Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 15 – Annabelle à New-York

Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 15 – Annabelle à New-York

Lothaire a su se dégoter un bon informaticien fouineur. Aussi suis-je en possession d’une liste de noms très détaillée, âge, situations de famille, diplômes…

Le premier de la liste est un certain professeur Walter Mahonney. Je sollicite un entretien par la voie classique. Impossible, autant essayer d’approcher le pape. On me demande de formuler une demande d’entretien par écrit… le genre de truc qui ne fonctionne jamais. Quant à sa boite mail il ne doit jamais l’ouvrir.

Bon, je décide donc de me servir de mes pouvoirs, ça peut poser quelques petits problèmes, j’en parlerai plus tard, mais comme je ne peux faire autrement..

En fin d’après-midi j’attends que ce professeur sorte des bureaux et je lui envoie quelques ondes bien innocentes.

C’est vraiment l’américain typique, très grand, costume impeccable, cheveux gominés poivre et sel. Pas si mal, s’il faut que je couche avec ce ne devrait pas être une corvée.

Il se retourne, me dévisage, me fait un grand sourire auquel je réponds par la pareille, et il se dirige vers moi.

– Walter Mahonney. Vous vouliez me rencontrer, je présume ?
– Annabelle Dejour, enchantée, c’est au sujet du moteur ionique…
– Oui j’avais compris, on va prendre un verre.

C’est là que ça va devenir difficile, quand je vais lui expliquer les plans de Lothaire, il faut que je relâche mon emprise afin que Mahonney conserve son esprit critique. Je pourrais bien sûr lui faire tout gober, mais l’hypothèse selon laquelle Lothaire aurait commis des erreurs ne peut être écartée. Je vais donc me livrer à un travail d’équilibriste assez compliqué.

Et tandis qu’on nous sert du Coca-cola dans des grands verres en carton, je sors mon téléphone portable.

– Voilà, c’est du lourd, il y a presque 500 schémas, c’est classé de façon logique, le fuselage, les moteurs, l’habitacle…
– L’habitacle ?

Merde j’aurais dû attendre avant de lui parler de ça.

– Faites voir ! Demande-t-il

Il me rend le téléphone et consulte tout ça avec étonnement.

– Mais vous voulez mettre quoi dans cet habitacle ?
– Il est tout petit. En fait c’est juste pour savoir si des êtres vivants tiendraient le coup, j’avais pensé à des sauterelles.

Il regarde mieux.

– Des sauterelles avec des couchettes ?
– C’est juste pour le fun.
– Humm, mais ces schémas, ils sortent d’où ?
– Je travaillais à l’ESA, l’agence spatiale européenne, je travaillais avec un collègue sur ce projet avant qu’on nous dise que ça ne servait à rien. Quelques semaines après le collègue est mort d’un accident de voiture. J’aurais voulu que son projet prenne vie, ne serait-ce que pour honorer sa mémoire.

Qu’est-ce qu’il ne faut pas raconter comme conneries !

– il s’appelait comment votre collègue ?
– Tristan Iseule

Je viens de l’inventer, par télépathie je le persuade d’attendre pour effectuer des vérifications.

– Ah je vois que vous avez résolu le problème du bouclier ! Me dit-il.
– Ben justement il n’y a pas de bouclier, à 90 % de la vitesse lumière, les obstacles s’écarteront d’eux-mêmes
– Oui, mais on ne va pas atteindre 90 % de suite.
– Pendant l’accélération, on crée un champ de force répulsif…
– Oh là là ! Ça en fait des trucs, il faut que je regarde tout ça de près, je risque d’y passer la nuit ! Est-ce que ça vaut vraiment le coup ?

Quelques ondes télépathiques le persuadent que « oui, vaut quand même le coup ! »

– J’aurais sans doute plein de questions à vous poser. Peut-on se revoir demain ?
– Mais quand vous voulez !
– Je vais donner des instructions à l’accueil pour qu’on vous laisse monter dans mon bureau demain.

Ce sera donc la fin de l’entretien pour aujourd’hui mais alors qu’il me quitte pour gagner son domicile, une onde télépathique le persuade qu’il vient de joindre téléphoniquement l’Agence spatiale européenne et qu’on lui a confirmé qu’un dénommé Tristan Iseule avait bien travaillé sur un projet de moteur ionique avant de trouver la mort dans un accident de la route. Une deuxième onde le convainc que l’idée d’un habitacle biologique abritant des sauterelles est finalement une excellente idée.

