J’étais marié. Ma femme, Jocelyne, était assez ouverte d’esprit, mais quelque fois un peu “standard”, j’avais peur de faire trop de choses non conventionnelle avec elle. J’ai d’ailleurs toujours été timide et sa réaction possible m’empêchait d’aller très loin. Un jour, toutefois, nous parlions de pratiques sexuelles et comme ça, sur le ton de la rigolade, le fait d’être attaché vint sur le tapis. Elle avait l’air de vouloir essayer. J’ai fait mine de suivre et de ne pas lancer d’idée, toujours de peur qu’elle me prenne pour un pervers. Nous avons donc tenté l’aventure. Je l’ai attachée au lit, les bras derrière la tête et lui ai mis un bandeau sur les yeux. Je l’ai alors caressé le long de son corps, avec les doigts, la main, la bouche. Elle bougeait, se tortillait de plaisir, voulant faire quelque chose mais ne le pouvant pas. C’était plutôt excitant de la voir ainsi. Je lui enlevai ses habits et la pénétrai profondément, elle toujours attachée. Nous prîmes un plaisir fou.
À la fin, je lui ai demandé ce qu’elle en avait pensé et elle me dit “intéressant”. J’attendis qu’elle m’en dise plus, mais elle ne fit rien et je n’ai pas osé reprendre le sujet, de peur d’insister.
Quelque temps plus tard, je lui ai proposé, tout innocemment, de reprendre ce genre de pratique, elle fut d’accord à chaque fois, mais sans vouloir ensuite faire plus, sans initiative. Nous avons eu quelques séances intéressantes, mais je n’osais pas trop aller plus loin. Un jour, je lui ai prêté une BD de Gwendoline, (de John Willie), qu’elle lut volontiers, mais trouva cela un peu trop pervers. Pas bon signe pour moi.
Dans ma tête, après quelques temps encore, j’ai échafaudé un plan. J’allais lui mettre un bandeau, lui dire de me faire confiance et lui préparer une surprise. Je voulais l’attacher solidement, en habits sexy (latex, PVC,..) et moulants. Je fantasmais de la voir ainsi, comme certaines femmes que l’on trouve sur le net. J’ai finalement pris mon courage à deux mains et j’ai commandé le matériel sur internet. Je me suis dit que si elle tombait dessus, je verrais sa réaction. Ce ne fut pas le cas et je pus intercepter le colis avant elle. J’ai alors voulu mettre mon plan à exécution, mais n’osai jamais. À chaque fois que je me lançais, je la voyais devant moi, et j’avais peur de sa réaction.
Un jour, j’étais seul à la maison, Jocelyne étant partie faire des courses en ville avec des amies. Je repensais à ce que j’avais commandé et je le sortis du carton. Il y avait une robe en PVC noire, très sexy, un baillon-boule, ainsi qu’un gant de cuir, de ces fameux gants qu’on voit sur Internet, un gant pour les deux bras. Ce genre d’objet m’avait toujours fasciné. J’imaginais Jocelyne là-dedans et j’eus envie de l’appeler, de lui dire de rentrer et de l’essayer. Evidemment, je n’en fis rien. Il y avait également un fouet fait de lanières de cuir. Comme dit précédemment, je n’étais pas adepte de la douleur en tant que telle, mais le fait de fouetter quelqu’un attaché m’attirait, tant que ce n’était pas trop fort.
À force de regarder tout cela, une idée saugrenue me passa par la tête. Je pensai à essayer tout cela. Oui, moi. Je n’étais pas vraiment attiré par le travestissement, loin de là, ni par me faire ligoter, mais je voulais voir dans ma glace ce que cela pouvait donner. Après réflexion, je me dis que pourquoi pas ? Je pourrais si cela ne me va pas y enlever rapidement et oublier cela. Et plutôt que de laisser ce matériel dans un carton…
Venais maintenant la réalisation à imaginer. Je me déshabillai et mis la robe en PVC, qui fut dure à fermer jusqu’au bout avec la fermeture éclair (ce n’étais pas vraiment ma taille). Me voir ainsi dans la glace me fit un petit choc. En effet, je commençai à ressembler à une femme ! Un peu affreuse tout de même, vu les poils et ma stature. J’empruntai alors des bas à ma femme, couvrant ainsi ma pilosité. Je mis également ses escarpins (j’eus un peu de peine, vu la taille de ses pieds, mais j’ai tout de même réussi). Le tableau dans la glace s’améliorait. Je mis alors le bâillon dans la bouche et essaya de dire quelque chose. Cela marchait, seuls quelques petits “Mmm” sortaient de ma bouche. Je pouvais toutefois sortir la boule de ma bouche, du fait que les lanières qui la tenaient était élastiques. C’était tout de même plus sûr, car je savais qu’il était dangereux de porter un baîllon trop longtemps sans surveillance. Je jouai un peu avec le baîllon, le sortant et le remettant, mais j’aimais tout de même mieux le porter. Il restait le plus dur, le gant ! J’avais une technique : j’ai mis une corde accrochée à la fermeture éclair du gant et de l’autre côté à une poignée de porte. J’ai alors enfilé le gant dans mon dos, en mettant les deux mains au fond (j’ai du me battre, ce genre de chose est déjà bien serré !) Puis, je me suis penché en arrière et j’ai avancé, de telle sorte que la corde tirant sur la fermeture éclair, celle-ci montait.
