Cidreville par Maurice2
Il me vient l’envie de vous raconter l’une de mes toutes dernières aventures, celles avec Solange et Marie-Thérèse !
Mais tout d’abord, laissez moi vous parler de Solange :
J’ai usé mes fonds de culotte avec Solange Lebas à la communale de Cidreville, un gros bourg de Normandie que j’ai quitté voilà bien longtemps.
Mon premier flirt, c’est Solange ! Le premier « touche-pipi », c’est encore avec elle ! Elle devint plus tard ma petite copine, puis ma petite amie par alternance !
Par alternance, parce que je préférais déjà de loin une fille de petite vertu avec moins de charme, voir pas de charme du tout, à ma chaste Solange ! Pourtant elle avait déjà de sacrées prédispositions ! Mais ses parents la surveillaient de près et veillaient jalousement sur le petit capital qu’elle avait entre les cuisses.
Et en parlant de capital, riches cultivateurs, les parents de Solange étaient bien nantis !
A 18 ans, Solange s’est retrouvée mariée avec François Lévêque, il en avait presque 35 !
Le père Lévêque, Jules de son petit nom, désespérait de trouver une femme pour son fils ! Il ne manquait plus que ça pour qu’il l’installe sur les terres de son frère qui venait de mourir d’une embolie. C’était le premier des Lévêque qui n’avait pas trouvé à se marier le pauvre, et du coup il noyait son chagrin dans le cidre et plus qu’accessoirement dans le calvados.
Il fallait que la promise soit de la campagne, on ne s’improvise pas cultivatrice. Oh ce n’était pas les candidates qui manquaient, François était ce qu’on appelait « un bon parti » avec La Gravélière, la ferme de feu le tonton, dont il avait hérité ! Mais il fallait surtout qu’elle soit bien dotée !
Dans les campagnes, on est intransigeant là-dessus. Et chez nous pour ne pas être trompé, on consulte deux personnes : Le notaire et le curé.
Le notaire aurait bien vu la veuve Dubois, Fernande ! Elle avait perdu son mari de fraîche date et il lui laissait une petite exploitation agricole dont les terres jouxtaient idéalement celles de La Gravélière.
Le curé approuva, la Fernande Dubois c’était une bonne paroissienne, elle était travailleuse et s’y entendait à faire reluire… sa maison. A 41 ans, elle avait déjà fait huit gamins, et elle était grosse ! (Expression de chez nous pour une femme enceinte) Ça en avait d’ailleurs étonné certains car son pauvre mari avait 76 ans. Ça en avait rassuré d’autres… ! En précipitant un peu le mariage, elle n’aurait son neuvième qu’après la cérémonie !
Ce que ni le curé, ni le notaire ne savaient, c’était que la mère de Fernande Dubois avait été domestique chez les Lévêque et que par accident, la Fernande, c’était soit la demi-sœur du François, soit sa cousine. Ni Jules, ni feu son frère René ne pouvaient en jurer, ayant pour habitude de tout partager… L’affaire avait été bien étouffée à l’époque moyennant finance.
On voyait bien des familles marier cousins-cousines mais Jules ne plaisantait pas avec ça. Non, ça là-dessus Jules était intraitable…
Il avait été bien embarrassé d’avouer ça au curé ! Il en fut pour une révélation pénible, mais pas au confessionnal, le curé n’hésitait pas à se rendre chez ses paroissiens, comme ça il repartait avec une douzaine d’œufs. Pour les cas sérieux comme celui-là, il demanda un jambon en échange de son absolution. Il infligea aussi un Avé et deux Pater à Jules ….
