Annick et Lena
Premier chapitre
par Docilamant
Quarante ans, paraissant moins, sportif, je sonnais à la grille de la maison d’Annick avec un peu d’appréhension. J’avais rendez-vous avec Lena, une belle femme mariée et je devais déjeuner et passer l’après midi avec elle. J’avais rencontré Lena à une exposition de peinture. Artiste peintre, elle m’avait montré et décrit ses œuvres, longuement. Peintre amateur j’avais été flatté et nous avions convenu de nous revoir à l’occasion d’une exposition au musée du Luxembourg. Et puis nous nous étions effleurés rapprochés, touchés, embrassés, timidement puis plus fougueusement. Nous avions l’occasion de nous retrouver une fois par semaine environ dans des hôtels, attirés par nos occupations respectives, à Paris.
Depuis longtemps je rêvais de femme en latex ou en cuir, me dominant, aimant dominer, de soirées bisexuelles débridées. Elle, 45 ans les seins lourds taille moyenne le visage fin, discrètement ridé, bronzée toute l’année, adorait s’habiller, se décorer, se mettre en valeur, avait une passion pour les strings, de toutes formes des plus petits aux plus échancrés remontant en fines lanières haut sur les hanches. Lors de notre dernière rencontre, elle m’attendait assise négligemment sur le coin de la table de la chambre d’hôtel, un verre de vin à la main, chaussée de chaussures noires recouvrant totalement ses pieds mais munies de talons aiguilles de 8 cm au moins. Les cuisses ouvertes ne montraient qu’un minuscule triangle de tissus brillant de soie noire retenu par deux liens montant aussi haut sur les hanches que le petit tissus était bas, ne cachant que pubis et lèvres. Elle était totalement épilée et rien ne venait perturber l’esthétique rigoureuse quelle donnait à son sexe.
C’est elle qui il y a deux jours avait annoncé avoir trouvé un lieu pour une rencontre le week-end prochain: Annick nous prêtait sa maison de campagne. Nous avions été invités à déjeuner deux mois auparavant par Annick et son mari au milieu de nombreux autres convives et condamnés à la discrétion, Léna étant accompagnée de son mari. Je n’avais pas osé l’approcher à moins de 10 mètres malgré la frustration provoquée par ce tee-shirt blanc tendu sur la lourde poitrine de ma maîtresse et ce petit jean taille basse avec sa large ceinture de cuir. Je me souviens que toute l’après midi je m’étais demandé quel string pouvait bien cacher ce jean.
Donc à 13 heures je sonnais à cette grille haute et noire en me plaçant juste en face de la caméra de surveillance. La grille s’entrouvrit sans que j’entende un mot. Je parcourus l’allée de gravier jusqu’à la maison. Une belle maison spacieuse avec piscine entourée de grands arbres garantissant fraîcheur et intimité. La porte s’ouvrit et, surprise, c’est Annick qui m’ouvrit. Je m’attendais à tout sauf à la voir. Elle était plus grande que je ne me souvenais, à cause sans doute des talons aiguilles qui claquaient sur le carrelage. Sèchement elle lâcha:
– Bonjour, entrez.
Elle était habillée d’une longue robe souple noire tenue par deux liens sur les épaules qui tombait en ondulant discrètement jusqu’à mi jambes. Je balbutiai :
– Léna n’est pas arrivée ? C’est gentil à vous de nous recevoir. Nous ne voulions pas vous déranger.
– Vous ne me dérangez pas. Léna est allée se promener dans le parc elle ne tardera pas.
Deux verres étaient servis sur une table basse. Deux grands verres de porto avec des glaçons. Annick m’en tendit un et sans un mot commença à boire l’autre. Troublé par le silence et l’incongru de la situation je saluai ce geste de d’amabilité et bus en souriant bêtement. Soudain elle tourna les talons. L’espace d’un instant le tissu fin de la robe accrocha ce qui me sembla être le confluent de la ceinture et du lien d’un string, moulant deux globes.
– Attendez moi un instant.
Elle disparut dans la pièce à côté, et revint presque aussitôt précédée du bruit de ses talons avec un petit paquet.
– Je vous conduis à la salle de bains pour que vous vous prépariez en attendant Léna.
J’étais de plus en plus surpris et malgré cela la séduction qu’exerçait la robe de mon hôtesse me troublait. Bon on verra bien, Lena l’a peut-être forcée à nous recevoir et elle est furieuse ou elle-même a eu un empêchement et regrette d’être obligée de recevoir deux amants quelle connaît à peine. L’important me dis-je est que je vais dans quelques minutes au pire une heure toucher ma belle maîtresse.
