A 20 ans, je crois avoir trouvé mon prince charmant. Oh, avant, j’ai eu d’autres copains, tous plus ou moins bons amants. Mais celui-ci m’a vraiment fait redécouvrir les joies du sexe… et aussi d’autres plaisirs que j’ignorais.
Un jour de fin d’été, il m’emmena en ballade dans sa voiture. Il me dit au téléphone avant de venir me prendre qu’il connaissait un coin tranquille en forêt. Déjà excitée à l’idée de ce qu’on allait pouvoir y faire, je me préparais dans ma chambre : petit top blanc sans soutien-gorge (il adore ça) laissant apparaître mon nombril, petit short rose sans rien en dessous (il adore encore plus), chaussettes blanches et basquets ! Me voilà fin prête pour une belle balade en amoureux… et pour plus.
La route ne fut pas longue : en une demi heure, nous arrivâmes dans une petite clairière. La voiture ne pouvait davantage s’aventurer plus loin, le chemin devenant impraticable.
– Arrêtons-nous ici, me dit-il.
Il stoppa le moteur. Il m’embrassa, passionnément, pendant qu’il posait sa main droite sur ma cuisse gauche qu’il caressa tendrement. J’en eu des frissons. Je ne pus m’empêcher de poser ma main, pendant que nos langues continuèrent à se caresser, sur son pantalon, au niveau de son sexe, déjà ferme.
Nous sommes descendus de la voiture. Je fus tout de suite surprise par le calme qui y régnait. Personne. Seulement lui et moi.
Il me prit dans ses bras, posa sa main droite sur mes fesses et continua à m’embrasser, avec tendresse. Il se retourna et me pris, de façon à coller mon dos contre sa poitrine. Il m’embrassa dans le cou, tandis que moi je fermais les yeux. Et puis, il remonta mon top afin de dégager mon sein gauche qu’il se mit à caresser, à masser, à embrasser. Je sentais son sexe en érection contre mes fesses.
Il remonta un peu plus mon top de façon à dégager entièrement ma poitrine dont il se mit à lécher les tétons.
– J’aime tellement tes seins, me soupira-t-il dans les oreilles. Ils sont tellement beaux… Tellement fermes…
Excitée par ses caresses et ses baisers, j’enlevai mon top que je posai sur le capot de la voiture. Il continua à m’embrasser dans le cou, à me caresser les seins et le ventre. Tout à coup, il plongea sa main droite dans mon short, à la recherche de ma fente mouillée d’excitation.
– Elle est si douce, me dit-il.
Oui, c’est vrai qu’elle est douce. J’adore cette partie de mon corps que j’épile scrupuleusement de façon à ce qu’elle soit agréable à l’œil et au toucher.
– Ma bite, pend ma bite, me fit-il d’une voie pleine d’excitation.
Je ne me fis pas prier. Je m’accroupis, déboutonna son pantalon et retira son sexe dont le gland, gonflé, se présentait à moi. Je le pris de la main gauche, tira sur la peau afin de dégager entièrement le gland que je me mis à lécher, puis en prendre en bouche. La fellation fut tendre mais profonde. Je parvenais plus d’une fois à introduire entièrement son sexe dans ma bouche. Et son sexe sentait tellement bon.
– Mes couilles, lèche-les !
Oui, ses testicules, si douces, rasées de près, je n’y résiste pas, non plus ! Je les aspirais, puis je reprenais son sexe en bouche. Et puis j’aspirais à nouveau ses couilles, je les léchais. De son sexe s’écoulait un fin filet de liquide séminal. C’est tellement bon, ce liquide, si salé ! Je remis son sexe en bouche afin de ne pas en perdre une goutte. Je sentais que l’éjaculation n’était pas loin.
– Arrête, arrête un peu !
Je me retirai. Je le vis se diriger vers le coffre de la voiture et sortir une grande couverture ! Il avait tout prévu, mon amant ! Il retira son t-shirt et enleva son pantalon. En caleçon, il étala la couverture sur le coffre. Spontanément, j’enlevai mon short et montai sur la couverture en écartant un maximum les jambes.
– Vas-y, lèche-moi la chatte, vas-y !
J’étais dans un état d’excitation inexprimable. Rien ne pouvait m’arrêter. Je voulais du sexe ! Et mon mec aussi. Il se mit alors à lécher les lèvres de mon sexe, à les mordiller, à les caresser. Oh, quel talent il a pour ça ! Il utilise sa salive pour lubrifier ma fente qui allait recevoir son sexe. Pendant ce temps, je me caressais, gémissais, je criais parfois (Oh oui, continue comme ça, c’est bien, c’est bien…) ! De la main gauche, je pris un de mes seins dont je me mis à lécher le téton (l’avantage d’avoir une grosse poitrine).
