Espionnage sexuel
(cocasserie d’un orgasme)
par cigogne
J’ai une nouvelle voisine dans l’appartement du rez-de-chaussée, en instance de divorce et avec un enfant en bas âge. J’ai tout de suite craqué sur elle, une jolie brune pleine d’énergie.
Un samedi soir, son ex est venu récupérer le gamin puis ses amis sont venus pour l’emmener en soirée (boîte je suppose).
Au petit matin, je l’entends rentrer mais je n’y prête pas vraiment attention. Il faut dire que je suis particulièrement noctambule en ce moment.
Finalement, environ une heure après, je suis tiré de ma somnolence télévisuelle par un bruit sourd et répété.
Je comprends immédiatement : un pieu qui souffre et une nana qui dérouille… Je me précipite discrètement dans la cage d’escalier et j’arrive au moment de l’orgasme. Pas trop génial mais ils étaient sûrement un peu usés par la soirée.
Donc voilà, la pauvre célibataire délaissée n’a pas tardé à reprendre du service.
Le lendemain, rebelote. Le visiteur secret réapparaît en fin de soirée, après que les habituels amis soient tous partis. Bébé dort dans sa chambre mais croyez-moi, le son passe sans problème. Cette fois, monsieur a droit à une bonne pipe sonore, un tantinet expérimentale, mais madame n’a pas souhaité recevoir en bouche et s’excuse pour avoir souillé le torse de son homme.
Lundi soir, le revoilà pour une séance de doigtage bien clapotante suivie d’un bon coup de bourre pour un orgasme synchronisé. Bébé ne s’est pas réveillé, ouf (hallucinant).
Mardi, madame n’est pas là et c’est le frangin et sa copine qui font la nounou.
Mercredi, vive les retrouvailles ! Encore un orgasme bruyant que doit encaisser bébé…
Jeudi, c’est Byzance ! Monsieur a décidé de faire jouir madame autant de fois que possible. :
Premier orgasme assez rapide mais madame en a tremblé de tout son être pendant de longues secondes. Monsieur patiente puis reprend les coups de bourre, cette fois très violemment au point que madame doit le calmer parce qu’elle a mal. Très fortes respirations et deuxième orgasme, bien bruyant. Et c’est reparti pour les coups de marteau-pilon mais madame s’arrête encore, trop mal et décide de changer de position. Il s’assied et elle s’empale sur lui pour contrôler le jeu. Mais c’en est trop, il lui faut respirer un peu et elle se rallonge. Attente et c’est reparti. Cette fois, madame motive son homme : « oui vas-y, continue, j’aime ça… » et finalement « oh oui, je vais jouir »… et, dans un instant surréaliste, elle ajoute sur un ton décidé pour en informer son homme, comme s’il devait s’y préparer « bien fort, cette fois ! ».
Là c’est trop fort, je pouffe de rire… mais on ne m’entend pas parce que les deux protagonistes se secouent violemment et bruyamment jusqu’au troisième orgasme de madame. Là je crois qu’elle a morflé un max et on n’entend plus rien pendant quelques minutes.
Monsieur n’a toujours pas giclé mais est bien décidé à chercher sa récompense. Madame se sacrifie une nouvelle fois pour lui, l’encourage (il a du mal à se finir, normal il doit être un peu anesthésié par tous ces chatouillis contrôlés). Je sens que c’est pénible pour les deux et madame le supplie de terminer. Ca y est, il gicle en criant, madame s’extasie aussi (mais je pense qu’elle simule)… puis silence radio.
Et voilà, quatre orgasmes pour madame, du bon boulot.
Ce soir, repos et j’en profite pour vous écrire tout çà.
Bref, ce que j’en retire, c’est cet éclat de lucidité juste avant le troisième orgasme de madame. Trop délirant, j’aurais aimé vivre çà à la place du gars.
Spontanée, énergique, volontaire, ah la la, je kiffe cette meuf-là, surtout que je suis célibataire et qu’elle aurait pu se servir sous son toit…
C’est bien trop court, ça !
Une bonne idée qui aurait mérité un meilleur development