Diane, ma prof de piano par Mathilda Stenberg

Diane, ma prof de piano par Mathilda Stenberg

Texte scato explicite

Je m’appelle Claire, j’ai 35 ans et je m’emmerde ! Mariée avec un cadre supérieur, celui-ci est toujours en vadrouille aux quatre coins du globe. Son niveau de rémunération est impressionnant. Ah, ça, je ne risque pas de manquer de quelque chose ! Mais enfin, on se demande à quoi je sers ? Prendre un amant, bof, je n’aime pas assez les hommes, me lancer dans des activités, j’en ai essayé plein, des solitaires comme l’aquarelle ou la sculpture. Des collectives comme la gymnastique, la randonnée, le chant choral, mais au bout de quelques mois tout cela ne me passionne plus, je laisse tout tomber. Je voudrais en fait changer de vie, avoir l’occasion de le faire, mais je ne sais tout simplement pas comment procéder. Et puis tout ce fric m’a habitué à un certain confort, suis-je vraiment prête à l’abandonner… On a beau se dire qu’il n’y a pas que ça dans la vie, mais bon…

J’ai le cafard cet après-midi : je me passe un disque, je ne choisis même pas, c’est une anthologie de morceaux pour le piano. Je connais tous ces airs par cœur. Tiens, la « Romance sans parole » de Mendelssohn ! Je savais la jouer avant ! Est-ce que je saurais encore ? Il y a des mois que je n’ai pas ouvert ce magnifique piano hérité de la tante de mon mari. Je m’y installe ! Et allons-y ! Le désastre ! Nouvel essai ! Nouveau désastre ! Je m’énerve, j’ai envie de casser quelque chose, je vais casser quelque chose, et je choisi cette ridicule sculpture « spéciale touriste naïf » ramenée par mon mari de Birmanie ! Patatras ! En miette l’œuvre d’art ! Au moins je ne la verrai plus !

– Oh madame !

Quoi « Oh madame ! » ? La bonne qui joue les éplorées à présent. Elle est mignonne, mais elle m’énerve, tout le temps dans mes pattes, si au moins elle possédait un peu de tendresse, mais la seule fois où je me suis amusée à lui demander de me frotter le dos alors que je prenais mon bain, elle s’est enfuie en courant !

– Ecoute Anna ! Je te fais cadeau de huit jours de vacances, je ne veux pas te voir avant la semaine prochaine…
– Mais pourquoi, madame ?
– Parce que c’est comme ça, allez file !

Je dois être timbrée, pendant huit jours je vais me farcir la cuisine les courses, le ménage, non pas le ménage, je vais lui laisser…

Je cours faire pipi, il faut que vous explique, je suis une pisseuse, j’ai souvent envie, le docteur m’a dit que je devais avoir une toute petite vessie, pas si facile à gérer, j’évite de boire trop de liquide ainsi que tout ce qui est diurétique si je dois sortir.

Je pisse, je me mets la main devant la chatte afin de l’imbiber de mon urine, puis je lèche, j’adore faire ça. J’aurais dû profiter de l’absence de la bonne pour me faire pipi dans ma culotte et rester comme ça un moment, pas grave, ce sera pour plus tard, de toute façon comme je vous l’ai, dit, je pisse tout le temps. Je me fous un doigt dans le cul, je le fais aller et venir, puis le ressors, il est un peu merdeux. Je le lèche ! Hum, c’est bon et c’est surtout délicieusement pervers, je recommence. Cet autre jeu est plus rare, mais j’adore le faire quand je sens l’excitation monter. Je crois qu’en poussant je peux faire un petit caca. Je pousse tout en mettant mes mains en corolle sous mon anus. La merde sort et tombe dans le creux de mes mains. J’approche ma main de mon visage, je contemple l’étron, le hume et m’enhardit jusqu’à le lécher un peu. Je me sens salope et j’aime ça !

Je quitte les chiottes sans me torcher le cul ni me laver les mains et vais me branler sur le lit.

Bon, si je n’arrive plus à jouer correctement au piano, quelques cours devraient me faire du bien. Je recherche un prof de piano, décide que je préférerais que ce soit une femme.

– D’accord ! Me dit la dame, on peut commencer jeudi, c’est à quelle adresse ?