– C’est là, me dit-elle en ouvrant une petite pièce donnant sur une vaste salle entièrement carrelée de blanc avec dans un coin une dizaine de pommes de douches pour masser en douchant et contre le mur une double vasque elle aussi blanche comme toute la robinetterie les patères et les portes serviettes.
Aucune cloison, aucune table, une multitude de spots violents qui font briller l’ensemble.
– Vous vous déshabillez entièrement avant d’entrer pour ne rien salir. Vous vous douchez sans rien oublier a dit Léna. Ensuite vous m’appellerez et je vous donnerai le paquet.
Elle ne se pressait pas de partir et je décidais de commencer à me déshabiller en espérant quelle comprendrait quelle gênait. Il ne restait plus que mon slip en lycra moulant un sexe un peu intimidé. Et puis zut. Enhardi par la chaleur de l’alcool pris à jeun, je l’envoyais rejoindre les autres vêtements et m’avançais dans la salle de bains, m’installais sous la douche. Un regard vers l’entrée m’informa qu’Annick était partie, sans doute satisfaite de son petit exercice de voyeuse. Après une très courte période de réglages je commençais à savourer le plaisir de l’eau coulant sur mon corps en rêvant à la femme que j’allais retrouver. Petit à petit la force des jets d’eau augmenta et je m’éloignais mais les picotements rapidement me manquaient et je revenais aussitôt. Je me détendais complètement et de décidais à me laver les cheveux, le visage puis l’anus et introduisis un doigt pour bien faire le tour du canal puis enfin mon sexe. Je le sentis bientôt se tendre lorsque, relaxé et propre, je pensais à la fente de mon amie que je pourrais bientôt goulument lécher sans retenue. L’eau s’arrêta brutalement. Les talons aiguilles claquèrent sur le sol et Annick revenue me lança :
– Ça va comme çà maintenant. Tenez Léna m’a demandé de veiller à ce que vous soyez complètement équipé avant de la recevoir à déjeuner.
– Je suis encore trempé trouvais-je la force de dire.
– Aucune importance ça séchera.
Elle me tendait le petit paquet à bout de bras aperçu tout à l’heure pour ne pas entrer dans la salle de bains. Mon érection était tombée et je sentais Annick ricaner. Sans doute m’avait elle observé sous la douche et elle s’amusait maintenant de la situation. J’ouvris le paquet. Mais j’hésitais aussitôt à en sortir le contenu devant Annick qui m’observait. En levant les yeux je notais cependant que deux petits points durs tendaient la robe légère. « Elle n’a pas de soutien gorge » me dis-je pourtant j’ai cru noter des bretelles transparentes tout à l’heure. La voyeuse insista:
– Pressez vous s’il vous plait.
Je vidais le contenu: un string ficelle en résille à larges mailles noir un plug anal noir d’au moins 3 cm de diamètre et deux anneaux en silicone noir pour la base de mon sexe et tendre mes testicules. Et un petit tube de vaseline. Gêné, la simple vue de ces objets déclencha une érection fulgurante accompagnée d’une volonté de me toucher.
– Nettement plus agréable à voir lança Annick. Equipez vous maintenant Léna va nous attendre.
Le porto avait été plus fort que prévu à moins qu’il n’y ait pas eu que du porto dans ce verre et je me dis pourquoi pas. Si elle veut se rincer l’œil après tout elle est chez elle mon sexe est gros, une femme me force à m’exhiber et tout çà est très excitant finalement. Je plongeais un doigt puis deux dans mon anus après les avoir enduits de vaseline et sans un mot mais en me tournant pour la voyeuse puisse voir un peu ce qui m’excitais. Je saisis le plug et l’enfonçais dans mon anus dilaté. La douleur (relative car je suis habitué à placer des godes anaux lorsque je suis seul) associée au plaisir de la pénétration et de la dilatation de l’anus fit un peu tomber l’érection. Un regard à Annick qui m’observais sans sourciller me réexcita aussitôt et je plaçais les deux anneaux avant d’enfiler le string. Celui-ci était très petit et mon sexe tendait le filet qui le marquait et l’irritait. J’étais en érection, presque nu, avec un gode anal devant une quasi inconnue qui me regardait froidement. Annick me dis alors:
– J’aime beaucoup ces plugs. Je me suis mis le même. Ils tiennent vraiment bien et celui-ci me donne beaucoup de plaisir depuis plus d’heure.
Elle me tendit un nouveau verre de vin et ajouta:
– Lena doit nous attendre maintenant. Suivez-moi.
