J’ai le cœur qui toque dans ma poitrine
par Stephanie
J’ai le cœur qui toque dans ma poitrine ! Je sais pourtant où je me rends de ce pas décidé, ce que je désire faire cet après-midi mais il n’empêche, je palpite ! C’est probablement une incertitude relative et néanmoins persistante qui est responsable de mon état psychique actuel… La question existentielle est la suivante : qui vais-je choisir pour me dominer aujourd’hui ? En théorie, j’aurai le choix et il n’existe par conséquent aucune raison de s’en faire, ni a fortiori de frémir comme un collégien ignare devant une version latine. En plus, je connais l’endroit pour y avoir été à plusieurs occasions durant les années passées. J’ai acheté une tarte aux cerises que je transporte dans un petit sac contenant encore des « effets très personnels » à usage très particulier…
Je sonne et en l’espace de quelques secondes, l’ouvre porte émet un claquement sec qui me permet de pénétrer dans l’antre peu éclairé de la maison… Je gravis sans hâte les escaliers revêtus d’une épaisse moquette de couleur bordeaux tandis qu’un grand « bonjour » résonne dans la cage d’escaliers. Deux étages plus haut, la patronne m’accueille avec le sourire, semble me reconnaître assez vite et me fait m’asseoir à ses côtés. J’esquisse entre-temps un premier coup d’œil discret vers les dames assises en vis-à-vis et fais part à la patronne de mes désirs (« oups » !). Mon leitmotiv est le suivant : rien de compliqué et chacun son truc ! Je ne cherche pas une domination hard, ni du bondage, mais je suis plutôt en demande d’une séance de domination avec humiliation et travestissement. En résumé, je désire jouer à la soubrette dans ce salon avant de descendre pour une séance plus classique…Je me change donc dans le vestiaire des maîtresses où traîne un grand nombre de chaussures noires ainsi que les habits civils rangés sur des cintres. J’enfile prestement une paire de bas DIM UP, un string en pseudo dentelle blanche et une véritable robe de soubrette passablement transparente. Il ne me reste ensuite qu’à mettre des chaussures à lacets et talon (mais pas de talons à aiguilles car, sur ces fins perchoirs, je suis incapable de faire plus de trois pas les uns après les autres…).
Je profite de la présence d’un WC pour effectuer une petite vidange vésicale en position assise, comme il se doit à une servante bien éduquée avant de prendre son service. Je réajuste ma tenue, prend une profonde inspiration (je voudrais vous y voir, moi !) et pénètre ainsi vêtue dans le salon. Malgré le contraste majeur entre ma tenue actuelle et mes fringues initiales, je suis accueillie par « mais qu’elle est mignonne !! » et contrainte de faire un 360° sur moi-même, faisant de la sorte légèrement virevolter dans l’air le bord libre de ma jupette…Il n’y a d’ailleurs pas que le bord de ma tenue qui s’élève puisque mon clito adopte une position plutôt verticale dans le mini string. J’essaye de ne pas y penser… Heureusement, l’endroit m’est familier car j’y ai déjà joué le même rôle avec une maîtresse attitrée. Je gagne gauchement le petit endroit connexe qui sert de cuisine, déballe la tarte, trouve un couteau et la découpe en huit parts égales. Je sers alors les maîtresses désireuses de manger un morceau de pâtisserie et en profite pour les détailler avec la discrétion qui m’incombe. Les tenues sont tout simplement affolantes et feraient, sans problème, bander un régiment entier d’eunuques aveugles : le noir prédomine comme teinte, le satin et le skaï se partagent les matières (mais je ne suis pas un spécialiste), les jupes sont très courtes ou mêmes absentes, les bottines sont toutes munies de talons surélevés, les cendriers sont débordent de mégots et il flotte dans l’air une brume nicotinique très politiquement incorrecte…Mais cela fait partie de mes attributions que de les (je parle des cendriers, bien entendu !) vider, les nettoyer, de faire la vaisselle aussi, de servir le café (avec un nuage de lait et deux sucres, Stéphanie !), de refaire cette même vaisselle quand les assiettes à tarte reviennent en cuisine… Je tente de me fondre dans le paysage en me faisant très discrète et ces dames reprennent petit à petit leurs conversations d’avant mon arrivée…
