Je pus voir que les événements de la veille (voir l’épisode précédent) étaient bien réels. J’avais dormi toute la nuit, les deux mains dans le dos attachées avec un gant de cuir. Je portais toujours la robe de PVC que j’avais commandé pour ma femme. C’est Jocelyne, ma femme, qui me réveillait. Elle me détachait. Enfin ! Ou devrais-je dire, déjà ? J’avais en effet pris goût à cette aventure. Je n’étais toutefois pas mécontent de pouvoir bouger mes bras et sortir de cette robe. Il est vrai que revenir à la vie réelle allait me donner du repos.
Jocelyne n’oublia pas, avant de me détacher, de me rappeler le pari que j’avais perdu le soir d’avant. Je devais accepter de me transformer en “Pauline” quand elle le désirerait, et de lui obéir, cela pendant un mois. Elle me promit toutefois de ne pas en abuser, enfin, selon elle.
La journée passa normalement, on ne parla pas de cela. Nous allâmes nous promener et firent des choses “normales”. La semaine suivante, nous avons également travaillé correctement. Je ne cessais toutefois pas de penser à cette nuit-là. J’avais vu que ma femme était finalement assez ouverte sur des pratiques étranges, bien que peut-être trop autoritaire. J’aurais voulu échanger les rôles.
Un soir, j’essayai. Je me risquai à lui demander si elle ne voulait pas se laisser attacher. Elle me répondit alors :
– “Pourquoi pas, tu as le droit aussi d’avoir tes plaisirs. Mais à deux conditions : la première, évidente, est que tu n’es pas relevé de ton pari. Je pourrai à tout moment te demander de devenir Pauline et de m’obéir. La deuxième est que je ne veux pas porter de tenue de pute. Pas de PVC ou de chose du genre, je vais choisir ma tenue.”
J’eus beau lui dire que la tenue n’était pas une tenue de “pute”, elle ne voulut revenir sur sa parole. Elle choisit de s’habiller très classe, comme à son habitude. Elle mis un tailleur en velours rose. Cela m’alla finalement, elle était très sexy là-dedans, bien qu’elle fit plutôt sûre d’elle et pas tellement soumise. Enfin, il ne fallait pas trop rêver. Je voulus lui mettre le gant, mais elle me dit :
– “Allons, franchement, tu n’as aucune imagination, innove un peu ! ”
Toujours un petit mot cassant ! Bon, il est vrai que je peux innover. J’allai donc chercher de la corde et lui lia les mains dans le dos. Pour changer, je lui serrai la main sur le coude opposé, faisant ainsi des angles droits dans son dos. Je serrai bien fort. Elle ne rechigna pas. Je sortis alors le fouet et commença à lui donner des coups sur les fesses. Elle cria un peu, ce qui me fit plaisir. La voir un peu perdre de sa superbe me plaisait. Je lui demandais alors d’aller me chercher un verre d’eau. Ses mains sortaient un peu de son corps, ce qui lui permit, non sans mal, de me le ramener. Je la fis ensuite se mettre à genoux devant moi et venir me lécher les pieds. Mais, quand je sortis mon pénis et lui demandai de sucer, elle refusa. Non pas qu’elle n’aimait pas cela, elle l’avait déjà fait, mais elle me dit :
– “Tu n’es vraiment pas original, tu reprends ce que je t’ai fait la dernière fois ! Bon, je crois qu’il faut changer quelque chose. Lève-toi et va ouvrir le tiroir de la commode.”
Je ne voulais pas interrompre et lui proposai de continuer. Mais elle me rappela le pari et me dit :
– “Je ne vais pas arrêter le jeu ici. Je veux juste que tu innoves. Tu vas toutefois aller enfiler la tenue qui est dans la commode, ça te permettra de réfléchir à ce que tu pourras me proposer.”
Je dus donc obéir, comme je l’avais promis. Je me dirigeai vers le dit tiroir et elle me dit :
– “N’oublie pas de TOUT mettre ce qu’il y a dans le tiroir, sans exception ! Ne mets par contre aucun autre vêtement sur toi. Et ferme bien tout correctement ! ”
Je pris tout ce qu’il y avait et j’allai me changer dans la salle de bain, ne voulant pas la voir ricaner, vu ce que je voyais.