Je le suis mentalement, il ne pense qu’à ce que je lui ai montré j’ai donc fait du bon travail. En arrivant chez lui il salue du monde. Je le croyais divorcé, mais il a le droit d’avoir une maîtresse.. sauf que ses visiteurs sont des hommes ! Ma curiosité s’éveille, mais comment faire ? Si je me dématérialise je vais me retrouver à poil en me rematérialisant.

Je cherche un immeuble dans lequel je puisse entrer. Pas si facile ! J’en trouve un, grimpe au dernier étage, où une échelle permet d’accéder en terrasse, j’y vais, avise une espèce de cagibi dans lequel sont entreposé des outils qui ne doivent pas servir souvent, j’y dépose toutes mes affaires et changée en nuage je m’envole vers l’appartement du professeur Mahonney.

Manquait plus que ça, il se passe quoi là-dedans ? Il y a trois jeunes hommes, un grand binoclard, un blondinet un peu efféminé et un black en jogging. Je comprends aisément qu’il s’agit d’élèves du prof. Cet abruti s’en va se mettre à donner des leçons particulières alors qu’il a mes schémas à étudier !

Pendant un quart d’heure je n’arrive pas à suivre leurs conversations, déjà mon anglais est quand même très basique, ensuite ces messieurs font références à des gens, des lieux, des événements qui me sont complètement étrangers.

Bon il va se décider à mettre ses jeunes blancs-becs à la porte et se mettre à travailler ? Oui ou non ?

Ben non, pas vraiment ! Mais c’était pire que ça, enfin si j’ose dire…

Mahonney fait signe au binoclard de s’approcher et lui met carrément sa main sur la braguette !

Ben v’la aut’chose !

Le professeur lui dégage ensuite sa bite, elle est toute raide, et sans autre préliminaires, il l’enfouie dans sa bouche et la fait coulisser entre ses lèvres.

Mais ce n’était qu’un prélude, sur un signal de Mahonney toute la bande de déshabille. Le black et le blondinet se roulent une galoche tout en se pinçant le bout des seins.

Mahonney et Binoclard font bisous-bisous comme deux amoureux avant que le professeur se fasse sucer.

A l’autre bout de la pièce c’est le black qui suce le blondinet (tiens j’aurais plutôt vu le contraire)

Ils mettent un temps fou à se sucer, au début c’était excitant de voir ça, maintenant ça devient monotone.

Ah, un peu de changement, au bout de la pièce, le black et le blondinet se sont mis en soixante-neuf sur la table et se sucent mutuellement.

Mahonney a fait se retourner le binoclard, lui flatte les fesses (de forts jolies fesses, ma foi !) et lui lèche le trou du cul. Il est déchainé, Mahonney, il lui crache dans l’anus, lui rentre un doigt, recommence à lécher, à ce rythme-là son cœur va finir par lâcher !

Ça dure, ça dure, le black se fait maintenant sucer la bite et les couilles par le blondinet et en profite pour lui pincer les tétons

Puis ce qui devait arriver arriva, Mahonney encule son partenaire tandis que sans doute par effet de mimétisme, le blondinet s’est empalé sur la grosse bite du black.

Au bout d’un moment Mahonney visiblement épuisé se retire du cul de son partenaire sans avoir joui, Il appelle le black qui justement faisait une pause avec son complice.

Et c’est maintenant Mahonney qui se fait sodomiser par la grosse bite du black. Et pendant ce temps-là notre binoclard laissé en plan va trouver consolation auprès du blondinet en lui suçant la bite.

Le black a rapidement joui dans le fondement du professeur, lequel prend son pied à son tour en se branlant comme un malade..

Le binoclard se retrouve avec le sperme du blondinet dans la bouche et il se termine tout seul d’une vigoureuse branlette.

Ça donne le tournis de regarder ça !

Bon c’est fini cette fois, il va les virer et se mettre à travailler ?

Je t’en fous, Mahonney sort une bouteille de vodka et remplis les verres tandis qu’un pétard circule.

J’en ai marre, je m’en vais, récupère mes affaires et rentre à l’hôtel. Galia bouquine.