Leurs préoccupations générales demeurent assez communes et sont loin de tourner autour du sexe de façon systématique. L’une ou l’autre rapporte l’histoire ancienne d’un clients au comportement singulier, d’un rendez vous en rapport avec la réalisation d’un film porno ou du prix demandé par un garagiste pour un entretien voiture ! Telle une petite souris, j’écoute les conversations de ces maîtresses tout en comprenant que ma présence doit constituer un frein à des révélations plus poussées. En plus de sa tasse vide, une maîtresse me confie ses lunettes à trois reprises afin de les astiquer. Je finis par les passer sous l’eau avant de les sécher en essayant de ne point laisser de traces de doigts sur les verres… Cette relative quiétude n’est perturbée que par le retour d’une Maîtresse après une séance. Elle donne quelques brefs commentaires à ses collègues avant de me jeter un regard suspicieux puis amusé, un tantinet moqueur… Je me contente de lui adresser un simple et respectueux bonjour ! Ce début d’après-midi s’annonce plutôt calme en ce lieu même si les parois de mon string restent forts tendues. Je pense même qu’il est mouillé mais il serait totalement inconvenant d’aller vérifier ! Par contre, de temps à autre, j’apprécie de tirer la ficelle de mon string vers le haut : la manœuvre garantis de véritables sensations hyper agréables dans toute la région anale…! La vaisselle est maintenant terminée, la cuisine est, ma foi, fort bien rangée. Je me place à genoux à l’entrée de la cuisine, patiente un peu et me dirige à quatre pattes vers Tania. C’est à elle que je demande de descendre pour la suite du programme. Elle se lève promptement, s’empare d’un gode de couleur chair et s’engage dans l’escalier…
Le lecteur devine que la pièce en question est équipée de façon classique pour les activités exercées en ces lieux particuliers ! Une table d’examen gynécologique avec ses étriers en inox, un grand lit carré muni de sangles à chacune de ses extrémités, une croix en X fixée sur le mur du fond et quelques gravures en noir et blanc évocatrices des jeux sado maso. On trouve aussi des canapés qui servent, parait il, aux gens qui désirent assister à une séance en spectateur… Je m’arrête au milieu de la pièce et attend les ordres. Tania s’approche à quelques centimètres de moi, me sourit et me demande pourquoi je l’ai choisi. Je lui réponds que la trouve très belle et que pour le reste, il s’agit d’une alchimie qu’il n’est point facile d’expliquer. Elle se satisfait visiblement de cette plausible explication tandis qu’elle m’empoigne fermement le clito encore emprisonné dans le string en dentelle.
Comme il s’agit d’une première rencontre, je ne tarde pas à lui faire part de mes inclinations : je cherche un cocktail à base humiliation, doigtage anal, sodomie, face sitting et uro (re « oups » !). Elle acquiesce simplement, me passe une laisse autour du cou et m’ordonne de lui rendre hommage en passant la langue sur les bottes brillantes qui gainent ses jambes. Je m’applique et remonte très graduellement jusqu’à hauteur du haut de ses bas autobloquant. Je prends l’initiative de passer la langue sous l’élastique en le faisant légèrement claquer et de poser un chaste baiser sur son pubis voilé d’un string noir. Avant d’aller plus loin, elle me fait faire deux tours de la pièce à quatre pattes, tenu en laisse comme le gentil chien-chien à sa maîtresse. Elle en profite pour m’administrer quelques tapes de martinet sur les fesses dénudées, jupe relevée sur ma taille. Ensuite, elle me demande de lui ôter le string et de ne conserver, en ce qui me concerne, que les bas et chaussures. Ma robe de servante ainsi que mon string tombent à ses pieds. Je glisse le sien le long de ses interminables jambes et m’en empare pour y passer la langue en la regardant dans les yeux. Elle se contente de m’encourager avant de s’installer sur un des petits fauteuils de la pièce. Je découvre de la sorte enfin son sexe et il inutile de préciser qu’il s’agit d’un grand moment pour la soubrette que je représente. Avantageusement circonscrit par les bas, les bottes et le porte-jarretelles, il est dépourvu de poils, complètement glabre et muni de petites lèvres fort charnues qui dépassent de sa fente.