Il y avait un sac, que j’ouvris et je reconnus certaines choses, mais d’autres me laissaient perplexes. Elle avait tout préparé ! Je me déshabillai et commença par mettre les bas résilles et les porte-jarretelles. Je trouvai ensuite une culotte, mais celle-ci me raidit. Elle était d’une matière très dure, presque du métal. En l’enfilant, je vis qu’elle ne me couvrait pas les fesses, seuls une fine partie passait telle une ceinture, au-dessus des fesses et en dessous, sur chaque jambe. Devant, par contre, tout était opaque. Il y avait même un petit cadenas. Je me rappelai alors ses recommandations : “Et ferme bien tout correctement ! ” Je n’avais pas le choix. Je me dis, une fois le cadenas fermé (j’ai du tirer fort), que mon pénis n’allait pas tellement être de sortie ce soir ! Enfin, je pris mon courage à deux mains et j’enfilai le reste. Il y avait une robe, assez particulière. Si celle que j’avais commandée faisait pute à son goût, que dire de celle-là ! Elle était également en PVC, mais rouge. Elle laissait également mon derrière libre, ayant un trou assez ample à ce niveau. Elle descendait toutefois jusqu’au-dessus du genoux et était plutôt serrée. Dans le dos, elle était bien moulante jusqu’au ras du cou, à l’aide d’une fermeture éclair. Devant, par contre, elle avait deux trous, au niveau des seins. Enfin, quand je dis les seins, moi je n’en avais pas trop. Il y avait ce qu’il faut pour y remédier, à l’intérieur une paire de seins factice était cousue. J’avais donc une belle poitrine bien visible !
La fin n’était pas mal non plus. Une trousse de maquillage, que je mis plus ou moins bien sur moi, n’ayant jamais fait cela. Mais aussi un collier de chien, en cuir clouté, noté affectueusement “Pauline”. De plus, il était noté au-dessous
“Si vous trouvez cette pute, ramenez-là à Jocelyne Grandjean, c’est à elle qu’elle appartient” et l’adresse était notée.
Cela me fit un petit haut-le-coeur ! Elle avait tout de même des côtés assez extrêmes la Jocelyne ! J’avais honte de mettre cela, mais bon, j’avais promis. Je n’oubliais pas les derniers détails, très importants : des escarpins rouges, à ma taille, mais avec des talons nettement plus hauts et surtout une perruque rousse, qui termina le tableau.
Je m’admirai dans le miroir et je vis vraiment une prostituée. Très belle d’ailleurs, j’avais bien envie de lui sauter dessus ! J’eus tout de monde honte d’avoir mis cela. Elle avait bien fait son coup. Je revins la voir. Elle était toujours attachée, à genoux dans le salon. En me voyant elle fit :
– “Ah, ça, ça change ! De la nouveauté ! ”
– “Tu y es allé un peu fort, non ? ” lui demandai-je
– “Oh, si peu”, reprit-elle, “j’espère que tu aimes, tout de même.”
– “En me regardant dans la glace, j’y vois vraiment une prostituée, très belle, mais quand même une prostituée. Tu n’a pas lésiné sur le collier non plus.”
– “Oui, je sais, j’aime beaucoup. Je pense que cela te va très bien tout cela, je suis contente. Bon, continuons, ma chère Pauline. Profite de tes derniers moments de Pauline la dominatrice. Dès que je m’ennuie, que tu es trop répétitive, on arrête et là, je te montrerai que Pauline la pute, ça te va peut-être beaucoup mieux ! ”
Je me mis alors à gamberger, cherchant vite quelque chose de nouveau, d’innovant à faire. Je n’y avais pas trop pensé en me changeant et là, habillé ainsi, je n’avais pas tellement des instincts dominants. Enfin, je trouvai tout de même quelque chose.
Je commençai par lui mettre un bâillon sur la bouche, en foulard pour innover ! Je voulus lui mettre la laisse, mais elle fit non de la tête, c’est vrai qu’elle avait déjà utilisé cela hier ! Je ne savais pas quoi faire. Je la fis donc avancer en la fouettant par derrière, je l’amenai alors à la voiture, je la mis dans le coffre, attachai les jambes solidement et ferma le coffre. On avait un monospace, elle pouvait donc voir dehors et respirer correctement, le coffre et l’habitacle étant connexes. Nous avions une maison et des voisins assez loin pour ne pas nous voir. Je pris le volant et commençai à rouler, cherchant un endroit où l’amener. Malheureusement, tout ce que je comptais lui faire faire avait été fait : fouet, manger attachée, se promener en laisse, etc…
Je me dis alors que j’allais l’attacher à un arbre. Elle avait paniqué, ligotée dehors, à l’idée que quelqu’un passe. Je me rendis compte alors que moi non plus je n’avais pas trop envie d’être vu ! Sur la route, même, j’espérais que les gens ne me voient pas, habillée comme je l’étais. Je me mis à rougir de honte. Heureusement qu’il faisait nuit.