Il introduisit un index dans mon vagin, fit des allers et retours de plus en plus rapides. Puis, il enfonça le majeur de la même main dans mon anus non sans l’avoir humidifié de sa salive (le majeur et l’anus…). Il sait que j’aime ça. C’est le premier mec qui me doigte l’anus. Je réclame ça presque à chaque rapport quand il ne le fait pas spontanément. Lors de ce doigtage anal, je pousse un petit cri. Cette sensation est troublante : c’est légèrement douloureux mais délicieux. Il enfonça son majeur autant qu’il le pouvait puis fit également des va-et-vient.
– Attend, me dit-il, on va se coucher sur le sol.
Je descendis du coffre et étalai la couverture sur le sol. Pendant ce temps, il enleva son caleçon. Je m’allongeai sur le dos, relevée sur mes coudes. J’éprouvais une merveilleuse sensation en voyant mon corps nu offert aux rayons du soleil. Il s’accroupit, écarta mes jambes, souleva la droite (j’avais mon genou à quelques centimètres de mon visage). Il me pénétra. Il introduisit lentement son sexe dans mon vagin, entièrement, et puis commença les allers-retours, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Je me mis à jouir et lui aussi poussa du gémissement de bonheur.
Changement de position. Il se coucha sur le dos et je m’empalai sur son sexe, dos face à lui. Je fis des allers et retour à mon tour. Il prit fermement mes seins. Ensuite, je me relevai et pris ma position préférée, l’Andromaque. Il aime ça aussi : pendant que son sexe bourre ma chatte avec frénésie, il aime voir mes seins ballotter dans tous les sens…
L’excitation fut à son comble. Je n’en pouvais plus d’attendre : je voulais qu’il m’encule, tout de suite. Mon mec était encore allongé sur le dos et je me retirai pour m’empaler dos à lui. Mais là, cette fois-ci, je pris son sexe chaud et l’introduisis dans l’anus. Il fallut forcer un peu mais une fois le gland introduit, ce fut un jeu d’enfant pour introduire le reste. Quelle merveilleuse sensation ! Oui, je fais partie de ces filles qui aiment la sodomie. Durant les va-et-vient, je me caressai la chatte. On était tous les deux dans un état d’extrême extase.
A ce moment là, j’eu envie d’uriner. Non ce n’est pas possible, me disais-je, je dois me retenir. Je me relevai et repris la position d’Andromaque, mais en pénétration anale, cette fois-ci.
– Attend, lui dis-je, on se met debout, vient.
On se releva et on se dirigea vers la voiture. Je pris appui sur la voiture et, en lui présentant mon cul, je lui dis :
– Vas-y, encule-moi, encore, encore…
Il ne se fit pas prier. Il souleva ma jambe droite et introduisit son sexe là où je le lui avais demandé. Là, j’eu le plus gros orgasme de ce rapport. C’était trop bon, je ne voulais pas qu’il s’arrête. Même si l’envie d’uriner était de plus en plus préoccupante.
Mais, lui, il n’en pouvait plus, il devait jouir une ultime fois :
– Ca vient, ça vient !…
Alors, je m’accroupis et pris son sexe prêt à exploser, le mis en bouche, le masturbai. Je voulais ce sperme. Je l’adore ! Il prit son sexe, et je fermai les yeux pour mieux apprécier ce moment exquis et enfin, pendant que je le léchais, il éjacula. Son sperme si doux se déversait dans ma bouche, s’écoulait sur le menton, sur mon sein droit, sur mon épaule droite. J’avalais le sperme que j’avais dans la bouche et je étalais le reste avec son sexe, sur mes lèvres et le menton, pendant que je me caressais la chatte. Et là, soudain, je sentis un liquide chaud sur ma main. L’urine se déversa par jets puissants et réguliers. Son odeur m’excitait. J’ouvris les yeux et je regardais mon mec. Il avait vu que je venais de pisser. Il me regarda avec un regard mélangeant l’étonnement et l’admiration :
– Tu es vraiment une petite cochonne, me dit-il en souriant.
Je ne dis rien. Je me sentais dans un état bizarre mais agréable. C’était la première fois que j’urinais lors d’un rapport. C’était même la première fois que j’urinais devant quelqu’un.
Je me relevai, le regardai dans les yeux, et l’embrassai encore une fois.
Oui, cette galipette fut ma première expérience uro. Sur le chemin du retour, je me suis dit que, la prochaine fois, j’irai plus loin…
Assez d’accord avec les commentaires précédents, ça fait un peu rustine
Pas de quoi s’affoler
On voit tout de suite la démarche : J’enverrais bien mon récit sur Vassilia, mais c’est trop vanille, il ne vont pas le publier, alors j’ajoute trois ligne d’uro et le tour est joué. Un peu gros !
C’est gentillet, mais on est un peu trompé sur la marchandise, la coloration uro est très faible, presque articicielle
Un sympathique petit récit uro. ça m’a donné envie de me faire un gentil petit pipi dans ma culotte, cochonne que je suis !