Elle me précéda dans un couloir puis arrêta devant une porte et frappa. J’entendis Lena dire
– Entrez.
Malgré l’après midi brulante les volets baissés laissaient la pièce dans la pénombre. Seule une lampe murale très atténuée donnait une lumière jaune réfléchie. Lena m’attendait, les bras croisés. Elle avait une robe en latex fendue devant très haut, sans doute au ras de son sexe qui laissait entrevoir des bas noirs. Gants noirs montant à mi bras, robe décolletée laissant entrevoir ses seins lourds, les tétons pointant sous le latex. Elle portait des cuissardes noires à talons aiguilles aux bouts démesurément pointus. Tout ce que j’aime. J’étais étourdi. Je n’avais pas entendu Annick disparaître mais la vis revenir. Elle avait abandonné sa robe et n’était vêtue que de bas noirs, de chaussures noires à hauts talons, d’un string en cuir brillant, muni d’un zip au milieu dont le curseur pendait entre ses cuisses et d’un bustier lacé qui soutenait ses seins sans les cacher. Je comprenais mieux les impressions que j’avais devinées sous la robe légère tout à l’heure. Elle fumait et semblait elle aussi avoir une démarche un peu hésitante, comme la mienne. Lena lui demanda :
– Tu as bien vérifié qu’il était équipé correctement?
– Oui j’ai fait comme tu as dit.
Puis s’adressant à moi Lena me tendit un plug identique au mien et m’ordonna:
– Place-le moi Je ne veux pas être la seule à ne pas en avoir.
Annick me tendit un tube de vaseline et je m’accroupis pour avoir les yeux et les mains au niveau de son bassin mais elle se retourna et me gifla une fois. Au moment où je me relevais sous la surprise elle me gifla une seconde fois. Je titubais sous l’effet des gifles et du vin mais la chaleur m’excitait et je voulais toucher mon sexe qui me faisait mal enfermé dans le string.
– Pour qui te prends-tu à vouloir te rincer l’œil en mettant un plug me jeta-t-elle? Tu dézipes mon string puis tu me dilates un peu et tu places le gode en restant debout à côté de moi et sans salir ma robe.
A tâtons je cherchais le zip sous la robe à travers la fente mais par derrière en glissant la main autour de sa cuisse je sentis enfin la glissière que je tirais vers le bas. Je cherchais ensuite l’anus mais mon doigt n’était pas graissé. Je me redressais et le tendis à Annick qui l’enduisit de vaseline. En faisant attention à ne pas en mettre partout je cherchais l’anus que je trouvais béant. La salope s’était déjà dilatée. J’introduisis rapidement un puis deux et trois doigts en mourant d’envie de voir cet orifice qui m’était interdit. Elle m’intima :
– Suces tes doigts avant de refermer le zip.
Je m’exécutais sans discuter craignant une nouvelle gifle.
-Avant de déjeuner tu vas mettre les pinces que nous offrons à notre hôtesse pour son hospitalité.
Lena sortit un petit écrin avec 4 anneaux munis de boules mobiles, deux pour les seins deux pour ses lèvres et me le tendis. Je pris un anneau et le plaçais sur le téton en l’écartant. Cela arracha un petit cri à Annick comme le second.
– Agenouilles toi pour ses lèvres dit Lena. Dézipes son string de pute avec tes dents.
Je m’exécutais. Sitôt ouvert le string tendu laissa échapper deux lèvres épilées gonflées que je saisis une à une avant de placer un anneau sur chaque. L’odeur du cuir et du sexe enfermé était enivrante et je n’avais pas besoin de cela en plus… Je risquais une langue vers sa chatte à la recherche du clitoris mais je reçus immédiatement une gifle d’Annick qui me renversa, immédiatement suivie d’un coup de pied.
– Refermes mon string salaud cria-t-elle, tout de suite.
Je refermais le string de cuir en prenant soin de maintenir les anneaux vulvaires et pour me venger je les tordis simulant l’inadvertance ce qui la fit hurler de douleur et m’amena une nouvelle gifle. Malgré tout, étourdi, je me sentais excité et profondément bien. Les deux femmes s’assirent alors et commencèrent à se parler en souriant. Je n’entendais rien, j’étais délicieusement ivre de sexe allongé sur le sol et je vis les bottes et les chaussures qui se rapprochaient. Et les talons. En rampant je les pris en bouche et commençais à les lécher tout en caressant les jambes alternativement en changeant sans me soucier de leur propriétaire. Lorsqu’elles bougeaient un coup de talon ou la pointe d’une botte venait parfois me frapper sans intention. Lena caressait le visage d’Annick qui se tortillait, frottant son string et à travers lui son plug sur le canapé. Ses mains descendirent vers les anneaux au bout des seins doucement en la caressant puis les tordis jusqu’à ce qu’Annick hurle :
– Arrête
Puis juste après :
– Encore !