Je roulai 5 minutes et allai à la forêt voisine, je la sortis de la voiture, la mis debout contre le premier arbre, en la portant et la ligotai solidement. J’avais pris pas mal de corde avec moi heureusement. Je pris alors le fouet et la fouetta plusieurs fois. Je pris pas mal de plaisir à la voir, ainsi ligotée et dominée. Dominée ? Je ne savais pas trop. Elle ne criait plus. Le bâillon aidait, mais même… je n’osais frapper trop fort, de peur de lui faire vraiment mal. Elle me regardait avec ses terribles yeux. Pas du tout soumise ! De plus, en la fouettant, j’avais de la peine à bouger vu la robe moulante que j’avais. Je n’étais pas très à l’aise, j’avais même peur que l’on passe et que l’on me voie.
Au bout de quelques minutes, je m’assis. Je la contemplai, ligotée et si belle devant son arbre. Elle ne bougeait pas, elle s’était rendue. Pas pour longtemps, je le sentais. Je profitai encore de ces instants de bonheur. Puis, elle fit un “mmm” derrière son bâillon Pas pour implorer, comme je l’aurais voulu, mais pour dire quelque chose. Je baissai son bâillon et elle me dit :
-“Bon, je vois que tu n’as plus d’idée, ma grande, tu n’es pas très imaginative comme dominatrice, n’est-ce pas ? ”
Je voulus protester, lui dire qu’elle ne m’avait pas rendu la tâche facile, mais bon, je n’y pus rien. Je dis simplement :
– “Non.”
Elle me dit tendrement :
– “Embrasse-moi et détache-moi !”
Je lui donnai un langoureux baiser et lui défit ses cordes.
Elle me pris dans ses bras et me dit :
– “Tu n’es pas très douée, mais c’était sympa quand même, merci.”
Nous nous embrassâmes encore, puis elle me donna les cordes et me dit :
– “Bon, allons-y maintenant, attache-toi les genoux ! ”
– “Là, ici ? ” lui répondis-je, “déjà ? ”
– “C’est toi qui nous a emmené ici, je pense que c’est un bon endroit. Vas-y ! Obéis ! Et serre bien.”
Je me mis alors à me ligoter les genoux ensemble, juste au-dessus de l’articulation.
– “Bon, parfait, maintenant, attache-toi les mains ensembles, rapidement ! ”
J’eus plus de peine avec les mains, c’est difficile de se les attacher. En usant de la bouche, j’y parvins finalement, avec un peu de peine.
– “C’est bien, tu peux maintenant rentrer, je t’attends à la maison.”
Elle prit la voiture et partit. Je voulus protester mais c’était déjà trop tard. Je devais rentrer chez nous, à 2 km de là, habillée d’une robe en PVC où l’on voyait mes fesses et avec un collier noté “pute appartenant à Jocelyne Grandjean” ! ! Je me dis finalement qu’heureusement que le déguisement était complet, en me voyant les gens penseraient vraiment à une prostituée, et ne me reconnaîtraient pas. J’avais tout de même très peu envie d’être vu.
Je me mis en chemin, allant très lentement à cause des liens en dessus des genoux. Je pris un chemin que je connaissais, où je savais qu’il y avait peu de monde. Toutefois, il était possible de voir quelqu’un !
Dix minutes plus tard, alors que je passais dans une rue, j’entendis un bruit. Quelqu’un passait par là ! J’eus très peur et courut (si on peut dire ainsi) me cacher derrière une poubelle, je tombai par terre, et ne bougeai plus. Il y avait un groupe de jeunes de mon quartier. Je voulus me mettre en 8 pour ne pas les voir. Ils discutaient de tout et de rien, derrière moi, à quelques pas. Ils avaient l’air éméchés. Dieu sait ce qu’ils pourraient faire de moi en me voyant !