Le notaire fut beaucoup plus compréhensif. De toute façon, tout le monde sait qu’avec les boniches… Chez lui, nombre de ses bonnes ont été renvoyées par sa femme avant qu’elle ne trépasse, pour des motifs qui n’avaient rien à voir avec la lessive ou le ménage ! Un chaud lapin le notaire…
Tous les trois ils se réunirent de nouveau, discrètement dans l’arrière-salle du café pour étudier la situation. Ils durent conclure que dans le canton, les filles de paysans bien dotées, il n’y en avait pas à marier ! Pas tout de suite en tout cas et l’affaire était pressante. François pourrait bien terminer vieux garçon comme son oncle. Ça devenait courant dans les campagnes. Jules, il aimait bien son garçon, il ne voulait tout de même pas que seul, en plus de son travail d’homme, il doive traire les vaches, vider les étables, nourrir les cochons et s’occuper de la basse-cour ! Il fallait lui trouver une femme à tout prix !
– On pourrait passer une petite annonce dans Le Chasseur français, proposa le notaire.
– Ou dans La Vie Catholique ! A moins que… Le curé se souvint tout à coup de la dernière confession de Solange Lebas, la fille de Blanche.
Elle lui confessa des pratiques solitaires que l’Eglise réprouve encore quand ça la chatouillait entre les cuisses ! Et parfois même elle usait directement de la main non moins salvatrice de son petit ami Momo… Les trois hommes hochèrent la tête. La Solange Lebas qui fricotait avec Momo ! On ne mélange pas les torchons avec les serviettes en Normandie. Si les parents savaient ça, elle serait mariée tout de suite la jeunette.
Le confesseur précisa que la petite Solange n’avait toute fois pas encore commis l’irréparable avec le gredin !
– Un sacré garnement le Momo ! Toujours dernier au catéchisme quand il était gamin, et je ne l’ai d’ailleurs pas vu souvent à la messe, ajouta le curé.
– Si Maurice a fini son apprentissage à Saint-Truc, c’est parce que son patron, le boulanger d’en face l’église l’a surpris entre les cuisses de sa femme dans le fournil pendant l’heure de la sieste, enchaîna Jules Lévêque en rigolant. Au moins, maintenant qu’il l’a fait embaucher comme mitron à 50 kilomètres, il peut dormir tranquille !
– Ah le saligo ! C’est pour ça que Madeleine ne passait plus à l’étude me livrer mon pain l’après midi comme d’habitude !
Momo vous avez compris, c’était moi. Maintenant, on m’appelle Monsieur Maurice ! Pour ma défense, je dirais simplement que la boulangère avait de belles miches et qu’elle préférait un petit jeune vigoureux et bien fringant à un notaire émérite mais essoufflé.
Il y avait tout de même un gros problème, les Lévêque et les Lebas ne pouvaient pas se voir !
Le curé et le notaire connaissaient l’histoire, ça ne datait pas d’hier !
Avant la guerre, tout avait commencé par une bagarre entre l’arrière-grand-père Lebas et l’arrière-grand-père Lévêque. L’ancêtre de François était cassé en deux à force de travailler la terre, mais on disait aussi que c’était à cause du poids des cornes que lui avait planté Lebas qu’il était voûté !
Et puis pendant la guerre, les Lévêque, c’était Pétain ! Et les Lebas, c’était De Gaulle !
Jules Lévêque avait même failli se faire communiste, rien que pour emmerder Lebas, mais Le Parti n’en avait pas voulu ! (Par contre, il ne lui a jamais remboursé sa cotisation) Aux dernières élections il s’est inscrit sur la liste Front Cantonal alors que Lebas, le maire sortant était sur l’autre.
– Bon, je me charge de Blanche, elle m’écoutera ! Dimanche après la messe, je vais lui parler de sa fille, décida le curé ! Pas un mot sur ce que je vous ai dit, faudrait quand même pas que Blanche l’apprenne par quelqu’un d’autre qu’un homme d’Eglise….
– Ça fera un beau mariage, renchérit le notaire ! Les deux familles réunies, c’est plus de la moitié de la commune dans la même main ! Moi je vais trouver le père Lebas et lui parler de Momo. Quand il s’agit des intérêts de nos enfants, on a vite fait de passer l’éponge sur les vieilles histoires de fesses, ou de politique, pas vrai Jules !