Le problème c’est que jeudi, la maison sera pleine de poussière…

– Je préfère que ça se passe chez vous.
– Non, je ne donne pas de cours chez moi. Me précise la dame.
– Même si je double le prix ?
– Ce sera donc à titre exceptionnel.

Diane est blonde, la quarantaine, habillée très bourgeoise, le chignon ridicule prêt à chanceler, des lunettes… En s’arrangeant elle pourrait être pas trop mal, elle a des belles lèvres et un beau sourire… et bien sûr de très belles mains.

Nous sommes en pleine leçon quand j’ai soudain envie de faire pipi. Pour bousiller la concentration quand on est au piano c’est pas mal ! Je lui demande donc où sont les toilettes.

– Les toilettes ?

Ben quoi ? On dirait que je lui demande la lune, il y a bien des toilettes dans son appart, non ? Elle devient toute blanche.

– Heuh… c’est dans le couloir la deuxième porte, mais, euh, c’est un peu délicat, la chasse d’eau ne fonctionne pas très bien, le plombier devait passer hier, mais il faut que je le rappelle.

OK, pas la peine de se mettre dans des états pareils, je me rends donc à l’endroit indiqué ! Ça ne sent vraiment pas la rose, elle ne sait pas qu’il existe des déodorants pour chiottes, la prof de piano ? Un coup d’œil instinctif dans la cuvette. Il y a un magnifique colombin marron qui flotte dans de l’eau brunâtre. Bon, je n’effarouche pas pour si peu, elle m’avait prévenue, et puis comme ça par réflexe, je tire la chasse ! Miracle tout s’en va ! Elle fonctionne très bien sa chasse d’eau ! C’est quoi ce délire. ?

Je ne me suis ce jour-là pas attardée sur cette bizarrerie, j’ai fait ce que j’avais à faire, j’ai tiré la chasse qui pour la seconde fois de suite a fonctionné parfaitement, et je me suis remise à la musique.

C’est quelques jours après que la bizarrerie se renouvela. Pressée d’aller faire pipi, je remarquais encore une fois que la chasse n’avait pas été tirée ! Tout cela n’avait aucun sens ! Ou alors elle oubliait régulièrement de l’actionner ? Oui ça devait être ça, et c’est ce qui expliquait son trouble de l’autre jour ! Elle devait être incapable de se souvenir si elle avait tiré la chasse ou pas, d’où son explication vaseuse… Le syndrome du poisson rouge ! Quand on y réfléchit, les choses deviennent parfois bien simples… Et puis soudain un éclair dans mon esprit, la chose se compliquait. Où était donc passé le papier avec lequel elle s’était torchée et qui aurait dû être dans la cuvette ? On peut oublier de tirer la chasse mais pas de se torcher le cul quand même !

A moins d’être aussi cochonne que moi !

J’appuyais sur le mécanisme actionnant la chasse d’eau éliminant définitivement l’hypothèse d’un dysfonctionnement. Elle le faisait donc exprès. En voilà une perversion qui est bizarre ! Bizarre ? Mais pourquoi bizarre, puisque moi aussi, il m’arrive de faire des cochoncetés avec mon caca…

Une réminiscence de mon adolescence me vint à l’esprit. Une sortie en forêt avec des copines, je m’étais isolée avec Julie pour faire caca. Et cette dernière m’avait proposé de jouer à qui ferait le plus gros boudin. On avait poussé, accroupies l’une devant l’autre en rigolant comme des malades.

– Celle qui a perdu à un gage ! Me dit-elle
– D’accord.

J’avais perdu.

– Le gage, c’est que tu ramasses mon caca et que tu le lèches !
– T’es malade. T’as qu’à le faire toi !
– C’est pas moi qui a perdu.
– Oui, mais si tu avais perdu, tu l’aurais fait ?
– Bien sûr !
– Mon œil !
– Regarde !

Et devant mes yeux effarés, Julie, ramasse un morceau de son boudin, le porte devant ses lèvres et le lèche en me narguant.

Alors tout c’est passé très vite, comme dans un rêve, sans doute n’ais-je pas voulu perdre la face, j’ai fait pareil. La surprise c’est que je pensais trouver quelque chose d’abominable, mais qui ne durerait que quelques secondes, une épreuve, quoi ! Au lieu de ça je rencontrais un gout plutôt neutre et loin d’être désagréable,

L’affaire n’eut pas de suite immédiate, mais me troubla profondément.

