Pissotière par Bien.Mal.Aki
Depuis ma voiture je distingue clairement l’entrée des toilettes publiques. Je suis arrivé depuis bientôt dix minutes et je n’y ai encore vu entrer personne. Pourtant mon contact a été explicite ; mardi, les toilettes publiques place de l’église, dix-neuf heures. Pour être assuré de ne pas le louper, je suis arrivé dix minutes en avance. Si ça se trouve il est arrivé avant moi et pendant que j’attends dehors, lui, il m’attend à l’intérieur. Ça serait ballot. Le mieux c’est d’aller y jeter un œil.
L’intérieur des toilettes est éclairé par une faible ampoule nichée au plafond dans un globe couvert de poussière et de toiles d’araignées. Un gars, que je vois de dos, est installé devant un urinoir. N’ayant vu entrer personne depuis ces dix dernières minutes la question ne se pose même pas, c’est mon rencard. Personne ne mettrait dix minutes pour pisser. Malgré la présence de quatre cuvettes je me positionne juste à sa gauche. Le regard fixé, comme si de rien n’était sur le carrelage devant moi, je me déboutonne et sort ma bite. Je n’ai, absolument pas envie de pisser. Sans chercher à m’en cacher, je commence à me pétrir le gland. Ma bite, en brave fille, ne tarde pas à lever la tête. Je jette un coup d’œil, plus ou moins discret vers la cuvette de mon voisin. Il se paluche, lui aussi, en matant mes faits et gestes. Je constate avec émerveillement qu’il a entre les doigts un bien gros spécimen de bite. Voilà, à mon humble avis, un gars qui gagne à être connu.
Je scrute l’entrée des toilettes pour m’assurer que personne n’arrive et sans plus attendre, je tends la main vers le sexe du gars et m’en saisi. Il me l’abandonne volontiers. Nos regards ne se sont toujours pas croisés et je ne sais pas encore à quoi il ressemble physiquement. Les présentations non toujours pas été faites et nous sommes déjà liés par une certaine intimité. Pour preuve j’ai sa bite entre mes doigts. Circoncise, bien dure et me semble-t-il parfaitement consentante. Je le branle. De son côté, il n’entreprend rien, il se contente de se laisser faire. Je me dis qu’il est du genre passif mais il me prouve rapidement le contraire. Il pose une main sur le bas de mon dos, passe sous ma veste de survêt, s’introduis sous l’élastique du pantalon et se glisse dans mon slip. Il pétrie mes fesses avec vigueur, promène un doigt dans ma raie, effleure mon anus et sans ménagement pénètre mon cul. J’échappe un couinement de surprise. Une introduction si rapide et d’autant plus à sec ça agace quand même passablement ma rondelle.
Avoir une bite entre les mains me procure de folles sensations. Ce que j’apprécie par-dessus tout c’est m’en saisir quand elle est encore molle. C’est la sentir durcir entre mes doigts, C’est la décalotter pour mieux remonter vers le gland afin de le pétrir, de le rouler entre mes doigts. Puis à nouveau la décalotter. Tirer fermement sur le frein et sentir les grosses veines se gonfler au creux de ma main. J’aime bien aussi, malaxer une bonne paire de couilles. Les faire rouler délicatement ou énergiquement entre mes doigts suivant l’envie. Les couilles rasées c’est un petit plus. J’aime les lécher, les gober, les ventouser d’une bouche gourmande pendant que ma main s’active sur leur voisine du dessus. D’ailleurs, au sujet de ces dernières, les bites en question, j’ai aussi mes préférences. Pas trop épaisse ni trop veinée. Bon, là pour le coup c’est râpé. Mais je ferais avec. Donc, j’ai une préférence pour les bites lisses avec un petit gland, assez courte sur des couilles menues. Une bite d’aspect plutôt juvénile. Du moins pour la susse car pour la baise, c’est tout l’inverse. Ça serait plutôt le genre, longue, gros calibre et veinée à souhait. Monté bourricot, bien venu. En l’occurrence, celle que j’ai entre les doigts, correspond tout à fait à mes critères pour l’enculage mais je me ferai, quand même un plaisir de la sucer quand il le faudra.