– Ah ça pour sûr !
Je ne reçus pas de faire-part d’invitation pour la cérémonie, mais un petit mot signé Solange :
« Vendredi, 15 heures, hôtel de La Laitière Normande, en face de la préfecture. »
Solange attendait, elle fumait nerveusement. Elle s’était dissimulée derrière de grosses lunettes de soleil malgré la pluie ce jour là.
– Tiens, tu fumes maintenant ?
Elle m’entraîna sans dire un mot, demanda une chambre et signa le registre sous un faux nom. Le réceptionniste me fit un clin d’œil discret, et faillit faire une gaffe : Une bouteille de champagne, comme…Il aurait ajouté « d’habitude », je le tuais sur place !
J’étais un des rares mais fidèle client de l’hôtel l’après-midi : Joséphine, la femme du directeur des haras, bien qu’ayant largement dépassé la quarantaine m’y emmenait trois fois par semaine. Fière de sa personne, et de son mignon elle signait le registre de son nom : De Beauharnais et précisait l’adresse aux haras ! Toute la ville était au courent, ce qui me valut une certaine notoriété dans la bourgeoisie locale.
Une fois dans la chambre, Solange enleva ses lunettes qui cachaient des yeux rougis. Elle m’apprit qu’elle se mariait le lendemain. Tu parles d’une surprise !
– Alors avant, prends-moi !
Elle se débarrassa de sa robe en un tour de main et s’allongea sur le lit, gardant son soutien-gorge et sa culotte !
Debout devant le lit, je la regardais, prenant tout mon temps, savourant même de la faire languir. Depuis le temps où j’attendais ce moment !
Elle avait un soutien-gorge à armature, celui qui croise, un sacré maintien ! Quant à sa culotte ! Mon dieu ! Depuis la première fois où j’avais vu sa culotte, c’était le même modèle : Coton blanc molletonné, fond doublé grande absorption, emmaillotement maximum, confort garanti !
Elle sembla lire mes pensées et dégrafa son soutien en se contorsionnant.
J’ai toujours été fasciné par la poitrine de Solange et j’ai du bien longtemps m’en contenter : D’abord deux petits dômes avec des petites pointes sensibles quand j’y touchais. A l’époque, elle mettait des maillots de corps sous ses chemisiers, c’était facile de les atteindre ! Plus tard, c’est devenu deux petites poires terriblement dures. Ses tétons étaient plus érectiles, mais elle portait ses premiers soutien-gorges, ce qui les rendaient moins accessibles car il était hors de question de dégrafer la cuirasse ! Et les petites poires ont mûri !
J’avais devant moi deux superbes fruits fermes, mûrs à point, prêts à être croqués, que Solange exposait certainement pour la première fois.
J’aurais parié qu’elle allait en rester là et qu’elle se serait réfugiée sous le drap ; J’aurais perdu !
Elle sembla se forcer un peu, mais continua en me regardant bien dans les yeux. Sa culotte vola au pied du lit ! Sa toison n’était pas trop épaisse, mais jamais lame de rasoir n’était venu mettre un peu d’ordre dans son arrangement.
Elle serrait les cuisses ! Puis, prenant sa respiration, elle les entrouvrit.
Jamais je n’avais vu le chaton de Solange ! Si, une fois, on était gamin et on s’était juste montré nos différences. Nous avions été tous les deux étonnés, elle de mon petit tuyau qui pointait au bas de mon ventre et de mes deux petites noisettes, moi de sa fente serrée ! Mais comme ni l’un ni l’autre on n’avait de poils, ça ne compte pas.
Je l’avais bien touchée un peu, mais par-dessus la culotte et elle guidait ma main. Interdit de glisser ne serait-ce qu’un doigt sous l’élastique ! Parfois culotte est synonyme de blindage ! Moi je ne lui ai jamais rien interdit, bien au contraire ! Résultat, Solange repartait la culotte mouillée et la main gluante.
