtemps avant que la belle ne se mette à miauler et à hurler son orgasme pour la deuxième fois de la matinée.
– Hé bien toi, on peut dire que tu sais parler aux femmes ! Plaisanta-t-elle alors que tout son corps dégoulinait de sueur.
– Hé, hé !
– Tu m’encules maintenant ?
– Je t’encule !
Gertrud se remit en position et il l’encula. Cherchant à contrôler ses ardeurs il tenta d’abord de se maîtriser, mais le désir le tenaillait de trop.
« Après tout, je l’ai déjà fait jouir deux fois ! Alors allons-y carrément. »
C’est donc avec une incroyable frénésie qu’il faisait aller et venir sa bite dans le conduit arrière de Gertrud qui recommençait à miauler.
« Décidément, elle est insatiable ! »
Il finit par lui jouir dans le rectum en de violents soubresauts !
– Oh ! C’est bon ! Continue !
Vorion eut le tact de continuer jusqu’à ce que Gertrud orgasme pour la troisième fois. Quand il décula sa bite était maculée de sperme et d’un peu d’autre chose. Instinctivement il chercha de quoi s’essuyer.
– Laisse, c’est moi qui nettoie ! Dit-elle avant d’engloutir la bite de l’homme et de se régaler de ce qui l’accompagnait.
– T’es aussi cochonne sue moi !
– On est peut-être fait pour s’entendre.
– C’est pas peut-être, c’est sûr ! Répondit Vorion qui n’en espérait pas tant.
Quand Vorion fut rhabillé, il attendit que Gertrud se passe un peignoir, avant de poser sa question :
– Alors, pour ma proposition, je suppose que vous êtes d’accord ?
– Ne précipitons pas les choses.
– Pourquoi hésiter ? Ce soir j’organiserais un banquet privé avec mes meilleurs amis et devant eux nous officialiserons notre union. Fédora sera invitée évidemment.
– Je peux peut-être réfléchir un petit peu ?
– Tu as toute la journée pour ça, dès que Fédora sera revenue, nous irons acheter quelques bricoles, je te veux rayonnante de beauté à mes côtés ce soir.
– On va voir, je vais prendre une douche avant d’ouvrir la boutique.
Gertrud laissa longtemps l’eau couler sur son corps bien conservé de belle femme mature.
« Qu’est-ce qu’il peut bien me trouver, ce mec ? Quelque part cette situation est incompréhensible. Cela cache forcement quelque chose, mais quoi ? Dans le meilleur des cas ce mec a eu une lubie, ça lui passera ! Ou alors c’est un piège, une machination, mais dans quel but ? Que faire, mais bon dieu, que faire ? Et s’il était sincère ? Ce serait le rêve, je serais la femme d’un des mecs les plus influents de la ville, j’aurais tout, la popularité, les cadeaux, et en plus ce mec me laisserait ma liberté ! Trop beau pour être vrai ! Evidemment ce n’est pas un play-boy, mais moi non plus je ne suis pas non plus un top modèle ! Sauf que lui justement, avec son fric, il peut se payer toutes les nanas qu’il veut ! Alors il cherche quoi ? Comme ça il a l’air correct, attentionné, courtois, doux ! Et puis, manifestement il était amoureux de Fédora, moi il me regardait à peine ! Putain, je n’y comprends rien ! Comment savoir s’il est sincère ? »
Pendant ce temps Fédora
Fédora, fébrile sonna à l’entrée du studio de Rachel. Celle-ci lui ouvrit, habillée, si l’on peut dire, d’une nuisette rose transparente, qui ne dissimulait rien de sa sculpturale poitrine dont les tétons dardaient contre le fin tissu.
Pas un mot, les deux femmes s’étreignent et s’embrassent longuement, très longuement.
– Entre, installe-toi, je vais te faire un café.
En revenant, Rachel lui pose la question qui lui brûle les lèvres :
– Tu me cherchais ou c’est le hasard ?
– Je te cherchais !
– Et t’as fait comment ?
– J’ai graissé la patte du gars de l’astroport sur Simac3…
– Il ne pouvait pas savoir…
– Il ne savait pas, il a supposé.
– Mais une fois ici…
– Je me suis renseigné, et je suis tombé sur un type, une espèce de caïd local, il est devenu amoureux de moi, c’est grâce à lui que je t’ai retrouvé !
– C’est celui qui était à ta table ?
– Oui !
– Et toi tu es amoureuse de lui ?
– Pas du tout, d’ailleurs c’est un mec intelligent, il ne se fait aucune illusion…
Son visage s’éclaira d’un magnifique sourire
– Tu es libre, alors ?
– Complètement ! Et toi ?
– Moi aussi ! Bisous ?
De nouveau, elles s’embrassèrent goulûment.
– Et la blonde qui était avec vous, c’est sa femme ?
– Non, c’est une détective privée qui enquête sur l’affaire du Siegfried7.