Dix minutes passèrent, qui parurent des heures. Ils allèrent gentiment se coucher. J’eus toutes les peines du monde à me lever et je repris la route. Cette fois-ci, sans encombre.
J’arrivai enfin devant la porte de chez moi. Je sonnai avec mes mains, attachées devant moi et j’attendis que Jocelyne arrive.
Ô soudain, on ouvrit, mais quelle horreur, ce n’était pas Jocelyne ! C’était Mireille, une de ses amies ! Elle me regarda, très étonnée de voir une personne ainsi vêtue débarquer et me demanda :
* “Mais, qui êtes-vous ? ”
Cloué de peur, je ne bougeai pas, ne dit aucun mot. Le monde s’écroulait devant moi.
Elle cria dans la maison :
– “Jocelyne, y a quelqu’un ici, je crois que c’est une prostituée. Elle a les seins à l’air et elle est attachée ! ”
Jocelyne lui répondit :
– “Regarde si elle a un collier !”
Mireille vint alors vers moi et je ne pus bouger, toujours sous le choc. Je tremblai tout de même très fort. Mireille fut très étonnée en lisant les inscriptions sur le collier.
Elle cria à nouveau :
– “Ben, c’est noté qu’elle t’appartient ! ”
Jocelyne répondit :
– “Alors amène-là par ici.”
Mireille pris le collier et tira dessus. Encore incapable de réagir, je la suivis. Lorsque j’arrivais dans le salon, je vis Jocelyne, avec Françoise et Marie, deux autres amies, qui jouaient aux cartes. Les deux autres tirèrent une drôle de tête en me voyant.
Jocelyne demanda à Mireille :
– “Elle a dit quelque chose ? ”
– “Non, rien du tout. Elle a l’air muette. C’est quoi cette histoire ? J’y comprends rien.”
Jocelyne se leva et pris de sa poche le bâillon boule que j’avais acheté. Elle me le mit. Juste avant qu’elle le fasse, je pus sortir un “Joc…” mais je m’arrêtai, sentant que cette voix grave me trahirait. Je pouvais encore espérer qu’aucune ne m’ait reconnu.
Jocelyne me dit : “Ne bouge pas.” et s’assit.
Elle dit alors à ses amies :
– “Vous devez être surprise de voir cette fille ici. Effectivement, c’est étrange. Elle s’appelle Pauline. C’est une prostituée que mon mari voyait souvent. J’en avais marre alors je lui ai demandé de la faire venir ici. Maintenant, elle reste par là et je peux vérifier qu’il ne fait rien avec elle quand j’ai le dos tourné.”
Elles étaient stupéfaites. Moi aussi d’ailleurs ! J’avais honte et je devins rouge écarlate.
– “Mais, tu fais quoi avec elle ? ” demanda Marie.
– “Ben, pas grand-chose, elle me sers le café, ou d’autres choses. Vas-y d’ailleurs Pauline, va nous chercher du café. Allons ! ”
Acceptant ceci comme une délivrance, afin de me cacher dans la cuisine, je partis en courant (plus ou moins, ayant toujours les liens aux genoux).
Elle se mit alors à leur raconter un tas d’histoires sur mon compte. Toutes plus terribles les unes que les autres. Leur disant que j’aimais être attachée, que j’étais masochiste, etc…
Quelques minutes plus tard, elle vint à la cuisine, me disant :
– “Alors, Pauline, le café il vient ? ”
Je fis “mmm” de la bouche et elle m’enleva le bâillon
– “Tu es folle ? ” lui dis-je en chuchotant.
– “Folle, moi, non ? J’avais invité des amies ce soir. C’est toi qui rentres quand il ne faut pas. Maintenant que tu es là, viens un peu jouer avec nous.”
– “Mais, je ne vais pas me pavaner devant elles, tu es folle.”
– “Si, tu as perdu le pari, je veux que tu sois Pauline, la pute qui m’appartient, tu n’as pas le choix. D’ailleurs, si tu n’es pas contente, je dévoile ta vraie identité aux autres, tu préfères ? ”
– “Tu es terrible.” lui dis-je.
– “Chut” fit-elle en me mettant son doigt sur ma bouche. “Si tu continues je te mets le bâillon à nouveau. Vas-y maintenant, fais-nous ce café ! ”
Je me mis alors à lui faire le café, pendant qu’elle me caressait les fesses avec ses doigts. Elle me les mit ensuite dans la bouche, me demandant de les lécher. Elle me donna alors deux claques sur les fesses et partit.