Grand-dieu ! Je voyais pour la première fois ses grandes lèvres entrouvertes, les deux languettes roses et humides de ses nymphes et dans le haut, une petite boule de chair appétissante !
– Ne me fait pas attendre !
En un rien de temps je me retrouvais entièrement nu, le sexe dressé, le gland décalotté et baveux à souhait.
Je me suis étendu sur elle, léchant ses petits tétons l’un après l’autre, tandis que sa main, saisissant ma bite, l’introduisit directement dans sa cramouille chaude et trempée.
Je sentis une petite résistance, puis ma bite s’enfonça progressivement dans ce conduit étroit… Rien à voir avec l’impression d’être littéralement avalé à l’intérieur comme avec la boulangère ou pire, avec Joséphine De Beauharnais ! C’était doux et chaud, humide à souhait …Elle se mit à gémir doucement, au rythme de mes va-et-vient. Elle transpirait, son corps tremblait. Elle ouvrit davantage les jambes, les refermant sur mon dos, m’empêchant de bouger et je sentis ses chairs se resserrer, se desserrer, se resserrer encore.
– Viens maintenant, viens… Ne t’en fais pas. Tu crois que demain, le François il va se gêner !
Je sentis mon sperme monter dans ma bite et gicler dans son ventre Tous les muscles de son corps se contractèrent simultanément. Elle émit un long râle…
On resta longtemps comme ça, sans bouger puis elle m’embrassa, un simple baiser sur la bouche, rapide, furtif et elle se dégagea.
– Merci mon chéri !
Sans même passer par la salle de bain, elle renfila sa culotte, puis sa robe, enfournant son soutien-gorge dans une poche de son manteau et se précipita sur la porte.
– C’est toi que j’aime…et elle sortit.
Par la fenêtre, je la vis s’éloigner… Une large tâche de sang et de sperme s’étalait bien visible au milieu du lit que nous n’avions même pas défait.
Le lendemain, j’étais à Cidreville. Pour la photo de famille sur le parvis de l’église, d’un côté les Lévêque, tous plutôt grands. De l’autre les Lebas. La mine bien rouge de tous témoignait qu’on était au pays du calvados. Au milieu François, un grand brun voûté et Solange qui cachait sa mélancolie derrière son voile blanc.
Au dernier rang, le notaire et le curé.
Solange me vit alors que discrètement je me tenais à l’écart et haussa les épaules. Mon ancien patron qui m’avait vu aussi s’approcha.
– Ben di-donc, mon gars, ça dé t’faire quéque chose d’voir la Solange avec l’François ? C’était ti pas un mïo ta copaine ? J’cré bi qu’on peut s’serrer la main à nié ! (1)
En version française : « Et bien dis-moi donc, mon garçon, ça doit te faire quelque chose de voir Solange avec François ? N’était-ce pas un peu ta petite amie ? Je crois que nous pouvons nous serrer la main aujourd’hui ! »
Je suis parti bien loin, sans laisser d’adresse, juste après ce mariage
2ème partie
Je n’étais pas revenu depuis des années à Cidreville. Je flânais.
– Momo, eh Momo ! Mais qu’est-ce que tu fais là ?
Ça faisait belle lurette que personne ne m’appelait plus ainsi. Je me retourne sur une femme d’une quarantaine d’année : Solange !
Elle se précipite, s’arrête à quelques pas pour m’observer et hésite…
– Alors, tu ne me fais pas la bise !
Elle était pressée, mais on avait tellement de chose à se raconter que rendez-vous fut pris pour le soir même ! Je la regardais s’éloigner, ses fesses se balançant langoureusement dans un pantalon moulant, je me sentais un peu bizarre. Elle est toujours sacrément bien foutue ! Pendant notre rapide conversation, j’ai détaillé Solange, ses cheveux, ses yeux, sa bouche, son décolleté. A chaque fois qu’elle se penchait, il laissait apparaître le début de sa poitrine !