– Salut, T’as fait quoi aujourd’hui ? Lui demandai-je.
– Qu’est-ce que ça peut te foutre, pétasse ?
– Pourquoi cette agressivité, j’essaie pourtant d’être gentille avec toi.
– Peut-être mais pour moi tu es toujours une pétasse et une salope.
– T’as envie que je te punisse ?
– Tu le ferais ?
– Je vais me gêner, tiens ! Bon on va pas se faire la gueule, viens m’embrasser.
– Pas envie.
– Viens embrasser ta pétasse, ta salope !
– Ah ! Dit comme ça je veux bien !

Elle croit me dompter elle ne se doute de rien ! n’empêche qu’elle embrase bien la blackette !

– Alors t’as fait quoi ?
– Du tourisme, quoi faire d’autre ? Je ne connaissais pas New York, je n’ai pas fini de faire des découvertes. Je me suis acheté un petit haut tout jaune, tu veux le voir ?
– Bien sûr ma chérie.
– Je ne suis pas ta chérie…

D’accord elle n’est pas ma chérie, mais si elle se met à parle chiffons, c’est quand même bon signe.

Le lendemain, je me rendais au bureau du professeur Mahonney, je n’ai pas du tout l’intention de le laisser travailler en dilettante.

– Ah, c’est vous, je ne vous attendais pas si tôt ! M’accueille-t-il
– C’est que je suis impatiente de savoir si vous avez examiné les schémas.
– Pour être très franc, je n’ai pas fait grand-chose, un gros coup de barre…

Quel faux cul !

Je le sonde un peu, en fait le projet que je lui ai présenté l’intéresse, ça l’intéresse même beaucoup, seulement il ne le considère pas comme urgent. Donc je vais faire un peu de manipulation mentale doublé d’un peu de psychologie à deux balles !

– Le point important du projet c’est la combinaison des moteurs de propulsion. Si vous réussissez, c’est le prix Nobel de physique assuré…
– Que vous partagerez avec moi !
– C’est gentil !
– C’est curieux, je vous sens presque désintéressée, comme si vous aviez envie de vous débarrassez de ce projet.

Merde, j’ai dû gaffer !

– Je ne veux pas que les travaux de Tristan Iseul restent dans un placard, j’agis par devoir de mémoire !
– Ah, c’est très généreux, ça, très français !
– N’est-ce pas ?

Et je lui envoie des ondes pour le persuader de bosser à plein temps.

– Vous m’avez l’air pressée ! Me fait-il remarquer.
– Je n’ai pas l’intention de m’éterniser aux Etats-Unis, je resterais le temps que vous avez besoin de moi…
– Mais il faut peut-être redescendre de votre nuage (s’il savait) les choses ne se passent pas comme ça.
– Pardon ?
– Admettons que je valide tous ces schémas, ça va prendre un certain temps, tout va dépendre des éventuels problèmes que je vais rencontrer, mais supposons que je termine ça dans disons trois ou quatre mois. Je vais confier tout ça au comité de projet de la NASA, il faudra que ce soit validé, ce qui va prendre un certain temps et ensuite le programmer, l’exercice en cours et les deux suivants sont déjà remplis, donc on peut tabler sur une mise en chantier d’ici 10 ans, et comme les projets sont systémiquement repoussés en raison de priorités imprévues. Ça nous emmène dans une quinzaine d’années.

Glups, je n’avais pas pensé à ça ! Je ne sais pas quoi lui répondre.

– Bon, je vous laisse, on se revoie demain, je suppose que vous aurez des questions.
– On fait comme ça.

J’ai donc téléphoné à Lothaire, il a réponse à tout ce mec ! Et le lendemain j’avais donc des arguments pour motiver le professeur Mahonney.

– Admettons que le prototype fonctionne, et il n’y a aucune raison qu’il ne fonctionne pas, rendez-vous compte des applications possibles, par exemple au lieu d’aller sur Mars en une année, on pourra faire le voyage en un mois, on pourrait du coup développer tout un tourisme spatial.
– Vous rêvez, ma fille, allez raconter ça au directeur de la NASA.
– On s’en fout de la NASA, vous allez fonder votre propre société…
– Avec quel fonds ?
– Je m’en charge, je connais du monde ! Bluffais-je, ensuite vous vous entourerez de quelques collaborateurs pour valider les schémas, puis il suffira ensuite de faire sous-traiter tout cela, une boite pour le moteur, une autre pour le fuselage, une autre pour l’habitacle etc.
– Mais ça va couter un argent fou !
– Puisque je vous dis que je m’occupe des sponsors !
– Laissez-moi réfléchir 24 heures !