Ce ne fut pas chose aisée, cela ne glissait pas si facilement. J’ai du tirer assez fort, et avec mes escarpins, la robe, ce n’était pas très facile. J’ai tiré, tiré, et alors… CLAC ! Ce qui ne devait pas arriver arriva. La corde lâcha !
J’avais prévu de me détacher en faisant le procédé inverse, en tirant, le dos penché en avant. Là, ça devenait impossible. Je me mis alors à paniquer. J’étais dans mon salon, travesti en robe PVC, bas et escarpins, avec un bâillon-boule et un gant de cuir et je n’avais plus de moyen de me libérer ! Je commençais alors à me faire des films, imaginant tout ce que je pouvais faire : appeler à l’aide, téléphoner aux pompiers, etc… Toutes ces choses étaient difficiles avec cet attirail et je serai de toute façon obligé de me montrer à quelqu’un dans cet accoutrement. Quelle honte !
Je me mis alors à imaginer ce que j’allais dire à ma femme quand elle allait rentrer, elle allait me prendre pour un fou, un pervers, un détraqué !
Tout en réfléchissant, je me dandinais dans mon salon, tentant de me détacher, ce qui était absurde, mais instinctif. Je me voyais dans la glace, ressemblant terriblement à ces photos que j’avais tellement regardées sur internet. J’avais l’impression que c’était une femme, une autre personne, ligotée devant moi. J’avais envie de la prendre, de la fouetter, de la toucher. Mais c’était moi. C’était moi la petite coquine ligotée !
Je n’avais pas vu le temps passer et j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Jocelyne ! Elle me vit, dans le salon, devant ma glace à me contempler. Je fis mine de lui dire quelque chose, pour qu’elle me détache. Elle parut très surpris de me voir (on le serait à moins…) ainsi ! Elle m’enleva le bâillon et me dis :
“Qu’est-ce qui t’es arrivé ? Pourquoi es-tu dans cet accoutrement ? ”
Je n’avais pas bien préparé mon texte, et en balbutiant je lui dis :
“Eh ben… euh… J’ai reçu par la poste tout ceci.” (C’était vrai) “Je ne sais pas pourquoi.” (Un peu moins vrai, enfin plus ou moins.) “Et par curiosité, j’ai… euh… voulu tester.”
Cette version, un peu loufoque, n’avait pas l’air de la convaincre.
“Ah bon ? Tu reçois des choses comme ça par la poste, toi ? ”
“Ben euh… oui. Je ne sais pas qui me l’a envoyé.”
“Mais bien sûr, tu me prends pour une conne ! ”
“Non, mon chou. C’est vrai.” (Malheureusement, je mens très mal)
“Et ensuite, tu te dis je vais l’essayer, évidemment ! Pourquoi ne pas se travestir et se ligoter dans le salon un samedi après-midi quand ma femme n’est pas là ? Tout le monde fait cela ! ”
“Ben, euh. Non, je sais ça a l’air bête.”
“Et en plus, tu mets mes bas ! Et mes escarpins ! ! ”
Là, je ne savais plus quoi dire sur le moment. Il y aurait sûrement eu de quoi inventer un truc, mais je n’y arrivais plus.
“Détache-moi s’il te plaît” repris-je en suppliant
Elle me regarda, furieuse. Elle m’enleva ses escarpins en disant :
“Tu as du les agrandir, idiot ! ”
Elle me donna alors une claque sur les fesses, assez violente d’ailleurs !
“Et en plus tu me mens en racontant une histoire à dormir debout. T’es juste une petite perverse coquine et voilà. Bon, je te laisse méditer et me raconter ensuite la vérité.”