Un peu avant 20 heures, j’arrivais à la Gravélière. Plus rien à voir avec ce que c’était. Les vieux bâtiments agricoles avaient disparu, ne laissant au milieu d’un parc arborisé qu’une l’habitation abondamment éclairée et une piscine. Le portail s’ouvrit automatiquement et Solange sortit à ma rencontre, tout sourire.
Re-bises… Je m’attendais à voir arriver son mari avec un peu d’anxiété. J’osais :
– Et François, comment il va ?
Solange éclata de rire !
– François va bien, mais on n’habite plus ensemble. Je crois que je te dois quelques explications, mais entre !
L’intérieur était luxueux, chaud, avec de magnifiques meubles rustiques… Solange m’invita à m’asseoir dans un fauteuil et s’assit en face de moi. Elle me laissa ouvrir une bouteille de champagne qui attendait dans la glace avec trois flûtes.
– Pour fêter nos retrouvailles ! Mon amie m’a prévenue, elle sera en retard, elle est retenue à l’usine. C’est ma directrice des ressources humaines et elle est encore en rendez-vous, un entretien d’embauche, mais on ne va pas l’attendre, elle nous rattrapera.
– Ton amie ?
– Oui, Marie-Thérèse !
Et Solange de me raconter 20 ans de vie à Cidreville :
» François, il aurait voulu me faire traire les vaches, que je m’occupe de la porcherie, sans parler des poules, des lapins, de la lessive, des repas et de l’entretien de la maison … pendant qu’il regardait l’herbe pousser et faisait le fier sur son tracteur ! En plus, il s’était mis en tête de m’engrosser toute suite !
Les enfants au début ça coûte, mais ça devient vite utile à la ferme, disait-il !
J’ai fait mes bagages et je suis partie vivre à Paris ! Lui, il est resté avec son élevage. En plus, il n’a jamais été aussi vigoureux que ses taureaux… Tu sais, on reparle toujours du poids des cornes sur la tête des Lévêque !
Je suis revenue au bout de 6 mois, le temps qu’il comprenne… ! Et aujourd’hui je m’occupe d’arboriculture, la pomme c’est toujours ce qui fait la notoriété de Cidreville ! J’ai maintenant une usine, la cidrerie X (L’auteur se refuse de faire toute publicité pour une marque de boisson alcoolisée, mais précise cependant que le cidre et surtout le calvados X jouit d’une réputation internationale fort méritée) … Tu vois, ça marche bien ! »
Effectivement, je compris pourquoi Solange m’avait dit qu’elle vivait bien ! Elle continua :
» Tu te rappelles la veuve Dubois, celle qui a la petite ferme à côté de La Gravélière ! Elle avait accouché de son neuvième trois semaines après notre mariage. Elle en a eu encore un ensuite ! C’était une bonne paroissienne, elle était toujours fourrée à l’église… et bien ses deux derniers, ils ressemblent comme deux gouttes d’eau au curé. Aussi rouquin que notre bon ecclésiastique »
– Et le notaire
– Le pauvre est mort, dans son lit, d’une crise cardiaque ! Ça faisait seulement deux mois qu’il employait Marie-Thérèse »
A la troisième flûte de champagne, Solange s’était installée en travers sur son fauteuil et sa robe était remontée sur ses jambes, jusqu’en haut des cuisses. Deux boutons du haut étaient ouverts !
– Ça fait vraiment plaisir de te revoir !
Sa main me caressa la joue, rapidement, et m’entraîna dans la pièce à côté.
– Allez, viens, on passe à table, moi j’ai faim. Tu as changé, mais tu es toujours aussi bel homme Momo ! Est-ce que toutes les femmes te courent toujours après ?
– N’exagère pas ! Toi, tu es encore plus belle qu’avant !