– Quoi ?
– Rassure-toi, elle ne te fera rien, Vorion est en train de la neutraliser. Mais attends, on a plein de choses à se raconter, il s’est passé quoi exactement sur le Siegfried7 ?
– Un salaud m’a fait un chantage aux sentiments pour que je l’aide à s’infiltrer sur le vaisseau. Comme moi de mon côté je voulais me venger des gens qui m’avaient bizuté, je n’ai pas été trop difficile à corrompre. Sauf que le gars s’est foutu de moi et après le piratage du vaisseau, j’ai été vendue comme esclave sexuelle sur Simac3 chez Pacheco. C’est là qu’on s’est entrevues moins d’une minute. Et toi ?
– Je me suis débrouillée pour rejoindre Simac3 par mes propres moyens. Ça n’avait aucun rapport avec toi mais je devais réaliser une interview de Pacheco pour le compte d’une secte d’allumés. Quand on s’est aperçu toutes les deux chez lui, il n’a évidemment rien compris mais il m’a soupçonné de chercher à le bluffer, alors il m’a exilé avec mon compagnon dans une baraque pourrie. Quand les filles se sont évadées, il m’a récupéré et j’ai réussi à le manipuler, puis Gertrud est arrivée, une drôle de nana, j’ai sympathisé avec elle… Elle n’est pas méchante.
Bref, elle se racontèrent toute l’histoire, chacune apprenant à l’autre ce qu’elle ignorait.
(Tous ces événements, chers lecteurs sont relatés avec force détails dans le précèdent tome et dans celui-ci)
– On m’avait dit que la police fédérale avait laissé tomber l’enquête…
– Elle a été reprise par une boite privée, en fait c’est service minimum, juste deux enquêteurs, l’un des deux a disparu de la circulation, l’autre c’est Gertrud.
– Si elle prévient la Terre, je suis mal, j’ai changé d’identité, mais je ne tromperais pas les fédéraux.
– Ne t’inquiète pas, je gère ! Rachel….
– Oui !
– J’ai envie !
Pas de discours, nouvelle embrassade baveuse, mais cette fois la suite est hard, Fédora débarrasse prestement Rachel de sa nuisette, et lui embrasse les seins, tandis que cette dernière se pâme et que sa chatte se mouille d’abondance.
Fédora se déshabille à l’arrache, les deux femmes se font face, lèvres contre lèvres, seins contre seins, elles se caressent, se pelotent, la main de Fédora s’aventure sur la chatte de Rachel, elle est trempée.
– Viens !
Et les voici sur le canapé, Fédora est entre les cuisses de Rachel, la langue dans son sexe, qu’elle lape comme le ferait un chaton d’une assiette de lait. Rachel met moins de trois minutes pour jouir en hurlant.
Nouvelles embrassades, nouvelles caresses, et cette fois c’est Rachel qui se retrouve dans les cuisses de Fédora
Et cette fois aussi l’orgasme fit fulgurant.
Et ensuite ?
L’amour entre deux femmes ne saurait se résumer à de délicieux broutages de minous, elles en avaient eu besoin, besoin de donner complètement l’une à l’autre. Forcément, depuis le temps.
Alors vint le moment du calme, de la douceur et des tendres caresses où l’on apprécie le velouté d’une peau, avec la main ou avec les lèvres. Elles restèrent ainsi un bon moment sans parler se permettant juste de temps à autres de se butiner les tétons.
Ce fut Rachel qui brisa le silence :
– On recommence ?
Sans s’être concertées, les deux femmes se retrouvent en position de 69. Elles s’enhardissent en permettant un doigt inquisiteur dans le derrière, quand Rachel activa sa langue sur le clitoris érigée de son amante, cette dernière fit de même, et elles jouirent presque en même temps.
– Je t’aime dit Rachel.
– Moi aussi, je t’aime ! répondit Fédora.
Elles s’habillent, heureuses, mais peinées de devoir se quitter, mais ne faut-il pas se quitter si l’on veut se revoir.
– Tu reviens demain ? Lui demande Rachel.
– Bien sûr, je vais essayer de m’organiser pour avoir plus de temps.
Elle lui raconte, le magasin de lingerie, en cogérance avec Gertrud….
Un frisson parcourt l’échine de Rachel :
– Et si elle avait déjà envoyé un message à la Terre !
– Impossible, je lui ai piqué son mesphone et j’ai contrôlé l’historique.
Malgré tout Rachel n’était pas entièrement rassurée.
– C’est quoi tes projets dans l’immédiat ? Lui demande Fédora.
– Pour l’instant, je travaille chez Nicérus, je vends mes dessins, il parait que je suis une dessinatrice à la mode ! Ça paye plutôt bien ! Moi qui rêvais de belles planètes, je n’aurais connu que Simac3 et encore, si peu et maintenant Vargala ! J’y suis pratiquement bloquée, ma belle, c’est la vie ! Et toi, j’imagine que tu ne vas pas t’éterniser ici ?
