Chalet de fantasme 1 – Tommy par Sylvain_Zerberg

Chalet de fantasme
1 – Tommy
par Sylvain_Zerberg

Bonjour ! Au moment où commence ce récit, j’avais 23 ans, célibataire. J’ai les yeux bleus « royal », les cheveux bruns, je mesure 1 m 75

Un jour je me promenais dans la forêt en V.T.T.,quand .soudain j’aperçus un mec avec son engin pris dans la boue. Je descendis, ôtais mon casque et lui proposais mon aide, il hésita et me répondit « oui ». C’était un beau mec assez fin, cheveux blonds et yeux bleus, un peu plus grand que moi

Il me donna une corde pour que je puisse tirer avec mon véhicule, je l’attachai et il alla pousser à l’arrière, on le sortit de la boue tout de suite. Il était content et il me remercia :

– Je m’appelle Tommy, je me rends au chalet de mon père ! Je devais y passer le week-end avec un ami, mais il m’a fait faux bond au dernier moment, je risque de m’ennuyer un peu tout seul ! Ça te dirait d’y passer prendre un verre ? Pour te remercier du service !

– Heu, j’ai quelques bricoles à faire en rentrant, mais si ça te convient je peux passer vers 18 heures

Ce jeune homme me paraissait assez ambigu, il avait parlé de passer le week-end avec « un » ami, peut-être était-il homo ? Moi je ne le suis pas mais parfois dans mes fantasmes, il m’arrive de m’imaginer être avec un homme, et puis j’ai eu quelques rares occasions que je n’ai absolument pas regrettées. « On verra bien », me dis-je.

En fin d’après-midi je me rendis donc à ce chalet dont il m’avait donné l’adresse. Chalet, façon de parler. Celui-ci devait être environ deux fois plus gros que notre maison. Je sonnais, et comme personne ne répondait, je tournai la poignée, elle n’était pas fermée à clé, j’entrais donc, c’était vide… mais très vite un cri me rassura :

– J’arrive !

Je vis Tommy descendre les escaliers avec une serviette autour de la taille, il dit :

– Désolé ! J’étais sous la douche !

Je ne fantasme pas sur les mecs torses nus mais il faut bien avouer que son corps entièrement rasé et ses gros tétons bruns ne me laissaient pas complètement indifférent.

– Un jacuzzi ça te dirait ?
– Jacuzzi ?
– Oui on a un jacuzzi.
– Je n’ai pas de maillot !
– Tu n’as qu’à te mettre à poil !
– Heu… Hésitais-je
– Mais soit rassuré, je vais me mettre tout nu aussi, comme ça tu seras plus à l’aise, alors d’accord ?
– O.K. !
– Bon, tu peux te déshabiller, je vais préparer tout ça…

Je me mis nu près du radiateur car ce chalet n’était pas très bien chauffé et il commençait à cette heure-là à faire froid à l’extérieur (nous étions en automne). Tommy était toujours en serviette et il n’avait l’air nullement gêné de ma nudité. Par contre moi je me sentais un peu confus, car jamais un autre gars ne m’avait vu nu. Il dit :

– Ne soit pas gêné, on est tous fait pareil !

Mouais, admettons…. Son corps était parcouru de frissons et le mien aussi alors il m’invita à m’installer. Je trempai un pied dans le jacuzzi, c’était bouillant, alors j’allais m’asseoir dans le fond. Tommy enleva enfin sa serviette et je fus impressionné par la beauté de son engin et de ses testicules. De façon complètement inattendue et incontrôlée je développais une belle érection que je m’empressai de cacher entre les bulles du jacuzzi.

Tommy entra à son tour et on se mit à discuter de tout et de rien, il m’expliqua que son père était chirurgien (voilà qui expliquait la taille et le luxe du lieu) Je me rendis compte aussi que nous avions beaucoup de points en commun. Il avait un de sens de l’humour assez développé ce qui rendait la discussion véritablement très agréable.

Une heure plus tard, nous étions encore là, et bien sûr mon érection n’était plus qu’un souvenir. Tommy sortit et me proposa de rester pour le dîner ! J’acceptais ! Le chauffage fonctionnait mieux à présent et on ne revêtit que nos pantalons.

Il me prépara un grand plat de spaghettis arrosé de vin rosé. On traîna pas mal à table. Il ne parlait pratiquement pas de lui, mais je cru comprendre qu’il n’avait pas de copines et qu’il sortait souvent avec des garçons, mais il ne faisait aucune allusion sexuelle. Puis il me proposa de finir la bouteille dans le salon devant la télé. Je ne suis pas trop télé mais je me dis qu’il avait peut-être l’intention de nous passer une vidéo ? C’est à ce moment-là que je commençais à me dire que si le programme de la soirée ne me convenait pas je prétexterais une fatigue subite pour prendre congé…

Nous n’étions pas installés depuis dix minutes qu’un orage électrique éclata et le chalet se retrouva sans lumière. Que faire, il y avait tout ce qu’on peut imaginer dans ce chalet mais pourtant il n’y avait pas de groupe électrogène. Tommy enfila alors un blouson et alla chercher du bois pour mettre dans la cheminée. Je sortis avec lui pour l’éclairer avec une torche électrique. Je ne sais alors comment il s’y prit, sans doute voulut-il transporter trop de bois, toujours est-il qu’il se plaignit soudain d’une fulgurante douleur dans le dos et qu’il lâcha son bois. Je le lui ramassais et le rentrais, puis sous ses instructions je procédai à l’allumage.