– J’essaie de m’entretenir, c’est tout.
Nous étions troublés tous les deux. Elle souriait béatement, moi je repensais à la jeune fille que j’avais dépucelée. Dans mon caleçon mon sexe était devenu très dur. Elle, ses seins pointaient à travers la fine robe.
– Tu ne changes pas, tu n’arrêtes pas de mater mes seins. Lève-toi un moment !
Impossible de lui dissimuler que je bandais comme un âne !
– Là je suis flattée ! Viens…
Nous sommes retournés au salon. Cette fois nous nous sommes embrassés longuement. Ses seins finirent par m’apparaître dans l’écrin un soutien-gorge blanc à balconnets. Solange passa ses mains derrière son dos et le soutien-gorge tomba au sol.
Un peu tombants quand même, moins fermes… Mais si délicieux à caresser, ses seins étaient toujours aussi sensibles ! La robe de Solange glissa le long de ses cuisses… Les deux cordelettes très fines d’un string blanc, qui lui rentrait profondément dans la raie des fesses, enserraient des hanches pleines et gracieuses.
Je fis glisser le string et ma Solange m’étonna encore : Complètement rasée, à l’exception d’un tout petit triangle au bas du ventre. Son petit minou était devenu une grosse et belle chatte, avec des lèvres épaisses et un clito déjà bien turgescent.
– Arrête, à toi maintenant, déshabille-toi !
A genoux sur le fauteuil elle prit mon sexe dans sa main :
– Quelle bite ! Tu es vraiment bien monté mon salaud !
Et elle commença à le lécher. Ses mains étaient plaquées contre mon cul, sa langue courait lentement le long de ma hampe, jusqu’aux couilles ! Ouvrant grand la bouche, elle m’avala au fond de sa gorge… C’était bon !!! Tellement que n’ayant pas eu envie de jouir trop vite, je finis par retirer ma bite de sa bouche qui pour la première fois me suçait !
– Attends, on change !
Je l’ai allongée sur le canapé, lui écartant les jambes. Elle se mit rapidement à mouiller, à dégouliner même ! Son clitoris réagit comme je m’y attendais, tant sous mon doigt que sous ma langue. Quant à sa chatte, j’y introduisis un doigt, puis deux, Solange remuait dans tous les sens !
Je veux ta bite dans ma bouche pendant que tu me lèches. Lève-toi.
Ce fut encore une première ! La sensation était très douce et très excitante ! Nos corps s’emboîtaient parfaitement. La langue de Solange me caressait, me léchait et me pompait le gland tandis que la mienne s’engloutissait dans sa chatte ou suçotait son clitoris. Il ne fallut pas longtemps avant qu’elle ne commence à vibrer et moi à frémir !
Dans un ensemble parfait, un de nos doigts s’insinua dans le petit trou du cul de l’autre ! Alors là !
Elle se trémoussait, son cul dansait entre mes mains… Et elle jouit ! J’avais de la cyprine plein la figure, une vraie fontaine la Solange !
– Oh c’est aussi bon qu’avec Marie-Thérèse ! Tu m’as gâté mon Momo !
– Attends, ça ce n’est que le début !
J’attrape un coussin qui se trouvait là et le place sous ses fesses. Pour les grandes occasions, autant faire les choses bien et puis c’est vrai qu’on est plus de la toute première jeunesse, il nous faut du confort !
Solange se laisse installer. Ses yeux étaient tout aussi brillants que sa chatte.
– Mais qu’est-ce que tu me fais faire comme acrobatie, demanda Solange ?
– C’est rien, ma chérie, maintenant laisse-toi aller !
Je m’installe face à Solange, entre ses jambes qu’elle relève spontanément, je lui roule un patin délicieux, lent et long et dirige ma bite bien dure est très enflée entre ses nymphes gluantes. L’entrée de son vagin est étroite, mais après ma séance de léchouille ça rentre !
– Oh doucement, je… je n’ai pas trop l’habitude, tu es gros !