Quelques mots là-dessus quand même, étant gosse, le caca ne me dérangeait pas, et je me moquais de mes petites camarades que la chose révulsait. En grandissant, je me suis rendu compte que j’étais bien seule sur ce sujet, je me suis dit alors que je n’étais peut-être pas très normale et j’ai refoulé tout ça.. Jusqu’au jour ou en surfant sur Internet j’ai découvert des petites vidéos où l’on voyait de jolies femmes s’amuser comme des folles en faisant de la scato. Ce jour-là j’ai dû rester l’après-midi sur Internet, la main dans la culotte.

C’est à partir de ce moment là que j’ai commencé à me doigter le cul, et quand le doigt sortait il allait directement dans ma bouche.

Quand j’étais très excité, j’allais plus loin, parfois je chiais dans le creux de ma main et portait mon étron à mes lèvres et je le léchais vicieusement.

J’ai ensuite voulu chercher une complice C’était il y a trois mois, j’avais passé une annonce sous pseudo en ouvrant une boite mail anonyme. Une nana m’a répondu, elle voulait savoir si j’étais une vraie femme, un travelo… Bref elle se faisait payer, je m’en fous j’ai du fric. On a pris rendez-vous, et j’avais quelques idées sur ce que je lui demanderais de faire. Sur place, j’ai un peu déchanté, la nana n’était pas conviviale pour un rond, pas un sourire, pas une once d’humour, une moue dédaigneuse et suffisante. Je lui ai juste demandé de chier devant moi : elle m’a fait un joli boudin bien moulé, mais quand elle m’a demandé si je désirais autre chose, j’ai préféré en rester là.

Alors parfois dans mes fantasmes, quand je suis réellement trop excitée, je me rejoue la scène avec Julie, et parfois j’y incorpore des variantes.

Se pourrait-il que Diane…

Je décidais de la provoquer… Dommage, je n’avais envie que de faire pipi…

– Je crois que votre chasse d’eau est de nouveau bloquée, je n’ai pas tirée la chasse, on ne sait jamais, je ne voudrais pas que vous soyez inondée…

Sa tête ! L’autre jour, elle était blanche, mais aujourd’hui elle est rouge. Elle cherche quelque chose à dire ! Mais rien ne sort, elle me regarde, elle a les larmes aux yeux. Je suis sans doute allé trop loin. Soudain elle se lève, se dirige vers la patère où j’ai accroché mon manteau, me le lance !

– Foutez-moi le camp ! Trouvez une autre prof ! Je n’ai pas de compte à vous rendre. C’est si facile de juger les gens !
– Mais je ne vous juge pas !
– Si ! Vous me prenez pour une folle ! Comme si les choses étaient si simples que ça ! Disparaissez, j’ai besoin d’être seule !

Moi qui pensais créer un déclic positif, j’ai raté mon coup, lamentablement ! Diane est manifestement au bord de la crise de nerf ! Il faut que je trouve quelque chose pour la désamorcer.

– Je peux vous aider ! Vous n’êtes pas folle, ce sont les autres qui ne vous comprennent pas !
– Qu’est-ce que vous en savez, vous êtes psychiatre ? De toute façon, je le sais que je ne suis pas normale ! Maintenant laissez-moi, s’il vous plait, laissez-moi !
– Diane, vous êtes parfaitement normale !

Elle ne répond pas, elle sanglote, je lui mets la main sur les épaules, mais elle se dégage.

J’aurais pu la planter là, et la laisser avec ses étranges pratiques, mais que voulez-vous, ce doit être mon côté protectrice, je n’aime pas que les gens soient malheureux. Et puis elle est mignonne avec son petit bout de nez en l’air… Je comprends que la seule façon de s’en sortir ça va être l’ultra choc, mais ça va être à mes risques et périls car après il faudra gérer la suite :

– Diane, j’ai les mêmes fantasmes que vous ! C’est pour cela qu’il faut arrêter de vous mettre dans de tels états.

Elle continue d’abord de se rebiffer !

– Quels fantasmes ? Qu’est-ce que vous en savez qu’on a les mêmes fantasmes ?
– Si vous le souhaitez, la prochaine fois que j’aurais envie, vous pourrez regarder, ça ne me dérange pas du tout….

Elle fait des yeux tout ronds, incrédules.

– Vous aussi vous aimez ces trucs-là, alors ?
– Puisque je vous le dis !