Annick avait maintenant une main sur la cuisse de Lena et pétrissait cette cuisse en écartant les pans de la robe. Je n’avais jamais vu Lena caresser de femmes, même si je la savais bisexuelle, et cela m’excita infiniment. Annick vint se coller à Lena et au moment ou celle-ci se penchait en avant elle glissa le poing sous le plug que j’avais mis à Lena et avec violence le poussa encore dans l’anus de Lena qui gémit. Lena prit la bouteille de vin sur la table but rapidement une gorgée puis se retourna vers Annick et lui recracha au visage en essayant d’agripper le sexe ou se cachaient les anneaux bien à l’abri sous le cuir. Le vin dégoulina entre les seins et sur le visage d’Annick.
– Nettoies sale bébé glapit-elle, tout çà c’est à cause de toi.
Je m’exécutais avec plaisir léchant le visage puis les deux gros seins en essayant de tirailler au passage les deux pinces fichées sur les tétons durs. J’en profitais pour tirer sur les anneaux avec mes dents au risque de recevoir une gifle. Puis je dégrafais le haut du bustier pour pouvoir aller plus loin dans mon nettoyage.
Lena décréta
– A table !
Au menu, pates, yaourt et crème au chocolat, banane.
– Tu vas nous donner à manger avec tes mains.
Je les nourris ainsi en commençant par les pates et pendant ce temps, je me caressais en voyant la main gantée de latex de Lena empaumer le sexe gainé de cuir d’Annick. Entre deux bouchées que je fourrais dans leurs bouches elles s’embrassaient, leurs visages étaient couverts de salive et de débris de pates. Les seins d’Annick qui n’étaient plus maintenus par le bustier pendaient et leurs pinces brillaient, attirantes. Lena frottait ses seins à chaque baiser contre ceux d’Annick lui arrachant un petit cri.
Soudain Lena qui était rouge d’excitation se leva en tenant Annick par les cheveux :
– Retire ma robe salope.
Annick se plaça à genoux derrière Lena et commença à déziper la robe à partir du bas. Très vite le cul également gainé de cuir apparu. Les deux femmes étaient habillées exactement pareil. La robe de latex tomba et je me précipitais pour la sentir.
-Tu vas la tacher petit con lança Lena. Mets des pinces sur mes nichons.
Je m’exécutais.
– Donnes nous à boire
Je tendis la bouteille. Lena but au goulot une gorgée qu’elle transféra dans la bouche d’Annick.
– Retires nos godes pas avec la main avec la bouche.
Je dézipais l’un après l’autre les slips de cuir en tirant avec les dents après m’être allongé entre les cuisses. Au fur et à mesure les vulves s’échappaient comme des fruits humides, gonflés et rouge, à l’odeur puissante de sexe et de cuir. J’essayais de profiter de ces fruits fascinants du bout de la langue mais je fus vite rappelé à ma mission. Les mains des femmes sans ménagement repoussaient mon visage pour triturer, masser, torturer les chairs mouillées. Debout elles s’embrassèrent, en écartant les cuisses afin de mieux se toucher. Ainsi je vis les plaques des plugs que je saisis du bout des dents et que je retirais brutalement en provoquant un gémissement de douleur. L’un après l’autre les anus délivrés de leurs godes apparaissaient noirs béants avec des glaires et des traces brunâtres. Lena arrêta de masturber Annick pour m’attraper par les cheveux et plaquer mon visage sur son anus.
– Nettoies mon cul avec ta langue. Je sais que tu adores.
Je plongeais ma langue dans son cul comme un sexe avec délectation le plus profondément possible tout en astiquant ma queue avec frénésie. Et Annick?
– Presses toi et quand tu auras terminé tu nettoieras les godes.
– Oui maitresse, merci maitresse balbutiai-je.
L’anus d’Annick était plus brun que celui de Léna, mais encore plus dilaté et pénétré depuis plusieurs heures et les sécrétions salées qui dégoulinaient étaient abondantes. Je me régalais même si c’est ma queue que j’aurais voulu enfoncer dans ce cul cerné de fermeture éclair et de cuir. Des deux anus je crois que celui d’Annick était le plus attirant. Je n’eus pas le temps de réfléchir. Les deux femelles se mirent en 69 et se léchèrent brutalement cherchant à enfoncer leurs visages au plus profond des sexes, les mains cherchant des lèvres à tirer à pincer. Annick trouva l’anus de Lena et lui fourra sans prévenir trois doigts. Elle me jeta :
– Vaseline-nous vite.