Elle me tire avec la laisse et m’ordonne de lui lécher la chatte. Sa position est extrêmement impudique mais Tania, en bonne professionnelle, semble apprécier l’enchaînement des événements. Je commence par m’imprégner des effluves que ce pubis dégage avant de poser ma bouche sur ses grandes lèvres, de lui suçoter les limbes et de rentrer ma langue au plus loin dans son vestibule vaginal. Je me décale de façon à pouvoir atteindre son périnée mais la bascule actuelle de son bassin ne se prête guère à la manoeuvre. Elle a néanmoins compris où je voulais en venir puisqu’elle se lève, se retourne, se cambre et me présente son postérieur. Point besoin d’injonctions plus précises à ce stade pour Stéphanie ! J’écarte des mains ses deux globes fessiers, parcours sa raie de la langue et me concentre sur sa corolle anale que je tente de pénétrer au plus profond. Je ne sais combien de temps a duré ce petit jeux mais ce qui est certain, c’est que je l’aurais pratiqué encore longtemps…. Elle me fait allonger sur une alaise disposée sur le sol. Je devine bien entendu la suite et suis encore plus excitée… Elle me demande si je bois l’urine. Je répond que oui…. Elle place alors son sexe sur mon visage et le frotte en effectuant un certain nombre de va et vient. Ses odeurs intimes me pénètrent et même si j’ai difficile à (re)trouver ma respiration, je me fonds dans les plis et replis de ses muqueuses génitales. Quand je crois percevoir une contraction de son périnée, je devine qu’un liquide chaud va incessamment me couler dans la bouche, tel un nectar… Je le reçois donc avidement, rythmant ma respiration avec la déglutition …
Elle se relève ensuite et je la vois enfiler un préservatif sur le gode qu’elle a emmené avec elle. Il me parait de taille raisonnable car Stéphanie n’est pas à même d’accommoder d’énormes godes dans l’état actuel de son entraînement anal (mais les volontaires peuvent toujours se manifester… !). Tania s’accroupit à nouveau au dessus de moi en me tournant le dos et en se plaçant à hauteur de mes hanches. Son doigt ganté de latex, imbibé de vaseline, s’immisce entre mes fesses à la recherche mon orifice anal. L’intrusion se fait rapidement plus précise et l’obstacle du sphincter est rapidement dépassé. Elle s’y enfonce en décrivant une série de circonvolutions qui provoquent un agréable échauffement du canal. Le doigt est légitimement remplacé par le godemiché couvert d’un préservatif et lui aussi dûment lubrifié. D’où je suis, je ne peux que deviner sa progression inexorable dans mon rectum. De l’autre main, elle a balancé un peu d’huile sur ma tige rigide et entreprend de la branler en mobilisant activement le prépuce. L’huile en question n’était sans doute pas tout à fait nécessaire car Tania inonde littéralement d’urine chaude mon sexe, tout le bas de mon ventre et le haut de mes cuisses. C’est un torrent quasi ininterrompu qui se déverse sur mon corps. Le contact est excessivement plaisant, au même titre que la vue qui m’est offerte et je sens que, malgré la mise en route de mécanismes de contrôle, je ne vais plus tenir bien longtemps. Le rythme masturbatoire s’est en effet accéléré d’un cran. En bonne soumise, je demande l’autorisation de jouir (accordé !) et me répand dans la paume de Tania. Le liquide blanc se mélange donc à la pisse, à l’huile lubrifiante et à la vaseline, formant un magma visqueux ! Le chuintement de sa vulve s’est tu, Tania recule son cul dégoulinant et viens l’installer à nouveau sur ma face. Ma langue se régale à nouveau de ce festin et j’ai la sensation que cette jouissance pourrait se prolonger ainsi de façon indéfinie…
Je la rejoins à la salle de bain, devant le lavabo. Je me replace à nouveau à ses pieds et mes yeux se portent derechef sur sa vulve charnue. Elle m’ordonne gentiment de lui laver la chatte en me tendant un gant de toilette propre. Je le passe dans l’eau, y ajoute un peu de savon et entame la toilette de son intimité humide en passant des lèvres à l’entrée du vagin et le périnée. Je refais ce même trajet (de rêve !) avec le gant de toilette rincé à l’eau tiède. Et je termine cette dernière « tâche » en posant un ultime baiser sur sa fente ourlée. Elle me dit que pour un soumis, je bande beaucoup et que je lèche bien (sic !). Après une petite douche, c’est en tenue d’Ève que je regagne le salon et le vestiaire où je réintègre mes habits de la vie de « tous les jours ». Je règle les émoluments de Tania et lui fait un bisou chaste (quel contraste, à nouveau, avec tout ce qui précède, mes aïeux !!) sur la joue gauche….
Un soleil aveuglant inonde la rue au sortir de la maison (close)…. J’ai enfin retrouvé une certaine sérénité.
PS : l’histoire est réelle, les personnages de ce récit ne sont en rien fictifs et les commentaires sont vivement appréciés…
Stéphanie
fa237356@skynet.be
Sauf que dans la vrai vie, le paiement se fait avant et non pas après ! Ce qui fout en l’air toutes la véracité supposée de ce récit !
En fouillant dans les archives du site, j’ai trouvé cette pépite ! Je t’embrasse Stephanie, là où tu aimes le plus !
Hum, c’est bon tout ça, mais pourquoi tu ne te fais pas enculer par une bonne bite, tu n’aimes pas ça ?