– Tu vas voir, ça va être autre chose qu’avec ta copine !
Une fois bien au fond, je laisse à Solange le temps de s’habituer et commence doucement, tout doucement à bouger. Elle se détend…
Et je monte un à un tous les rapports, je la lime à fond, j’accélère encore. Moi qui dis toujours que j’aime les femmes rapides et les belles voitures, là je drive une Formule 1 ! Et elle se met à gémir, doucement, en rythme ! Puis ce sont des » Ouiii » passionnés ! Un flot de cyprine déborde de son con et me coule sur les couilles.
Ça va, je garde le rythme. Il s’agit de tenir la longueur. Le gong qui signale la fin du premier round retentit, je sens qu’elle explose une première fois. Moi je serre les dents.
– Tu vas voir, cette fois si tu ne vas pas te contenter d’un » c’est aussi bon qu’avec Marie-Thérèse ! »
Je lève un peu le pied, la laissant retrouver un peu d’air. Moi je suis bien ! J’ai une pensée pour Joséphine De Beauharnais, l’abonnée de l’hôtel de La Laitière Normande ! » Reprend ton souffle gamin, mais ne t’arrête pas. Le plaisir d’une femme, c’est comme un soufflet : si on le sort du four trop vite, il s’écroule ! »
Je te sens mieux, tu as réouvert les yeux. Maintenant, je vais te la mettre dans ton petit cul !
– Tu vas me sodomiser ! Oh non, tout de même tu ne vas pas m’enculer !
J’empoigne fermement ses cuisses et les relève. Je lui replace le coussin et son petit trou se positionne idéalement. Il est tout mouillé de cyprine, tout luisant.
Je te sens anxieuse, mais tu es tellement excitée… Mon gland entre en contact avec ton petit orifice et je commence à faire pression. Tu es serrée dis donc ! Tu me prête complaisamment tes mains pour t’écarter les fesses, tu gémis. Ma bite force et d’un coup ton sphincter cède, tu émets un premier râle. Lorsque j’arrive au fond, tu cries, puis je reprends les va-et-vient, dans ton anus. Mon sexe est gonflé à l’extrême. Toi, tu remues tellement le cul que je suis obligée de te bloquer en m’appuyant de tout mon poids sur toi.
– Putain, ça fait mal … ! Salaud… ! Ta bite est énorme… !
Mais ton petit trou se dilate, mon sexe coulisse de mieux en mieux, et toujours plus vite…
– Bourre-moi le cul, Momo, oh oui, comme ça ! Putain que c’est bon.
Et là je me déchaîne ! C’est le sprint après le dernier virage, je vois la ligne d’arrivée, je donne tout ! C’est olympique !
Un violent spasme te secoue, je sens quelque chose de chaud qui éclabousse mon ventre, là c’est bon, je peux y aller, j’ouvre les vannes moi aussi… Je jouis… ça déferle à gros bouillon dans les profondeurs de ton cul, longtemps. L’extase totale ! Quel pied !
Il est loin ton petit soupir de lycéenne après un touche-pipi ! Rien à voir avec le cri plus ou moins simulé de l’épouse fidèle, ni encore avec le meuglement de la maîtresse adultère !
Solange, toi tu rugis, tu peux toujours mettre la stéréo à fond, la techno à côté c’est une berceuse. Richard Wagner, il lui fallut rassembler les Maîtres Chanteurs de Nuremberg (1861-1867) au grand complet pour faire autant de boucan ! Les voisins, ils sortent sur le palier et discutent pour savoir s’il vaut mieux appeler en premier la police ou la SAMU ! Le lendemain, ils t’envoient une lettre anonyme… avec une enveloppe timbrée pour la réponse, les maris sont frustrés et leurs femmes jalouses, ils veulent savoir, ils veulent comprendre, faut que tu t’expliques, écris à Vassilia ! Quand tu jouis, c’est tapage nocturne et outrage aux bonnes mœurs ! Moi je dois t’avouer que je n’ai jamais vu rien de pareil !