Tout cela pour rien ! L’électricité revint aussi subitement qu’elle avait disparu ! Tommy se plaignait toujours de son dos. Alors je lui proposai un massage. Il accepta et m’indiqua qu’il possédait des huiles qu’il m’expliqua où prendre. J’ouvrais donc le placard indiqué, et là, la première chose que je vis fut un joli godemiché ! Il était posé sur un petit tas de revues, j’en extrayais une, il s’agissait de magazines gays avec des photos très explicites, une bosse se forma dans mon pantalon, je ne pouvais pas m’attarder, mais d’un autre côté je me dis que Tommy savait pertinemment ce qu’il faisait en m’envoyant ici. Je sus alors que la suite risquait d’être chaude… à condition que je le veuille…

Quand je revins avec l’huile, Tommy s’était débarrassé de ses vêtements et s’était couché sur le ventre sur le tapis du salon. Je me mis alors à genoux par-dessus son joli petit cul bombé et j’entrepris de le masser aussi bien que je n’avais jamais fait. Je recommençais à bander comme jamais. Au bout de dix minutes, il me dit :

– Bon, tu peux arrêter, tu m’as fait ça super bien, mon dos va un peu mieux !

C’est à ce moment qu’il remarqua mon érection à travers mon jean. Maladroitement je me tournais pour essayer de la cacher !

– Dis donc, c’est mon cul qui te fait bander comme ça ?

Que répondre ! J’étais rouge de confusion !

– C’est pas grave, au contraire ! Ajouta-t-il.

J’étais toujours incapable d’aligner un mot.

– On est à 8 km dans les bois, personne ne peut nous surprendre ! Alors si tu es d’accord pour qu’on se laisse un peu aller, moi je suis partant ! Reprit-il encore. Allez viens, on va s’installer sur le canapé !

Comme un automate j’allais m’asseoir, il me rejoint. Mon regard était scotché sur sa bite. Il rapprocha son visage du mien et commença à me lécher l’oreille. Je mis alors mes mains sur son torse et caressais ses tétons, il avait l’air d’apprécier, et sans que je sache comment on en arriva là, on s’échangea un long baiser avec la langue. Puis il se leva et me proposa !

– Allez, on s’amuse, mets-toi à poil et viens me pomper le dard, tu en meurs d’envie !

Je me jetais à l’eau ! Toutes mes inhibitions avaient disparu et je retirai donc mon jean et me mit à genoux devant lui. Sa queue n’était pas encore en érection. Je lui ai passé ma main entre ses jambes afin de lui toucher l’anus et je lui léchais ses testicules. Evidement l’érection vint très vite ! Je lui décalottais son gland et me mis à le lécher, tandis que de l’autre main je lui caressai son ventre. J’essayais d’enfoncer tout ce que je pouvais dans ma bouche, mais c’est qu’elle était longue sa queue ! Après mes lèvres et ma langue firent le reste, je commençai un va-et-vient lent qu’il appréciait en poussant des lamentations de plaisir. Sa queue avait un goût salé, pourtant il s’était douché juste avant mon arrivé, mais sans doute, cela venait il du fait qu’il venait d’uriner. Loin de me déplaire cela doubla mon excitation !

J’accélérai la cadence tandis que de la main j’alternais les caresses sur l’anus et sur les testicules. Ça allait de plus en plus vite et soudain il jouit en criant, puis une bonne éjaculation emplit ma bouche. Il mit plusieurs minutes à reprendre ses esprits, puis, tout sourire, se releva, et me demanda de me coucher à terre, il m’embrassa partout du front aux tétons en passant par le bout des orteils, puis il remonta et enveloppa de ses lèvres sensuelles mon beau gros gland rosé. Mais lui il commença tout de suite un mouvement rapide de suçage, ça n’a pas pris cinq minutes que j’éjaculai en partie dans sa bouche, le reste sur son visage et sur son cou.

– Lèche le sperme ! Me proposa-t-il

C’est ce que je fis, c’était bon de sentir sur ma langue sa peau douce et imberbe ! Ensuite, il s’empara des huiles de massage et en enduit mon anus, il me dit d’en mettre aussi sur sa belle queue. J’en profitais pour lécher le sperme restant et j’enduis sa bite en faisant un mouvement de branlette.

– Tu veux que je t’encule ? me demanda-t-il
– Bien sûr !