Elle me mit alors le bâillon à nouveau sur la bouche. En sortant elle vit le fouet, par terre, le pris et me dévisagea :
“Et ça alors, c’est quoi ? Tombé du ciel ? Je pense que tu aimes qu’on te fouette, traînée ! ”
Elle vint vers moi, et l’utilisa. Elle me donna 3 coups violents, de rage, sur le dos. En voulant les éviter, je tombai par terre. Elle partit alors, en claquant la porte, dans la chambre.
Je me retrouvais là, idiot, par terre. Elle m’avait traité de “traînée”, de “perverse” ! J’avais honte de moi. On fait des fois des choses sous l’excitation et une fois celle-ci retombée on se sent bête. C’était mon cas ici.
Un petit moment passa et je me mis à gamberger. La situation était tout de même assez excitante. Je me voyais, telle une petite femme, en robe PVC, ligotée sur le sol avec ce gant si excitant, ainsi qu’avec ce baillon-boule. Si j’avais pu être debout à me voir, j’aurais sûrement beaucoup aimé. Je me mis à rêver que c’était en réalité Jocelyne qui était là ligotée et bâillonnée au sol et que je la contemplais. En faisant cela, je me tortillais sur le sol et mon pénis se durcit. Je ne pus réellement bander, vu que celui-ci était bloqué sous la robe, mais on voyait tout de même une bosse.
Jocelyne remarqua d’ailleurs cela en rentrant à nouveau. Elle me dit alors :
“Eh bien, ça a l’air de t’exciter vraiment, tu n’es qu’une petite perverse ! ”
Elle me fouetta à nouveau, ce qui augmenta encore l’excitation, je ne savais dire pourquoi. Ce n’était pourtant pas un de mes fantasmes d’être fouetté. Elle reprit :
“Bon, maintenant je vais t’enlever ce bâillon et tu vas m’expliquer exactement ce qui s’est passé et tâche de ne pas mentir. Sinon, je te laisse ainsi pendant une semaine et j’invite tous tes amis et collègues à la maison pour te voir ! ”
Cette pensée me glaça le sang !
Je sortis de suite le baîllon de ma bouche, avec la langue et en refermant ensuite la bouche. Une fois libre de parole, ne voulant surtout pas qu’elle mette sa menace à exécution, je parlai très vite :
“Jocelyne, ma chérie, ne fais surtout pas cela ! Je t’avoue tout. J’ai bien reçu ceci par la poste, c’est moi qui l’ai commandé. Je voulais te voir avec cette robe, tu serais sûrement sublime. Je n’ai pas osé te l’offrir et par curiosité j’ai voulu tester.”
“Moi, dans cette tenue de pute ? T’es un peu louche, toi. Et le reste ? C’était aussi pour moi ? ”
“Ben, euh… oui. Tu avais aimé être attachée pour faire l’amour. Ça ne te dirait pas ? ”
“Ce n’était pas tellement la même chose, tu ne me demandais pas de m’habiller en pute.”
“Mais, chérie, ce n’est pas une robe de pute, elle est juste sexy. Je suis sûr que tu serais magnifique là-dedans, on devrait essayer.”
“Ouais, bon, on verra ça plus tard”, reprit-elle avec un ton aussi cassant qu’avant. Etre attachée en faisant l’amour, pourquoi pas. Avec ce machin-là, je doute, ça me fait un peu peur. Et puis ce bâillon, ça jamais ! ”
“On peut faire sans mon chou. Tu veux essayer maintenant ? ”
“Tu ne manques pas d’air. Et cela ne m’explique pas pourquoi tu as voulu essayer ça. Si ton truc c’est de m’attacher, pourquoi tu te travestis quand je ne suis pas là ? ”
“Je te l’ai dit, c’est que je n’osais pas te proposer la chose, alors j’ai voulu voir quelqu’un ainsi et si ce n’était pas toi, c’était moi.”
“Ça me paraît très louche comme argument. Moi je dis surtout que tu aimes te travestir et être attachée. En plus, tu bandais tout à l’heure.”
Je me tus, ne sachant plus quoi dire, en rougissant. Je n’osais pas lui dire que je l’imaginais à ma place, elle aurait peut-être trouvé cela encore plus louche. Je lui demandai :
“S’il te plaît, chérie, peux-tu me détacher ? ”
Elle reprit son air autoritaire et me dit :
“Pas tout de suite, tu m’as pris mes escarpins et tu as du les agrandir, et en plus tu fais des trucs de tapette dans mon dos, je n’ai pas trop envie d’être gentille avec toi tout de suite. Je te laisse encore un moment.”