À ma grande surprise, mon acolyte s’extrait de mon emprise manuelle et de mon cul par le fait, me fait pivoter vers lui, s’agenouille et sans plus d’attente gobe goulûment ma bite. Je lance à nouveau un regard inquiet vers la porte. Il est dingue, si quelqu’un entrait. Heureusement, de la rue, on ne peut pas voir ce qui se passe à l’intérieur et à cette heure tardive les rues sont désertes. L’instant de panique est vite oublié car mon suceur s’active avec tellement de convictions, avec tellement de maestria sur ma tige que j’en oublie toute prudence. Je m’abandonne avec inconscience à son office. Ce qui était à craindre arriva sans que je puisse y faire grand-chose, sauf m’en réjouir. Les mains agrippées à sa chevelure, je balance tel un éjaculateur précoce, un flot de foutre entre ces lèvres. Mon comparse s’étouffe et lâche un haut de cœur prévisible. Par compassion je tente de m’extraire de sa bouche, mais le collègue ne m’en laisse pas le loisir. Il s’agrippe et par une succion puissante, voir cannibalesque, il aspire ma bite et tout ce qu’elle rejette. Pas la moindre goutte n’échappe à son appétit vorace. La puissance de son action me coupe littéralement les jambes et je me courbe en deux vers l’avant en poussant des grognements de sauvage. Il met fin à la fellation et tout en tenant ferment ma queue, complètement essorée, dans sa main, il se redresse et nous nous retrouvons face à face.
Les yeux bleus, cheveux châtains très clair, lèvres rosées délicieusement dessinées et joues parfaitement glabres. Le visage un peu rond, presque poupin.
– Tu as aimé ?
– Il faudrait être difficile. Je ne me souviens pas d’avoir jouis comme ça depuis bien longtemps. Tu es un vrai magicien de la pipe tu sais.
– Merci. On continue ici ?
– Non, viens, j’ai ma voiture devant et je connais un coin tranquille pas très loin d’ici.
Un chemin de terre au bord d’un bois nous mène comme promis vers un coin abrité de tous regards. C’est l’été et malgré l’heure tardive il fait encore une chaleur écrasante. Je me penche vers Claude, nous avons fait plus ample connaissance pendant le trajet, j’enserre sa taille et pose un baisé chaste sur ses lèvres. Je bascule le siège en couchette. Il suit le dossier et se laisse tomber en arrière. Mes mains passent sous son tee-shirt et je sens sa peau frémir sous mes caresses. Je relève au plus haut la frêle barrière de tissus et colle mes lèvres sur un téton. Des gouttes de sueur perlent sur sa peau. Les effluves qui montent de son corps sont douces, agréables, légèrement salées et se mêlent délicatement à son eau de toilette. Ma langue recueille cette buée intime en passant d’un téton à l’autre. Sa main caresse mes cheveux et la mienne file tout droit vers son entre jambes. Je ne m’attarde pas plus que de nécessaire sur la toile du pantalon. Je fais sauter le bouton de taille, descend la fermeture et vais au-devant de l’objet convoité. Pas de slip. Tant mieux ça va me faciliter la tâche. Je glisse mes doigts dans l’ouverture et j’extrais, non sans difficulté, l’oiseau de sa cage car la bête est bandée à mort. Merveille des merveilles, ça se confirme. Il est en totalement rasé. Je ne peux résister plus longtemps à cette gourmandise et me jette, bouche grande ouverte, sur son attirant appendice. Mes lèvres se referment sur le gland et je le décalotte avec ma bouche. Sa bitte est gonflée, droite comme un i, sans la moindre courbure. Sa peau, au grain fin sans tache disgracieuse, fait comme une caresse sur mes lèvres. Ma bouche descend lentement sur la tige jusqu’à ce que le gland bute contre ma glotte puis je remonte tout aussi lentement en serrant mes lèvres au maximum. Parvenu à la collerette du gland je relâche la pression, suce un moment le bout, glisse la pointe de ma langue dans l’urètre et gobe à nouveau sa bitte. Ses couilles, douce comme une peau de chamois, sont lovées au creux de ma main. De longues minutes de plaisir partagé s’égrènent. Je branle, je susse, je lèche encore et encore sans discontinu. Je le suce lentement puis rapidement, nerveusement, énergiquement, jusqu’à m’endolorir les cervicales. Il m’a tellement bien pompé tout à l’heure que je fais tout mon possible pour lui prouver au mieux ma reconnaissance. Au vu de ses grognements j’ai l’impression qu’il apprécie mon ouvrage. J’y trouve, moi-même, largement mon compte. Ma bite gonfle exagérément mon pantalon. Le souffle de Claude s’accélère et ses doigts s’agrippent nerveusement à ma chevelure. Le gars n’est plus très loin de la jouissance. Je me tiens sur mes gardes car je ne raffole pas du sperme. J’abandonne lâchement son service trois pièces et m’attèle à faire tomber, non sans mal, le pantalon sur ces chevilles. S’aidant du pied il s’en libère complètement. Profitant de la courte trêve il se débarrasse de son tee-shirt et de fait m’apparaît, complètement et magnifiquement nu. Sa peau, très clair, presque blanche, et je le rappelle, sans le moindre poil ni le moindre grain de beauté, le fait ressembler à une statue grecque. Je suis électrisé devant tant de beauté académique. Mes mains remontent entre ses cuisses glabres et passent sous ses fesses. Je vais au-devant du petit trou et le trouve sans problème là où il doit être. Décidément le garçon est plus que prévoyant car son anus est enduit de gel. Il écarte les cuisses et mon doigt s’enfonce sans rencontrer la moindre résistance. Une fois de plus sa bite aboutie entre mes lèvres. Je le suce avec frénésie. Claude, excité à mort sous l’effet conjugué de ma bouche et de mon index, gueule un » oui » significatif et me balance sans vergogne son venin au fond de la gorge. Ça m’apprendra à baisser ma garde. A mon tour je manque de m’étouffer tant l’éruption est copieuse. Malgré ma répulsion, que voulez-vous quand c’est fait, c’est fait, comme un bon petit soldat je l’essor jusqu’à l’assèchement. Claude se redresse, attire mon visage contre le sien, colle ses lèvres sur les miennes et, mélangé à notre salive, nous partageons son sperme.