Elle n’a plus envie de me foutre à la porte. Je raccroche mon manteau. Elle a l’air un peu paumée.

– Ecoutez, je ne suis plus très motivée aujourd’hui pour faire une leçon de piano, revenez demain, nous aurons pris du recul, et nous verrons bien si nous pouvons comment dire… rester en contact.

J’étais dans un état d’esprit assez partagé, d’une part je regrettais qu’elle ait mis fin à notre rencontre alors que les conditions étaient réunies pour que l’on tente d’aller plus loin. Mais je me disais aussi que demain je pourrais caresser son corps et lui offrir le mien… à moins qu’elle ne se dégonfle… à moins que ce soit moi qui me dégonfle !

Le lendemain, je me suis retenue d’aller faire caca. Diane m’accueille, tout sourire, elle s’est passé une petite robe beige, sans manches, et légèrement décolletée, je lui tends la main.

– Il faut d’abord que je vous dise une chose ! Commence-t-elle

Qu’est-ce qu’elle va me sortir ?

– Pour les toilettes, faut que je vous explique, j’aime bien l’odeur de mon caca…

En me disant ça elle devient rouge comme une pivoine

– Donc je ne tire pas toujours la chasse et je ne m’essuie pas systématiquement. Comme je ne reçois personne depuis mon divorce, ça ne gêne personne. Alors quand vous avez insisté pour prendre les cours chez moi, je n’aurais jamais imaginé que vous auriez besoin d’aller aux toilettes. Si ça vous choque, on en reste là.
– Mais non, ça ne me choque pas du tout.
– Alors, on s’embrasse ? Me propose-t-elle ?

Je lui fais un chaste bisou, mais elle me reprend :

– Si nos relations prennent un tour un peu particulier, autant nous embrasser mieux.

Je n’ai rien contre, et on se roule un patin. Mais alors le patin de chez patin, celui qui bave jusqu’au menton.

– Et la deuxième fois, vous aviez oublié… Demandais-je, poussé par la curiosité.
– Non, j’ai été naïve, je me suis dit : »elle ne va quand même pas aller pisser à chaque fois qu’elle va venir ! »

On rigole de bon cœur, Et toujours est-il que la prof à l’air enchantée, ravie de ma réaction.

– Je peux vous caresser ?
– Bien sûr

En fait, elle se contente de me caresser les bras par-dessus mon chemisier, comme érotisme on fait mieux, mais elle s’enhardit rapidement et me pose les mains sur les seins.

Je lui fais un sourire d’encouragement, elle continue un peu puis elle se recule, manifestement elle a envie de me dire quelque chose, mais ça a du mal à sortir.

– Claire !
– Oui
– Je me suis un peu retenue en vous attendant, mais maintenant il faut je le fasse… Euh, cela vous plairait vraiment de me voir chier ?
– Mais assurément !
– Vous n’imaginez pas quel plaisir je vais avoir à chier devant vous !
– Je crois que le plaisir sera partagé !
– Vous préférez que je sois nue !
– Oui bien sûr !

Elle se déshabille vite fait et se plante devant moi. Je réalise alors que la situation est incongrue dans la mesure où je suis restée habillée… je me déshabille à mon tour, elle ne bouge pas, elle m’attend.

Ses jolis seins m’attirent irrésistiblement, je les pelote, je suce un peu les tétons, elle me caresse aussi, on se roule un nouveau patin aussi baveux que le précédent.

– Euh, on fait comment ? Dans les toilettes, nous risquons d’y être un peu à l’étroit ! La salle de bain ?

Allons-y pour la salle de bain, où elle s’y accroupit.

– Je vais faire par terre, me prévient-elle.

Elle cherche une serviette.

– A moins que je fasse sur vous ? Ce n’est peut-être pas dans vos pratiques ?
– Dans mes pratiques, non, mais dans mes fantasmes, oui ! Alors faisons comme ça ! Chez moi dessus, Diane !

Je m’allonge sur le sol, elle s’accroupit de nouveau mais cette fois au-dessus de ma poitrine. Elle commence à pousser, mais abandonne au bout d’un moment.

– Ça ne vient pas, on va attendre un peu. Je vais faire pipi d’abord.
– Pissez-moi dessus, Diane ! Dans la bouche, je veux vous boire !
– Hum, et si je vous crachais dans la bouche, un tout petit peu !
– Allez-y Diane.