Je fais quoi je le laisse réfléchir pour de vrai ou je lui envoie des ondes ? Je décide de le laisser se décider, je pourrais toujours le manipuler en cas de refus.

Le lendemain, il acceptait, j’étais folle de joie, je l’aurais embrassé.

Pour les sponsors, je ne me suis pas fatiguée, en possession d’une liste de donateurs potentiels, j’incitais mentalement quelques businessmans à signer des chèques au profit de Mahonney Space Innovation, société qui venait tout juste de se créer.

Un mois plus tard, j’étais devenue la directrice adjointe de Mahonney Space Innovation, les premières commandes de pièces détachées auprès des sous-traitants étaient lancées,. Galia était devenue ma secrétaire personnelle. J’avais élaboré un barrage psychologique afin d’empêcher Mahonney de parler du projet à n’importe qui. Tout allait bien…

Sauf que…

Faisons un petit tour chez Space Projet 8, une boite qui justement travaille en sous-traitance pour la NASA et que Mahonney a sollicité pour « son » projet :

– Dites donc, Lewis, ils nous demandent de drôles de trucs ces gens de chez Mahonney Space Innovation !
– Oui, on dirait bien qu’ils ont inventé un truc dans leur coin, c’est dommage qu’on en sache pas plus.
– Vous avez l’organigramme de la boite ?
– On a ça sur l’ordi, je vais vous montrer, voilà, le boss c’est le professeur Walter Mahonney et il a une adjointe, une Française : Annabelle Dejour.
– Eh bien c’est très bien, ça, on va faire un peu d’espionnage industriel. On va cibler les deux dirigeants, je vous laisse dégoter une escort girl et un escort boy !

L’escort girl n’eut pas de chance, Mahonney étant peu sensible aux charmes féminins. On lui envoya donc un biquet, mais le professeur resta muet comme une carpe. Mon barrage psychologique fonctionnait parfaitement

Voyons le mien :

– Un monsieur Flaherty veut te voir, me prévient Galia
– Fais-le entrer !

Oh qu’il est beau le coco ! On en mangerait.

– John Flaherty du Globe Reporter, voici ma carte !
– Enchantée, moi c’est Annabelle Dejour.
– Nous avons appris que vous travaillez sur un projet spatial révolutionnaire et…
– Hop ! Je vous arrête tout de suite, tout cela est top secret donc si vous veniez pour en savoir davantage, eh bien vous allez repartir bredouille.
– Je comprends parfaitement votre point de vue, mais je saurais me contenter de quelques brides d’informations qui ne dévoileraient rien de votre projet global.

Il m’emmerde celui-là, je pourrais le placer sous emprise et lui raconter un bobard extravagant, mais notre boite à désormais une image de marque à conserver.

Je vais pour mettre fin à l’entretien mais saisi d’un doute je le sonde un peu, j’apprends alors qu’il n’est pas du tout journaliste, mais un escort boy missionné pour me tirer les vers du nez et mandaté par Space Projet 8.

– Nous allons en restez là, monsieur, et d’ailleurs votre carte de presse est fausse.
– Mais pas du tout !
– Vous êtes un escort boy, affilié à l’agence Bernet, il se trouve que j’ai fait appel une fois à cette agence, et qu’elle nous présente tout une galerie de portraits, je me suis souvenu de votre visage.

Il n’en revient pas, pépère !

– Mais poursuivis-je, il se trouve que vous êtes très mignon, vous demandez combien ?
– Vous parlez sérieusement, là ?
– Tout à fait. Vous avez des tabous, vous faites tout ?
– Je fais beaucoup de choses ! Qu’est-ce qui vous ferais plaisir ?
– J’aime bien les esclaves.
– Je veux bien faire l’esclave, mais je refuse d’être marqué.
– Ce n’est pas un problème, Vous avez des gadgets dans votre sacoche ?
– Des godes, du gel et des capotes. J’ai aussi des pinces et un martinet…
– C’est très bien ça ! C’est quoi votre pseudo d’escort boy ?
– Clive !

J’appelle Galia par l’interphone.

– Viens me rejoindre, on va s’offrir une petite récréation.

Elle déboule, se demande ce qui se passe en découvrant Clive.