Le gros tube fournit vite le lubrifiant pour une dilatation anale réciproque puissante. Puis brutalement Lena commença à jouir sourdement puis en un râle énorme suivie par Annick. Les deux femmes gainées de cuir s’écroulèrent l’une contre l’autre épuisées.
– Retire les anneaux et les pinces doucement gémit Lena.
Mais c’est sans ménagement excessif que je les retirais.
– Tu vas me le payer salaud grogna Annick quand je retirais le deuxième anneau de sa vulve.
Léna assouvie et sans doute plus ivre qu’Annick s’endormit. Annick se releva à demi et m’intima
-Lèches moi fais moi jouir encore, je suis prête.
Je me précipitais entre ses cuisses ouvertes. Sur le dos elle plaça ses jambes autour de mon cou pour mieux s’ouvrir. Je léchais son bouton mordillais ses lèvres gonflées introduisais ma langue dans sa fente revenais au clitoris irrité. Le goût de cuir de sexe et de salive était fort. J’introduisis un doigt dans son anus puis un second. Encore vaseliné et dilaté j’essayais de la forcer et de la fister. Elle hurla et me donna un coup de pied sur le dos. Elle massait ses seins, les malaxait de plus en plus violemment. Soudain elle poussa brutalement un cri aigu suivi d’un long râle et s’écroula. Son cri réveilla Lena.
– Salope bredouilla-t-elle, tu as un orgasme de plus que moi.
Puis s’adressant à moi :
– Emmènes nous à la salle de bains et laves nous. Aide nous à marcher. J’emmenais d’abord Léna qui s’allongea sur le sol de la salle de bains, sol carrelé mais chauffant. J’amenais ensuite Annick et entrepris de libérer les liens des bustiers de retirer les bottes et les chaussures et je finis par les slips. Ensuite ayant mis le cuir à l’abri de l’eau je me préparais à doucher ces deux corps abandonnés sur le sol.
– Ne mouille pas ton slip me dit Léna, retires le.
Je fis glisser mon slip en résille et libérais ainsi mon sexe rouge et gonflé, toujours insatisfait. C’est juste vêtu de l’anneau et du plug que je les savonnais et massant les sexes, les seins en introduisant de l’eau chaude dans les cons et les anus dilatés. Elles se vautraient dans l’eau répandue à même le sol de la salle, prévue pour cela. Attrapant des serviettes disposées sur une étagère elles se séchèrent ensuite l’une l’autre. Debout les jambes écartées, Léna gifla Annick et m’ordonna de la mettre à genoux devant le sexe de Léna. Annick se jeta vers la vulve pour la lécher. Léna jouit très vite mais retint la tête de sa partenaire contre son sexe. Elle commença alors à pisser Annick qui gémit :
– Oui encore, donnes moi tout !
Mais elle n’arrivait pas à tout boire. L’urine dégoulinait sur tout son corps le long de son cou entre ses seins entre ses cuisses. Adorant la pisse de Léna je m’avançais pour lécher le sol entre les cuisses d’Annick. Celle-ci m’attrapa la tête :
– Tu n’es vraiment qu’un sale petit pervers comme ta gouine de maîtresse. Goutes la mienne puisque tu aimes.
Et je reçus à mon tour la douche dorée et chaude que j’aimais tant. Je bus encore et encore recrachais quand je n’arrivais pas à tout boire. Puis rassasié je me rinçais et les rinçais. Un peu maladroitement je me redressais me séchais et les femmes debout elles aussi m’emmenèrent dans un petit dressing attenant à la salle de bains. Nues, elles choisirent le placard marqué « latex ». Elles prirent deux slips noirs brillants fendus entre les cuisses, deux soutiens gorge ouverts pour les tétons, de longs gants des bas en latex et elles finirent par des chaussures à talons aiguilles.
– Habille-nous.
Je m’exécutais. Lorsqu’elles furent équipées elles étaient magnifiques comme deux poupées, juste des objets sexuels. Déjà elles caressaient leurs seins les tétons rougis tendus et durs.
Léna me tendit mon slip en résille.
– Remets-le maintenant.
(à suivre)
Toute une ambiance, c’est vraiment pas mal même si un doigt d’humour n’aurait pas été de trop.