ATTENTION TEXTE CONTENANT DE LA SCATO EXPLICITE
Bonjour ! Je ne pense pas qu’on puisse se mettre à faire de la scato, comme ça, du jour au lendemain, à moins qu’on ait des prédispositions, à moins que les circonstances soient particulières, à moins que tous cela se conjugue… Mais lisez plutôt :
Ce jour-là, je suis passée chez elle pour lui emprunter un peu de gros sel et elle m’a offert un verre qui fut vite suivi d’un deuxième… Je sais m’arrêter de boire et c’est d’ailleurs ce que j’ai fait. N’empêche que l’alcool ça désinhibe, j’ai fait alors semblant d’avoir bu un coup de trop, afin de voir si elle allait oser en profiter.
Ça ne loupe pas, elle me dit qu’elle a au cours d’une soirée appris un nouveau jeu très amusant et me propose d’y jouer. Moi très curieuse, lui dis oui avant même de savoir de quoi il s’agissait. Annie explique les règles du jeu qui consistait à me laisser faire quoi qu’il arrive pendant une minute chrono, puis ensuite de répéter tous les gestes qu’elle avait fait, pas trop compliqué jusque-là !
Le jeu commence, elle s’approche de moi tout doucement commence à me déboutonner mon petit haut. Instinctivement je me suis reculé avant de jouer le jeu, c’est le cas de le dire et de me laisser faire.
– C’est encore à moi de jouer ! Me dit Annie, puisque t’as reculé.
On ne va pas la contrarier ! Elle m’enlève carrément le chemisier. A moi de jouer, son haut à elle n’a pas de bouton, je le lui retire donc en passant par la tête !
A son tour de jouer ! Est-ce qu’elle va oser me dégrafer mon soutien-gorge ? Elle me fait un sourire très coquin et elle ose ! Et me voilà les nénés à l’air chez ma voisine de palier !
– Qu’est ce qu’ils sont beaux ! Me flatte-t-elle.
A mon tour de lui dégrafer le soutif ! C’était déjà prometteur, mais là j’ai devant moi une ce ces paires de loches bien dodues terminées par des tétons bruns aux pointes érigées. Maman, je mouille !
– C’est à moi ! Me dit Annie qui cette fois se rapproche un peu plus, elle me donne un baiser plein de chaleur, mon corps est devenu tout mou et tout chaud.
Je lui rends la politesse et me régale de ses gros tétons, Je vais la bouffer, la voisine !
Une minute c’est vite passée et je sens maintenant ses mains chaudes et douces me caresser les seins puis sa langue sur le bout de mon mamelon durci par ses gestes, je ne peux plus résister.
Je ne sais plus trop comment le jeu a évolué ensuite, disons que nous n’avions plus besoin de prétexte.
Une chaleur intense me parcoure tout mon corps. Ses mains glissent sur mon ventre et reviennent à mes seins et ses lèvres sont sur les miennes, tout va très vite. Une main se glisse entre mes cuisses et elle fait pénétrer son doigt avec un mouvement de va-et-vient. Sous tant de caresses mon corps frémit, je me mets à me gémir, ma tête me tourne, c’est si bon
– On va dans la chambre ? Me propose-t-elle !
– On ne joue plus alors !
– On va changer de jeu, on va jouer à broute-minou ! Rigole-t-elle.
On est maintenant nue toutes les deux, je me suis allongée sur le dos, elle se met à quatre pattes au-dessus de moi de façon que je puisse avoir sa chatte au-dessus de mon visage. Je ne comprends pas encore pourquoi, jusqu’au moment où je sens sa langue chaude sur mon clito et son doigt à l’intérieur de moi, elle me demande de lui faire la même chose. Je prends ses hanches entre mes mains et dépose ma langue sur cette chatte toute chaude et juteuse à souhait, c’était si bon que je sens jaillir en moi un désir insoupçonné. Je glisse mon doigt dans son vagin avec un mouvement de va-et-vient, je le retire pour pouvoir faire la dégustation de ce jus chaud.
Et la voilà qui se relève et m’informe qu’elle a une envie pressante.
– Tu viens ? Me propose-t-elle.
Pourquoi devrais-je venir, moi je n’ai pas envie… du moins je le pense pas.
– Je t’attends !
– Tu as tort, il est très beau mon pipi, et aussi très bon !
– Mais je n’en doute pas !
– Viens !