Elle m’enleva le baillon-boule, que de toute façon j’arrivais à enlever, mais ce qui me permit d’être plus à l’aise avec ma salive, puis partit et ferma la porte à nouveau. Un long moment passa avant qu’elle ne revienne. Je commençais à avoir des crampes et j’avais envie d’être détaché. Toutefois, j’avais à force d’être resté longtemps ainsi perdu la gêne d’être ainsi habillé devant ma femme ou même seul dans mon salon. Ce sentiment que j’avais eu au début d’être mal à l’aise de peur d’être découvert ou d’autre chose était parti.
Elle revint avec la laisse du chien dans la main ! Qu’allait-elle faire avec cela ?
“Bon, pour te punir, je vais te laisser ligotée ainsi un petit moment, jusqu’à ce que j’ai décidé que cela suffise. Je pense que tu le mérites quand même, non ? ”
Je n’osais pas vraiment dire non, mais je ne voulais pas dire oui, vu que je trouvais qu’elle abusait un peu. Je fis une moue disant “je ne sais pas trop”. C’est alors qu’elle me donna un coup de fouet sur les fesses et me dit :
”Tu penses que je suis trop sévère ? Mon mari s’habille comme une pute et me vole mes habits et il voudrait ensuite que je sois à son service pour le détacher ! Tu exagères un peu, non ? ”
Elle me donna alors encore un coup de fouet
“Alors ? ” reprit-elle, d’un air très menaçant.
“Oui, tu dois avoir raison.” fis-je timidement. Je n’osais pas trop dire autre chose et la situation devenait de plus en plus excitante, même si j’aurais aimé que les rôles soient inversés.
“Bon, j’aime mieux ça ! Maintenant que tu es d’accord d’être puni, allons-y ! ”
Elle me mis la laisse autour du cou et tiras dessus pour m’emmener à la cuisine. Elle me fis m’asseoir sur un des tabourets et me servis à manger, des petits pois et un steak haché.
Elle s’assit également et me dit :
“Bon appétit ! ”
Je regardai l’assiette et, bêtement, lui dit :
“Je ne peux pas manger, j’ai les bras attachés.”
“Et alors ? ”
Je commençais à comprendre. J’allais devoir manger avec la bouche uniquement, sans les mains. C’était également un de mes grands fantasmes, de voir une femme ligotée faire cela. Maintenant que j’étais de l’autre côté, c’était différent. J’essayai tout de même, aimant la position.
Les petits pois étaient faciles à manger, même si quelques uns partaient sur les côtés, mais le steak haché, c’était plus dur.
Après quelques minutes où je peinais, elle me dit :
“Tu es vraiment nulle ! C’est indigne de la pute que tu es ! ”
Elle pris l’assiette, puis versa le contenu dans le mixer et broya le tout. Elle mit alors ceci dans l’écuelle du chien, pris la laisse qui était toujours à mon cou et dit :
“Si tu n’arrives pas à manger comme une esclave, tu mangeras comme une chienne ! ”
Elle tira fort sur la laisse et me fit me mettre à 4 pattes. Je n’eus alors plus aucune peine à manger le tout, malgré la honte que j’avais.
Une fois le tout nettoyé, elle revint et me dit :
“Je vois que tu apprends vite ton état. Tu as l’air dans ton élément.”
Elle me débarbouilla le visage et me tira par la laisse jusqu’au salon. Je traversais à quatre pattes notre corridor, étant obligé de la suivre, tel une chienne suivant sa maîtresse. J’étais vraiment humilié, mais la situation ne me dégoutait pas tant que je l’aurais imaginé à froid.
Une fois arrivée dans le salon, elle s’assit sur le canapé, écarta les jambes et me dis :
“Tu as bien mérité une récompense. Viens ! ”
Elle tira sur la laisse pour amener ma tête entre ses jambes. Je ne lui avais jamais fais de cunnilingus jusqu’à présent. Cela ne m’attirait pas tellement. Ce n’était donc pas tellement une récompense ! Etant dans le moment assez prêt à le faire, je me mis à la lécher. Ce fut finalement très agréable. Je continuais à la lécher, toujours handicapée par le gant de cuir dans mon dos, toujours habillée de la robe en PVC. Si on était passé par là on aurait crû à une scène entre deux lesbiennes ! Elle jouis de mes caresses langoureuses et me remercias. Elle me prit dans ses bras et nous nous embrassèrent langoureusement. C’était un moment romantique très intense. Je lui demandais :
“Tu as aimé ? ”
Et elle me dit “Oui.” d’un air très complice. Le moment où elle me traitait comme un chien était loin. Nous étions redevenus les deux amants.