J’ouvre la bouche, elle me crache une première fois.

– Je peux vous insulter, je veux dire en le prenant comme un jeu ?
– Mais bien sûr !
– N’hésitez pas à me rendre la pareille, ça n’en sera que plus excitant.
– Crache-moi dessus, salope !

Elle le fait et ça m’émoustille, elle rectifie la position.

– Ouvre la bouche, grognasse !

La « grognasse » ouvre la bouche, et je reçois son urine dans la bouche, c’est délicieux, je me régale, il y avait une éternité que je n’avais pas goûté une autre pisse que la mienne.

Quand elle s’arrête c’est pour m’informer que cette fois « ça vient » et qu’elle va pouvoir me chier dessus.

– Vas-y !
– On y va !

L’anus s’ouvre, un petit étron marron quémande la sortie, il grossit, c’est maintenant un magnifique boudin qui sort du cul de la prof de piano, il se détache et me tombe sur la tronche.

Je n’ouvre pas la bouche, je n’ose pas, pas encore. L’odeur de merde m’envahit, pas grave, c’est de la fraiche, je m’habitue.

Diane se recule, un autre étron descend de son cul, il est magnifique. Terriblement excitée je me délecte du spectacle. Que c’est beau une belle merde qui sort d’un joli cul !

J’ose ouvrir la bouche, ma langue touche un peu de la merde de Diane, C’est surprenant, c’est même plutôt bon. Du coup, je m’enhardis et je lèche davantage.

Diane m’enlève le plus gros de ce que j’ai sur le visage et me badigeonne le torse avec, me voila avec les seins tout merdeux. Elle en prend un peu dans sa bouche, le garde et viens m’embrasser.

Son petit étron passe de sa bouche dans la mienne, puis de la mienne dans la sienne, je deviens folle d’excitation, mes cuisses dégoulinent de mouille.

Elle aussi s’est badigeonné, on est dans un drôle d’état, excitées comme des puces.

Et c’est quasi spontanément qu’on s’est retrouvé en soixante-neuf. J’ai sa belle chatte devant ma bouche, je lèche, je suce son jus, mais je sens mon ventre qui gargouille.

– Je crois que j’ai vais chier à mon tour !
– Chic ! Je veux ta merde dans ma bouche !

Je chie une grosse merde, Diane en a plein la tronche.

Ensuite ce fut la douche, le rhabillage, la cigarette, une bière.

– Je vais y aller…
– On se reverra ? Demande-t-elle avec une pointe d’angoisse dans la voix.
– Evidemment, j’ai vraiment besoin de vraies leçons de piano !

FIN

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15 réponses à Diane, ma prof de piano par Mathilda Stenberg

  1. Boris Vasslan dit :

    Une bonne histoire scato avec un scénario très original

  2. Lucky dit :

    A lire la braguette ouverte avec en fond sonore la Sonate au clair de Lune de Ludwig van Beethoven

  3. Chastaing dit :

    Un bon récit scato qui donne envie de prendre des cours de piano 😉

  4. Vony dit :

    C’est encore moi ! j’ai remarqué que le critère scato renvoie trop souvent sur des récits où il n’y a qu’un petit passage sur cette pratique (parfois juste une phase) pourriez-vous m’indiquer quelques bons récits où le sujet est traité comme élément principal

  5. Vony dit :

    J’aime jouer avec mon caca, je m’en étale partout, je m’en fous plein les doigts que je lèche ! Hum, c’est trop bon.

  6. Gilbert dit :

    J’aime voir une belle merde sortir d’un joli cul féminin

  7. Bureau dit :

    Tout cela est bien amené, si j’ose dire

  8. Honorine dit :

    J’ai adoré ce récit bien écrit, j’ai une amie plus âgée que moi, une belle bourgoise très vicieuse, nous nous laissons parfois aller à faire des choses scato, vous ne pouvez pas savoir comme cela m’excite quand elle me chie une belle merde sur mon corps en feu. Je lui lèche sa merde, et ça me plait bien. Merci pour cette belle histoire.

  9. Arizona dit :

    L’intrigue est soignée et inventive, ensuite ça va presque trop vite

  10. Claire dit :

    Récit extrême mais très bien raconté et avec une certaine originalité.

  11. Hector dit :

    on dit que Mozart lui-même avait des tendances scatologiques !

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