Il actionne la manette du siège, le recule aussi loin que possible et m’invite à prendre sa place sur le siège passager. Après quelques acrobaties il s’installe à genoux entre mes cuisses dos à la boite à gants. Très rapidement, ma chemise, mon pantalon et mon slip sont jetés par-dessus les moulins. Une jambe sortie par la fenêtre de la portière, le pied gauche sur le tableau de bord, j’ai l’impression d’être chez le gynécologue. Ma queue, dressée comme un totem, attire à nouveau les lèvres gourmandes de Claude. Mes couilles, l’une après l’autre, sont aspirées, gobée. Je me cabre outrageusement en soulevant mon bassin dans toute la mesure du possible ce qui lui donne librement accès à mon arrière-train. De la pointe de sa langue il caresse les plis de mon anus et en explore l’intérieur. Il retourne gober mes couilles puis embouche à nouveau ma bitte. Il répète se manège une bonne dizaine de fois en enfonçant, à l’occasion, son index entre mes fesses immodérément offertes. Je suis pris de frissons convulsifs tant le plaisir est grandiose. Je n’ai qu’une seule envie c’est qu’il me prenne, qu’il me sodomise, qu’il m’encule, qu’il me baise quoi, bordel. Je me surprends à ordonner vulgairement, un…
– Baise-moi, vas-y baise moi. Oui ! Enfile-moi, encule-moi.
– Ok, j’attrape ce qu’il faut et après je te défonce la pastille mon bonhomme.
– Moins de parole et plus d’actions gamin. Fais-moi voir ce que tu es capable de faire avec ta jolie queue. Mais dépêche-toi car je n’en peux plus.
De la poche de son pantalon il sort une poignée de capotes et un tube de gel. Quand je dis qu’il est prévoyant. Il badigeonne mon petit trou, habille la petite d’un imperméable rose et pointe la porte de mon cul. Sa main s’active sur ma bitte, plus rapidement que je ne le souhaiterai. Imprudent qu’il est. S’il continue ainsi, je vais jouir. Et, à mon avis, il est beaucoup trop tôt. Je m’apprête à lui demander de calmer ses ardeurs mais à peine ai-je la bouche entre-ouverte que sa queue s’enfonce sans ménagement et d’un seul mouvement, dans les profondeurs de mon cul. Je laisse échapper un cri de surprise. Ne me laissant pas le loisir de reprendre mon souffle, le furieux s’active comme un forcené, et du poignet sur ma bite et de la sienne dans mon cul. Chose promise chose due, il me défonce bel et bien la pastille. Je récupère péniblement un peu d’air et en profite pour lui lancer des » encore » et » encore » avec force gueulements. J’ai le cul qui me chauffe. Une main tendue vers ma poitrine il me pince fermement un téton. J’aime. Oh ! Oui, j’aime. Mes mains battent l’air comme pour demander grâce. Il me laboure pendant de longues minutes sans jamais ralentir la cadence. Il a vraiment une sacrée endurance le copain et de plus une certaine de maitrise de sa jouissance. Ma résistance à atteint ses propres limites. La tête relevée vers le spectacle de mon enculade, la bite enserrée dans ma main branleuse, je me répands en un geyser de sperme. Mon sodomite s’extrait de mon cul, déshabille sa coquette et à la force du poignet, mêle son sperme au mien. Je suis anéanti par la fulgurance de ma jouissance. J’ai du sperme partout. Du nombril jusqu’au front en passant par les lèvres et même les yeux. Claude, décidément gros consommateur de foutre, entreprend à grands coups de langue, un nettoyage superficiel de mon anatomie.
Malgré son insistance je ne me sens pas la force de l’enculer
Mais ce n’est que partie remise.
Ah ! Si les pissotières pouvaient parler !
Excellent récit gay. Les mots sont judicieusement choisis, l’action est bien décrite, le style est léger, que du bonheur et de la bandaison