Puisqu’elle insiste… je ne suis pas idiote, je sais très bien ce qu’elle veut faire, et je me surprends à faire ma mijaurée alors que parfois dans mes fantasmes… Pas que dans mes fantasmes d’ailleurs
– Tu veux me pisser dessus ? lui demandais-je
– De la bonne pisse bien tiède… tu voudrais la boire ?
– Pisse moi dessus, ma cochonne !
– Ouvre la bouche !
Je le fais comme dans un rêve !
– Mais non idiote, couche-toi par terre, je vais venir sur ta bouche.
Ben oui évidemment !
Je n’aurais jamais imaginé que sa pisse soit aussi bonne, j’en reboirais !
– J’ai envie de faire autre chose…
C’est ce qui s’appelle un ballon d’essai.
Il faut vraiment que je sois super excitée pour ne pas mettre fin immédiatement à cette proposition scatologique.
– Essaie ! Lui répondis-je partagée entre la crainte que la chose me révulse et la fascination de franchir un tabou.
Elle a le tact se déplacer légèrement afin que je ne reçoive pas son « cadeau » sur la tronche ! « Pas tout le même jour ! » comme me disait ma grand-mère quand elle m’emmenait à la fête foraine.
Un gros boudin sort de son trou du cul et vient atterrir au-dessus de ma poitrine.
Bizarrement, ça ne me révulse pas, mais alors pas du tout, ce joli boudin, je le trouve même attendrissant, ce soit être l’effet de l’alcool. Cela dit, c’est bien joli tout ça, mais on fait quoi, maintenant ?
Annie se redresse, ramasse sa merde dans ses mains, le regarde et rigole à la façon d’une gamine qui vient de faire une grosse farce.
Elle approche l’étron de sa bouche… elle ne va pas faire ça… Si elle le fait, du bout de sa langue elle atteint la merde, me regarde fixement, comme pour me narguer, puis redonne plusieurs petits coups de langue successifs.
– T’as déjà fait ça ? Me demande-t-elle.
– Non ! Jamais !
– Tu veux essayer !
– Non, non vraiment pas !
Elle dépose le machin sur le sol, mais s’en met un peu sur le doigt et s’en badigeonne très légèrement le haut des lèvres.
– Et m’embrasser, tu le ferais ?
Je suis hypnotisée par son audace. Je ne sais comment réagir, mais je m’aperçois qu’au lieu de l’envoyer promener par un « non » énergique, je n’en fais rien. Jusqu’où va m’emmener cette salope ? Je peux encore reculer, je ne fais pas, j’approche mes lèvres des siennes me disant que je peux me reculer au dernier moment.
Un centimètre, peut-être moins, sépare nos lèvres, je respire un grand coup, la jonction se fait, on s’embrasse, j’ai fait ça comme si je m’imposais un challenge, c’est âcre, mais ça n’a rien d’abominable. Je suis excité comme une puce.
Annie prend de la merde et se l’étale sur les seins. Je suis partie dans son trip, et sans qu’elle ne me le demande je lui lèche les tétons, d’abord timidement puis de façon plus hardie.
J’ai l’entrejambe trempée comme une soupe, Annie vient entre mes cuisses, langue en avant sur mon clito et me fait jouir en un temps record.
Je lui ai rendu la pareille, on s’est embrassé, on s’est douché.
J’étais venu faire quoi, déjà chez la voisine, ah oui, chercher du gros sel…
Claire
Un petit plaisir rare
Quand on s’est un jour léché les doigts après les avoir sorti de l’anus… on n’a a qu’une envie : recommencer !
Ce ne serait pas un peu régressif ?
Le terme « régressif » fait partie de ces mots employé de façon péremptoire pour balayer des situations que l’auteur n’approuve pas. En fait ça ne veut rien dire du tout.
Et puis je vais te dire un truc, que ce soit régressif ou pas j’en ai rien à cirer, j’assume mes fantasmes et ne me pose pas de question sur ce qu’ils sont ou sur ce qu’ils ne sont pas
Trop puissant ton récit, ça me donne des envies et je laisse deviner lesquelles.
Un tabou difficile à briser, moi j’adore regarder ma copine chier un bel étron
Absolument dégueulasse, mais j’ai adoré et me suis bien branlé
La preuve qu’on peut faire de la scato décontractée et excitante Bravo Claire
Délicieusement pervers, ça m’a fait bander !