Ce soir c’est Pyssia qui devait me rejoindre dans son studio. J’étais tout émoustillé à l’idée de sentir sa jaune urine m’arroser. Je trépignais silencieusement d’impatience. J’attendais sa sonnerie. Mais elle aussi devait attendre avec impatience ces savoureux et odorants instants. J’en étais sur. La pisse, ma copine Pyssia, c’était vraiment son truc. Une passion. Elle ne parlait que de ça quand nous étions ensemble. Et je dois dire que j’étais sur la même longueur d’ondes…
– Tu verras, m’avait elle dit au téléphone. J’ai remis la même culotte, tu sais, celle que je trempe chaque fois. Je ne la lave pas. Maintenant, tu vas voir, c’est super, elle est toute jaune. La pisse y a séché, elle sent vraiment bien fort. Tu vas aimer.
Cela, c’était sur. J’allais aimer. J’aimais déjà. L’odeur de la pisse ! L’odeur de sa pisse ! Sa pisse à elle. Mon liquide préféré. J’allais à nouveau m’en remplir les narines.
Une sonnerie retentit, mais ce n’était pas la porte, c’était le téléphone.
– Allo, c’est toi mon urinoir ?
– Oui mon beau cabinet, ma belle latrine !
– Oh, redis moi ça !
– Mais tu vas être en retard ?
– Non, n’aie pas peur, mon petit pissounet, j’arrive. Mais c’est pour t’expliquer. Je viens avec Becky, une copine. Je t’en ai parlé déjà. Elle est comme moi. Elle aussi aime pisser dans ses culottes. Et elle aime pisser sur les hommes, et sur les filles aussi d’ailleurs car elle est vachement bisexuelle, comme moi. Alors on a pensé que ça serait mieux à trois, de s’arroser ce soir. Cela tremperait encore plus. Mais pour se préparer à la pissfest on a déjà vachement bu un ensemble, et on a du mal à se retenir. Je sens que je vais pisser à la culotte. Est ce que ça t’excite ?
– Beaucoup. Raconte moi. Vous êtes dans la rue ?
– On est dans le tramway, c’est plein de monde. Becky aussi a du mal à se retenir. Tu l’entends rigoler à côté de moi ?
En fait c’était plutôt des gloussements de plaisir, ma foi plutôt érotiques. Mes deux pisseuses avaient l’air très excitées de leur aventure.
– Déjà que ma culotte est jaune de pisse, continua Pyssia, tu vas voir… elle va être trempée à nouveau.
– Les culottes, c’est fait pour être trempées de pisse. Mais vous êtes vaches, répondis-je. Gardez-en pour moi.
– Trop tard mon chou, ça y est, je pisse, je pisse, sur mon fauteuil, à travers ma culotte. Et maintenant ça coule le long des bas. Je me régale. C’est tout chaud. On sent l’odeur. Tout le monde nous regarde. Becky aussi ne peut plus se retenir, un filet jaune coule le long de sa jambe, ça fait un vrai ruisseau par terre. Mais on arrive, vite, on descend, on est chez toi dans deux minutes…
Ces deux minutes parurent des heures. Je me retenais pour ne pas tremper mes Discreet de Tena et garder pour les arroser le plus de pisse possible. Nu dans ma couche culotte j’ouvris la porte dès qu’elles sonnèrent. L’odeur de pisse des culottes jaunies de Pyssia m’assaillit, c’était fort, enivrant, capiteux. Et leur histoire excitante du métro, c’était vrai, à l’évidence. Leurs jambes en étaient encore toutes ruisselantes.
– Salut les belles pisseuses !
– Salut petit urinoir chéri…
Après le plaisir de l’odeur, il y eut celui des yeux. Car elles s’étaient vraiment habillées en putes, c’était sublime. Cuissardes de latex rose, minijupes laissant entrevoir les dentelles toutes jaunies de ces culottes détrempées, décolletés pigeonnants. Et un maquillage, incroyable ! Elles avaient du dépenser une fortune en rouge à lèvres glossy. Cela leur faisait d’irrésistibles bouches de suceuses.
– Mais vous êtes vraiment très belles, chuchotai-je, assez troublé.
Je passai la main sous leurs deux minijupes pour vérifier que les culottes étaient vraiment mouillées. Je ne fus pas déçu, elles ruisselaient vraiment, cela me coulait le long des avants bras, des bras, des épaules, comme si elles me pissaient dessus. Un avant goût des arrosages à venir… Merveilleux. Elles gloussèrent, ravies :
– Tu es vraiment dragueur. Tu aimes mettre la main sous les jupes des filles…
– Surtout des pisseuses… J’adore les pisseuses. Elles me rendent fou. Vos culottes sont toutes trempées. C’est super. J’aime vraiment ça.
– Moi, je suis une pisseuse. Et toi Becky ?
– Moi ? Regarde comme je suis trempée. Presque autant que toi… J’aime me pisser dessus, et sentir que ça ruisselle, et le montrer…
Impossible de résister plus longtemps. L’entrée et le séjour étaient, en prévision des ébats à venir, tout tapissés de plastique, on pouvait s’en donner à coeur joie. Je m’agenouillai pour embrasser la culotte sale de Pyssia. Quel régal de renifler ces odeurs mêlées d’urine ancienne, forte, capiteuse, et d’urine chaude, chaleureuse, amoureuse, comme des embruns salés.