Tu reprends doucement tes esprits. Tu es écarlate, les cheveux collés par la transpiration. Remarques, je ne dois pas être mieux…
– Oh ! Je crois bien que j’ai fait des bêtises !
Sans parler du coussin qui était aux premières loges, le canapé est inondé et ça dégouline sur le tapis haute-laine ! Et quand tu te lèves, à la cyprine et à l’urine vient s’ajouter mon sperme qui suinte de ton anus encore dilaté !
J’entends soudain une voix derrière moi. Je n’ai même pas le temps de me couvrir !
– Tiens Solange, une boite de kleenex et une serpillière !
– Tu étais là ?
Surprise mais pas gênée, Solange s’est retournée en même temps que moi.
– Oh je viens d’arriver, mais je ne voulais pas vous déranger ! Tu me présentes ?
– Maurice, je te présente Marie-Thérèse, dite Tété ! Tété, je te présente Maurice ; un homme bien sous tous rapports !
Solange avait gardé le sens de l’humour. Tété comprit tout de suite l’allusion !
– Alors c’est toi le beau Momo de Solange ! Le fameux petit garçon de la communale, la terreur des boulangers… (Par modestie, l’auteur ne s’étendra ni sur ses exploits passés, ni sur les présents) Celui qui a planté les premières cornes sur la tête de son mari la veille de leur mariage ! Elle m’a dit qu’elle t’a rencontré ce matin par hasard à Cidreville !
– Cela faisait au moins vingt ans qu’on ne s’était pas vu, ajouta Solange. Alors on avait des tas de choses à se raconter ! Justement, j’allais expliquer à Momo pour nous deux !
On s’embrasse ! Et Tété me fait directement un smart sur la bouche.
– Excusez-moi pour la tenue. Si vous le permettez, je vais m’habiller !
– Oh ne te gêne pas pour moi… ! Dit-elle en considérant mon sexe encore gonflé. Et puis tu n’as plus vraiment grand-chose à me cacher !
– Tu sais Tété, ça faisait des années que je n’avais pas été sodomisée, quel putain de pied… !
– Quand je repense aux 400 coups qu’on a fait Solange et moi ! Maintenant, nous sommes devenues sages, me dit-t-elle en souriant.
– Oh, sages, sages, c’est un bien grand mot ! On est encore capable de déconner un peu, non ? Lance Solange qui revenait avec le champagne.
– Oui, on n’a pas complètement perdu la main…
Nous trinquons tous les trois puis je me tourne vers Solange et lui murmure :
– Il vaut mieux que je m’en aille non ?
– Pas question ! Tu n’as pas envie de deux nanas pour toi tout seul ? La soirée ne va pas s’arrêter là. Et pour une fois qu’on a un homme à la maison… ! Elle ne te plait pas Tété, ou elle te fait peur ? Mais rassure-toi, à moins que tu ne sois devenu notaire… !
Grosse poitrine, cul large, cuisses charnues, presque grasses, chatte juteuse et poilue, Marie-Thérèse était loin d’avoir le charme de Solange ! Cependant, comme beaucoup d’homme, l’amour à trois, pour une fois que l’occasion se présentait ! Et j’étais en pleine forme ! (Par modestie, l’auteur ne s’étendra ni sur ses exploits passés, ni sur les présents – bis)
Ma verge qui s’était tout de même un peu ramollie retrouva sa vigueur dans la bouche de Tété…
Fin
Tout est dans le ton, et ce ton est bon 😉
Du sex décontracté du gland comme je l’adore
Tranche de rire et bandaison ! Tout va bien !
La bonne gauloiserie, y’a que ça de vrai
J’ai eu bien du plaisir à lire cette histoire. J’aurais aimé assister à la partie à trois mais peut-être une suite ?
De la bonne gaudriole bien racontée