– Je ne vais tout de même pas laisser tomber mon magasin de lingerie !
Elles éclatèrent de rire.
– Non, sérieusement ?
– Eh bien sérieusement, je resterais bien ici quelques temps, puisque tu me dis que t’es bloquée.
– C’est vrai ?
Elle en pleure de joie.
– Puisque je te le dis !
– Et quelques temps, ça veut dire combien ?
– Tant qu’on sera bien ensemble.
Quand Fédora regagna la boutique, Gertrud terminait de s’habiller.
– Fédora, tu m’as l’air en pleine forme ! S’exclama Vorion
– Ma fois, je suis en ce moment, la plus heureuse des femmes, et c’est un peu grâce à toi.
– Tu es trop gentille. Je te propose que nous remettions à plus tard ce que nous devions faire aujourd’hui, demain peut-être….
– Mais c’est quand tu voudras, mon cher Vorion !
L’homme profita d’un moment d’éloignement de Gertrud pour chuchoter à l’oreille de Fédora :
– Pour Gertrud, j’ai sans doute la solution !
– Une solution pacifique ?
– On ne peut plus pacifique ! Mais tu sauras tout ce soir, j’organise un petit banquet au restaurant de la « Salamandre » à 20 heures, Gertrud y sera, d’ailleurs, je te la confisque pour la journée.
Vorion commença par emmener Gertrud dans une bijouterie où il lui offrit un somptueux collier dont elle eut du mal à estimer la valeur.
« Ça ne veut rien dire ! C’est peut-être du toc, où ça participe à une mise en scène ! Mais dans ce cas, pourquoi faire si tordu ? »
Ils allèrent ensuite choisir une robe, ce fut tout une affaire, Vorion voulant orienter le choix de Gertrud vers un super décolleté, tandis qu’elle ne se trouvait plus assez jeune pour ce genre de choses.
Au bout du quatrième essai, Vorion sollicita auprès du gérant une cabiné « discrète ».
– Prenez la 10, personne ne vous dérangera.
Dès que Gertrud fut torse nu, Vorion se jeta sur les seins de la belle mature et se mit à les sucer avec avidité.
– Eh bien, dis donc, t’as la libido au beau fixe en ce moment !
– C’est de ta faute, tu me provoques avec tes gros nichons !
– Ils ne sont pas gros !
– C’est une expression !
– Ils te font bander, hein mon cochon ?
Elle vérifie. Effectivement, la chose était toute raide. Elle la sortit de sa braguette et la mit dans sa bouche.
– Elle est trop bonne ta queue !
– Tais-toi et suce, ma chérie !
– Chai che que che fais !
– Tourne toi que je t’encule.
– Ici ?
– Mais oui !
La belle se tourna et présenta son gentil fessier. Vorion y entra un doigt, le fit bouger quelques instants avant de le ressortir.
– Comment tu fais pour avoir toujours le trou du cul pas propre ? Plaisanta-t-il
– Ben dit donc !
– Tu ne me crois pas ? Lèche !
Elle le fit !
– Humm, effectivement, c’est pas trop net !
– Et tu n’as pas honte de te trimbaler avec le cul comme ça ?
– Non, pourquoi ? Je devrais ?
– T’es vraiment une belle salope ! Ça tombe bien j’adore les salopes comme toi !
– Alors tout va bien ! Tu ne veux plus m’enculer ?
– Ah. Ah, c’est toi qui demande maintenant !
– On va dire qu’on a envie tous les deux, alors ça vient ?
« Comment, elle me parle ! Elle n’a pas encore bien compris qui j’étais ! Mais bon, ça me change des péronnelles ! »
L’introduction fut directe et rapide, l’enculade brève et intense. Gertrud se mordit les lèvres pour s’empêcher de crier son plaisir.
– T’aurais pu crier, le patron est un copain !
– Fallait le dire avant !
– Tu me nettoie la bite ? Elle est pleine de sperme.
– Bien sûr ! Je vais te faire un zizi tout propre mon biquet !
« Mon biquet ! Elle m’a appelé mon biquet ! J’aurais tout entendu »
Une fois la bite nettoyée comme il se doit, il s’en alla chercher trois modèles de robes à essayer, et en profita pour téléphoner à Phissu, son bras droit en lui donnant quelques instructions pour le banquet du soir.
à suivre
il est très beau ce chapitre, j’aime quand l’amour s’ajoute aux galipettes.
Merci Nicolas de nous montrer que l’amour avec un grand A, ça existe aussi, même si on aime bien le reste aussi petits coquins que nous sommes
Si la rencontre entre la comtesse et Rachel procéde de la logique narrative du récit (une bien belle rencontre), celle entre Gertrud et Vorion nous surprend. d’autant plus que ce dernier semble se prendre au jeu qu’il lui même lancé. Très fort !