– Je pue plus que l’autre fois, pas vrai, mon petit urinoir chéri ?
– Tu pues vraiment la pisse, ma cochonne. C’est ton parfum.
– C’est le parfum que j’aime. Mon parfum. Puer la pisse. J’aime puer. J’aime la pisse.
– Moi aussi j’aime la pisse, surtout la tienne. Son odeur me rend fou. Laisse moi sentir encore…
Bien sur, je ne me privais pas de caresser son cul bien rebondi sous le slip et sa chatte délicatement rasée. D’ailleurs Becky s’était agenouillée à mes côtés et se mit carrément à lécher le clitoris de Pyssia, lui ôtant sa belle culotte jaunie par l’urine et me la plaçant sur le visage.
– Tiens, régale toi…
Je mis donc comme un masque la culotte jaune toute trempée de ma belle pisseuse et la conservai un moment. Je ne me lassais pas de savourer ce parfum puissant. L’urine vieillie ! Urine de femme…
Pendant ce temps, elles attaquaient un 69 haletant qui constituait une scène absolument magnifique, sauvage, intense. Elles ne tardèrent pas à emplir l’appartement de leurs gémissements voluptueux. C’était fabuleux : ces deux beaux corps plantureux harnachés de latex luisant, se roulant sur le sol, la frimousse brune de Becky entre les larges fesses merveilleusement arrondies de Pyssia…
Pour me rendre utile, j’enjambai les deux magnifiques tribades affairées à leur sublime corps à corps, et, posant la Discreet de Tena, commençai à les arroser d’urine, en visant artistiquement les courbes merveilleuses des fesses et des seins. Cela, visiblement, faisait redoubler leur plaisir, si l’on en jugeait aux gémissements qui se transformaient maintenant en longs cris aigus. Becky, à mesure que mon jet ruisselait sur les fesses sous lesquelles sa langue habile s’affairait à lécher le clitoris de Pyssia, récupérait l’urine et l’étalait sur le corps de son amante. Leurs peaux bronzées et leurs hardis oripeaux de latex et de vinyle étaient tout dégoulinants d’urine. La leur et la mienne mêlées. Pyssia, laissant un instant le clitoris de Becky, avala un instant une giclée, en connaisseuse, un sourire extatique sur son visage.
Ce n’était que le début de la soirée. Pour reprendre des provisions de liquide et pisser à nouveau les uns sur les autres, nous ingurgitâmes plusieurs litres de bière, de champagne, et de sirops divers. Les deux belles s’embrassaient voluptueusement sur la bouche et se caressaient la chatte sans retenue, riant aux éclats. Je les regardais. Ruisselantes d’urine, elles étaient vraiment merveilleuses à contempler. Doux intermède qui dura un petit quart d’heure.
Ce fut Pyssia qui eut besoin d’uriner la première.
– Ça y est, je vais pisser. Vous vous couchez, les chéris ? Je vous arrose la frimousse ?
– Oh oui !
Avec Becky nous ne nous fîmes pas prier. Nous nous étendîmes, la tête sous l’arcade triomphale que faisait son entrejambes largement écarté. Et elle nous pissa dessus. Un jet puissant, qui tombait de toute sa hauteur sur nos visages. Chacun cherchait à en avaler le plus possible et c’était l’occasion d’échanger des baisers goulus et de s’étreindre plus étroitement, étalant par de savantes caresses le chaud liquide qui rejaillissait sur nos corps. J’en profitai pour pisser sur Becky, arrosant sa vulve et son bas ventre, ce qui visiblement était à son goût. Et quand Pyssia eut cessé d’émettre sa longue giclée de pisse, nous nous léchâmes longtemps la peau, pour savourer l’urine de notre odorante pisseuse. J’adore absolument l’urine de Pyssia, et visiblement c’est aussi le cas de la belle et plantureuse Becky. Et Pyssia, n’y tenant plus, vint se mêler à nous, et dans une flaque encore tiède nous nous roulâmes tous les trois bien étroitement serrés. C’était délicieux. Je ne sais plus dans quoi j’éjaculai, c’était sans doute la bouche de Becky. Un merveilleux étui doux et tiède. Mais je crois qu’aucun d’entre nous ne savait vraiment où il était, ni à qui appartenait la chair ruisselante qu’il léchait ou caressait.
– Vous avez vu les belles : c’est votre pipi qui fuit de ma couche et qui déborde de partout. C’est merveilleux. Cela fait un vrai lac tout jaune. Je vais m’y baigner…
A vrai dire elles ne m’écoutaient plus. Elles avaient déjà trouvé une tendre occupation lesbienne qui les ravissait et ne manquait pas d’allure. Assis dans ma flaque de pisse, je les regardais s’étreindre sans retenue. Encore un 69, encore plus fiévreux. Mais parfois elles glissaient l’une sur l’autre pour des bouche à bouche passionnés, les mains de chacune d’entre elles s’affairant dans la vulve de l’autre. C’était d’une beauté éblouissante. Une odeur entêtante d’urine envahissait toute la pièce. Moi, doucement, en me branlant, je prenais plaisir, tout en les admirant, à ce délicieux ruissellement d’urine féminine qui coulait de mes discreet.
La soirée, pourtant, ne faisait que commencer.
Amateur d’uro, ne ratez pas ce texte, il est délirant
Putain, que c’est beau !
plus humide tu meurs et l’illustration est de toute beauté, ça m’a rappelé des souvenirs…