Tout en me blottissant contre elle, j’avais mon pénis qui touchait sa vulve, à travers le PVC. Je me frottais à elle et l’excitation montait. Je lui demandais alors :
“Tu peux m’aider s’il te plaît ? ”
Elle releva un peu ma robe (“ma robe” ! !) et me laissa la pénétrer. Elle se leva et nous firent cela debout. J’enfonçais mon pénis en elle, à la force du bassin, toujours avec les bras inertes. N’avoir plus ces membres renforçait les sensations des autres. Ce fut idyllique. Nous continuâmes ainsi jusqu’à l’extase et je pus jouir en elle. Elle dût me tenir pour que je ne tombe pas et nous nous assîmes sur le canapé. Je lui dis alors :
“C’était magique, chérie, je n’ais jamais autant aimé cela ! ”
Elle me répondit :
“Moi aussi, mon chou, je crois que finalement j’aime bien avoir une femme à la maison.”
Tout confiant, je repris en rigolant :
“Enfin, ce n’est pas une vraie femme qui t’aurais fait cela, non ? ”
“Effectivement,” reprit-elle, “mais tu portes quand même bien la robe.
“Je t’aime ma chérie”, dis-je.
“Moi aussi, je t’aimes, ma chérie”.
Elle avait dit “ma chérie” ! ! Cela me fit tout drôle mais le moment était si bon que je laissais passer.
Quelques minutes plus tard, après avoir profité de nos moments intimes, elle me dit :
“Bon, ce n’est pas tout ça, allons nous coucher ! ”
Elle tira sur la laisse et m’emmena à la salle de bains. Je me dis qu’elle allait me détacher, mais non ! Elle prit ma brosse à dents, l’enduit de dentifrice et me brossa les dents.
“Tu vois que tu peux faire beaucoup de choses ainsi”, me dit-elle.
Elle se brossa les dents puis m’emmena dans la chambre.
Je me dis que nous allions dormir et donc qu’elle allait me détacher. D’un air vainqueur, je lui dis :
“Mais maintenant, tu vas bien être obligée de me détacher.”
À peine avais-je fini ma phrase que je craignis le pire, me disant que finalement, non, elle n’en était pas obligée ! !
Effectivement, elle me répondit par un sourire, me poussa sur le lit, à plat ventre. Elle en profita même pour m’attacher les pieds aux bords du lit avec de la corde ! Elle pris ensuite encore de la corde pour lier mes bras au haut du lit, tirant ainsi sur le gant qui montait dans mon dos.
Elle ria et me dit :
“Tu vois, ainsi tu es en belle position pour dormir ! ! ”
“Allons, mon chou, ça va être impossible à dormir comme ça ! C’est trop inconfortable ! ”
“Non, non, tu vas y arriver. Et d’ailleurs on peut faire bien d’autres choses dans cette position ! ”
Elle partit un moment. En revenant elle vint me chuchoter à l’oreille :
“Tu sais, ma petite coquine, ce que tu m’as fait tout à l’heure, je ne suis pas sûre qu’une femme ne puisse le faire…”
“Tu veux rire ? ” lui répondis-je.
“Je te propose un pari. Si j’arrive à te prouver le contraire de suite, tu resteras habillée en femme et tu m’obéiras à chaque fois que je le désirerai, pendant un mois ! Si je n’y arrive pas, je te libère et tu pourras faire de moi ce que tu veux.”
“Pari tenu ! ”
Evidemment j’allais gagner ! Aucune femme ne peut en pénétrer une autre ! !
“Alors, prépare-toi à jouer à t’appeler Pauline assez souvent ! ! ”
Une fois ceci dit, elle posa devant mes yeux un miroir. Je la sentis qui me massais les fesses. Elle m’enfonça alors quelque chose de dur dans l’anus. Je regardai dans le miroir et pu la voir, portant un gode ceinture et entrain de me l’enfoncer. Elle se mit à se dandiner et m’encula de plus belle ! !
Je n’avais pas fini de rire !
post face du Webmaster : il est question de « bâilon boule » dans cette histoire. Il est extrêmement dangereux de laisser une personne seule avec ce genre d’objet. En cas de régurgitation, elle est tout simplement en danger de mort ! (et cela est également vrai quelque soit la nature du bâillon à l’exception sans doute des « bâillons-anneaux ») Voilà ce n’était qu’un petit rappel !