Lorsque je revins avec le café, ma femme disait à ses amies :
– “Vous savez, cette Pauline, elle aime bien être attachée. D’ailleurs ces liens, là, c’est elle qui les a fait. N’est-ce pas Pauline ? ”
Je fis “oui” de la tête, d’ailleurs, c’était effectivement vrai.
Jocelyne reprit :
– “Nous nous étions promené et elle voulait rentrer seule à pied. Elle s’est ensuite donné la peine de s’attacher, poux se donner plus de mal. C’est une perverse la fille. Enfin, elle est assez nulle en liens par contre.”
Elle tira sur les liens de mes mains, qui tombèrent rapidement.
– “Vous pensez qu’elle est nulle ? ” demanda-t-elle aux autres.
Les trois femmes, bien proprettes, ne savaient plus trop où se mettre. Mais Jocelyne est très forte, elle avait réussi à mettre tous les défauts sur la pauvre Pauline, tellement perverse et si bête. Elles répondirent timidement : “euh, oui.”
Françoise voulut me défendre et dit : “Bon, cela ne doit pas être facile.”
Jocelyne, qui n’attendait que ça, répondit : “Ah bon ? Tu veux essayer ? ” et n’attendant pas la réponse, alla chercher des cordes. Elle réussit alors à faire jouer ses amis au jeu de “Qui ligote le mieux Pauline”
Au début, chacune me ligotait et Jocelyne calculait le temps que je me mettais pour me détacher. Puis, vu qu’elles progressaient, elle regardait juste le temps que je faisais pour réussir à bouger de l’endroit où j’étais. Et si je n’arrivais pas à me défaire, ce qui arrivais souvent, elle me donnait des coups de fouet.
Le plus malin, c’est qu’elle faisait tourner ça comme un simple petit jeu avec la curiosité du coin et c’était moi qui passais pour une perverse. Elle me demandait à chaque fois si j’en redemandais et je disais à chaque fois “oui”, car sinon elle commençait une histoire du type “Ah, c’est dommage. Au fait, vous savez où est Paul…” menaçant de divulguer mon identité. Je reprenais alors en disant : “Je voudrais bien continuer”, avec ma voix la plus fluette possible. J’avais au fond de moi un peu envie de continuer, mais le fait que ce soit Jocelyne qui mène la danse et force à continuer me plaisait.
Après quelques heures, les femmes s’étaient un peu lâchées, me donnant quelques claques, me traitant de “cochonne”, suivant Jocelyne. De temps en temps j’allais chercher à boire, ou d’autres choses, afin de servir ces dames, et Jocelyne venait me dire quoi faire dans la cuisine. À un moment, elle me demanda d’aller lécher les pieds de Marie.
En revenant, je le fis, je me mis à quatre pattes et allai lécher les pieds de Marie, qui fut très étonnée. Jocelyne lui dit :
– “Tu vois elle t’apprécie. Comme tu as gagné le concours de ligotage, elle veut te récompenser.”
Marie, plutôt gênée d’abord, accepta ensuite volontiers, en voyant que les autres en riaient. Jocelyne reprit alors :
– “Peut-être va-t-elle te lécher un peu plus, si tu écartes assez les jambes, n’est-ce pas Pauline ? ”
Mon sang ne fit qu’un tour. Ma femme voulait que j’aille lécher une autre ? C’en était trop ! Je ne voulais pas. Marie non plus d’ailleurs, prenant ceci à la rigolade :
– “Peut-être pas ce soir, je suis assez propre je crois.”
Jocelyne dit alors :
“Tant pis, ce n’est pas grave. Mais vous allez voir ce qu’elle aime le plus.” Elle m’ordonna de me mettre le ventre sur la table et m’attacha les quatre membres aux quatre pieds de celle-ci. Elle donna alors quelques coups de fouet et dit :
– “Elle aime qu’on la prenne par derrière.”
Elle prit son gode-ceinture de la veille et alla le chercher. Elle l’enfila et commença à me l’enfoncer par derrière. Je criai quelques “non” mais elle me donna une claque sur les fesses en disant :
– “Assez ! Tu as bien aimé ça hier, non ? ”
Je dus répondre oui, sans mentir d’ailleurs.