– Je te présente Clive, c’est un escort boy qui a voulu me piéger, mais je l’ai démasqué je lui ai proposé de me faire une petite séance, il y a une éternité que je n’ai pas sucé de bite. Tu veux te joindre à nous ?
– Pourquoi pas, ça me changera les idées.
– Parfait, alors monsieur Clive, mettez-vous à poil qu’on puisse voir à quoi vous ressemblez.
– Ici dans le bureau !
– Ben oui, on ne va pas sortir dans la rue !

Il se déshabille, le type est standard, désespérant standard, ni trop musclé, ni malingre, quant à la bite, on va dire qu’elle est un peu au-dessus de la moyenne, il ne bande pas.

– Tourne toi qu’on voit ton cul !
– Comme ça !
– On t’as déjà dit que tu avais un cul d’enculé ?
– On m’a dit tellement de choses…
– Et tu aimes ça un gode dans ton cul ?
– Ça n’a rien de désagréable.
– Sors en un de ta sacoche, Gallia va te le foutre dans le cul !

Pas de problème elle fait comme ça, branche le vibrateur incorporé et introduit le sex-toy dans fondement de Clive.

– Ah, c’est bon !

S’il dit que c’est bon, c’est sans doute vrai, mais le problème c’est qu’il ne bande toujours pas, c’est quand même embattant pour un escort-boy. Comment il fonctionne, ce mec ? Et puis je crois comprendre : il doit se gaver de Viagra à chaque prestation, et là, ben il n’était pas prêt, il devait penser que si nous devions coucher la chose se serait fait plus tard… après les heures de bureau.

– Fais le bander, Gallia
– On va essayer.

Galia le branlotte un peu, ça bande un peu, mais ça bande mou.

Je me dépoitraille, les mecs adorent voir les seins des femmes, je me dis que ça va peut-être le motiver.

– Alors ils te plaisent mes gros nénés ?
– Ils sont très beaux !
– Alors pourquoi tu ne bandes pas ?
– Je suis en panne, ce sont des choses qui arrivent, je vais vous rendre les sous et m’en aller…
– Il y a peut-être quelque chose qui pourrait t’exciter mais faut nous le dire…

Et en fait je sais ce que c’est, puisque je viens de sonder son cerveau, mais je veux qu’il nous le dise.

– Euh, peut-être que si vous tripotiez ensemble…
– Qu’on se gouine, quoi ?
– Oui, un peu.
– Alors assis-toi on va te faire un petit numéro.

Galia enlève à son tour son haut et on se met à se lécher mes nichons en lui en foutant plein la vue. Et miracle le voilà qui bande !

Qu’est-ce qui ne faut pas faire, parfois ?

– Allez approche-toi, on va te sucer à deux !
– Mais le gode dans mon cul ?
– Tu le gardes !

Cela faisait un bout de temps que je n’avais pas sucé une bonne queue, celle-ci est tout à fait à mon gout, Gallia à l’air d’apprécier elle aussi.

– Bon maintenant, tu vas nous enculer l’une après l’autre, tu commences par moi.

Je baisse ma jupe et ma culotte, m’arcboute sur le bureau et Clive vient me pénétrer, tandis que Galia passé dernière lui fait aller et venir le gode dans son fondement.

C’est qu’il encule bien, le type, c’est un pro, les mouvements sont calculés, ni trop vifs, ni trop brutaux, juste ce qu’il faut mais bien profonds.

J’ai joui assez rapidement, j’ai regretté de ne pouvoir me livrer au petit plaisir du nettoyage de bite, la pénétration s’étant déroulée sous capote. (faut pas déconner non plus…)

On a ensuite permuté et c’est Gallia qui est passée à la casserole pendant que je m’occupais du cul du monsieur.

Finalement je voulais faire de la domination, on a fait de la sodo ! Les choses ne se passent jamais comme on les prévoit.

– Merci pour la prestation, ça fait du bien par où ça passe, vous n’aurez qu’à dire à votre commanditaire que vous n’avez pu rien obtenir.
– OK, je dirais que vous êtes lesbienne !
– Ne faites surtout pas ça, ils vont m’envoyer une nénette qui va se casser le nez.

A suivre

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3 réponses à Annabelle, la reine des mutants par Anne-Abigail Lemeunier du Chesne – 15 – Annabelle à New-York

  1. Pascalou dit :

    C’est quand même plus sympa que « les Visiteurs en Amérique »

  2. De Candé dit :

    Ah, ces américains !

  3. Forestier dit :

    Toujours aussi passionnant avec des passages très hot

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