Il me demanda de me positionner à quatre pattes et je sentis un beau gros gland pénétrer mon anus. Il y allait délicatement et après qu’elle fut entièrement entrée, il me demanda :

– Quand tu seras prêt, pour que je puisse aller plus vite, tu me le diras !

Il fit quelques va-et-vient délicats et après que je lui ai dit « O.K. » il me prit par les hanches et commença une série d’aller-retour très rapides. Je me demandais comment il pouvait faire de si grands mouvements de bassin et je me demandais aussi comment mon cul pouvait en prendre autant ! Je criais de plaisir. Tommy finit par jouir en imitant le cri d’un cow-boy en pleine épreuve de rodéo. Qu’est-ce que c’est bon de se faire enculer. ! :

« hiiiiiiiiiiaaaaaaaaaaaaa!!!!!!! »

Puis après m’avoir rempli le cul de sperme, il ressorti sa bite, et me demanda si je voulais la nettoyer. Elle était maculée de sperme mais aussi d’un peu de merde, mais elle était tellement belle que je n’hésitais pas une seconde ! Puis il me dit :

– C’est à ton tour de me mettre ta bite dans le cul !

Préalablement il me lécha un peu, puis on se mit en position de 69, ce qui me permit de lui lubrifier sa rosette, en enfonçant le plus profondément possible ma langue dans son mignon petit trou dont l’odeur si particulière me rendait fou ! J’enfonçais ensuite un doigt, puis un deuxième et les fit aller et venir plusieurs fois de suite, rencontrant un peu de matière. Je crois que ce moment a été son préféré car il ferma les yeux, envoya sa tête en arrière et poussa des gémissements, ce qui le faisait abandonner la fellation qu’il prodiguait à ma queue.

Ivre d’excitation, et comme dans un état second, je léchais mes doigts maculés de traces brunes.

Me redressant, je lui demandais de rester sur le dos mais les jambes relevées au maximum, j’approchais ma queue et elle entra très facilement. Il poussa un cri de plaisir puis au fur et à mesure de mes va-et-vient il lança une série de « ha ha ha ha !  » de jouissance.

Au bout de vingt minutes, il était exténué et tout en sueur, et je lui éjaculai dans le cul. Moi aussi j’étais fatigué mais je lui dis :

– Oh non ! On ne va pas s’arrêter là !

On se remit en 69. Et on se remit à se sucer, on poussait souvent de petites lamentations étouffées par nos queues. Soudain il m’éjacula une nouvelle fois dans la bouche, .je sortis sa queue de ma bouche, puis je continuai à le branler pour que le sperme coule de nouveau sur mon corps. Je le léchais ensuite un peu partout mais surtout sur le mamelon et il me fit de même.

– Faut que j’aille pisser, tu viens ?

Je le suivais aux toilettes sans comprendre de suite, puis au lieu de diriger son pipi vers la cuvette, il se mit à m’arroser. Je me laissais faire et quand il visa ma bouche je ne refusais pas de l’ouvrir avalant quelques goulées de ce liquide acre et salé.

Après on se coucha dans le même lit ! Le pauvre ! Il trouva le sommeil tout de suite. Cela ne m’empêcha pas de le caresser.

Après cette aventure, on est devenu amoureux, et on se revit tous les week-ends et on multiplia positions et plaisirs…

Un jour il invita son cousin, celui-ci fantasmant un petit peu sur les rapports entre hommes avait demandé à être initié ces plaisirs ! On s’est régalé, mais cela fera l’objet d’un autre récit…

Ce texte provient des archives anonymes de Sophiexxx, je l’ai corrigé et partiellement réécrit sans en changer l’excellent esprit qui y règne.

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6 réponses à Chalet de fantasme 1 – Tommy par Sylvain_Zerberg

  1. Sacha dit :

    Voilà un récit qui tombe bien pour m’exciter. Ma femme vient de partir voir une copine à Paris et mon voisin est aussi seul aujourd’hui. Il va passer vers 10 heures. J’ai hâte d’avoir sa bonne bite dans la bouche (hum, j’en salive d’avance) et ensuite dans mon petit cul (j’adore me faire enculer, pas vous ?)

    • Pédalo dit :

      Si moi !
      Quand je me rends au sauna, je ne repars jamais avant de m’être fait enculer au moins une fois. C’est si bon !

  2. Dominique Tamer dit :

    Sucer une bonne bite avant de la sentir dans son cul… c’est si bon !

  3. Fireses dit :

    Texte bien écrit, mais je trouve irresponsable de décrire des scène de sodomie entre deux inconnus sans utilisation de préservatifs

  4. Baruchel dit :

    Je préfère de loin les récits bisexuels aux récits gays, et je n’ai lu celui-ci qu’en raison de son auteur. Je ne l’ai pas regretté, c’est très bien écrit, très respectueux et croyez-le si vous le voulez, ça m’a fait bander !

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