Elle lâcha le gode-ceinture et en pris un autre, plus gros, qu’elle enfonça avec la main. Elle demanda alors si quelqu’un voulait l’aider. Les 3 femmes, encore sous le choc, n’osèrent pas bouger. Cela ne l’arrêta pas. Elle se leva, dit :
– “Faut pas avoir honte, vous savez, vous ne faites que ce qu’elle aime. C’est une prostituée, ne l’oubliez pas ! ”
Elle se mit devant moi et remonta la jupe de son tailleur, pour me mettre la tête dessous. Je pus alors commencer à lécher. J’oubliai tout cela et me concentrai sur cela. C’était vraiment très agréable. Je sentis ensuite le gode derrière moi qui bougeait, quelqu’un avait vaincu sa peur ! Je continuai à lécher et à me faire pénétrer par l’arrière, j’avais vraiment l’impression d’être une femme, doublement prise et j’aimais cela.
Je reçus encore quelques coups de fouet, puis les femmes en eurent assez. Jocelyne dit alors :
– “Bon, j’espère que cela vous a plu de changer un peu les habitudes. Pauline a aimé, elle. Mais si vous voulez reprendre la partie de carte, on peut le faire.”
Les 3 autres furent d’accord, ayant eu leur dose de jeux érotiques pour la soirée. Françoise voulu me détacher, mais Jocelyne répondit :
– “Pourquoi la détacher, elle nous gène ? ”
Elle réussit à les convaincre et les quatre femmes jouèrent toute la nuit aux cartes, sur mes fesses. Je pus me relaxer et repenser à cette soirée. Elles étaient assez sympathique finalement. Si d’aventure aucun ne pensait à moi ces prochains jours, tout irait bien. Je m’endormis en faisant de beaux rêves.
Je me réveillai en sursaut sous les coups de fouet de ma femme. Les trois autres étaient parties. Elle me détacha et me dit :
– “Range tout ce qui reste et ensuite tu pourras aller te changer. Elle me donna la clé du cadenas pour la culotte.”
Je fis cela et allai à la salle de bain, j’eus de la peine à enlever tout le maquillage. Je me déshabillai et pris une douche. En sortant, je vis que Jocelyne dormait déjà. Je m’avançais vers le lit, en caleçon.
Je me dis que je n’avais pas envie de dormir de suite. Surtout ainsi. C’est alors que je me levai et j’allai chercher la robe en PVC du premier jour, je l’enfilai et me regardai dans la glace. C’était tout de même très excitant de porter cela !
Je vis alors le fameux collier aux inscriptions si terrifiantes et eut envie de le porter.
Je le mis et allai alors rejoindre Jocelyne dans le lit, et commença à la caresser.
Elle se tourna en m’entendant et m’embrassa. Elle vit alors comment j’étais habillé et me dit :
– “Tu as l’air d’aimer cela petite coquine.”
– “C’est ta faute.” lui répondis-je, en intensifiant les caresses.
– “Tu as même mis le collier ! ”
– “C’est pour savoir à qui j’appartiens, maîtresse”, continuai-je en sortant mon pénis de la robe.
Juste avant de la pénétrer, je lui dis à l’oreille :
– “S’il te plaît, attache-moi et bande-moi les yeux.”
Elle ne se fit pas prier, alla chercher de le corde et m’attacha les mains aux barreaux du lit (c’est toujours important ces choses là ! Elle me mit un bandeau noir et je la sentis sur moi s’empaler sur mon pénis. Le fait d’être dans la nuit augmenta le plaisir au maximum. Elle me dit alors :
– “Tu aimes ça petite coquine ? ”
–
Je criai “Oui” en éjaculant. C’était extraordinaire ! Toute la tension accumulée au cours de la journée se déversa.
Elle vint alors près de moi et m’embrassa. Elle me dit :
– “Est-ce que ma petite pute veut être libérée ? ”
– “Je crois que oui.”
Elle me libéra, nous nous caressâmes encore longuement et elle s’endormit à mes côtés.
J’eus plus de peine à dormir, les événements passés me trottaient dans la tête. Après une petite heure à me retourner dans le lit, je me levai, allai chercher une paire de menottes dans l’armoire et revint au lit. Je me ligotai les jambes avec de la corde, depuis les pieds jusqu’à la taille et mis les menottes dans mon dos.
Demain, le cours de la vie allait reprendre, mais j’avais encore envie d’en profiter. Je m’endormis paisiblement, ligotée dans ma robe PVC, avec le collier autour du cou.
Limite !